Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Bulletin N°Vol. 17, n° 6 Mention de date : Juillet 2018
Paru le : 01/07/2018
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[article]
Titre : |
Aides à la décision dans un processus de décision partagée entre médecin et patient (shared decision making) |
Type de document : |
document électronique |
Auteurs : |
N. Delvaux ; B. Aertgeerts |
Année de publication : |
2018 |
Article en page(s) : |
p. 79-83 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Prise de décision Connaissances, attitudes et pratiques en santé Communication Education thérapeutique Participation du patient Relation |
Résumé : |
Pour formuler des recommandations, les développeurs de guides de pratique clinique s’appuient sur une évaluation approfondie des faits probants scientifiques disponibles, et ils pèsent les avantages et les inconvénients des différentes options stratégiques. Certaines recommandations sont fortes parce que les avantages dépassent nettement les inconvénients. Le rapport entre les avantages et les inconvénients des différentes options stratégiques est rarement aussi évident, et les développeurs de guides de pratique clinique doivent plutôt formuler des recommandations conditionnelles. On attend alors du médecin qu’il présente de manière compréhensible les différents arguments pour et contre au patient en vue d’une prise de décision partagée (shared decision making, SDM). La prise de décision partagée est universellement reconnue comme un principe de base des services médicaux de qualité (1-4). Cette approche nécessite non seulement un changement de culture parmi les prestataires de soins, mais aussi le développement d’aides à la décision qui soutiennent les patients lorsqu’ils doivent choisir entre des options stratégiques concernant leur santé (5). Toutes les aides à la décision donnent des informations factuelles concernant les problèmes de santé, les options stratégiques, les avantages et les inconvénients associés, les chances et les incertitudes scientifiques. Toutes ont également ceci en commun qu’elles mentionnent explicitement la décision à prendre en matière de stratégie et qu’elles aident les patients à peser eux-mêmes les avantages et les inconvénients associés à une décision donnée, sans pour autant leur imposer une option déterminée.
|
En ligne : |
http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2168 |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=86361 |
in Minerva [périodique éléctronique] > Vol. 17, n° 6 (Juillet 2018) . - p. 79-83
[article] Aides à la décision dans un processus de décision partagée entre médecin et patient (shared decision making) [document électronique] / N. Delvaux ; B. Aertgeerts . - 2018 . - p. 79-83. Langues : Français ( fre) in Minerva [périodique éléctronique] > Vol. 17, n° 6 (Juillet 2018) . - p. 79-83
Mots-clés : |
Prise de décision Connaissances, attitudes et pratiques en santé Communication Education thérapeutique Participation du patient Relation |
Résumé : |
Pour formuler des recommandations, les développeurs de guides de pratique clinique s’appuient sur une évaluation approfondie des faits probants scientifiques disponibles, et ils pèsent les avantages et les inconvénients des différentes options stratégiques. Certaines recommandations sont fortes parce que les avantages dépassent nettement les inconvénients. Le rapport entre les avantages et les inconvénients des différentes options stratégiques est rarement aussi évident, et les développeurs de guides de pratique clinique doivent plutôt formuler des recommandations conditionnelles. On attend alors du médecin qu’il présente de manière compréhensible les différents arguments pour et contre au patient en vue d’une prise de décision partagée (shared decision making, SDM). La prise de décision partagée est universellement reconnue comme un principe de base des services médicaux de qualité (1-4). Cette approche nécessite non seulement un changement de culture parmi les prestataires de soins, mais aussi le développement d’aides à la décision qui soutiennent les patients lorsqu’ils doivent choisir entre des options stratégiques concernant leur santé (5). Toutes les aides à la décision donnent des informations factuelles concernant les problèmes de santé, les options stratégiques, les avantages et les inconvénients associés, les chances et les incertitudes scientifiques. Toutes ont également ceci en commun qu’elles mentionnent explicitement la décision à prendre en matière de stratégie et qu’elles aident les patients à peser eux-mêmes les avantages et les inconvénients associés à une décision donnée, sans pour autant leur imposer une option déterminée.
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En ligne : |
http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2168 |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=86361 |
|
Exemplaires
[article]
Titre : |
Effet positif de la revue médicamenteuse multidisciplinaire sur l’arrêt des médicaments inappropriés |
Type de document : |
document électronique |
Auteurs : |
E. Van Leeuwen ; T. Christiaens |
Année de publication : |
2018 |
Article en page(s) : |
p. 75-78 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Cognition Chutes accidentelles Interdisciplinarité Maisons de repos Qualité de vie Abstention thérapeutique |
Résumé : |
La prescription correcte des médicaments chez les personnes âgées exige de peser soigneusement l’effet favorable escompté par rapport au risque accru d’effets indésirables et d’interactions médicamenteuses. Différentes stratégies ont déjà été tentées pour limiter la polymédication et améliorer la qualité des prescriptions pour les personnes âgées (1,2). La revue médicamenteuse en est une. Cette intervention consiste en une évaluation structurée et critique de la pharmacothérapie effectuée régulièrement par les médecins et les pharmaciens (3). Une récente méta-analyse a montré que la revue médicamenteuse entraînait une diminution du nombre de problèmes liés aux médicaments (4). Dans deux synthèses méthodiques de la Cochrane Collaboration, on a observé qu’avec une revue médicamenteuse par le pharmacien, le nombre de consultations en urgence tendait à diminuer, sans effet sur la mortalité |
En ligne : |
http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2167 |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=86402 |
in Minerva [périodique éléctronique] > Vol. 17, n° 6 (Juillet 2018) . - p. 75-78
[article] Effet positif de la revue médicamenteuse multidisciplinaire sur l’arrêt des médicaments inappropriés [document électronique] / E. Van Leeuwen ; T. Christiaens . - 2018 . - p. 75-78. Langues : Français ( fre) in Minerva [périodique éléctronique] > Vol. 17, n° 6 (Juillet 2018) . - p. 75-78
Mots-clés : |
Cognition Chutes accidentelles Interdisciplinarité Maisons de repos Qualité de vie Abstention thérapeutique |
Résumé : |
La prescription correcte des médicaments chez les personnes âgées exige de peser soigneusement l’effet favorable escompté par rapport au risque accru d’effets indésirables et d’interactions médicamenteuses. Différentes stratégies ont déjà été tentées pour limiter la polymédication et améliorer la qualité des prescriptions pour les personnes âgées (1,2). La revue médicamenteuse en est une. Cette intervention consiste en une évaluation structurée et critique de la pharmacothérapie effectuée régulièrement par les médecins et les pharmaciens (3). Une récente méta-analyse a montré que la revue médicamenteuse entraînait une diminution du nombre de problèmes liés aux médicaments (4). Dans deux synthèses méthodiques de la Cochrane Collaboration, on a observé qu’avec une revue médicamenteuse par le pharmacien, le nombre de consultations en urgence tendait à diminuer, sans effet sur la mortalité |
En ligne : |
http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2167 |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=86402 |
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Exemplaires
[article]
Titre : |
Intégrer l'EBM par un apprentissage en spirale? |
Type de document : |
document électronique |
Auteurs : |
T. Poelman |
Année de publication : |
2018 |
Article en page(s) : |
p. 73-74 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Formation Prise de décision Pratique factuelle |
Résumé : |
Minerva a déjà souvent discuté de la mise en œuvre de l’EBM dans la prise en charge des patients (1,2). Cette mise en œuvre dépend largement de l’expertise du prestataire de soins en matière de recherche des meilleurs faits probants disponibles à évaluer et à intégrer dans la pratique clinique (2). Elle comporte cinq étapes essentielles.
1. Traduire le problème clinique en une question PICO (Patient - Intervention - Comparison - Outcome/ Patient - Intervention - Comparaison - Résultat) à laquelle il soit possible de répondre.
2. Tracer de manière systématique le fait probant disponible qui apporte une réponse à cette question PICO.
3. Evaluer de manière critique la validité interne et externe du meilleur fait probant disponible (en pesant les risques et les bénéfices) et son impact (Critical Appraisal of the Topic, CAT).
Dans nos « analyses longues », ces trois premières étapes ont une place de premier plan. La question clinique étant présentée autant que possible sous forme de question PICO, les lecteurs ont tout de suite une connexion avec leur pratique. Dans la partie discussion, ils sont alors soutenus par des collègues expérimentés pour évaluer de manière critique la méthodologie et la pertinence clinique des résultats des études, sans devoir lire eux-mêmes l’article original dans son intégralité.
Notre mission consiste à continuellement élargir le pool des analystes critiques avec des collègues enthousiastes qui voudraient collaborer à l’élaboration du réseau « critique » en réaction à une interprétation parfois superficielle de la recherche scientifique.
4. Intégrer l’évaluation critique à sa propre expertise clinique et à ses connaissances concernant les propriétés biologiques, les valeurs et le contexte du patient.
5. Réfléchir à l’efficacité et à l’utilisation rationnelle de l’application des étapes 1 à 4 et rechercher des possibilités d’amélioration. Cette dernière étape se situe donc plutôt au niveau métacognitif. |
En ligne : |
http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2166 |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=86420 |
in Minerva [périodique éléctronique] > Vol. 17, n° 6 (Juillet 2018) . - p. 73-74
[article] Intégrer l'EBM par un apprentissage en spirale? [document électronique] / T. Poelman . - 2018 . - p. 73-74. Langues : Français ( fre) in Minerva [périodique éléctronique] > Vol. 17, n° 6 (Juillet 2018) . - p. 73-74
Mots-clés : |
Formation Prise de décision Pratique factuelle |
Résumé : |
Minerva a déjà souvent discuté de la mise en œuvre de l’EBM dans la prise en charge des patients (1,2). Cette mise en œuvre dépend largement de l’expertise du prestataire de soins en matière de recherche des meilleurs faits probants disponibles à évaluer et à intégrer dans la pratique clinique (2). Elle comporte cinq étapes essentielles.
1. Traduire le problème clinique en une question PICO (Patient - Intervention - Comparison - Outcome/ Patient - Intervention - Comparaison - Résultat) à laquelle il soit possible de répondre.
2. Tracer de manière systématique le fait probant disponible qui apporte une réponse à cette question PICO.
3. Evaluer de manière critique la validité interne et externe du meilleur fait probant disponible (en pesant les risques et les bénéfices) et son impact (Critical Appraisal of the Topic, CAT).
Dans nos « analyses longues », ces trois premières étapes ont une place de premier plan. La question clinique étant présentée autant que possible sous forme de question PICO, les lecteurs ont tout de suite une connexion avec leur pratique. Dans la partie discussion, ils sont alors soutenus par des collègues expérimentés pour évaluer de manière critique la méthodologie et la pertinence clinique des résultats des études, sans devoir lire eux-mêmes l’article original dans son intégralité.
Notre mission consiste à continuellement élargir le pool des analystes critiques avec des collègues enthousiastes qui voudraient collaborer à l’élaboration du réseau « critique » en réaction à une interprétation parfois superficielle de la recherche scientifique.
4. Intégrer l’évaluation critique à sa propre expertise clinique et à ses connaissances concernant les propriétés biologiques, les valeurs et le contexte du patient.
5. Réfléchir à l’efficacité et à l’utilisation rationnelle de l’application des étapes 1 à 4 et rechercher des possibilités d’amélioration. Cette dernière étape se situe donc plutôt au niveau métacognitif. |
En ligne : |
http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2166 |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=86420 |
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Exemplaires