Centre de Documentation Campus Montignies
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Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
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Auteur Chafik Allal |
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Lutter partout : la convergence des colères [Dossier] / Pluralité d'auteurs in Antipodes [périodique électronique], 228 (Mars 2020)
[article]
Titre : Lutter partout : la convergence des colères [Dossier] Type de document : texte imprimé Auteurs : Pluralité d'auteurs ; Chafik Allal ; Antonio de la Fuente ; Akram Balkaïd ; Thomas Serres ; Paolo Cornetti ; Christian Dalenz ; Violetta Marchionne ; Francesco Paolo Panei ; Damian Andres Canton, Personne interviewée ; Hugo José Suárez, Personne interviewée ; Fadel Barro, Personne interviewée Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 3-45 Langues : Français (fre) Mots-clés : Participation sociale Racisme -- Lutte contre Pauvreté -- Politique publique Militantisme Résumé : "Dire Non : tel est le départ. En soi, et dans le Monde actuel, dire Non est déjà une révolution. Beaucoup de citoyens, parmi lesquels des salariés, n’osent même pas oser penser qu’ils puissent dire Non. Pourtant, quel pouvoir ! quelle puissance ! contenue dans la simplicité de ce mot : Non, No, Nee, La, Nein. Je ne sais pas en combien de langues il faudrait le dire et le décliner pour que les dominants comprennent enfin. Parfois, des mouvements sociaux ont été divisés quand on leur a demandé d’expliciter les raisons de leurs « NON ». Certains disaient non au capitalisme, d’autres au patriarcat, d’autres encore au racisme et aux discriminations liées. Ici, le NON est souvent massif, indivisible et dure des mois parfois plus qu’une année (des Algériens, par exemple, sont toujours mobilisés jusqu’à maintenant). Aujourd’hui le NON est presqu’unanime, en tous cas largement partagé, explicité un peu partout, et touche également le coeur de l’Empire. Les colères convergent, des gens traditionnellement socialistes qui défendent la cause de la nature, des écologistes crient leur colère pour l’égalité femmes-hommes, des mouvements féministes qui en ont marre de voir comment les demandeurs d’asile sont traités etc. Ces « NON » ouvrent à des « OUI » multiples en fonction des contextes. Nous couvrons et ouvrons ici à ces luttes pour essayer de comprendre ce qui se passe dans quelques contextes : la Bolivie, le Chili, l’Algérie, le Sénégal, l’Italie. Il y aurait eu moyen de faire 10 numéros en couvrant d’autres luttes, nous nous sommes restreint à ces pages en étant persuadés que nous ne faisons que commencer un nouveau cycle de colères multiples, nombreuses et convergentes." Note de contenu : Sommaire
Edito (Ch. Allal) / Au Chili comme en Algérie (A. de la Fuente) / La non-reconnaissance de la diversité socio-culturelle est le problème du modèle chilien (itw de D. A. Canton) / L'après Evo Morales : la Bolivie à un tournant de son histoire (itw de H. J. Suárez) / Hirak (A. Balkaïd) / En Algérie, la guerre de position continue (Th. Serres) / Y'en a marre au Sénégal... Marre de quoi ? (itw de F. Barro) / Quelle est la profondeur de l'océan ? (P. Cornetti, Ch. Dalenz, V. Marchionne, Fr. P. Panei)En ligne : http://www.iteco.be/revue-antipodes/lutter-partout-la-convergence-des-coleres/ Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97559
in Antipodes [périodique électronique] > 228 (Mars 2020) . - p. 3-45[article] Lutter partout : la convergence des colères [Dossier] [texte imprimé] / Pluralité d'auteurs ; Chafik Allal ; Antonio de la Fuente ; Akram Balkaïd ; Thomas Serres ; Paolo Cornetti ; Christian Dalenz ; Violetta Marchionne ; Francesco Paolo Panei ; Damian Andres Canton, Personne interviewée ; Hugo José Suárez, Personne interviewée ; Fadel Barro, Personne interviewée . - 2020 . - p. 3-45.
Langues : Français (fre)
in Antipodes [périodique électronique] > 228 (Mars 2020) . - p. 3-45
Mots-clés : Participation sociale Racisme -- Lutte contre Pauvreté -- Politique publique Militantisme Résumé : "Dire Non : tel est le départ. En soi, et dans le Monde actuel, dire Non est déjà une révolution. Beaucoup de citoyens, parmi lesquels des salariés, n’osent même pas oser penser qu’ils puissent dire Non. Pourtant, quel pouvoir ! quelle puissance ! contenue dans la simplicité de ce mot : Non, No, Nee, La, Nein. Je ne sais pas en combien de langues il faudrait le dire et le décliner pour que les dominants comprennent enfin. Parfois, des mouvements sociaux ont été divisés quand on leur a demandé d’expliciter les raisons de leurs « NON ». Certains disaient non au capitalisme, d’autres au patriarcat, d’autres encore au racisme et aux discriminations liées. Ici, le NON est souvent massif, indivisible et dure des mois parfois plus qu’une année (des Algériens, par exemple, sont toujours mobilisés jusqu’à maintenant). Aujourd’hui le NON est presqu’unanime, en tous cas largement partagé, explicité un peu partout, et touche également le coeur de l’Empire. Les colères convergent, des gens traditionnellement socialistes qui défendent la cause de la nature, des écologistes crient leur colère pour l’égalité femmes-hommes, des mouvements féministes qui en ont marre de voir comment les demandeurs d’asile sont traités etc. Ces « NON » ouvrent à des « OUI » multiples en fonction des contextes. Nous couvrons et ouvrons ici à ces luttes pour essayer de comprendre ce qui se passe dans quelques contextes : la Bolivie, le Chili, l’Algérie, le Sénégal, l’Italie. Il y aurait eu moyen de faire 10 numéros en couvrant d’autres luttes, nous nous sommes restreint à ces pages en étant persuadés que nous ne faisons que commencer un nouveau cycle de colères multiples, nombreuses et convergentes." Note de contenu : Sommaire
Edito (Ch. Allal) / Au Chili comme en Algérie (A. de la Fuente) / La non-reconnaissance de la diversité socio-culturelle est le problème du modèle chilien (itw de D. A. Canton) / L'après Evo Morales : la Bolivie à un tournant de son histoire (itw de H. J. Suárez) / Hirak (A. Balkaïd) / En Algérie, la guerre de position continue (Th. Serres) / Y'en a marre au Sénégal... Marre de quoi ? (itw de F. Barro) / Quelle est la profondeur de l'océan ? (P. Cornetti, Ch. Dalenz, V. Marchionne, Fr. P. Panei)En ligne : http://www.iteco.be/revue-antipodes/lutter-partout-la-convergence-des-coleres/ Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97559 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Médias radicalement démocratiques / Chafik Allal in Antipodes [périodique électronique], 190 (Septembre 2010)
[article]
Titre : Médias radicalement démocratiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Chafik Allal, Auteur ; Antonio de la Fuente, Auteur ; Jean-Claude Mullens, Auteur ; Pierre Tévanian, Auteur ; Charlotte Chatelle, Auteur ; Thais Bagula, Auteur ; Nicolas Almau, Auteur ; Sylvie Tissot, Auteur ; Pat McMillan, Auteur ; Béatrice Ndayizigamiye, Auteur ; Annette Kouamba Matondo, Auteur ; Le Jim, Auteur ; Solange Lusiku, Personne interviewée ; André Linard, Intervieweur ; Violaine Jadoul, Intervieweur Année de publication : 2010 Article en page(s) : p.2-47 Note générale : Dossier Langues : Français (fre) Mots-clés : Médias Information Femmes victimes de violence Résumé : "Pour la diversité dans les médias, pour la bonne santé de la démocratie" Note de contenu : Présentation (C. Allal) / Des jeunes d'origine difficile aux candidats issus de la diversité (S. Tissot, P. Tevanian) / Titillons notre lobe frontal (P. McMillan) / La liberté ou la famine (A. de la Fuente) / Les "bons clients" de Matin première (J.-CL. Mullens) / Elections au Burundi : des médias en synergie mais pas toujours (B. Ndayizigamiye) / Dépasser les "boîtes noires" de l'information (C. Chatelle) / Nouveaux médias français d'information sur la toile (C. Chatelle) / De petites radios non professionnelles mais utiles au Sud-Kivu (T. Bagula) / Au Congo, des blogs pour les femmes battues (A. Kouamba Matondo) / Le Souverain en quête de liberté (S. Lusiku, V. Jadoul, A. Linard) / Le JIM, un nouveau journal indépendant, engagé et divers (Le Jim) En ligne : http://www.iteco.be/antipodes/Medias-radicalement-democratiques/ Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=59992
in Antipodes [périodique électronique] > 190 (Septembre 2010) . - p.2-47[article] Médias radicalement démocratiques [texte imprimé] / Chafik Allal, Auteur ; Antonio de la Fuente, Auteur ; Jean-Claude Mullens, Auteur ; Pierre Tévanian, Auteur ; Charlotte Chatelle, Auteur ; Thais Bagula, Auteur ; Nicolas Almau, Auteur ; Sylvie Tissot, Auteur ; Pat McMillan, Auteur ; Béatrice Ndayizigamiye, Auteur ; Annette Kouamba Matondo, Auteur ; Le Jim, Auteur ; Solange Lusiku, Personne interviewée ; André Linard, Intervieweur ; Violaine Jadoul, Intervieweur . - 2010 . - p.2-47.
Dossier
Langues : Français (fre)
in Antipodes [périodique électronique] > 190 (Septembre 2010) . - p.2-47
Mots-clés : Médias Information Femmes victimes de violence Résumé : "Pour la diversité dans les médias, pour la bonne santé de la démocratie" Note de contenu : Présentation (C. Allal) / Des jeunes d'origine difficile aux candidats issus de la diversité (S. Tissot, P. Tevanian) / Titillons notre lobe frontal (P. McMillan) / La liberté ou la famine (A. de la Fuente) / Les "bons clients" de Matin première (J.-CL. Mullens) / Elections au Burundi : des médias en synergie mais pas toujours (B. Ndayizigamiye) / Dépasser les "boîtes noires" de l'information (C. Chatelle) / Nouveaux médias français d'information sur la toile (C. Chatelle) / De petites radios non professionnelles mais utiles au Sud-Kivu (T. Bagula) / Au Congo, des blogs pour les femmes battues (A. Kouamba Matondo) / Le Souverain en quête de liberté (S. Lusiku, V. Jadoul, A. Linard) / Le JIM, un nouveau journal indépendant, engagé et divers (Le Jim) En ligne : http://www.iteco.be/antipodes/Medias-radicalement-democratiques/ Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=59992 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Médiation culturelle et artistique / Chafik Allal in Antipodes [périodique électronique], 238 (Décembre 2023)
[article]
Titre : Médiation culturelle et artistique Type de document : texte imprimé Auteurs : Chafik Allal ; Judith Dehail ; François Makanga ; Jean-Claude Mullens ; Adeline Rosenstein ; Olivier Marboeuf ; Virginia Pisano ; Diana Mammana ; Margareta von Oswald Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 4-85 Langues : Français (fre) Mots-clés : Culture Diffusion de la culture Équipements culturels Sociologie de la culture Décolonisation Artistes Sexisme Exclusion sociale Art -- Aspect social Sexisme dans le milieu artistique Résumé : "La culture d’un groupe est un construit qui devient référent pour définir les normes, les valeurs, les croyances qui, à leur tour, construisent (de) la culture et produisent de nouvelles transformations culturelles en lien avec ce qui se passe comme (nouveaux) défis dans la société. Tout ceci permet aux individus composant les groupes d’avoir des clefs pour donner du sens à leurs actions. En particulier, ceci leur indique ce qu’ils doivent trouver bon, beau, vrai et juste de faire, de dire, de penser et de ressentir. Et là, nous traçons les contours de la notion de « modèle culturel », qui peut être défini comme un ensemble plus ou moins structuré de principes éthiques qui proposent aux membres d’une collectivité humaine le sens de leurs conduites et de leurs actions. Dans la société, les cultures sont liées aux rapports de domination : en effet, le gout, le « classe », le « trendy » ou le « stylé » est souvent défini par les dominantes, même quand c’est « pris », « piqué » diraient des plus jeunes, chez les dominés, avec ou sans adaptation. Lela dominée peut certes être impliquée et même être invitée à adopter les bons réflexes d’appréciation de la culture dominante, souvent bourgeoise. La médiation, telle qu’elle est envisagée et encore pratiquée largement et par beaucoup d’institutions se voit comme ayant pour mission de satisfaire les présupposés besoins de catégories de publics dits « publics fragilisés », « publics orphelins », « publics empêchés », appellations aussi « minorisantes » les unes que les autres ; bref des personnes provenant de groupes dominés. Vue comme cela, la définition se base sur deux implicites qui peuvent induire un type d’actions. Le premier implicite est de voir les personnes comme des publics en attente de réponses à des besoins, le plus souvent plutôt des « projections de besoins » ; partir sur une sociologie du manque est une erreur fondamentale dans la construction du rapport à l’Altérité. Le second implicite est de les voir comme « publics », certainement pas sujets-acteurs. Les deux implicites mis ensemble impliquent une vision pédagogique spécifique, plus proche de l’éducation bancaire que d’une vision d’émancipation qui les renforce comme acteurs producteurs de culture et de sens. Ainsi, un curieux exemple qui a le vent en poupe : les formations « parcours d’intégration » données aux personnes immigrées nouvellement arrivées, constituent un cas assez radical et désormais politiquement « assumé » : il y est parfois question de production artistique, mais rarement pour impliquer des personnes des groupes en question, sinon pour leur « apprendre » ce qui est beau, le sens de l’esthétique, « à la Belge ». Souvent, lorsqu’il est question d’intégration, c’est comme s’il s’agissait de faire rentrer un groupe dans le modèle culturel régnant, créations culturelles et artistiques comprises. Ce qui est également le cas avec d’autres groupes dominés [1]. Souvent, des institutions ou des administrations identifient des vraies « fractures », « exclusions » et « tensions » à dimensions sociales et elles tentent de résorber via des actions qui vont dans un sens de « rapprochement » - plus ou moins forcé – de publics dominés des pratiques, produits, grand-messes organisées par des établissements culturels. « Faire coller » est une vision dans le meilleur des cas paternaliste pour « éduquer à » (« éduquer à l’image » souvent entendu dans le sens de « éduquer à comprendre les codes symboliques dominants et des dominants quand ils font des images »). Le souci est que de telles démarches ne pourront jamais interroger les rapports de pouvoir, ni symboliques, ni culturels, ni sociaux, ni économiques. Au mieux, elles permettront à un.e transfuge de classe d’être la preuve vivante et l’alibi que « ça peut fonctionner » et entretenir ainsi les illusions d’une mobilité par le biais du culturel et de l’artistique. Cette force du récit « singulier » comme preuve est surutilisée dans le système néolibéral. Regardez ça a marché pour UtopiaWoman ! ce qui est sous-entendu, c’est surtout que si ça ne marche pas pour toi, c’est que tu devrais t’en prendre à toi-même. Le système de reproduction des inégalités a de l’avenir dans un tel système. C’est d’ailleurs à se demander si cet engouement de mouvements progressistes pour changer le récit n’est pas un énième piège culturel du système néolibéral dans lequel ils tombent ; en effet, il y avait déjà les explications sur la force du storytelling. Comme si changer le storytelling pouvant changer facilement le rapport de force. Ceci évite de questionner les dispositifs, empêche de se décentrer, oriente l’angle de vue vers autre chose. Ainsi, peu ou personne ne se posera la question importante du « pourquoi » : pourquoi doit-on obliger des publics à aller consommer des activités ? pourquoi veut-on uniformiser les goûts et les centres d’intérêt ? Pourquoi travaille-t-on à effacer les diversités possibles ?
Alors, que faire ? doit-on éviter toute médiation si elle risque d’uniformiser ? Non, certainement pas."Note de contenu : Sommaire
Edito (Chafik Allal) / Entre sexisme et précarité. La médiation culturelle comme pratique critique (J. Dehail) / Marronage culturel, ou comment investir les failles de l'institution (F. Makanga) / Impressions sur la nouvelle scénographie du musée de Tervuren (J.-C. Mullens) / Extrait de la BD Décris-Ravage (A. Rosenstein & Baladi) / Posture et engagement en contexte décolonial (O. Marboeuf, V. Pisano) / Le Musée Résonant (D. Mammana et M. von Oswald)En ligne : https://www.iteco.be/revue-antipodes/mediation-culturelle-et-artistique-218/ Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=116563
in Antipodes [périodique électronique] > 238 (Décembre 2023) . - p. 4-85[article] Médiation culturelle et artistique [texte imprimé] / Chafik Allal ; Judith Dehail ; François Makanga ; Jean-Claude Mullens ; Adeline Rosenstein ; Olivier Marboeuf ; Virginia Pisano ; Diana Mammana ; Margareta von Oswald . - 2023 . - p. 4-85.
Langues : Français (fre)
in Antipodes [périodique électronique] > 238 (Décembre 2023) . - p. 4-85
Mots-clés : Culture Diffusion de la culture Équipements culturels Sociologie de la culture Décolonisation Artistes Sexisme Exclusion sociale Art -- Aspect social Sexisme dans le milieu artistique Résumé : "La culture d’un groupe est un construit qui devient référent pour définir les normes, les valeurs, les croyances qui, à leur tour, construisent (de) la culture et produisent de nouvelles transformations culturelles en lien avec ce qui se passe comme (nouveaux) défis dans la société. Tout ceci permet aux individus composant les groupes d’avoir des clefs pour donner du sens à leurs actions. En particulier, ceci leur indique ce qu’ils doivent trouver bon, beau, vrai et juste de faire, de dire, de penser et de ressentir. Et là, nous traçons les contours de la notion de « modèle culturel », qui peut être défini comme un ensemble plus ou moins structuré de principes éthiques qui proposent aux membres d’une collectivité humaine le sens de leurs conduites et de leurs actions. Dans la société, les cultures sont liées aux rapports de domination : en effet, le gout, le « classe », le « trendy » ou le « stylé » est souvent défini par les dominantes, même quand c’est « pris », « piqué » diraient des plus jeunes, chez les dominés, avec ou sans adaptation. Lela dominée peut certes être impliquée et même être invitée à adopter les bons réflexes d’appréciation de la culture dominante, souvent bourgeoise. La médiation, telle qu’elle est envisagée et encore pratiquée largement et par beaucoup d’institutions se voit comme ayant pour mission de satisfaire les présupposés besoins de catégories de publics dits « publics fragilisés », « publics orphelins », « publics empêchés », appellations aussi « minorisantes » les unes que les autres ; bref des personnes provenant de groupes dominés. Vue comme cela, la définition se base sur deux implicites qui peuvent induire un type d’actions. Le premier implicite est de voir les personnes comme des publics en attente de réponses à des besoins, le plus souvent plutôt des « projections de besoins » ; partir sur une sociologie du manque est une erreur fondamentale dans la construction du rapport à l’Altérité. Le second implicite est de les voir comme « publics », certainement pas sujets-acteurs. Les deux implicites mis ensemble impliquent une vision pédagogique spécifique, plus proche de l’éducation bancaire que d’une vision d’émancipation qui les renforce comme acteurs producteurs de culture et de sens. Ainsi, un curieux exemple qui a le vent en poupe : les formations « parcours d’intégration » données aux personnes immigrées nouvellement arrivées, constituent un cas assez radical et désormais politiquement « assumé » : il y est parfois question de production artistique, mais rarement pour impliquer des personnes des groupes en question, sinon pour leur « apprendre » ce qui est beau, le sens de l’esthétique, « à la Belge ». Souvent, lorsqu’il est question d’intégration, c’est comme s’il s’agissait de faire rentrer un groupe dans le modèle culturel régnant, créations culturelles et artistiques comprises. Ce qui est également le cas avec d’autres groupes dominés [1]. Souvent, des institutions ou des administrations identifient des vraies « fractures », « exclusions » et « tensions » à dimensions sociales et elles tentent de résorber via des actions qui vont dans un sens de « rapprochement » - plus ou moins forcé – de publics dominés des pratiques, produits, grand-messes organisées par des établissements culturels. « Faire coller » est une vision dans le meilleur des cas paternaliste pour « éduquer à » (« éduquer à l’image » souvent entendu dans le sens de « éduquer à comprendre les codes symboliques dominants et des dominants quand ils font des images »). Le souci est que de telles démarches ne pourront jamais interroger les rapports de pouvoir, ni symboliques, ni culturels, ni sociaux, ni économiques. Au mieux, elles permettront à un.e transfuge de classe d’être la preuve vivante et l’alibi que « ça peut fonctionner » et entretenir ainsi les illusions d’une mobilité par le biais du culturel et de l’artistique. Cette force du récit « singulier » comme preuve est surutilisée dans le système néolibéral. Regardez ça a marché pour UtopiaWoman ! ce qui est sous-entendu, c’est surtout que si ça ne marche pas pour toi, c’est que tu devrais t’en prendre à toi-même. Le système de reproduction des inégalités a de l’avenir dans un tel système. C’est d’ailleurs à se demander si cet engouement de mouvements progressistes pour changer le récit n’est pas un énième piège culturel du système néolibéral dans lequel ils tombent ; en effet, il y avait déjà les explications sur la force du storytelling. Comme si changer le storytelling pouvant changer facilement le rapport de force. Ceci évite de questionner les dispositifs, empêche de se décentrer, oriente l’angle de vue vers autre chose. Ainsi, peu ou personne ne se posera la question importante du « pourquoi » : pourquoi doit-on obliger des publics à aller consommer des activités ? pourquoi veut-on uniformiser les goûts et les centres d’intérêt ? Pourquoi travaille-t-on à effacer les diversités possibles ?
Alors, que faire ? doit-on éviter toute médiation si elle risque d’uniformiser ? Non, certainement pas."Note de contenu : Sommaire
Edito (Chafik Allal) / Entre sexisme et précarité. La médiation culturelle comme pratique critique (J. Dehail) / Marronage culturel, ou comment investir les failles de l'institution (F. Makanga) / Impressions sur la nouvelle scénographie du musée de Tervuren (J.-C. Mullens) / Extrait de la BD Décris-Ravage (A. Rosenstein & Baladi) / Posture et engagement en contexte décolonial (O. Marboeuf, V. Pisano) / Le Musée Résonant (D. Mammana et M. von Oswald)En ligne : https://www.iteco.be/revue-antipodes/mediation-culturelle-et-artistique-218/ Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=116563 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Paulo Freire, aujourd'hui [Dossier] / Chafik Allal in Antipodes [périodique électronique], 236 (Décembre 2022)
[article]
Titre : Paulo Freire, aujourd'hui [Dossier] Type de document : texte imprimé Auteurs : Chafik Allal, Directeur de publication, rédacteur en chef Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 5-129 Langues : Français (fre) Mots-clés : Alphabétisation Education populaire Pauvres Pauvres -- Protection, assistance, etc. Pédagogie Pédagogie -- Adultes Pédagogie sociale Résumé : "J’aurais dû mettre le titre « Paulo Freire m’a sauvé », car oui Paulo Freire m’a sauvé, et par deux fois. Pas métaphoriquement ; ni du point de vue des idées, philosophie ou pédagogie ; pas du point de vue politique non plus. Paulo Freire m’a sauvé une première fois parce qu’à un moment où j’en avais besoin, il a sauvé mon séjour en Belgique ; à ce moment-là, je risquais d’être expulsé de Belgique. : sans papiers, suite à une maltraitance de la part d’un employeur, doublée d’un chantage aux papiers (avec comme enjeu pour l’employeur que le représentant des travailleurs que j’étais ne défende pas le droit de ses collègues), ma solution a été de postuler pour animer un groupe de travail sur l’interculturel au sein d’une grande association francophone belge d’alphabétisation. Ce n’était pas une solution (simplement) pour travailler, non. C’était l’unique solution à l’horizon pour pouvoir « sauver » mon séjour en Belgique : je vous épargne les détails et les vicissitudes d’un étranger arrivé légalement en Belgique comme « cadre hautement qualifié [1] et les lois successives qui finissent par le faire rentrer dans l’ « illégalité ». Je voulais donc répondre à cette offre d’emploi, comme dernière bouée de sauvetage et j’y ai mis l’énergie du désespoir. De proche en proche, j’ai découvert que l’association en question, en tous cas ce qui en était « visible » et perceptible, tenait un certain Paulo Freire en grande estime, ou en tous cas l’affichait en tête de gondole des références affichées sur le site web assez sommaire d’alors (moitié des années 2000). En tous cas, je me souviens de la citation « Personne ne libère personne, personne ne se libère seul, les hommes se libèrent ensemble par l’intermédiaire du monde » et de la référence à « la Pédagogie de l’opprimé », ouvrage dont la citation semblait tirée. J’entamais ma recherche de cet ouvrage au sein du réseau bruxellois des bibliothèques communales, liant (dans ma tête en tous cas) mon séjour en Belgique, l’emploi en question à la lecture de cet ouvrage. J’ai parfois ce truc humain, mystérieux et inexplicable, qui n’a rien à voir avec aucune forme de rationalité : conditionner l’obtention de quelque chose par l’accomplissement d’autre chose, les deux n’étant pas forcément liées. Voilà où j’en étais arrivé ! me faire violence pour trouver et lire absolument « la pédagogie de l’opprimé » (quel titre puissant dans mon contexte) avant de postuler pour cet emploi." En ligne : http://www.iteco.be/revue-antipodes/paulo-freire-aujourd-hui/article/edito Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=116564
in Antipodes [périodique électronique] > 236 (Décembre 2022) . - p. 5-129[article] Paulo Freire, aujourd'hui [Dossier] [texte imprimé] / Chafik Allal, Directeur de publication, rédacteur en chef . - 2022 . - p. 5-129.
Langues : Français (fre)
in Antipodes [périodique électronique] > 236 (Décembre 2022) . - p. 5-129
Mots-clés : Alphabétisation Education populaire Pauvres Pauvres -- Protection, assistance, etc. Pédagogie Pédagogie -- Adultes Pédagogie sociale Résumé : "J’aurais dû mettre le titre « Paulo Freire m’a sauvé », car oui Paulo Freire m’a sauvé, et par deux fois. Pas métaphoriquement ; ni du point de vue des idées, philosophie ou pédagogie ; pas du point de vue politique non plus. Paulo Freire m’a sauvé une première fois parce qu’à un moment où j’en avais besoin, il a sauvé mon séjour en Belgique ; à ce moment-là, je risquais d’être expulsé de Belgique. : sans papiers, suite à une maltraitance de la part d’un employeur, doublée d’un chantage aux papiers (avec comme enjeu pour l’employeur que le représentant des travailleurs que j’étais ne défende pas le droit de ses collègues), ma solution a été de postuler pour animer un groupe de travail sur l’interculturel au sein d’une grande association francophone belge d’alphabétisation. Ce n’était pas une solution (simplement) pour travailler, non. C’était l’unique solution à l’horizon pour pouvoir « sauver » mon séjour en Belgique : je vous épargne les détails et les vicissitudes d’un étranger arrivé légalement en Belgique comme « cadre hautement qualifié [1] et les lois successives qui finissent par le faire rentrer dans l’ « illégalité ». Je voulais donc répondre à cette offre d’emploi, comme dernière bouée de sauvetage et j’y ai mis l’énergie du désespoir. De proche en proche, j’ai découvert que l’association en question, en tous cas ce qui en était « visible » et perceptible, tenait un certain Paulo Freire en grande estime, ou en tous cas l’affichait en tête de gondole des références affichées sur le site web assez sommaire d’alors (moitié des années 2000). En tous cas, je me souviens de la citation « Personne ne libère personne, personne ne se libère seul, les hommes se libèrent ensemble par l’intermédiaire du monde » et de la référence à « la Pédagogie de l’opprimé », ouvrage dont la citation semblait tirée. J’entamais ma recherche de cet ouvrage au sein du réseau bruxellois des bibliothèques communales, liant (dans ma tête en tous cas) mon séjour en Belgique, l’emploi en question à la lecture de cet ouvrage. J’ai parfois ce truc humain, mystérieux et inexplicable, qui n’a rien à voir avec aucune forme de rationalité : conditionner l’obtention de quelque chose par l’accomplissement d’autre chose, les deux n’étant pas forcément liées. Voilà où j’en étais arrivé ! me faire violence pour trouver et lire absolument « la pédagogie de l’opprimé » (quel titre puissant dans mon contexte) avant de postuler pour cet emploi." En ligne : http://www.iteco.be/revue-antipodes/paulo-freire-aujourd-hui/article/edito Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=116564 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Polyphonies de Blues... blanches [Dossier] / Pluralité d'auteurs in Antipodes [périodique électronique], 229 (Juin 2020)
[article]
Titre : Polyphonies de Blues... blanches [Dossier] Type de document : texte imprimé Auteurs : Pluralité d'auteurs ; Chafik Allal ; Olivier de Halleux ; Julián Lozano Raya ; Abdourahmane Seck ; Philippe Pignarre ; Ernest Ahounou, Personne interviewée ; Nelly Chavez Peredo, Personne interviewée ; Miriam Aguilera Ortiz, Personne interviewée ; Carlos Loza Rodriguez, Personne interviewée Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 6-65 Langues : Français (fre) Mots-clés : Covid-19 Politique sanitaire Résumé : "En Belgique, il n’est pas inutile de rappeler que deux des personnalités politiques les plus en vue durant cette crise, Madame Sophie Wilmès, Première ministre, et Madame Maggie De Block, Ministre des Affaires sociales et de la Santé publique, avaient été aux avant-postes pour la réforme du système de santé, il y a quelques années. Avec un cynisme inénarrable, et comme elles, les tenants de l’ordre libéral, partout, sont en train de construire un nouveau mode opératoire : ils se présentent comme l’alternative, la transition, les acteurs incontournables du monde à construire. Tout leur est tout le temps pardonné : un peu à l’image des grands patrons, ils n’ont plus de comptes à rendre à personne et leur avenir est assuré, de parachute doré en nouveau parachutage. Ainsi donc, les tenants de ce nouvel ordre post-néo-libéral, qui reste à caractériser mais qui ressemble à s’y méprendre à un ordre néo-libéral de transition, imposent à toutes les strates de la société des évaluations comme point d’entrée de modes de management néo-libéral partout avec, de plus en plus souvent, des conséquences désastreuses, invivables pour les gens ; mais à eux, rien n’est jamais demandé, même suite à une gestion jugée presqu’unanimement catastrophique. Au-delà des critiques, nombreuses, du management comme mode de gestion, nous devons interroger l’autoritarisme avec lequel ces modèles sont « imposés » et les évaluer à l’aune des conséquences de leur généralisation - que ce soit pour "gérer" le personnel, les usagers ou la vie. Partir des points de vue des acteurs – soignant.e.s et patient.e.s – en commençant par les conséquences et les effets en temps de pandémie, nous semblerait très pertinent comme point de départ pour ces évaluations. C’est pour cela que nous choisissons de commencer par des fragments de témoignages de soignant.e.s pour ce numéro." Note de contenu : Sommaire
Et la santé, comment ça va ? (Ch. Allal) / Le souci de l'autre passe par le soin qu'on lui octroie (O. de Halleux) / Epidémie et Systèmes de Santé en Afrique Subsaharienne, comment ça va avec la Covid ? (Ch. Allal) / Micropolitique des privatisations des savoirs universitaires (J. Lozano Raya) / Ceci n'est pas (encore ?) une crise sanitaire (A. Seck) / Celui par qui le scandale arrive (Ph. Pignarre) / Qu'est-ce qu'une étude clinique ? (Ph. Pignarre) / Une progression du coronavirus en Afrique serait un désastre (itw de E. Ahounou) / Autopsie du système de santé en Bolivie (itw de N. Chavez Peredo, M. Aguilera Ortiz, C. Loza Rodriguez)En ligne : http://www.iteco.be/revue-antipodes/polyphonies-de-blues-blanches/ Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97585
in Antipodes [périodique électronique] > 229 (Juin 2020) . - p. 6-65[article] Polyphonies de Blues... blanches [Dossier] [texte imprimé] / Pluralité d'auteurs ; Chafik Allal ; Olivier de Halleux ; Julián Lozano Raya ; Abdourahmane Seck ; Philippe Pignarre ; Ernest Ahounou, Personne interviewée ; Nelly Chavez Peredo, Personne interviewée ; Miriam Aguilera Ortiz, Personne interviewée ; Carlos Loza Rodriguez, Personne interviewée . - 2020 . - p. 6-65.
Langues : Français (fre)
in Antipodes [périodique électronique] > 229 (Juin 2020) . - p. 6-65
Mots-clés : Covid-19 Politique sanitaire Résumé : "En Belgique, il n’est pas inutile de rappeler que deux des personnalités politiques les plus en vue durant cette crise, Madame Sophie Wilmès, Première ministre, et Madame Maggie De Block, Ministre des Affaires sociales et de la Santé publique, avaient été aux avant-postes pour la réforme du système de santé, il y a quelques années. Avec un cynisme inénarrable, et comme elles, les tenants de l’ordre libéral, partout, sont en train de construire un nouveau mode opératoire : ils se présentent comme l’alternative, la transition, les acteurs incontournables du monde à construire. Tout leur est tout le temps pardonné : un peu à l’image des grands patrons, ils n’ont plus de comptes à rendre à personne et leur avenir est assuré, de parachute doré en nouveau parachutage. Ainsi donc, les tenants de ce nouvel ordre post-néo-libéral, qui reste à caractériser mais qui ressemble à s’y méprendre à un ordre néo-libéral de transition, imposent à toutes les strates de la société des évaluations comme point d’entrée de modes de management néo-libéral partout avec, de plus en plus souvent, des conséquences désastreuses, invivables pour les gens ; mais à eux, rien n’est jamais demandé, même suite à une gestion jugée presqu’unanimement catastrophique. Au-delà des critiques, nombreuses, du management comme mode de gestion, nous devons interroger l’autoritarisme avec lequel ces modèles sont « imposés » et les évaluer à l’aune des conséquences de leur généralisation - que ce soit pour "gérer" le personnel, les usagers ou la vie. Partir des points de vue des acteurs – soignant.e.s et patient.e.s – en commençant par les conséquences et les effets en temps de pandémie, nous semblerait très pertinent comme point de départ pour ces évaluations. C’est pour cela que nous choisissons de commencer par des fragments de témoignages de soignant.e.s pour ce numéro." Note de contenu : Sommaire
Et la santé, comment ça va ? (Ch. Allal) / Le souci de l'autre passe par le soin qu'on lui octroie (O. de Halleux) / Epidémie et Systèmes de Santé en Afrique Subsaharienne, comment ça va avec la Covid ? (Ch. Allal) / Micropolitique des privatisations des savoirs universitaires (J. Lozano Raya) / Ceci n'est pas (encore ?) une crise sanitaire (A. Seck) / Celui par qui le scandale arrive (Ph. Pignarre) / Qu'est-ce qu'une étude clinique ? (Ph. Pignarre) / Une progression du coronavirus en Afrique serait un désastre (itw de E. Ahounou) / Autopsie du système de santé en Bolivie (itw de N. Chavez Peredo, M. Aguilera Ortiz, C. Loza Rodriguez)En ligne : http://www.iteco.be/revue-antipodes/polyphonies-de-blues-blanches/ Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97585 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Présentation : La non-innocence dans le rapport à l’altérité / Chafik Allal in Antipodes [périodique électronique], 215 (Décembre 2016)
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