Centre de Documentation Campus Montignies
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Mercredi 9h-16h30
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Vendredi : 8h-16h30
Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
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3 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Équipements culturels'
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Médiation culturelle et artistique / Chafik Allal in Antipodes [périodique électronique], 238 (Décembre 2023)
[article]
Titre : Médiation culturelle et artistique Type de document : texte imprimé Auteurs : Chafik Allal ; Judith Dehail ; François Makanga ; Jean-Claude Mullens ; Adeline Rosenstein ; Olivier Marboeuf ; Virginia Pisano ; Diana Mammana ; Margareta von Oswald Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 4-85 Langues : Français (fre) Mots-clés : Culture Diffusion de la culture Équipements culturels Sociologie de la culture Décolonisation Artistes Sexisme Exclusion sociale Art -- Aspect social Sexisme dans le milieu artistique Résumé : "La culture d’un groupe est un construit qui devient référent pour définir les normes, les valeurs, les croyances qui, à leur tour, construisent (de) la culture et produisent de nouvelles transformations culturelles en lien avec ce qui se passe comme (nouveaux) défis dans la société. Tout ceci permet aux individus composant les groupes d’avoir des clefs pour donner du sens à leurs actions. En particulier, ceci leur indique ce qu’ils doivent trouver bon, beau, vrai et juste de faire, de dire, de penser et de ressentir. Et là, nous traçons les contours de la notion de « modèle culturel », qui peut être défini comme un ensemble plus ou moins structuré de principes éthiques qui proposent aux membres d’une collectivité humaine le sens de leurs conduites et de leurs actions. Dans la société, les cultures sont liées aux rapports de domination : en effet, le gout, le « classe », le « trendy » ou le « stylé » est souvent défini par les dominantes, même quand c’est « pris », « piqué » diraient des plus jeunes, chez les dominés, avec ou sans adaptation. Lela dominée peut certes être impliquée et même être invitée à adopter les bons réflexes d’appréciation de la culture dominante, souvent bourgeoise. La médiation, telle qu’elle est envisagée et encore pratiquée largement et par beaucoup d’institutions se voit comme ayant pour mission de satisfaire les présupposés besoins de catégories de publics dits « publics fragilisés », « publics orphelins », « publics empêchés », appellations aussi « minorisantes » les unes que les autres ; bref des personnes provenant de groupes dominés. Vue comme cela, la définition se base sur deux implicites qui peuvent induire un type d’actions. Le premier implicite est de voir les personnes comme des publics en attente de réponses à des besoins, le plus souvent plutôt des « projections de besoins » ; partir sur une sociologie du manque est une erreur fondamentale dans la construction du rapport à l’Altérité. Le second implicite est de les voir comme « publics », certainement pas sujets-acteurs. Les deux implicites mis ensemble impliquent une vision pédagogique spécifique, plus proche de l’éducation bancaire que d’une vision d’émancipation qui les renforce comme acteurs producteurs de culture et de sens. Ainsi, un curieux exemple qui a le vent en poupe : les formations « parcours d’intégration » données aux personnes immigrées nouvellement arrivées, constituent un cas assez radical et désormais politiquement « assumé » : il y est parfois question de production artistique, mais rarement pour impliquer des personnes des groupes en question, sinon pour leur « apprendre » ce qui est beau, le sens de l’esthétique, « à la Belge ». Souvent, lorsqu’il est question d’intégration, c’est comme s’il s’agissait de faire rentrer un groupe dans le modèle culturel régnant, créations culturelles et artistiques comprises. Ce qui est également le cas avec d’autres groupes dominés [1]. Souvent, des institutions ou des administrations identifient des vraies « fractures », « exclusions » et « tensions » à dimensions sociales et elles tentent de résorber via des actions qui vont dans un sens de « rapprochement » - plus ou moins forcé – de publics dominés des pratiques, produits, grand-messes organisées par des établissements culturels. « Faire coller » est une vision dans le meilleur des cas paternaliste pour « éduquer à » (« éduquer à l’image » souvent entendu dans le sens de « éduquer à comprendre les codes symboliques dominants et des dominants quand ils font des images »). Le souci est que de telles démarches ne pourront jamais interroger les rapports de pouvoir, ni symboliques, ni culturels, ni sociaux, ni économiques. Au mieux, elles permettront à un.e transfuge de classe d’être la preuve vivante et l’alibi que « ça peut fonctionner » et entretenir ainsi les illusions d’une mobilité par le biais du culturel et de l’artistique. Cette force du récit « singulier » comme preuve est surutilisée dans le système néolibéral. Regardez ça a marché pour UtopiaWoman ! ce qui est sous-entendu, c’est surtout que si ça ne marche pas pour toi, c’est que tu devrais t’en prendre à toi-même. Le système de reproduction des inégalités a de l’avenir dans un tel système. C’est d’ailleurs à se demander si cet engouement de mouvements progressistes pour changer le récit n’est pas un énième piège culturel du système néolibéral dans lequel ils tombent ; en effet, il y avait déjà les explications sur la force du storytelling. Comme si changer le storytelling pouvant changer facilement le rapport de force. Ceci évite de questionner les dispositifs, empêche de se décentrer, oriente l’angle de vue vers autre chose. Ainsi, peu ou personne ne se posera la question importante du « pourquoi » : pourquoi doit-on obliger des publics à aller consommer des activités ? pourquoi veut-on uniformiser les goûts et les centres d’intérêt ? Pourquoi travaille-t-on à effacer les diversités possibles ?
Alors, que faire ? doit-on éviter toute médiation si elle risque d’uniformiser ? Non, certainement pas."Note de contenu : Sommaire
Edito (Chafik Allal) / Entre sexisme et précarité. La médiation culturelle comme pratique critique (J. Dehail) / Marronage culturel, ou comment investir les failles de l'institution (F. Makanga) / Impressions sur la nouvelle scénographie du musée de Tervuren (J.-C. Mullens) / Extrait de la BD Décris-Ravage (A. Rosenstein & Baladi) / Posture et engagement en contexte décolonial (O. Marboeuf, V. Pisano) / Le Musée Résonant (D. Mammana et M. von Oswald)En ligne : https://www.iteco.be/revue-antipodes/mediation-culturelle-et-artistique-218/ Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=116563
in Antipodes [périodique électronique] > 238 (Décembre 2023) . - p. 4-85[article] Médiation culturelle et artistique [texte imprimé] / Chafik Allal ; Judith Dehail ; François Makanga ; Jean-Claude Mullens ; Adeline Rosenstein ; Olivier Marboeuf ; Virginia Pisano ; Diana Mammana ; Margareta von Oswald . - 2023 . - p. 4-85.
Langues : Français (fre)
in Antipodes [périodique électronique] > 238 (Décembre 2023) . - p. 4-85
Mots-clés : Culture Diffusion de la culture Équipements culturels Sociologie de la culture Décolonisation Artistes Sexisme Exclusion sociale Art -- Aspect social Sexisme dans le milieu artistique Résumé : "La culture d’un groupe est un construit qui devient référent pour définir les normes, les valeurs, les croyances qui, à leur tour, construisent (de) la culture et produisent de nouvelles transformations culturelles en lien avec ce qui se passe comme (nouveaux) défis dans la société. Tout ceci permet aux individus composant les groupes d’avoir des clefs pour donner du sens à leurs actions. En particulier, ceci leur indique ce qu’ils doivent trouver bon, beau, vrai et juste de faire, de dire, de penser et de ressentir. Et là, nous traçons les contours de la notion de « modèle culturel », qui peut être défini comme un ensemble plus ou moins structuré de principes éthiques qui proposent aux membres d’une collectivité humaine le sens de leurs conduites et de leurs actions. Dans la société, les cultures sont liées aux rapports de domination : en effet, le gout, le « classe », le « trendy » ou le « stylé » est souvent défini par les dominantes, même quand c’est « pris », « piqué » diraient des plus jeunes, chez les dominés, avec ou sans adaptation. Lela dominée peut certes être impliquée et même être invitée à adopter les bons réflexes d’appréciation de la culture dominante, souvent bourgeoise. La médiation, telle qu’elle est envisagée et encore pratiquée largement et par beaucoup d’institutions se voit comme ayant pour mission de satisfaire les présupposés besoins de catégories de publics dits « publics fragilisés », « publics orphelins », « publics empêchés », appellations aussi « minorisantes » les unes que les autres ; bref des personnes provenant de groupes dominés. Vue comme cela, la définition se base sur deux implicites qui peuvent induire un type d’actions. Le premier implicite est de voir les personnes comme des publics en attente de réponses à des besoins, le plus souvent plutôt des « projections de besoins » ; partir sur une sociologie du manque est une erreur fondamentale dans la construction du rapport à l’Altérité. Le second implicite est de les voir comme « publics », certainement pas sujets-acteurs. Les deux implicites mis ensemble impliquent une vision pédagogique spécifique, plus proche de l’éducation bancaire que d’une vision d’émancipation qui les renforce comme acteurs producteurs de culture et de sens. Ainsi, un curieux exemple qui a le vent en poupe : les formations « parcours d’intégration » données aux personnes immigrées nouvellement arrivées, constituent un cas assez radical et désormais politiquement « assumé » : il y est parfois question de production artistique, mais rarement pour impliquer des personnes des groupes en question, sinon pour leur « apprendre » ce qui est beau, le sens de l’esthétique, « à la Belge ». Souvent, lorsqu’il est question d’intégration, c’est comme s’il s’agissait de faire rentrer un groupe dans le modèle culturel régnant, créations culturelles et artistiques comprises. Ce qui est également le cas avec d’autres groupes dominés [1]. Souvent, des institutions ou des administrations identifient des vraies « fractures », « exclusions » et « tensions » à dimensions sociales et elles tentent de résorber via des actions qui vont dans un sens de « rapprochement » - plus ou moins forcé – de publics dominés des pratiques, produits, grand-messes organisées par des établissements culturels. « Faire coller » est une vision dans le meilleur des cas paternaliste pour « éduquer à » (« éduquer à l’image » souvent entendu dans le sens de « éduquer à comprendre les codes symboliques dominants et des dominants quand ils font des images »). Le souci est que de telles démarches ne pourront jamais interroger les rapports de pouvoir, ni symboliques, ni culturels, ni sociaux, ni économiques. Au mieux, elles permettront à un.e transfuge de classe d’être la preuve vivante et l’alibi que « ça peut fonctionner » et entretenir ainsi les illusions d’une mobilité par le biais du culturel et de l’artistique. Cette force du récit « singulier » comme preuve est surutilisée dans le système néolibéral. Regardez ça a marché pour UtopiaWoman ! ce qui est sous-entendu, c’est surtout que si ça ne marche pas pour toi, c’est que tu devrais t’en prendre à toi-même. Le système de reproduction des inégalités a de l’avenir dans un tel système. C’est d’ailleurs à se demander si cet engouement de mouvements progressistes pour changer le récit n’est pas un énième piège culturel du système néolibéral dans lequel ils tombent ; en effet, il y avait déjà les explications sur la force du storytelling. Comme si changer le storytelling pouvant changer facilement le rapport de force. Ceci évite de questionner les dispositifs, empêche de se décentrer, oriente l’angle de vue vers autre chose. Ainsi, peu ou personne ne se posera la question importante du « pourquoi » : pourquoi doit-on obliger des publics à aller consommer des activités ? pourquoi veut-on uniformiser les goûts et les centres d’intérêt ? Pourquoi travaille-t-on à effacer les diversités possibles ?
Alors, que faire ? doit-on éviter toute médiation si elle risque d’uniformiser ? Non, certainement pas."Note de contenu : Sommaire
Edito (Chafik Allal) / Entre sexisme et précarité. La médiation culturelle comme pratique critique (J. Dehail) / Marronage culturel, ou comment investir les failles de l'institution (F. Makanga) / Impressions sur la nouvelle scénographie du musée de Tervuren (J.-C. Mullens) / Extrait de la BD Décris-Ravage (A. Rosenstein & Baladi) / Posture et engagement en contexte décolonial (O. Marboeuf, V. Pisano) / Le Musée Résonant (D. Mammana et M. von Oswald)En ligne : https://www.iteco.be/revue-antipodes/mediation-culturelle-et-artistique-218/ Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=116563 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Transformer les images du futur en récit / Melat Gebeyaw Nigussie in Le journal de Culture & Démocratie [Périodique électronique], 55 (Novembre 2022)
[article]
Titre : Transformer les images du futur en récit Type de document : texte imprimé Auteurs : Melat Gebeyaw Nigussie, Personne interviewée ; Hélène Hiessler, Intervieweur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 42-45 Note générale : Issu du dossier "Récit" Langues : Français (fre) Mots-clés : Diffusion de la culture Centres culturels Culture Diversité culturelle Équipements culturels Sociologie de la culture Démocratisation de la culture Spectacles et divertissements Résumé : "Nourrir les imaginaires est au cœur du travail du secteur culturel et de ses acteurs et actrices. Pour Melat Gebeyaw Nigussie, directrice générale et artistique du Beursschouwburg à Bruxelles, une organisation culturelle doit être un catalyseur de changement. Les idées ne manquent pas pour imaginer des futurs vivables, affirme-t-elle, mais en les rassemblant au sein d’un même lieu, et avec le travail narratif d’une équipe de programmation, se fait l’esquisse d’un récit, d’une histoire cohérente, un devenir potentiel. Et c’est là le pouvoir des institutions culturelles : appuyer et légitimer d’autres récits, et ainsi leur donner une meilleure chance de se réaliser." En ligne : https://www.cultureetdemocratie.be/uploads/2022/10/Journal-55.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109446
in Le journal de Culture & Démocratie [Périodique électronique] > 55 (Novembre 2022) . - p. 42-45[article] Transformer les images du futur en récit [texte imprimé] / Melat Gebeyaw Nigussie, Personne interviewée ; Hélène Hiessler, Intervieweur . - 2022 . - p. 42-45.
Issu du dossier "Récit"
Langues : Français (fre)
in Le journal de Culture & Démocratie [Périodique électronique] > 55 (Novembre 2022) . - p. 42-45
Mots-clés : Diffusion de la culture Centres culturels Culture Diversité culturelle Équipements culturels Sociologie de la culture Démocratisation de la culture Spectacles et divertissements Résumé : "Nourrir les imaginaires est au cœur du travail du secteur culturel et de ses acteurs et actrices. Pour Melat Gebeyaw Nigussie, directrice générale et artistique du Beursschouwburg à Bruxelles, une organisation culturelle doit être un catalyseur de changement. Les idées ne manquent pas pour imaginer des futurs vivables, affirme-t-elle, mais en les rassemblant au sein d’un même lieu, et avec le travail narratif d’une équipe de programmation, se fait l’esquisse d’un récit, d’une histoire cohérente, un devenir potentiel. Et c’est là le pouvoir des institutions culturelles : appuyer et légitimer d’autres récits, et ainsi leur donner une meilleure chance de se réaliser." En ligne : https://www.cultureetdemocratie.be/uploads/2022/10/Journal-55.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=109446 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire De l’utilisation des images dans le milieu culturel et associatif / Valentine Bonomo in Agir par la culture, 71 (Eté 2023)
[article]
Titre : De l’utilisation des images dans le milieu culturel et associatif Type de document : texte imprimé Auteurs : Valentine Bonomo ; July Robert Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 24-27 Note générale : Issu du dossier "Quelle(s) image(s) on donne ?" Langues : Français (fre) Mots-clés : Associations Communication Publicité Communication en politique Diffusion de la culture Équipements culturels Sociologie de la culture Résumé : "Si la publicité est souvent sur les radars, critiquée pour sa tendance à façonner nos imaginaires, à reproduire des stéréotypes et des rapports de domination ou pour tenter de les déconstruire de manière souvent grossière, on s’attarde moins souvent sur les choix des structures culturelles et associatives qui pourtant nous abreuvent quotidiennement d’images. Elles qui, dans leurs pratiques, ont souvent à cœur de transformer, en tout cas d’interroger nos imaginaires et les rapports sociaux dont ceux-ci sont issus et qu’ils contribuent à construire. Production d’images propres, récupération d’image dans des bases de données dédiées, détournement ou réutilisation d’images libres de droits, création graphique et/ou typographique… Quelques pistes de réflexion pour une éthique de la communication visuelle dans le monde du non-marchand. " En ligne : https://www.agirparlaculture.be/wp-content/uploads/2023/06/apc_71_BR.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=112142
in Agir par la culture > 71 (Eté 2023) . - p. 24-27[article] De l’utilisation des images dans le milieu culturel et associatif [texte imprimé] / Valentine Bonomo ; July Robert . - 2023 . - p. 24-27.
Issu du dossier "Quelle(s) image(s) on donne ?"
Langues : Français (fre)
in Agir par la culture > 71 (Eté 2023) . - p. 24-27
Mots-clés : Associations Communication Publicité Communication en politique Diffusion de la culture Équipements culturels Sociologie de la culture Résumé : "Si la publicité est souvent sur les radars, critiquée pour sa tendance à façonner nos imaginaires, à reproduire des stéréotypes et des rapports de domination ou pour tenter de les déconstruire de manière souvent grossière, on s’attarde moins souvent sur les choix des structures culturelles et associatives qui pourtant nous abreuvent quotidiennement d’images. Elles qui, dans leurs pratiques, ont souvent à cœur de transformer, en tout cas d’interroger nos imaginaires et les rapports sociaux dont ceux-ci sont issus et qu’ils contribuent à construire. Production d’images propres, récupération d’image dans des bases de données dédiées, détournement ou réutilisation d’images libres de droits, création graphique et/ou typographique… Quelques pistes de réflexion pour une éthique de la communication visuelle dans le monde du non-marchand. " En ligne : https://www.agirparlaculture.be/wp-content/uploads/2023/06/apc_71_BR.pdf Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=112142 Réservation
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