Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Ajouter le résultat dans votre panierKinésithérapie spécialisée en cas de maladie de Parkinson / G. Van Acker in Minerva [périodique éléctronique], Vol. 17, n° 10 (Décembre 2018)
[article]
Titre : Kinésithérapie spécialisée en cas de maladie de Parkinson Type de document : document électronique Auteurs : G. Van Acker ; C. Redant ; L. Vanden Bossche Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 124-127 Langues : Français (fre) Mots-clés : Kinésithérapie (spécialité) Maladie de Parkinson Coûts indirects de la maladie Mortalité Complications Résumé : Population étudiée
critères d’inclusion : patients atteints de la maladie de Parkinson pour laquelle ils ont été traités par un kinésithérapeute pendant au moins une des trois années d’observation (entre 2013 et 2015)
critères d’exclusion : patients qui, entre 2013 et 2015, sont décédés (n = 339) ou ont changé d’assurance-maladie (n = 443)
analyse finale des données de 4381 patients, dont approximativement 40% de femmes, et dont l’âge moyen est de 73 ans environ.
Protocole de l’étude
Étude d’observation rétrospective
analyse rétrospective d’une banque de données des déclarations de soins d’une assurance-maladie néerlandaise (Groupe CZ)
répartition des patients en deux groupes en fonction du type de kinésithérapie pour laquelle le patient et le médecin avaient eux-mêmes opté :
un groupe de patients qui suivaient une kinésithérapie spécialisée (n = 2129) effectuée par un kinésithérapeute formé sur la maladie de Parkinson dans le cadre du réseau ParkinsonNet
un groupe de patients qui suivaient une kinésithérapie classique (n = 2252) effectuée par un kinésithérapeute non formé sur la maladie de Parkinson.
Mesure des résultats
critère de jugement principal : différence entre les deux groupes quant au pourcentage de patients avec une complication de la maladie de Parkinson, que ce soit une visite à l’hôpital ou une orientation vers l’hôpital pour une fracture, pour une autre lésion orthopédique ou pour une pneumonie
critères de jugement secondaires : différence entre les deux groupes quant au nombre de patients par kinésithérapeute, au nombre de séances de kinésithérapie par patient, aux coûts pour la kinésithérapie, au total des coûts des soins liés à la maladie de Parkinson (y compris les dépenses d’hospitalisation) et quant à la mortalité
analyse selon un modèle mixte
correction pour tenir compte des différences dans les caractéristiques initiales : âge, sexe, statut socio-économique, indicateurs de l’état de santé (nombre de visites chez le neurologue, nombre de médicaments pour la maladie de Parkinson, prise d’antidépresseurs, recours à un soutien psychologique, nombre de soignants différents).
Résultats
critère de jugement principal : plus faible probabilité de survenue d’une complication de la maladie de Parkinson, et ce de manière statistiquement significative, dans le groupe des patients traités par un kinésithérapeute spécialisé (n = 368 (17%)) que dans le groupe des patients traités par un kinésithérapeute qui n’était pas spécialisé (n = 480 (21%) ; rapport de cotes (RC) 0,67 avec IC à 95% de 0,56 à 0,81 ; p < 0,0001)
critères de jugement secondaires :
les kinésithérapeutes spécialisés ont traité plus de patients par an que les kinésithérapeutes non spécialisés, la différence est statistiquement significative (moyenne 3,89 (ET 3,91) vs 1,48 (ET 1,24) ; p < 0,0001)
les patients traités par les kinésithérapeutes spécialisés ont eu besoin de moins de séances de kinésithérapie par an que les patients traités par les kinésithérapeutes qui n’étaient pas spécialisés, la différence est statistiquement significative (moyenne 33,72 (ET 26,70) vs 47,97 (ET 32,11) ; p < 0,0001)
les dépenses annuelles pour la kinésithérapie et pour le total des soins de santé étaient plus faibles, de manière statistiquement significative, pour les patients qui étaient traités par un kinésithérapeute spécialisé
aucune différence statistiquement significative entre les deux groupes de patients quant à la mortalité.
Conclusion des auteurs
Les auteurs concluent que les résultats de cette étude confirment ceux des études contrôlées. Ces résultats montrent que l’offre de kinésithérapie spécialisée par le biais du réseau ParkinsonNet est associée à moins de complications de la maladie de Parkinson ainsi qu’à des coûts moins élevés en pratique quotidienne. Les neurologues peuvent faciliter la kinésithérapie spécialisée en adressant les patients spécifiquement à ces experts.
Financement de l’étude
Aucun financement mentionné.
Conflits d’intérêts des auteurs
Les auteurs déclarent ne pas avoir de conflits d’intérêts.
En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2176 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86430
in Minerva [périodique éléctronique] > Vol. 17, n° 10 (Décembre 2018) . - p. 124-127[article] Kinésithérapie spécialisée en cas de maladie de Parkinson [document électronique] / G. Van Acker ; C. Redant ; L. Vanden Bossche . - 2018 . - p. 124-127.
Langues : Français (fre)
in Minerva [périodique éléctronique] > Vol. 17, n° 10 (Décembre 2018) . - p. 124-127
Mots-clés : Kinésithérapie (spécialité) Maladie de Parkinson Coûts indirects de la maladie Mortalité Complications Résumé : Population étudiée
critères d’inclusion : patients atteints de la maladie de Parkinson pour laquelle ils ont été traités par un kinésithérapeute pendant au moins une des trois années d’observation (entre 2013 et 2015)
critères d’exclusion : patients qui, entre 2013 et 2015, sont décédés (n = 339) ou ont changé d’assurance-maladie (n = 443)
analyse finale des données de 4381 patients, dont approximativement 40% de femmes, et dont l’âge moyen est de 73 ans environ.
Protocole de l’étude
Étude d’observation rétrospective
analyse rétrospective d’une banque de données des déclarations de soins d’une assurance-maladie néerlandaise (Groupe CZ)
répartition des patients en deux groupes en fonction du type de kinésithérapie pour laquelle le patient et le médecin avaient eux-mêmes opté :
un groupe de patients qui suivaient une kinésithérapie spécialisée (n = 2129) effectuée par un kinésithérapeute formé sur la maladie de Parkinson dans le cadre du réseau ParkinsonNet
un groupe de patients qui suivaient une kinésithérapie classique (n = 2252) effectuée par un kinésithérapeute non formé sur la maladie de Parkinson.
Mesure des résultats
critère de jugement principal : différence entre les deux groupes quant au pourcentage de patients avec une complication de la maladie de Parkinson, que ce soit une visite à l’hôpital ou une orientation vers l’hôpital pour une fracture, pour une autre lésion orthopédique ou pour une pneumonie
critères de jugement secondaires : différence entre les deux groupes quant au nombre de patients par kinésithérapeute, au nombre de séances de kinésithérapie par patient, aux coûts pour la kinésithérapie, au total des coûts des soins liés à la maladie de Parkinson (y compris les dépenses d’hospitalisation) et quant à la mortalité
analyse selon un modèle mixte
correction pour tenir compte des différences dans les caractéristiques initiales : âge, sexe, statut socio-économique, indicateurs de l’état de santé (nombre de visites chez le neurologue, nombre de médicaments pour la maladie de Parkinson, prise d’antidépresseurs, recours à un soutien psychologique, nombre de soignants différents).
Résultats
critère de jugement principal : plus faible probabilité de survenue d’une complication de la maladie de Parkinson, et ce de manière statistiquement significative, dans le groupe des patients traités par un kinésithérapeute spécialisé (n = 368 (17%)) que dans le groupe des patients traités par un kinésithérapeute qui n’était pas spécialisé (n = 480 (21%) ; rapport de cotes (RC) 0,67 avec IC à 95% de 0,56 à 0,81 ; p < 0,0001)
critères de jugement secondaires :
les kinésithérapeutes spécialisés ont traité plus de patients par an que les kinésithérapeutes non spécialisés, la différence est statistiquement significative (moyenne 3,89 (ET 3,91) vs 1,48 (ET 1,24) ; p < 0,0001)
les patients traités par les kinésithérapeutes spécialisés ont eu besoin de moins de séances de kinésithérapie par an que les patients traités par les kinésithérapeutes qui n’étaient pas spécialisés, la différence est statistiquement significative (moyenne 33,72 (ET 26,70) vs 47,97 (ET 32,11) ; p < 0,0001)
les dépenses annuelles pour la kinésithérapie et pour le total des soins de santé étaient plus faibles, de manière statistiquement significative, pour les patients qui étaient traités par un kinésithérapeute spécialisé
aucune différence statistiquement significative entre les deux groupes de patients quant à la mortalité.
Conclusion des auteurs
Les auteurs concluent que les résultats de cette étude confirment ceux des études contrôlées. Ces résultats montrent que l’offre de kinésithérapie spécialisée par le biais du réseau ParkinsonNet est associée à moins de complications de la maladie de Parkinson ainsi qu’à des coûts moins élevés en pratique quotidienne. Les neurologues peuvent faciliter la kinésithérapie spécialisée en adressant les patients spécifiquement à ces experts.
Financement de l’étude
Aucun financement mentionné.
Conflits d’intérêts des auteurs
Les auteurs déclarent ne pas avoir de conflits d’intérêts.
En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2176 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86430 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Retrouver le bon sens / J. De Lepeleire in Minerva [périodique éléctronique], Vol. 17, n° 10 (Décembre 2018)
[article]
Titre : Retrouver le bon sens Type de document : document électronique Auteurs : J. De Lepeleire Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 128-131 Langues : Français (fre) Mots-clés : Interdisciplinarité Relations interprofessionnelles Comportement Maisons de repos Qualité des soins de santé Relations médecin-patient Résumé : Population étudiée
inclusion de 18 structures d’hébergement et de soins avec moins de 40 à plus de 200 résidents dans 4 régions d’Allemagne ; inclusion de résidents âgés de plus de 65 ans qui séjournaient dans l’établissement depuis au moins 3 mois
exclusion des résidents présentant de sévères limitations cognitives ou physiques.
Conception de l’étude
première étape : entretiens guidés ouverts en face à face avec 30 médecins généralistes, 18 membres du personnel infirmier, 25 résidents de maisons de repos et 27 membres des familles ; réalisés par une équipe de recherche interprofessionnelle ; complétés avec des observations faites à l’occasion de 5 visites effectuées par des médecins généralistes ; conçus et analysés suivant la grounded theory (encore appelée théorie enracinée, théorie ancrée ou théorie de la base)
deuxième étape : 3 focus groupes totalisant 34 médecins généralistes et 34 membres du personnel infirmier ont discuté de propositions pour améliorer la collaboration et la communication ; les discussions ont été analysées au moyen d’une cartographie mentale (mind mapping)
troisième étape : au cours d’un atelier multidisciplinaire d’une durée d’une journée, les résultats des focus groupes ont servi de base à une discussion sur des dispositions visant l’amélioration de la collaboration et de la communication, et des stratégies pour le recrutement et la mise en œuvre ont été développées ; analyse au moyen d’une cartographie mentale (mind mapping)
quatrième étape : l’équipe de recherche interprofessionnelle a sélectionné les dispositions à appliquer
cinquième étape : la faisabilité des dispositions sélectionnées a été examinée chez les médecins généralistes et le personnel infirmier dans 4 structures d’hébergement et de soins.
Résultats
6 dispositions qui, à court terme (3 mois), pouvaient avoir une influence positive sur la collaboration et la communication interprofessionnelles ont été sélectionnées lors de la quatrième étape :
des réunions de concertation avec le médecin généraliste, un membre du personnel infirmier, le résident et éventuellement un membre de la famille pour déterminer des objectifs communs à long terme ayant trait à la mobilité, l’alimentation, l’intégration sociale et des thèmes médicaux individuels
une personne de contact centrale dans la structure d’hébergement et de soins (membre du personnel infirmier qui est tenu au courant de la situation de tous les résidents) et une dans la pratique de médecine générale (assistant qui établit les priorités parmi les questions de la structures d’hébergement et de soins en fonction de l’importance et de l’urgence) qui communiquent l’une avec l’autre en colloque singulier ou par téléphone
un document standardisé dans le dossier infirmier indiquant les médicaments que le résident est autorisé à recevoir au besoin (ordre permanent) et les paramètres à examiner avant d’appeler le médecin
l’utilisation de badges nominatifs pour le membre du personnel infirmier et le médecin généraliste qui sont les personnes de contact centrales
une plus grande facilité à contacter, par téléphone ou par fax, l’infirmière de contact centrale et à contacter le médecin généraliste éventuellement aussi au moyen d’un numéro de GSM
un planning harmonisé et des procédures harmonisées pour les visites à la maison de repos : le médecin généraliste annonce sa visite deux jours à l’avance, ce qui permet à l’infirmière de contact centrale d’établir suffisamment à l’avance les priorités parmi les questions des résidents et du personnel infirmier ; lorsqu’il arrive, le médecin généraliste contacte l’infirmière de contact centrale, et tous deux passent en revue les questions et vont voir les résidents ; après la visite, le médecin généraliste remplit le dossier infirmier et informe l’infirmière de contact centrale
dans la cinquième étape, les médecins généralistes et les membres du personnel infirmier ont signalé que l’expérience était positive après l’application de ces dispositions (facilité d’application, bien acceptées, nette amélioration de la communication et de la collaboration), sauf avec la mesure « une seule personne de contact centrale ».
Conclusion des auteurs
Les auteurs de cette étude qualitative ont pu, à partir de la perspective des acteurs dans 18 structures d’hébergement et de soins, développer six mesures susceptibles d’améliorer la collaboration et la communication. Cinq mesures ont été jugées positives dans une étude pilote exploratoire. Elles pourraient être facilement mises en œuvre dans la pratique quotidienne d’autres structures d’hébergement et de soins. L’impact de ces mesures sur les critères de jugement orientés sur les patients devrait encore faire l’objet d’une étude plus approfondie.
Financement de l’étude
Ministère fédéral allemand de l’éducation et de la recherche (FK 01GY1124)
Conflits d’intérêts des auteurs
Les auteurs déclarent qu’il n’y aucun conflit d’intérêts.En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2177 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86503
in Minerva [périodique éléctronique] > Vol. 17, n° 10 (Décembre 2018) . - p. 128-131[article] Retrouver le bon sens [document électronique] / J. De Lepeleire . - 2018 . - p. 128-131.
Langues : Français (fre)
in Minerva [périodique éléctronique] > Vol. 17, n° 10 (Décembre 2018) . - p. 128-131
Mots-clés : Interdisciplinarité Relations interprofessionnelles Comportement Maisons de repos Qualité des soins de santé Relations médecin-patient Résumé : Population étudiée
inclusion de 18 structures d’hébergement et de soins avec moins de 40 à plus de 200 résidents dans 4 régions d’Allemagne ; inclusion de résidents âgés de plus de 65 ans qui séjournaient dans l’établissement depuis au moins 3 mois
exclusion des résidents présentant de sévères limitations cognitives ou physiques.
Conception de l’étude
première étape : entretiens guidés ouverts en face à face avec 30 médecins généralistes, 18 membres du personnel infirmier, 25 résidents de maisons de repos et 27 membres des familles ; réalisés par une équipe de recherche interprofessionnelle ; complétés avec des observations faites à l’occasion de 5 visites effectuées par des médecins généralistes ; conçus et analysés suivant la grounded theory (encore appelée théorie enracinée, théorie ancrée ou théorie de la base)
deuxième étape : 3 focus groupes totalisant 34 médecins généralistes et 34 membres du personnel infirmier ont discuté de propositions pour améliorer la collaboration et la communication ; les discussions ont été analysées au moyen d’une cartographie mentale (mind mapping)
troisième étape : au cours d’un atelier multidisciplinaire d’une durée d’une journée, les résultats des focus groupes ont servi de base à une discussion sur des dispositions visant l’amélioration de la collaboration et de la communication, et des stratégies pour le recrutement et la mise en œuvre ont été développées ; analyse au moyen d’une cartographie mentale (mind mapping)
quatrième étape : l’équipe de recherche interprofessionnelle a sélectionné les dispositions à appliquer
cinquième étape : la faisabilité des dispositions sélectionnées a été examinée chez les médecins généralistes et le personnel infirmier dans 4 structures d’hébergement et de soins.
Résultats
6 dispositions qui, à court terme (3 mois), pouvaient avoir une influence positive sur la collaboration et la communication interprofessionnelles ont été sélectionnées lors de la quatrième étape :
des réunions de concertation avec le médecin généraliste, un membre du personnel infirmier, le résident et éventuellement un membre de la famille pour déterminer des objectifs communs à long terme ayant trait à la mobilité, l’alimentation, l’intégration sociale et des thèmes médicaux individuels
une personne de contact centrale dans la structure d’hébergement et de soins (membre du personnel infirmier qui est tenu au courant de la situation de tous les résidents) et une dans la pratique de médecine générale (assistant qui établit les priorités parmi les questions de la structures d’hébergement et de soins en fonction de l’importance et de l’urgence) qui communiquent l’une avec l’autre en colloque singulier ou par téléphone
un document standardisé dans le dossier infirmier indiquant les médicaments que le résident est autorisé à recevoir au besoin (ordre permanent) et les paramètres à examiner avant d’appeler le médecin
l’utilisation de badges nominatifs pour le membre du personnel infirmier et le médecin généraliste qui sont les personnes de contact centrales
une plus grande facilité à contacter, par téléphone ou par fax, l’infirmière de contact centrale et à contacter le médecin généraliste éventuellement aussi au moyen d’un numéro de GSM
un planning harmonisé et des procédures harmonisées pour les visites à la maison de repos : le médecin généraliste annonce sa visite deux jours à l’avance, ce qui permet à l’infirmière de contact centrale d’établir suffisamment à l’avance les priorités parmi les questions des résidents et du personnel infirmier ; lorsqu’il arrive, le médecin généraliste contacte l’infirmière de contact centrale, et tous deux passent en revue les questions et vont voir les résidents ; après la visite, le médecin généraliste remplit le dossier infirmier et informe l’infirmière de contact centrale
dans la cinquième étape, les médecins généralistes et les membres du personnel infirmier ont signalé que l’expérience était positive après l’application de ces dispositions (facilité d’application, bien acceptées, nette amélioration de la communication et de la collaboration), sauf avec la mesure « une seule personne de contact centrale ».
Conclusion des auteurs
Les auteurs de cette étude qualitative ont pu, à partir de la perspective des acteurs dans 18 structures d’hébergement et de soins, développer six mesures susceptibles d’améliorer la collaboration et la communication. Cinq mesures ont été jugées positives dans une étude pilote exploratoire. Elles pourraient être facilement mises en œuvre dans la pratique quotidienne d’autres structures d’hébergement et de soins. L’impact de ces mesures sur les critères de jugement orientés sur les patients devrait encore faire l’objet d’une étude plus approfondie.
Financement de l’étude
Ministère fédéral allemand de l’éducation et de la recherche (FK 01GY1124)
Conflits d’intérêts des auteurs
Les auteurs déclarent qu’il n’y aucun conflit d’intérêts.En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2177 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86503 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire