Centre de Documentation Campus Montignies
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Mercredi 9h-16h30
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Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Journal de traumatologie du sport . Vol. 34, n°3Mention de date : Septembre 2017 Paru le : 01/09/2017 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierÉvaluation des tests présaison (Standardized Assessment of Concussion et Modified Balance Error Scoring System) à 48heures après commotion. À propos de 65 Rugbymen professionnels / F. Marty in Journal de traumatologie du sport, Vol. 34, n°3 (Septembre 2017)
[article]
Titre : Évaluation des tests présaison (Standardized Assessment of Concussion et Modified Balance Error Scoring System) à 48heures après commotion. À propos de 65 Rugbymen professionnels Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Marty ; A. Radafy ; A. Fantou Année de publication : 2017 Article en page(s) : pp. 155-160 Langues : Français (fre) Mots-clés : Commotion de l'encéphale M-BESS Rugby Syndrome post-commotionnel Résumé : Introduction
Dans le rugby professionnel, un protocole standardisé de prise en charge des commotions cérébrales a été établi, comprenant notamment des tests de présaison, une consultation à 48–72heures puis au retour au jeu. En présaison et à 48–72heures, une évaluation cognitive et de l’équilibre est réalisée.
Objectif
L’objectif de notre étude a été d’établir si les tests « SAC » et le « M-BESS » étaient suffisamment sensibles à 48–72heures après commotion et s’ils pouvaient aider le spécialiste à établir un pronostic.
Méthode
Nous avons réalisé au sein de clubs professionnels les tests de présaison, dont le M-BESS et SAC. Les joueurs commotionnés réalisaient à nouveau ces tests 48–72heures après l’évènement. Soixante-cinq joueurs professionnels ont été suivis jusqu’à disparition du syndrome post-commotionnel et au retour au jeu. La durée du syndrome post-commotionnel et le délai de retour au jeu ont été relevés. Nous avons comparé les résultats de chaque joueur en présaison et à 48–72heures, puis analysé si la différence entre les tests initiaux et ceux à 48–72heures était corrélée avec la durée du syndrome post-commotionnel ou le délai de retour au jeu.
Résultats
Aucune différence significative entre les scores obtenus en présaison et ceux à 48–72h à chacun des deux tests (T de Student). La différence de performance à la SAC n’est pas corrélée à la durée du SPC (p =0,051, corrélation de Pearson) ni avec le délai de retour au jeu (p =0,40). La différence de performance au M-BESS est corrélée avec la durée du SPC (p =0,009**, corrélation de −0,3) mais pas avec le délai de retour au jeu (p =0,14).
Conclusion
Sur notre population, les tests SAC et M-BESS ne permettent pas d’identifier les sujets à risque de syndrome post-commotionnel prolongé et donc d’aider le spécialiste à définir le délai du retour au jeu.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=50145
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 34, n°3 (Septembre 2017) . - pp. 155-160[article] Évaluation des tests présaison (Standardized Assessment of Concussion et Modified Balance Error Scoring System) à 48heures après commotion. À propos de 65 Rugbymen professionnels [texte imprimé] / F. Marty ; A. Radafy ; A. Fantou . - 2017 . - pp. 155-160.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 34, n°3 (Septembre 2017) . - pp. 155-160
Mots-clés : Commotion de l'encéphale M-BESS Rugby Syndrome post-commotionnel Résumé : Introduction
Dans le rugby professionnel, un protocole standardisé de prise en charge des commotions cérébrales a été établi, comprenant notamment des tests de présaison, une consultation à 48–72heures puis au retour au jeu. En présaison et à 48–72heures, une évaluation cognitive et de l’équilibre est réalisée.
Objectif
L’objectif de notre étude a été d’établir si les tests « SAC » et le « M-BESS » étaient suffisamment sensibles à 48–72heures après commotion et s’ils pouvaient aider le spécialiste à établir un pronostic.
Méthode
Nous avons réalisé au sein de clubs professionnels les tests de présaison, dont le M-BESS et SAC. Les joueurs commotionnés réalisaient à nouveau ces tests 48–72heures après l’évènement. Soixante-cinq joueurs professionnels ont été suivis jusqu’à disparition du syndrome post-commotionnel et au retour au jeu. La durée du syndrome post-commotionnel et le délai de retour au jeu ont été relevés. Nous avons comparé les résultats de chaque joueur en présaison et à 48–72heures, puis analysé si la différence entre les tests initiaux et ceux à 48–72heures était corrélée avec la durée du syndrome post-commotionnel ou le délai de retour au jeu.
Résultats
Aucune différence significative entre les scores obtenus en présaison et ceux à 48–72h à chacun des deux tests (T de Student). La différence de performance à la SAC n’est pas corrélée à la durée du SPC (p =0,051, corrélation de Pearson) ni avec le délai de retour au jeu (p =0,40). La différence de performance au M-BESS est corrélée avec la durée du SPC (p =0,009**, corrélation de −0,3) mais pas avec le délai de retour au jeu (p =0,14).
Conclusion
Sur notre population, les tests SAC et M-BESS ne permettent pas d’identifier les sujets à risque de syndrome post-commotionnel prolongé et donc d’aider le spécialiste à définir le délai du retour au jeu.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=50145 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtAnalyse vidéo et traumatismes en compétition de judo de haut niveau : étude pilote / R. Rousseau in Journal de traumatologie du sport, Vol. 34, n°3 (Septembre 2017)
[article]
Titre : Analyse vidéo et traumatismes en compétition de judo de haut niveau : étude pilote Type de document : texte imprimé Auteurs : R. Rousseau ; A. Frey ; L. Chiquet Année de publication : 2017 Article en page(s) : pp. 161-167 Langues : Français (fre) Mots-clés : Judo Épidémiologie Traumatismes sportifs Vidéo Résumé : Le judo est un sport de combat présentant des risques inhérents de blessures. Bien que ce sport soit pratiqué à l’échelle mondiale, peu d’études permettent de recenser précisément les blessures en compétition de haut niveau. Le but de cette étude était de recenser et d’analyser par vidéo les traumatismes survenus lors des compétitions élite nationales sur 2 saisons. Il s’agissait d’une étude prospective observationnelle. Un bilan diagnostique précis était réalisé et chacune des blessures étaient analysées par un groupe de travail regroupant médecins traumatologues, chirurgiens orthopédistes, responsables techniques nationaux et techniciens vidéo. Les données démographiques usuelles étaient recueillies ainsi que la catégorie de poids, le stade de la compétition, la nécessité ou non d’évacuation ainsi que le diagnostic lésionnel précis par examen systématique de l’athlète à 6 semaines. La durée d’arrêt d’activité était évaluée. L’analyse vidéo déterminait le temps de combat écoulé, la position du judoka en attaque ou en défense, le type de technique réalisé, le mécanisme lésionnel et, s’il existait, une faute technique ou une mauvaise appréciation d’arbitrage ayant conduit à la blessure. Trois mille trente quatre combats ont été analysés impliquant 2458 combattants (1189 femmes et 1269 hommes) ; 66 traumatismes ont été identifiés (2,2 % des combats). Il n’existait pas de différence statistiquement significative en termes d’âge, de sexe, de catégories de poids, de nombre de combats et du temps écoulé avant la survenue d’un traumatisme. Une évacuation a été nécessaire dans 10,6 % des cas. Les principaux traumatismes retrouvés ont été les ruptures du ligament croisé antérieur (19,7 %), les contusions articulaires (13,6 %) et les disjonctions acromioclaviculaires (10,6 %). L’arrêt d’activité a été de plus de 6 semaines dans 40,9 % des cas. Dans 83,3 % des cas, la blessure est survenue sur un combattant en défense. Une erreur technique était à l’origine du traumatisme dans 18,2 % des cas et s’est toujours produite en 2e partie de combat. La rupture du ligament croisé antérieur a toujours eu lieu chez un combattant en situation de défense. Dans 85 % des cas, il n’existait pas de fautes techniques. Le mécanisme lésionnel le plus fréquent était en valgus-flexion-rotation latérale (77 %) sur des techniques de projection sur l’arrière, pied bloqué au sol. L’arrêt d’activité a toujours dépassé les 6 semaines. La disjonction acromioclaviculaire est, elle aussi, survenue majoritairement chez un combattant en défense. Le mécanisme lésionnel était une chute sur le moignon de l’épaule ou sur le coude lors d’une projection vers l’avant. Dans tous les cas, il existait une erreur technique lors de la chute. L’arrêt d’activité a été de 3 et 6 semaines dans 57 % des cas et de plus de 6 semaines dans 43 % des cas. L’analyse de la vidéo a permis d’obtenir des données précises sur le mécanisme et les situations à risque de traumatisme. La rupture du ligament croisé antérieur semble être la pathologie la plus problématique en termes de fréquence, de durée d’arrêt d’activité et de gravité. Ces résultats préliminaires nécessitent d’être développés à plus grande échelle en ciblant les pathologies recensées pour proposer des mesures de prévention efficaces permettant de diminuer les situations à risque. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=50146
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 34, n°3 (Septembre 2017) . - pp. 161-167[article] Analyse vidéo et traumatismes en compétition de judo de haut niveau : étude pilote [texte imprimé] / R. Rousseau ; A. Frey ; L. Chiquet . - 2017 . - pp. 161-167.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 34, n°3 (Septembre 2017) . - pp. 161-167
Mots-clés : Judo Épidémiologie Traumatismes sportifs Vidéo Résumé : Le judo est un sport de combat présentant des risques inhérents de blessures. Bien que ce sport soit pratiqué à l’échelle mondiale, peu d’études permettent de recenser précisément les blessures en compétition de haut niveau. Le but de cette étude était de recenser et d’analyser par vidéo les traumatismes survenus lors des compétitions élite nationales sur 2 saisons. Il s’agissait d’une étude prospective observationnelle. Un bilan diagnostique précis était réalisé et chacune des blessures étaient analysées par un groupe de travail regroupant médecins traumatologues, chirurgiens orthopédistes, responsables techniques nationaux et techniciens vidéo. Les données démographiques usuelles étaient recueillies ainsi que la catégorie de poids, le stade de la compétition, la nécessité ou non d’évacuation ainsi que le diagnostic lésionnel précis par examen systématique de l’athlète à 6 semaines. La durée d’arrêt d’activité était évaluée. L’analyse vidéo déterminait le temps de combat écoulé, la position du judoka en attaque ou en défense, le type de technique réalisé, le mécanisme lésionnel et, s’il existait, une faute technique ou une mauvaise appréciation d’arbitrage ayant conduit à la blessure. Trois mille trente quatre combats ont été analysés impliquant 2458 combattants (1189 femmes et 1269 hommes) ; 66 traumatismes ont été identifiés (2,2 % des combats). Il n’existait pas de différence statistiquement significative en termes d’âge, de sexe, de catégories de poids, de nombre de combats et du temps écoulé avant la survenue d’un traumatisme. Une évacuation a été nécessaire dans 10,6 % des cas. Les principaux traumatismes retrouvés ont été les ruptures du ligament croisé antérieur (19,7 %), les contusions articulaires (13,6 %) et les disjonctions acromioclaviculaires (10,6 %). L’arrêt d’activité a été de plus de 6 semaines dans 40,9 % des cas. Dans 83,3 % des cas, la blessure est survenue sur un combattant en défense. Une erreur technique était à l’origine du traumatisme dans 18,2 % des cas et s’est toujours produite en 2e partie de combat. La rupture du ligament croisé antérieur a toujours eu lieu chez un combattant en situation de défense. Dans 85 % des cas, il n’existait pas de fautes techniques. Le mécanisme lésionnel le plus fréquent était en valgus-flexion-rotation latérale (77 %) sur des techniques de projection sur l’arrière, pied bloqué au sol. L’arrêt d’activité a toujours dépassé les 6 semaines. La disjonction acromioclaviculaire est, elle aussi, survenue majoritairement chez un combattant en défense. Le mécanisme lésionnel était une chute sur le moignon de l’épaule ou sur le coude lors d’une projection vers l’avant. Dans tous les cas, il existait une erreur technique lors de la chute. L’arrêt d’activité a été de 3 et 6 semaines dans 57 % des cas et de plus de 6 semaines dans 43 % des cas. L’analyse de la vidéo a permis d’obtenir des données précises sur le mécanisme et les situations à risque de traumatisme. La rupture du ligament croisé antérieur semble être la pathologie la plus problématique en termes de fréquence, de durée d’arrêt d’activité et de gravité. Ces résultats préliminaires nécessitent d’être développés à plus grande échelle en ciblant les pathologies recensées pour proposer des mesures de prévention efficaces permettant de diminuer les situations à risque. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=50146 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtTraumatologie des sports olympiques de ballon en salle. Partie 2 : le Handball / J.F. Kaux in Journal de traumatologie du sport, Vol. 34, n°3 (Septembre 2017)
[article]
Titre : Traumatologie des sports olympiques de ballon en salle. Partie 2 : le Handball Type de document : texte imprimé Auteurs : J.F. Kaux ; M. Roberjot ; F. Delvaux Année de publication : 2017 Article en page(s) : pp. 172-176 Langues : Français (fre) Mots-clés : Handball Épidémiologie Luxations Genou Cheville Épaule Résumé : Les contacts fréquents et parfois très rudes avec les adversaires expliquent pourquoi le handball fut l’un des sports présentant le taux de blessures (dont essentiellement des contusions) le plus important lors des Jeux Olympiques de Londres. La cheville est l’articulation la plus traumatisée. Cependant, les atteintes à la tête (dont des commotions), aux épaules (luxations et instabilités) et aux genoux (lésions du LCA) sont-elles aussi courantes. L’activité incessante des arrières/ailiers dans les jeux de défense et d’attaque, font d’eux les joueurs les plus à risques de blessures. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=50147
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 34, n°3 (Septembre 2017) . - pp. 172-176[article] Traumatologie des sports olympiques de ballon en salle. Partie 2 : le Handball [texte imprimé] / J.F. Kaux ; M. Roberjot ; F. Delvaux . - 2017 . - pp. 172-176.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 34, n°3 (Septembre 2017) . - pp. 172-176
Mots-clés : Handball Épidémiologie Luxations Genou Cheville Épaule Résumé : Les contacts fréquents et parfois très rudes avec les adversaires expliquent pourquoi le handball fut l’un des sports présentant le taux de blessures (dont essentiellement des contusions) le plus important lors des Jeux Olympiques de Londres. La cheville est l’articulation la plus traumatisée. Cependant, les atteintes à la tête (dont des commotions), aux épaules (luxations et instabilités) et aux genoux (lésions du LCA) sont-elles aussi courantes. L’activité incessante des arrières/ailiers dans les jeux de défense et d’attaque, font d’eux les joueurs les plus à risques de blessures. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=50147 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtLes syndromes fémoro-patellaires douloureux chez les adultes jeunes / J. Rodineau in Journal de traumatologie du sport, Vol. 34, n°3 (Septembre 2017)
[article]
Titre : Les syndromes fémoro-patellaires douloureux chez les adultes jeunes Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Rodineau ; S. Besch Année de publication : 2017 Article en page(s) : pp. 177-184 Langues : Français (fre) Mots-clés : Genou Patella Sports Syndrome fémoro patellaire Résumé : La pathologie fémoro-patellaire comporte un syndrome douloureux auquel peut s’ajouter ou non un syndrome d’instabilité. Les syndromes fémoro-patellaires s’observent surtout chez l’adolescent entre 12 et 17 ans et leur prédominance chez la jeune fille peut être affirmée. Leur incidence exacte chez le sportif n’est pas connue. Leur physiopathologie est complexe. Dans les syndromes fémoro-patellaires algiques, les douleurs sont antérieures, majorées par des forces compressives lors de certaines activités physiques et sportives comme la course à pied, le ski, le volley-ball ainsi que la montée et la descente des escaliers, la position assise prolongée. Lorsqu’ils sont isolés, l’origine de ces syndromes est difficile à affirmer et peut demeurer inexpliquée en l’absence d’un traumatisme ou de microtraumatismes répétés. Leur évaluation clinique doit être rigoureuse. Le bilan iconographique doit être simple. Leur traitement doit être orienté de façon préférentielle vers des stratégies thérapeutiques non médicamenteuses. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=50148
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 34, n°3 (Septembre 2017) . - pp. 177-184[article] Les syndromes fémoro-patellaires douloureux chez les adultes jeunes [texte imprimé] / J. Rodineau ; S. Besch . - 2017 . - pp. 177-184.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 34, n°3 (Septembre 2017) . - pp. 177-184
Mots-clés : Genou Patella Sports Syndrome fémoro patellaire Résumé : La pathologie fémoro-patellaire comporte un syndrome douloureux auquel peut s’ajouter ou non un syndrome d’instabilité. Les syndromes fémoro-patellaires s’observent surtout chez l’adolescent entre 12 et 17 ans et leur prédominance chez la jeune fille peut être affirmée. Leur incidence exacte chez le sportif n’est pas connue. Leur physiopathologie est complexe. Dans les syndromes fémoro-patellaires algiques, les douleurs sont antérieures, majorées par des forces compressives lors de certaines activités physiques et sportives comme la course à pied, le ski, le volley-ball ainsi que la montée et la descente des escaliers, la position assise prolongée. Lorsqu’ils sont isolés, l’origine de ces syndromes est difficile à affirmer et peut demeurer inexpliquée en l’absence d’un traumatisme ou de microtraumatismes répétés. Leur évaluation clinique doit être rigoureuse. Le bilan iconographique doit être simple. Leur traitement doit être orienté de façon préférentielle vers des stratégies thérapeutiques non médicamenteuses. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=50148 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtFracture de fatigue du sésamoïde médial de l’hallux chez un footballeur : à propos d’un cas / J.P. Marques in Journal de traumatologie du sport, Vol. 34, n°3 (Septembre 2017)
[article]
Titre : Fracture de fatigue du sésamoïde médial de l’hallux chez un footballeur : à propos d’un cas Type de document : texte imprimé Auteurs : J.P. Marques ; J.P. Pinheiro ; A. Cordeiro Année de publication : 2017 Article en page(s) : pp. 185-187 Langues : Français (fre) Mots-clés : Os sésamoïdes Football Fracture de stress Résumé : Les lésions des os sésamoïdes peuvent provoquer une incapacité de longue durée chez les athlètes. L’examen clinique et l’imagerie confirment le diagnostic lésionnel et sont utiles dans la recherche de complications telles que la non-union, la fragmentation et/ou la nécrose avasculaire. La reconnaissance rapide de cette entité clinique est fondamentale car elle permet une prise en charge précoce et appropriée, ce qui diminue le taux de complications. Nous rapportons le cas d’un jeune footballeur dont le diagnostic de fracture de stress du sésamoïde médial (compliquée d’une non-union chronique) a été fait 8 mois après l’apparition des symptômes. Nous présentons notre approche et discutons de la physiopathologie, du diagnostic différentiel et du traitement de cette pathologie rare. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=50149
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 34, n°3 (Septembre 2017) . - pp. 185-187[article] Fracture de fatigue du sésamoïde médial de l’hallux chez un footballeur : à propos d’un cas [texte imprimé] / J.P. Marques ; J.P. Pinheiro ; A. Cordeiro . - 2017 . - pp. 185-187.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 34, n°3 (Septembre 2017) . - pp. 185-187
Mots-clés : Os sésamoïdes Football Fracture de stress Résumé : Les lésions des os sésamoïdes peuvent provoquer une incapacité de longue durée chez les athlètes. L’examen clinique et l’imagerie confirment le diagnostic lésionnel et sont utiles dans la recherche de complications telles que la non-union, la fragmentation et/ou la nécrose avasculaire. La reconnaissance rapide de cette entité clinique est fondamentale car elle permet une prise en charge précoce et appropriée, ce qui diminue le taux de complications. Nous rapportons le cas d’un jeune footballeur dont le diagnostic de fracture de stress du sésamoïde médial (compliquée d’une non-union chronique) a été fait 8 mois après l’apparition des symptômes. Nous présentons notre approche et discutons de la physiopathologie, du diagnostic différentiel et du traitement de cette pathologie rare. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=50149 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtUne cause traumatique de syndrome de la tête tombante / A. SCHMITT in Journal de traumatologie du sport, Vol. 34, n°3 (Septembre 2017)
[article]
Titre : Une cause traumatique de syndrome de la tête tombante Type de document : texte imprimé Auteurs : A. SCHMITT ; M. Diger Année de publication : 2017 Article en page(s) : pp. 188-191 Langues : Français (fre) Mots-clés : Vertèbres cervicales Boxe Hyperflexion Résumé : Cet article rapporte un cas de syndrome de la tête tombante dans les suites d’un traumatisme en hyperflexion forcée du rachis cervical chez une boxeuse thaïlandaise. La présentation clinique est impressionnante avec une impossibilité de maintenir la tête à l’horizontale. Le syndrome de la tête tombante est en rapport avec une atteinte musculaire post-traumatique dans ce cas précis ; il constitue un facteur de gravité devant déclencher la recherche d’une instabilité vertébrale selon les recommandations de la Québec Task Force. Lorsque l’atteinte est isolée, l’évolution est favorable sous couvert d’une immobilisation cervicale adéquate par l’intermédiaire d’une minerve cervicale rigide. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=50150
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 34, n°3 (Septembre 2017) . - pp. 188-191[article] Une cause traumatique de syndrome de la tête tombante [texte imprimé] / A. SCHMITT ; M. Diger . - 2017 . - pp. 188-191.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 34, n°3 (Septembre 2017) . - pp. 188-191
Mots-clés : Vertèbres cervicales Boxe Hyperflexion Résumé : Cet article rapporte un cas de syndrome de la tête tombante dans les suites d’un traumatisme en hyperflexion forcée du rachis cervical chez une boxeuse thaïlandaise. La présentation clinique est impressionnante avec une impossibilité de maintenir la tête à l’horizontale. Le syndrome de la tête tombante est en rapport avec une atteinte musculaire post-traumatique dans ce cas précis ; il constitue un facteur de gravité devant déclencher la recherche d’une instabilité vertébrale selon les recommandations de la Québec Task Force. Lorsque l’atteinte est isolée, l’évolution est favorable sous couvert d’une immobilisation cervicale adéquate par l’intermédiaire d’une minerve cervicale rigide. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=50150 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
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