Centre de Documentation Campus Montignies
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Vendredi : 8h-16h30
Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
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6 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Commotion de l'encéphale'
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Commotion cérébrale du sportif de haut niveau. Étude prospective de 211 cas pris en charge en consultation spécialisée / N. Blandin in Journal de traumatologie du sport, Vol.32, n°2 (Juin-Aout 2016)
[article]
Titre : Commotion cérébrale du sportif de haut niveau. Étude prospective de 211 cas pris en charge en consultation spécialisée Type de document : texte imprimé Auteurs : N. Blandin ; Y. BOHU ; A. Savigny Année de publication : 2016 Article en page(s) : 88-96 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cerveau Commotion de l'encéphale Traumatismes sportifs Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44980
in Journal de traumatologie du sport > Vol.32, n°2 (Juin-Aout 2016) . - 88-96[article] Commotion cérébrale du sportif de haut niveau. Étude prospective de 211 cas pris en charge en consultation spécialisée [texte imprimé] / N. Blandin ; Y. BOHU ; A. Savigny . - 2016 . - 88-96.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol.32, n°2 (Juin-Aout 2016) . - 88-96
Mots-clés : Cerveau Commotion de l'encéphale Traumatismes sportifs Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44980 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtÉvaluation des tests présaison (Standardized Assessment of Concussion et Modified Balance Error Scoring System) à 48heures après commotion. À propos de 65 Rugbymen professionnels / F. Marty in Journal de traumatologie du sport, Vol. 34, n°3 (Septembre 2017)
[article]
Titre : Évaluation des tests présaison (Standardized Assessment of Concussion et Modified Balance Error Scoring System) à 48heures après commotion. À propos de 65 Rugbymen professionnels Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Marty ; A. Radafy ; A. Fantou Année de publication : 2017 Article en page(s) : pp. 155-160 Langues : Français (fre) Mots-clés : Commotion de l'encéphale M-BESS Rugby Syndrome post-commotionnel Résumé : Introduction
Dans le rugby professionnel, un protocole standardisé de prise en charge des commotions cérébrales a été établi, comprenant notamment des tests de présaison, une consultation à 48–72heures puis au retour au jeu. En présaison et à 48–72heures, une évaluation cognitive et de l’équilibre est réalisée.
Objectif
L’objectif de notre étude a été d’établir si les tests « SAC » et le « M-BESS » étaient suffisamment sensibles à 48–72heures après commotion et s’ils pouvaient aider le spécialiste à établir un pronostic.
Méthode
Nous avons réalisé au sein de clubs professionnels les tests de présaison, dont le M-BESS et SAC. Les joueurs commotionnés réalisaient à nouveau ces tests 48–72heures après l’évènement. Soixante-cinq joueurs professionnels ont été suivis jusqu’à disparition du syndrome post-commotionnel et au retour au jeu. La durée du syndrome post-commotionnel et le délai de retour au jeu ont été relevés. Nous avons comparé les résultats de chaque joueur en présaison et à 48–72heures, puis analysé si la différence entre les tests initiaux et ceux à 48–72heures était corrélée avec la durée du syndrome post-commotionnel ou le délai de retour au jeu.
Résultats
Aucune différence significative entre les scores obtenus en présaison et ceux à 48–72h à chacun des deux tests (T de Student). La différence de performance à la SAC n’est pas corrélée à la durée du SPC (p =0,051, corrélation de Pearson) ni avec le délai de retour au jeu (p =0,40). La différence de performance au M-BESS est corrélée avec la durée du SPC (p =0,009**, corrélation de −0,3) mais pas avec le délai de retour au jeu (p =0,14).
Conclusion
Sur notre population, les tests SAC et M-BESS ne permettent pas d’identifier les sujets à risque de syndrome post-commotionnel prolongé et donc d’aider le spécialiste à définir le délai du retour au jeu.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=50145
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 34, n°3 (Septembre 2017) . - pp. 155-160[article] Évaluation des tests présaison (Standardized Assessment of Concussion et Modified Balance Error Scoring System) à 48heures après commotion. À propos de 65 Rugbymen professionnels [texte imprimé] / F. Marty ; A. Radafy ; A. Fantou . - 2017 . - pp. 155-160.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 34, n°3 (Septembre 2017) . - pp. 155-160
Mots-clés : Commotion de l'encéphale M-BESS Rugby Syndrome post-commotionnel Résumé : Introduction
Dans le rugby professionnel, un protocole standardisé de prise en charge des commotions cérébrales a été établi, comprenant notamment des tests de présaison, une consultation à 48–72heures puis au retour au jeu. En présaison et à 48–72heures, une évaluation cognitive et de l’équilibre est réalisée.
Objectif
L’objectif de notre étude a été d’établir si les tests « SAC » et le « M-BESS » étaient suffisamment sensibles à 48–72heures après commotion et s’ils pouvaient aider le spécialiste à établir un pronostic.
Méthode
Nous avons réalisé au sein de clubs professionnels les tests de présaison, dont le M-BESS et SAC. Les joueurs commotionnés réalisaient à nouveau ces tests 48–72heures après l’évènement. Soixante-cinq joueurs professionnels ont été suivis jusqu’à disparition du syndrome post-commotionnel et au retour au jeu. La durée du syndrome post-commotionnel et le délai de retour au jeu ont été relevés. Nous avons comparé les résultats de chaque joueur en présaison et à 48–72heures, puis analysé si la différence entre les tests initiaux et ceux à 48–72heures était corrélée avec la durée du syndrome post-commotionnel ou le délai de retour au jeu.
Résultats
Aucune différence significative entre les scores obtenus en présaison et ceux à 48–72h à chacun des deux tests (T de Student). La différence de performance à la SAC n’est pas corrélée à la durée du SPC (p =0,051, corrélation de Pearson) ni avec le délai de retour au jeu (p =0,40). La différence de performance au M-BESS est corrélée avec la durée du SPC (p =0,009**, corrélation de −0,3) mais pas avec le délai de retour au jeu (p =0,14).
Conclusion
Sur notre population, les tests SAC et M-BESS ne permettent pas d’identifier les sujets à risque de syndrome post-commotionnel prolongé et donc d’aider le spécialiste à définir le délai du retour au jeu.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=50145 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtFacteurs de risque de syndrome post-commotionnel prolongé sur une population de 501 athlètes de haut niveau / A. Fantou in Journal de traumatologie du sport, Vol. 35, n°2 (Juin 2018)
[article]
Titre : Facteurs de risque de syndrome post-commotionnel prolongé sur une population de 501 athlètes de haut niveau Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Fantou ; F. Marty ; A. Radafy Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 98-103 Langues : Français (fre) Mots-clés : Commotion de l'encéphale Sport Syndrome post-commotionnel Résumé : Introduction
La commotion cérébrale, fréquemment retrouvée dans les sports de contact, est une altération des fonctions neurologiques consécutive à un impact transmis au cerveau. Au décours, apparaît un syndrome post-commotionnel de durée variable. L?objectif de cette étude est d?identifier les facteurs de risque de syndrome post-commotionnel prolongé, défini par la persistance de symptômes à 3 semaines post-commotion.
Méthodes
Dans cette étude, les sportifs ont été vus après la commotion et suivis jusqu?à disparition du syndrome post-commotionnel et retour au jeu. Nous avons évalué la durée du syndrome post-commotionnel selon l?âge, le sexe, la sortie immédiate ou non après la commotion, le nombre d?antécédents de commotion et la survenue de deux commotions lors d?un même match.
Résultats
Au total, 501 sportifs ont été inclus entre octobre 2010 et octobre 2017. Sur notre population, le syndrome post-commotionnel était significativement plus long chez les femmes : 47j versus 16j chez les hommes (p <0,05), chez les sportifs ayant plus de 3 antécédents de commotions cérébrales : 34j versus 19j (p <0,05) et chez les moins de 15 ans : 27j versus 21j (p <0,05). Le syndrome post-commotionnel des joueurs sortis immédiatement du terrain était de 15j, soit significativement moins long que celui des joueurs non sortis (19j).
Conclusion
Sur notre population, les facteurs de risque de syndrome post-commotionnel étaient le sexe féminin, les antécédents de commotions cérébrales, un âge inférieur à 15 ans et l?absence de sortie immédiate du terrain.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=58692
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 35, n°2 (Juin 2018) . - p. 98-103[article] Facteurs de risque de syndrome post-commotionnel prolongé sur une population de 501 athlètes de haut niveau [texte imprimé] / A. Fantou ; F. Marty ; A. Radafy . - 2018 . - p. 98-103.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 35, n°2 (Juin 2018) . - p. 98-103
Mots-clés : Commotion de l'encéphale Sport Syndrome post-commotionnel Résumé : Introduction
La commotion cérébrale, fréquemment retrouvée dans les sports de contact, est une altération des fonctions neurologiques consécutive à un impact transmis au cerveau. Au décours, apparaît un syndrome post-commotionnel de durée variable. L?objectif de cette étude est d?identifier les facteurs de risque de syndrome post-commotionnel prolongé, défini par la persistance de symptômes à 3 semaines post-commotion.
Méthodes
Dans cette étude, les sportifs ont été vus après la commotion et suivis jusqu?à disparition du syndrome post-commotionnel et retour au jeu. Nous avons évalué la durée du syndrome post-commotionnel selon l?âge, le sexe, la sortie immédiate ou non après la commotion, le nombre d?antécédents de commotion et la survenue de deux commotions lors d?un même match.
Résultats
Au total, 501 sportifs ont été inclus entre octobre 2010 et octobre 2017. Sur notre population, le syndrome post-commotionnel était significativement plus long chez les femmes : 47j versus 16j chez les hommes (p <0,05), chez les sportifs ayant plus de 3 antécédents de commotions cérébrales : 34j versus 19j (p <0,05) et chez les moins de 15 ans : 27j versus 21j (p <0,05). Le syndrome post-commotionnel des joueurs sortis immédiatement du terrain était de 15j, soit significativement moins long que celui des joueurs non sortis (19j).
Conclusion
Sur notre population, les facteurs de risque de syndrome post-commotionnel étaient le sexe féminin, les antécédents de commotions cérébrales, un âge inférieur à 15 ans et l?absence de sortie immédiate du terrain.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=58692 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtIncidence et mécanisme des commotions cérébrales dans le rugby professionnel : 2 clubs du top 14 / A. Radafy in Journal de traumatologie du sport, Vol. 35, n°2 (Juin 2018)
[article]
Titre : Incidence et mécanisme des commotions cérébrales dans le rugby professionnel : 2 clubs du top 14 Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Radafy ; A. Savigny ; S. Blanchard Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 75-81 Langues : Français (fre) Mots-clés : Commotion de l'encéphale Cohort Studies Études de cohortes Rugby Traumatismes cranioencéphaliques Résumé : Introduction
Au rugby, la prise en charge des commotions cérébrales, altération transitoire des fonctions neurologiques suite à un traumatisme crânien, est standardisée du terrain jusqu?au retour au jeu. Le consensus de Berlin d?octobre 2016 a établi un nouveau score « Sport Concussion Assessment Tool 5 » pour la consultation avec un spécialiste à 48h post-évènement. L?objectif est ici de définir l?incidence de la commotion dans le rugby professionnel et d?en connaître le mécanisme principal et les postes les plus à risque.
Méthodes
Nous avons suivi deux clubs professionnels, sur deux saisons, en recensant les cas de commotion. Pour chaque cas, nous avons noté les conditions de survenue, le poste du joueur et sa sortie immédiate ou non pour protocole commotion.
Résultats
Sur ces deux saisons, 43 cas de commotion cérébrale ont été recensés dont 41 survenus au cours de 134 matchs disputés. L?incidence est de 0,31 commotion par match, soit une commotion tous les trois matchs par effectif. Les postes les plus à risque sont les troisièmes (28 %) et premières lignes (26 %). Les commotions surviennent plus fréquemment chez le joueur plaqueur (67 %). Dans 72 % des cas, le joueur est sorti immédiatement pour protocole commotion.
Conclusion
La commotion cérébrale est un évènement non négligeable dans le rugby. Les protocoles établis et revus en consensus sont nécessaires afin d?être le plus discriminant possible pour la détection des cas. L?objectif est de protéger les joueurs sur le long terme des séquelles de commotions répétées, en particulier l?encéphalopathie chronique post-traumatique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=58689
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 35, n°2 (Juin 2018) . - p. 75-81[article] Incidence et mécanisme des commotions cérébrales dans le rugby professionnel : 2 clubs du top 14 [texte imprimé] / A. Radafy ; A. Savigny ; S. Blanchard . - 2018 . - p. 75-81.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 35, n°2 (Juin 2018) . - p. 75-81
Mots-clés : Commotion de l'encéphale Cohort Studies Études de cohortes Rugby Traumatismes cranioencéphaliques Résumé : Introduction
Au rugby, la prise en charge des commotions cérébrales, altération transitoire des fonctions neurologiques suite à un traumatisme crânien, est standardisée du terrain jusqu?au retour au jeu. Le consensus de Berlin d?octobre 2016 a établi un nouveau score « Sport Concussion Assessment Tool 5 » pour la consultation avec un spécialiste à 48h post-évènement. L?objectif est ici de définir l?incidence de la commotion dans le rugby professionnel et d?en connaître le mécanisme principal et les postes les plus à risque.
Méthodes
Nous avons suivi deux clubs professionnels, sur deux saisons, en recensant les cas de commotion. Pour chaque cas, nous avons noté les conditions de survenue, le poste du joueur et sa sortie immédiate ou non pour protocole commotion.
Résultats
Sur ces deux saisons, 43 cas de commotion cérébrale ont été recensés dont 41 survenus au cours de 134 matchs disputés. L?incidence est de 0,31 commotion par match, soit une commotion tous les trois matchs par effectif. Les postes les plus à risque sont les troisièmes (28 %) et premières lignes (26 %). Les commotions surviennent plus fréquemment chez le joueur plaqueur (67 %). Dans 72 % des cas, le joueur est sorti immédiatement pour protocole commotion.
Conclusion
La commotion cérébrale est un évènement non négligeable dans le rugby. Les protocoles établis et revus en consensus sont nécessaires afin d?être le plus discriminant possible pour la détection des cas. L?objectif est de protéger les joueurs sur le long terme des séquelles de commotions répétées, en particulier l?encéphalopathie chronique post-traumatique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=58689 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtPrédictivité du score « sport concussion assessment tool 5 » dans la prise en charge des commotions cérébrales - / Y. Berthaud in Journal de traumatologie du sport, Vol.37, n°1 (Mars 2020)
[article]
Titre : Prédictivité du score « sport concussion assessment tool 5 » dans la prise en charge des commotions cérébrales - Type de document : texte imprimé Auteurs : Y. Berthaud ; C. De Tymowski ; A. Radafy Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 20-25 Langues : Français (fre) Mots-clés : Syndrome post-traumatique Commotion de l'encéphale Résumé : Introduction
Le « Sport Concussion Assessment Tool 5 » (SCAT5) est actuellement le score de référence dans la prise en charge des commotions cérébrales et fait l’objet d’une actualisation régulière par un comité d’experts ; la dernière en date s’est faite en 2016. Cliniquement, le syndrome post-commotionnel est le principal élément permettant le suivi. L’objectif de notre étude était d’évaluer si le score SCAT5 est prédictif de la durée du syndrome post-commotionnel.
Méthodes
Les sportifs victimes d’une commotion cérébrale étaient vus en consultation à 48–72h post-traumatisme, consultation au cours de laquelle était établi le score SCAT5. Le suivi de ces sportifs se faisait jusqu’à disparition des symptômes. Puis, nous avons étudié la corrélation entre ce score SCAT5 à 48h et la durée du syndrome post-commotionnel.
Résultats
Trente-quatre patients ont été inclus. Le score SCAT5 est corrélé (R=?0,38) significativement (p=0,026) à la durée du syndrome post-commotionnel. Les deux seuls items corrélés de façon significative avec la durée du syndrome post-commotionnel sont : la sévérité des symptômes et la concentration (respectivement R=0,37 et R=?0,5).
Conclusion
Le score SCAT5 s’avère prédictif de la durée du syndrome post-commotionnel. Cette corrélation est cependant modérée. Nous observons que la corrélation la plus importante concerne l’item concentration, ce qui pousserait à davantage développer cette évaluation.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86095
in Journal de traumatologie du sport > Vol.37, n°1 (Mars 2020) . - p. 20-25[article] Prédictivité du score « sport concussion assessment tool 5 » dans la prise en charge des commotions cérébrales - [texte imprimé] / Y. Berthaud ; C. De Tymowski ; A. Radafy . - 2020 . - p. 20-25.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol.37, n°1 (Mars 2020) . - p. 20-25
Mots-clés : Syndrome post-traumatique Commotion de l'encéphale Résumé : Introduction
Le « Sport Concussion Assessment Tool 5 » (SCAT5) est actuellement le score de référence dans la prise en charge des commotions cérébrales et fait l’objet d’une actualisation régulière par un comité d’experts ; la dernière en date s’est faite en 2016. Cliniquement, le syndrome post-commotionnel est le principal élément permettant le suivi. L’objectif de notre étude était d’évaluer si le score SCAT5 est prédictif de la durée du syndrome post-commotionnel.
Méthodes
Les sportifs victimes d’une commotion cérébrale étaient vus en consultation à 48–72h post-traumatisme, consultation au cours de laquelle était établi le score SCAT5. Le suivi de ces sportifs se faisait jusqu’à disparition des symptômes. Puis, nous avons étudié la corrélation entre ce score SCAT5 à 48h et la durée du syndrome post-commotionnel.
Résultats
Trente-quatre patients ont été inclus. Le score SCAT5 est corrélé (R=?0,38) significativement (p=0,026) à la durée du syndrome post-commotionnel. Les deux seuls items corrélés de façon significative avec la durée du syndrome post-commotionnel sont : la sévérité des symptômes et la concentration (respectivement R=0,37 et R=?0,5).
Conclusion
Le score SCAT5 s’avère prédictif de la durée du syndrome post-commotionnel. Cette corrélation est cependant modérée. Nous observons que la corrélation la plus importante concerne l’item concentration, ce qui pousserait à davantage développer cette évaluation.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86095 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLe score « Sport Concussion Assessment Tool 2 » est-il prédictif de la durée du syndrome post-commotionnel : 174 cas de rugby de haut niveau / A. Radafy in Journal de traumatologie du sport, Vol. 34, n°1 (Mars 2017)
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