Centre de Documentation Campus Montignies
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3 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Syndrome post-commotionnel'
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Facteurs de risque de syndrome post-commotionnel prolongé sur une population de 501 athlètes de haut niveau / A. Fantou in Journal de traumatologie du sport, Vol. 35, n°2 (Juin 2018)
[article]
Titre : Facteurs de risque de syndrome post-commotionnel prolongé sur une population de 501 athlètes de haut niveau Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Fantou ; F. Marty ; A. Radafy Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 98-103 Langues : Français (fre) Mots-clés : Commotion de l'encéphale Sport Syndrome post-commotionnel Résumé : Introduction
La commotion cérébrale, fréquemment retrouvée dans les sports de contact, est une altération des fonctions neurologiques consécutive à un impact transmis au cerveau. Au décours, apparaît un syndrome post-commotionnel de durée variable. L?objectif de cette étude est d?identifier les facteurs de risque de syndrome post-commotionnel prolongé, défini par la persistance de symptômes à 3 semaines post-commotion.
Méthodes
Dans cette étude, les sportifs ont été vus après la commotion et suivis jusqu?à disparition du syndrome post-commotionnel et retour au jeu. Nous avons évalué la durée du syndrome post-commotionnel selon l?âge, le sexe, la sortie immédiate ou non après la commotion, le nombre d?antécédents de commotion et la survenue de deux commotions lors d?un même match.
Résultats
Au total, 501 sportifs ont été inclus entre octobre 2010 et octobre 2017. Sur notre population, le syndrome post-commotionnel était significativement plus long chez les femmes : 47j versus 16j chez les hommes (p <0,05), chez les sportifs ayant plus de 3 antécédents de commotions cérébrales : 34j versus 19j (p <0,05) et chez les moins de 15 ans : 27j versus 21j (p <0,05). Le syndrome post-commotionnel des joueurs sortis immédiatement du terrain était de 15j, soit significativement moins long que celui des joueurs non sortis (19j).
Conclusion
Sur notre population, les facteurs de risque de syndrome post-commotionnel étaient le sexe féminin, les antécédents de commotions cérébrales, un âge inférieur à 15 ans et l?absence de sortie immédiate du terrain.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=58692
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 35, n°2 (Juin 2018) . - p. 98-103[article] Facteurs de risque de syndrome post-commotionnel prolongé sur une population de 501 athlètes de haut niveau [texte imprimé] / A. Fantou ; F. Marty ; A. Radafy . - 2018 . - p. 98-103.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 35, n°2 (Juin 2018) . - p. 98-103
Mots-clés : Commotion de l'encéphale Sport Syndrome post-commotionnel Résumé : Introduction
La commotion cérébrale, fréquemment retrouvée dans les sports de contact, est une altération des fonctions neurologiques consécutive à un impact transmis au cerveau. Au décours, apparaît un syndrome post-commotionnel de durée variable. L?objectif de cette étude est d?identifier les facteurs de risque de syndrome post-commotionnel prolongé, défini par la persistance de symptômes à 3 semaines post-commotion.
Méthodes
Dans cette étude, les sportifs ont été vus après la commotion et suivis jusqu?à disparition du syndrome post-commotionnel et retour au jeu. Nous avons évalué la durée du syndrome post-commotionnel selon l?âge, le sexe, la sortie immédiate ou non après la commotion, le nombre d?antécédents de commotion et la survenue de deux commotions lors d?un même match.
Résultats
Au total, 501 sportifs ont été inclus entre octobre 2010 et octobre 2017. Sur notre population, le syndrome post-commotionnel était significativement plus long chez les femmes : 47j versus 16j chez les hommes (p <0,05), chez les sportifs ayant plus de 3 antécédents de commotions cérébrales : 34j versus 19j (p <0,05) et chez les moins de 15 ans : 27j versus 21j (p <0,05). Le syndrome post-commotionnel des joueurs sortis immédiatement du terrain était de 15j, soit significativement moins long que celui des joueurs non sortis (19j).
Conclusion
Sur notre population, les facteurs de risque de syndrome post-commotionnel étaient le sexe féminin, les antécédents de commotions cérébrales, un âge inférieur à 15 ans et l?absence de sortie immédiate du terrain.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=58692 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtÉvaluation des tests présaison (Standardized Assessment of Concussion et Modified Balance Error Scoring System) à 48heures après commotion. À propos de 65 Rugbymen professionnels / F. Marty in Journal de traumatologie du sport, Vol. 34, n°3 (Septembre 2017)
[article]
Titre : Évaluation des tests présaison (Standardized Assessment of Concussion et Modified Balance Error Scoring System) à 48heures après commotion. À propos de 65 Rugbymen professionnels Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Marty ; A. Radafy ; A. Fantou Année de publication : 2017 Article en page(s) : pp. 155-160 Langues : Français (fre) Mots-clés : Commotion de l'encéphale M-BESS Rugby Syndrome post-commotionnel Résumé : Introduction
Dans le rugby professionnel, un protocole standardisé de prise en charge des commotions cérébrales a été établi, comprenant notamment des tests de présaison, une consultation à 48–72heures puis au retour au jeu. En présaison et à 48–72heures, une évaluation cognitive et de l’équilibre est réalisée.
Objectif
L’objectif de notre étude a été d’établir si les tests « SAC » et le « M-BESS » étaient suffisamment sensibles à 48–72heures après commotion et s’ils pouvaient aider le spécialiste à établir un pronostic.
Méthode
Nous avons réalisé au sein de clubs professionnels les tests de présaison, dont le M-BESS et SAC. Les joueurs commotionnés réalisaient à nouveau ces tests 48–72heures après l’évènement. Soixante-cinq joueurs professionnels ont été suivis jusqu’à disparition du syndrome post-commotionnel et au retour au jeu. La durée du syndrome post-commotionnel et le délai de retour au jeu ont été relevés. Nous avons comparé les résultats de chaque joueur en présaison et à 48–72heures, puis analysé si la différence entre les tests initiaux et ceux à 48–72heures était corrélée avec la durée du syndrome post-commotionnel ou le délai de retour au jeu.
Résultats
Aucune différence significative entre les scores obtenus en présaison et ceux à 48–72h à chacun des deux tests (T de Student). La différence de performance à la SAC n’est pas corrélée à la durée du SPC (p =0,051, corrélation de Pearson) ni avec le délai de retour au jeu (p =0,40). La différence de performance au M-BESS est corrélée avec la durée du SPC (p =0,009**, corrélation de −0,3) mais pas avec le délai de retour au jeu (p =0,14).
Conclusion
Sur notre population, les tests SAC et M-BESS ne permettent pas d’identifier les sujets à risque de syndrome post-commotionnel prolongé et donc d’aider le spécialiste à définir le délai du retour au jeu.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=50145
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 34, n°3 (Septembre 2017) . - pp. 155-160[article] Évaluation des tests présaison (Standardized Assessment of Concussion et Modified Balance Error Scoring System) à 48heures après commotion. À propos de 65 Rugbymen professionnels [texte imprimé] / F. Marty ; A. Radafy ; A. Fantou . - 2017 . - pp. 155-160.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 34, n°3 (Septembre 2017) . - pp. 155-160
Mots-clés : Commotion de l'encéphale M-BESS Rugby Syndrome post-commotionnel Résumé : Introduction
Dans le rugby professionnel, un protocole standardisé de prise en charge des commotions cérébrales a été établi, comprenant notamment des tests de présaison, une consultation à 48–72heures puis au retour au jeu. En présaison et à 48–72heures, une évaluation cognitive et de l’équilibre est réalisée.
Objectif
L’objectif de notre étude a été d’établir si les tests « SAC » et le « M-BESS » étaient suffisamment sensibles à 48–72heures après commotion et s’ils pouvaient aider le spécialiste à établir un pronostic.
Méthode
Nous avons réalisé au sein de clubs professionnels les tests de présaison, dont le M-BESS et SAC. Les joueurs commotionnés réalisaient à nouveau ces tests 48–72heures après l’évènement. Soixante-cinq joueurs professionnels ont été suivis jusqu’à disparition du syndrome post-commotionnel et au retour au jeu. La durée du syndrome post-commotionnel et le délai de retour au jeu ont été relevés. Nous avons comparé les résultats de chaque joueur en présaison et à 48–72heures, puis analysé si la différence entre les tests initiaux et ceux à 48–72heures était corrélée avec la durée du syndrome post-commotionnel ou le délai de retour au jeu.
Résultats
Aucune différence significative entre les scores obtenus en présaison et ceux à 48–72h à chacun des deux tests (T de Student). La différence de performance à la SAC n’est pas corrélée à la durée du SPC (p =0,051, corrélation de Pearson) ni avec le délai de retour au jeu (p =0,40). La différence de performance au M-BESS est corrélée avec la durée du SPC (p =0,009**, corrélation de −0,3) mais pas avec le délai de retour au jeu (p =0,14).
Conclusion
Sur notre population, les tests SAC et M-BESS ne permettent pas d’identifier les sujets à risque de syndrome post-commotionnel prolongé et donc d’aider le spécialiste à définir le délai du retour au jeu.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=50145 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtNeurotracker comparé au SCAT5 dans la prise en charge des commotions cérébrales / A. Radafy in Journal de traumatologie du sport, Vol.39 N°1 (mars 2022)
[article]
Titre : Neurotracker comparé au SCAT5 dans la prise en charge des commotions cérébrales Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Radafy ; Y. Berthaud ; C. De Tymowski ; E. Servien ; Jean-François Chermann Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 47-53 Note générale : https://doi : 10.1016/j.jts.2022.01.003 Langues : Français (fre) Mots-clés : Commotion cérébrale Neurotracker Syndrome post-commotionnel Sport Résumé : Le SCAT5 est le score principal pour évaluer la gravité d’une commotion cérébrale. Néanmoins, ce score prédit mal le pronostic d’une commotion cérébrale. Le neurotracker pourrait être pertinent pour évaluer les fonctions cognitives après une commotion cérébrale. Le but de cette étude est de comparer les performances du score SCAT5 avec celles du neurotracker à 48-72h après une commotion cérébrale pour prédire la gravité du syndrome post-commotionnel.
Méthodes
Notre étude est une cohorte prospective monocentrique. Les deux tests ont été effectués à 48–72h après une commotion cérébrale et au retour au jeu. Les corrélations entre la durée du syndrome post-commotionnel et les tests à 48-72h ont été évaluées par le test de Spearman.
Résultats
Trent quatre patients ont été inclus. Les résultats des tests de retour au jeu étaient significativement (p <0,001) supérieurs à 48h, 211/214 vs 177/214 pour SCAT5 et 1,6 vs 1,1 pour le neurotracker. Les tests étaient également significativement corrélés avec la durée du syndrome post-commotionnel, R=0,38 pour le SCAT5 (p =0,026) et R=?0,79 pour le neurotracker (p <0,001).
Conclusion
Le neurotracker semble être un outil utile dans la prise en charge des commotions cérébrales. Les performances des athlètes de retour au jeu sont significativement améliorées. Le neurotracker présenterait un intérêt au cours de la première consultation pour prédire l’intensité et la durée du syndrome post-commotionnel.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101930
in Journal de traumatologie du sport > Vol.39 N°1 (mars 2022) . - p. 47-53[article] Neurotracker comparé au SCAT5 dans la prise en charge des commotions cérébrales [texte imprimé] / A. Radafy ; Y. Berthaud ; C. De Tymowski ; E. Servien ; Jean-François Chermann . - 2022 . - p. 47-53.
https://doi : 10.1016/j.jts.2022.01.003
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol.39 N°1 (mars 2022) . - p. 47-53
Mots-clés : Commotion cérébrale Neurotracker Syndrome post-commotionnel Sport Résumé : Le SCAT5 est le score principal pour évaluer la gravité d’une commotion cérébrale. Néanmoins, ce score prédit mal le pronostic d’une commotion cérébrale. Le neurotracker pourrait être pertinent pour évaluer les fonctions cognitives après une commotion cérébrale. Le but de cette étude est de comparer les performances du score SCAT5 avec celles du neurotracker à 48-72h après une commotion cérébrale pour prédire la gravité du syndrome post-commotionnel.
Méthodes
Notre étude est une cohorte prospective monocentrique. Les deux tests ont été effectués à 48–72h après une commotion cérébrale et au retour au jeu. Les corrélations entre la durée du syndrome post-commotionnel et les tests à 48-72h ont été évaluées par le test de Spearman.
Résultats
Trent quatre patients ont été inclus. Les résultats des tests de retour au jeu étaient significativement (p <0,001) supérieurs à 48h, 211/214 vs 177/214 pour SCAT5 et 1,6 vs 1,1 pour le neurotracker. Les tests étaient également significativement corrélés avec la durée du syndrome post-commotionnel, R=0,38 pour le SCAT5 (p =0,026) et R=?0,79 pour le neurotracker (p <0,001).
Conclusion
Le neurotracker semble être un outil utile dans la prise en charge des commotions cérébrales. Les performances des athlètes de retour au jeu sont significativement améliorées. Le neurotracker présenterait un intérêt au cours de la première consultation pour prédire l’intensité et la durée du syndrome post-commotionnel.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101930 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêt