Centre de Documentation Campus Montignies
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Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
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24 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Patella'
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Facteurs de mauvais résultat fonctionnel d'une fracture de la patella / Malinirina Fanjalalaina Ralahy in Kinésithérapie, la revue, Vol. 18, n°203 (Novembre 2018)
[article]
Titre : Facteurs de mauvais résultat fonctionnel d'une fracture de la patella Type de document : texte imprimé Auteurs : Malinirina Fanjalalaina Ralahy ; Ando Tatiana Ranivondrambola ; Gaëtan Duval Solofomalala Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 11-14 Note générale : Doi : 10.1016/j.kine.2018.05.012 Langues : Français (fre) Mots-clés : Fracture Genou Rééducation et réadaptation Patella Résultat fonctionnel Résumé : Introduction
Les fractures de la patella mettent en jeu le pronostic fonctionnel du genou et l?avenir socioprofessionnel du patient. L?objectif de cette étude était de déterminer les facteurs de mauvais résultat fonctionnel à la suite d?une fracture de la patella au sein du Service de rééducation fonctionnelle du CHU d?Antananarivo (Madagascar).
Patients et méthode
Une étude de cohorte rétrospective, monocentrique et analytique a été réalisée allant du 1er janvier 2004 au 31 décembre 2014. Les résultats fonctionnels étaient évalués au moment de la dernière séance de rééducation effectuée par le patient selon les critères de Castaing.
Résultats
Au total, 51 patients étaient inclus dans l?étude dont 26 femmes. L?âge moyen des patients était de 44,5 ans. Un bon résultat fonctionnel était observé chez 21,5 % des patients. Un mauvais résultat fonctionnel était lié au type de fracture (fracture multifragmentaire), à l?angle de flexion initiale du genou (flexion inférieure à 10°) et au nombre de séance de rééducation fonctionnelle effectuée par le patient (nombre de séance inférieur ou égal à 20).
Conclusion
Pour éviter les mauvais résultats fonctionnels, la rééducation des fractures de la patella devrait être réalisée précocement de façon régulière et prolongée. Faciliter l?accès aux soins permettrait d?améliorer la rééducation de ces patients. Les fractures multifragmentaires devraient bénéficier d?une ostéosynthèse solide permettant une rééducation précoce et intense.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=61173
in Kinésithérapie, la revue > Vol. 18, n°203 (Novembre 2018) . - p. 11-14[article] Facteurs de mauvais résultat fonctionnel d'une fracture de la patella [texte imprimé] / Malinirina Fanjalalaina Ralahy ; Ando Tatiana Ranivondrambola ; Gaëtan Duval Solofomalala . - 2018 . - p. 11-14.
Doi : 10.1016/j.kine.2018.05.012
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > Vol. 18, n°203 (Novembre 2018) . - p. 11-14
Mots-clés : Fracture Genou Rééducation et réadaptation Patella Résultat fonctionnel Résumé : Introduction
Les fractures de la patella mettent en jeu le pronostic fonctionnel du genou et l?avenir socioprofessionnel du patient. L?objectif de cette étude était de déterminer les facteurs de mauvais résultat fonctionnel à la suite d?une fracture de la patella au sein du Service de rééducation fonctionnelle du CHU d?Antananarivo (Madagascar).
Patients et méthode
Une étude de cohorte rétrospective, monocentrique et analytique a été réalisée allant du 1er janvier 2004 au 31 décembre 2014. Les résultats fonctionnels étaient évalués au moment de la dernière séance de rééducation effectuée par le patient selon les critères de Castaing.
Résultats
Au total, 51 patients étaient inclus dans l?étude dont 26 femmes. L?âge moyen des patients était de 44,5 ans. Un bon résultat fonctionnel était observé chez 21,5 % des patients. Un mauvais résultat fonctionnel était lié au type de fracture (fracture multifragmentaire), à l?angle de flexion initiale du genou (flexion inférieure à 10°) et au nombre de séance de rééducation fonctionnelle effectuée par le patient (nombre de séance inférieur ou égal à 20).
Conclusion
Pour éviter les mauvais résultats fonctionnels, la rééducation des fractures de la patella devrait être réalisée précocement de façon régulière et prolongée. Faciliter l?accès aux soins permettrait d?améliorer la rééducation de ces patients. Les fractures multifragmentaires devraient bénéficier d?une ostéosynthèse solide permettant une rééducation précoce et intense.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=61173 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtIntérêt de l’IRM dans les luxations ou subluxations récentes de la patella. À propos de 39 cas / D. Saragaglia in Journal de traumatologie du sport, Vol.37, n°2 (Juin 2020)
[article]
Titre : Intérêt de l’IRM dans les luxations ou subluxations récentes de la patella. À propos de 39 cas Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Saragaglia, Auteur ; J.J. Banihachemi, Auteur ; J.F. Fage, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 88-93 Langues : Français (fre) Mots-clés : Instabilité articulaire Patella LUXATION IRM Résumé : Les luxations aiguës de la patella représentent 2 à 3 % des traumatismes du genou. Lorsque le patient est vu en urgence avec une patella luxée, le diagnostic est évident. En revanche, il est souvent méconnu en cas de subluxation transitoire ou de luxation spontanément réduite. L’objectif de cette étude était d’évaluer l’intérêt de l’IRM dans les instabilités aiguës de la patella.
Matériel et méthodes Il s’agit d’une étude prospective faite sur 39 instabilités aiguës de la patella. Le protocole comportait un examen clinique réalisé par un médecin urgentiste, des radiographies systématiques (face, profil strict entre 30 et 45° de flexion, défilés fémoro-patellaires) et une IRM dans les 15jours suivant le traumatisme.
Résultats La série comportait 15 femmes et 24 hommes âgés en moyenne de 23±10,5 ans (11–46). Il s’agissait de 24 accidents de sport (61,5 %) et 15 accidents domestiques. Le mécanisme lésionnel correspondait dans 10 cas à un choc sur le bord médial de la patella, et dans 29 cas à une torsion du genou en valgus et rotation externe. L’examen clinique retrouvait 6 luxations de la patella (15,5 %) et 31 « gros genoux » (79,5 %). Dix neufs patients décrivaient un épisode de subluxation de la patella et 14 un « comportement anormal » du genou sans savoir exactement quoi (36 %). Les radiographies montraient une dysplasie de la trochlée fémorale dans 97,5 % des cas et des lésions ostéochondrales dans 20,5 % des cas. L’IRM a confirmé le diagnostic d’instabilité aiguë de la patella dans 37 cas soit une sensibilité de 95 %. Les lésions rencontrées étaient: 25 lésions (64 %) du ligament fémoro-patellaire médial (MPFL), 31 lésions de la patella (79,5 %) dont 25 œdèmes intra-osseux et 6 fractures-avulsions du bord médial, 31 lésions (79,5 %) du condyle latéral à type d’œdème intra-osseux, 11 lésions cartilagineuses (28 %) dont 7 fractures ostéochondrales et enfin il existait 3 lésions associées récentes du LCA et 2 lésions du ligament collatéral médial (LCM).
Conclusion L’IRM est indispensable dans les luxations et subluxations aiguës de la patella. Lorsque la symptomatologie est fruste, elle permet de confirmer aisément le diagnostic. Dans tous les cas, elle réalise un bilan exact des lésions, notamment cartilagineuses qui peuvent, lorsque le fragment est volumineux, conduire à une reposition chirurgicale en urgence.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=88106
in Journal de traumatologie du sport > Vol.37, n°2 (Juin 2020) . - p. 88-93[article] Intérêt de l’IRM dans les luxations ou subluxations récentes de la patella. À propos de 39 cas [texte imprimé] / D. Saragaglia, Auteur ; J.J. Banihachemi, Auteur ; J.F. Fage, Auteur . - 2020 . - p. 88-93.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol.37, n°2 (Juin 2020) . - p. 88-93
Mots-clés : Instabilité articulaire Patella LUXATION IRM Résumé : Les luxations aiguës de la patella représentent 2 à 3 % des traumatismes du genou. Lorsque le patient est vu en urgence avec une patella luxée, le diagnostic est évident. En revanche, il est souvent méconnu en cas de subluxation transitoire ou de luxation spontanément réduite. L’objectif de cette étude était d’évaluer l’intérêt de l’IRM dans les instabilités aiguës de la patella.
Matériel et méthodes Il s’agit d’une étude prospective faite sur 39 instabilités aiguës de la patella. Le protocole comportait un examen clinique réalisé par un médecin urgentiste, des radiographies systématiques (face, profil strict entre 30 et 45° de flexion, défilés fémoro-patellaires) et une IRM dans les 15jours suivant le traumatisme.
Résultats La série comportait 15 femmes et 24 hommes âgés en moyenne de 23±10,5 ans (11–46). Il s’agissait de 24 accidents de sport (61,5 %) et 15 accidents domestiques. Le mécanisme lésionnel correspondait dans 10 cas à un choc sur le bord médial de la patella, et dans 29 cas à une torsion du genou en valgus et rotation externe. L’examen clinique retrouvait 6 luxations de la patella (15,5 %) et 31 « gros genoux » (79,5 %). Dix neufs patients décrivaient un épisode de subluxation de la patella et 14 un « comportement anormal » du genou sans savoir exactement quoi (36 %). Les radiographies montraient une dysplasie de la trochlée fémorale dans 97,5 % des cas et des lésions ostéochondrales dans 20,5 % des cas. L’IRM a confirmé le diagnostic d’instabilité aiguë de la patella dans 37 cas soit une sensibilité de 95 %. Les lésions rencontrées étaient: 25 lésions (64 %) du ligament fémoro-patellaire médial (MPFL), 31 lésions de la patella (79,5 %) dont 25 œdèmes intra-osseux et 6 fractures-avulsions du bord médial, 31 lésions (79,5 %) du condyle latéral à type d’œdème intra-osseux, 11 lésions cartilagineuses (28 %) dont 7 fractures ostéochondrales et enfin il existait 3 lésions associées récentes du LCA et 2 lésions du ligament collatéral médial (LCM).
Conclusion L’IRM est indispensable dans les luxations et subluxations aiguës de la patella. Lorsque la symptomatologie est fruste, elle permet de confirmer aisément le diagnostic. Dans tous les cas, elle réalise un bilan exact des lésions, notamment cartilagineuses qui peuvent, lorsque le fragment est volumineux, conduire à une reposition chirurgicale en urgence.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=88106 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtOstéochondrite disséquante de la patella / L. Vilcoq in Journal de traumatologie du sport, Vol. 34, n°4 (Décembre 2017)
[article]
Titre : Ostéochondrite disséquante de la patella Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Vilcoq ; S. Besch Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 227-239 Langues : Français (fre) Mots-clés : Ostéochondrite Patella Résumé : L’ostéochondrite disséquante (OCD) est définie comme étant une altération localisée de la trophicité du tissu osseux épiphysaire et du cartilage en regard, pouvant amener à la libération d’un défect ostéo-cartilagineux au sein de l’articulation. Elle touche préférentiellement les adolescents masculins sportifs. L’atteinte des condyles fémoraux est la plus fréquente ; la localisation patellaire est rare. Son développement précis est encore inconnu aujourd’hui, bien que des microtraumatismes répétés associés à des lésions vasculaires soient fortement suspectés dans sa genèse. L’OCD de la patella peut intéresser aussi bien les enfants que les adultes. La forme juvénile évolue le plus souvent spontanément de manière favorable, contrairement à la forme adulte. La maladie évolue progressivement. Les signes cliniques sont aspécifiques. Ils varient suivant le stade évolutif. Initialement on retrouve des gonalgies d’horaire mécanique, majorées à l’effort, associées à des épisodes de gonflement articulaire. À un stade plus avancé, la libération du défect ostéo-cartilagineux entraîne des épisodes de blocage du genou associés à des gonalgies et à des épanchements à répétition. L’examen complémentaire de 1ère intention est la radiographie de genou. Cet examen facilement réalisable permet de visualiser la lésion ainsi que d’éliminer les nombreux diagnostics différentiels. On distingue trois stades radiologiques selon l’aspect lésionnel : le stade I correspond à une lacune ostéochondrale, le stade II à un nodule ostéochondral et le stade III à un nodule partiellement ou complètement détaché. L’IRM sera demandée en cas de stades II et III. Une prise en charge conservatrice est proposée en cas de stade I ou certains stades II du sujet jeune. L’arrêt des sollicitations excessives du genou est nécessaire pour une durée d’au moins trois mois. Un traitement chirurgical se discute pour les formes adultes ainsi que pour certains stades II et les stades III juvéniles. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=54966
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 34, n°4 (Décembre 2017) . - p. 227-239[article] Ostéochondrite disséquante de la patella [texte imprimé] / L. Vilcoq ; S. Besch . - 2017 . - p. 227-239.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 34, n°4 (Décembre 2017) . - p. 227-239
Mots-clés : Ostéochondrite Patella Résumé : L’ostéochondrite disséquante (OCD) est définie comme étant une altération localisée de la trophicité du tissu osseux épiphysaire et du cartilage en regard, pouvant amener à la libération d’un défect ostéo-cartilagineux au sein de l’articulation. Elle touche préférentiellement les adolescents masculins sportifs. L’atteinte des condyles fémoraux est la plus fréquente ; la localisation patellaire est rare. Son développement précis est encore inconnu aujourd’hui, bien que des microtraumatismes répétés associés à des lésions vasculaires soient fortement suspectés dans sa genèse. L’OCD de la patella peut intéresser aussi bien les enfants que les adultes. La forme juvénile évolue le plus souvent spontanément de manière favorable, contrairement à la forme adulte. La maladie évolue progressivement. Les signes cliniques sont aspécifiques. Ils varient suivant le stade évolutif. Initialement on retrouve des gonalgies d’horaire mécanique, majorées à l’effort, associées à des épisodes de gonflement articulaire. À un stade plus avancé, la libération du défect ostéo-cartilagineux entraîne des épisodes de blocage du genou associés à des gonalgies et à des épanchements à répétition. L’examen complémentaire de 1ère intention est la radiographie de genou. Cet examen facilement réalisable permet de visualiser la lésion ainsi que d’éliminer les nombreux diagnostics différentiels. On distingue trois stades radiologiques selon l’aspect lésionnel : le stade I correspond à une lacune ostéochondrale, le stade II à un nodule ostéochondral et le stade III à un nodule partiellement ou complètement détaché. L’IRM sera demandée en cas de stades II et III. Une prise en charge conservatrice est proposée en cas de stade I ou certains stades II du sujet jeune. L’arrêt des sollicitations excessives du genou est nécessaire pour une durée d’au moins trois mois. Un traitement chirurgical se discute pour les formes adultes ainsi que pour certains stades II et les stades III juvéniles. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=54966 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtAnomalies congénitales de l'appareil extenseur du genou / E. Mayrargue in EMC : Appareil locomoteur, (Août 2007)
[article]
Titre : Anomalies congénitales de l'appareil extenseur du genou Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Mayrargue ; A. Hamel ; S. Guillard Année de publication : 2007 Article en page(s) : 15-230-A-10 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Genou Luxation Flessum Recurvatum Congénital Patella Quadriceps Duplication Agénésie Résumé : Les pathologies congénitales de l'appareil extenseur du genou sont rares. Cependant elles doivent être connues pour être reconnues. Elles entrent souvent dans le cadre de syndromes polymalformatifs. Elles touchent soit le muscle quadricipital, soit la patella, soit les deux. Leur étiopathogénie n'est pas toujours très claire. La luxation congénitale de la patella est une luxation permanente et irréductible. Son traitement est chirurgical et le résultat est d'autant meilleur que le patient a été traité précocement. Les luxations congénitales du genou sont de gravité variable. Le genu recurvatum est la forme la plus fréquente et son évolution spontanée est favorable. En revanche, les formes plus graves sont de traitement plus difficile et la prise en charge initialement orthopédique doit être précoce. Certaines pathologies comme les agénésies patellaires, sont de diagnostic difficile et souvent retardé. Cette agénésie entre le plus souvent dans le cadre d'un syndrome polymalformatif et c'est parfois devant la suspicion d'un de ces syndromes que l'agénésie patellaire est remarquée. Pour ce qui est de la rétraction quadricipitale, elle est le plus souvent secondaire à une injection intramusculaire mais quelques cas congénitaux sont décrits. Les duplications patellaires vraies sont rares. Le plus souvent il s'agit de patellas bipartites qui ne nécessitent aucun traitement sauf si elles sont symptomatiques. Note de contenu : Introduction
Malformations quadricipitales
Luxation congénitale du genou
Aplasie et hypoplasie quadricipitale
Rétraction congénitale du muscle quadricipital
Malformations patellaires
Luxation congénitale de la patella
Agénésie de la patella
Duplications rotuliennes
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44084
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2007) . - 15-230-A-10 [Tome 6][article] Anomalies congénitales de l'appareil extenseur du genou [texte imprimé] / E. Mayrargue ; A. Hamel ; S. Guillard . - 2007 . - 15-230-A-10 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Août 2007) . - 15-230-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : Genou Luxation Flessum Recurvatum Congénital Patella Quadriceps Duplication Agénésie Résumé : Les pathologies congénitales de l'appareil extenseur du genou sont rares. Cependant elles doivent être connues pour être reconnues. Elles entrent souvent dans le cadre de syndromes polymalformatifs. Elles touchent soit le muscle quadricipital, soit la patella, soit les deux. Leur étiopathogénie n'est pas toujours très claire. La luxation congénitale de la patella est une luxation permanente et irréductible. Son traitement est chirurgical et le résultat est d'autant meilleur que le patient a été traité précocement. Les luxations congénitales du genou sont de gravité variable. Le genu recurvatum est la forme la plus fréquente et son évolution spontanée est favorable. En revanche, les formes plus graves sont de traitement plus difficile et la prise en charge initialement orthopédique doit être précoce. Certaines pathologies comme les agénésies patellaires, sont de diagnostic difficile et souvent retardé. Cette agénésie entre le plus souvent dans le cadre d'un syndrome polymalformatif et c'est parfois devant la suspicion d'un de ces syndromes que l'agénésie patellaire est remarquée. Pour ce qui est de la rétraction quadricipitale, elle est le plus souvent secondaire à une injection intramusculaire mais quelques cas congénitaux sont décrits. Les duplications patellaires vraies sont rares. Le plus souvent il s'agit de patellas bipartites qui ne nécessitent aucun traitement sauf si elles sont symptomatiques. Note de contenu : Introduction
Malformations quadricipitales
Luxation congénitale du genou
Aplasie et hypoplasie quadricipitale
Rétraction congénitale du muscle quadricipital
Malformations patellaires
Luxation congénitale de la patella
Agénésie de la patella
Duplications rotuliennes
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44084 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Anatomie et biomécanique de l'articulation fémoro-patellaire / MANDRINO Alain in Kinésithérapie scientifique, 411 (2001)
[article]
Titre : Anatomie et biomécanique de l'articulation fémoro-patellaire Type de document : texte imprimé Auteurs : MANDRINO Alain Année de publication : 2001 Article en page(s) : p. 5-8 Langues : Français (fre) Mots-clés : Biomécanique Anatomie Articulation fémoro-patellaire Patella Fémur Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=19670
in Kinésithérapie scientifique > 411 (2001) . - p. 5-8[article] Anatomie et biomécanique de l'articulation fémoro-patellaire [texte imprimé] / MANDRINO Alain . - 2001 . - p. 5-8.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 411 (2001) . - p. 5-8
Mots-clés : Biomécanique Anatomie Articulation fémoro-patellaire Patella Fémur Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=19670 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtControverse : faut-il opérer une première luxation patellaire ? (Réflexions à partir d’une revue de la littérature) - / Camille Choufani in Journal de traumatologie du sport, Vol.36, n°3 (Septembre 2019)
PermalinkDiagnostic clinique et paraclinique de la pathologie rotulienne / Elisabeth Brunet-Guedj in Kinésithérapie scientifique, 411 (2001)
PermalinkFracture bilatérale simultanée de rotule / L. THEFENNE in Journal de traumatologie du sport, vol. 26/1 (mars 2009)
PermalinkIntérêt de la radiologie standard dans le bilan des instabilités rotuliennes / DENIS Francois in Kinésithérapie scientifique, 411 (2001)
PermalinkManifestation de douleurs antérieures de genou chez une basketteuse : la maladie de Hoffa / B. Picart in Journal de traumatologie du sport, Vol.38, n°4 (Décembre 21)
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