Centre de documentation HELHa Gosselies
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Attention : pas plus de 3 outils par catégorie sur la même thématique (ex : Saint Nicolas, les fractions, les animaux de la ferme, ...)
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Auteur Patrick Conrath |
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Psychologues en EHPAD : à l'écoute des personnes âgées : dossier / Patrick Conrath in Le journal des psychologues, 336 (Avril 2016)
[article]
Titre : Psychologues en EHPAD : à l'écoute des personnes âgées : dossier Type de document : texte imprimé Auteurs : Patrick Conrath, Directeur de publication, rédacteur en chef Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 20-52 Langues : Français (fre) Mots-clés : psychologue vieillissement autonomie maladie d'Alzheimer Alzheimer Dépendance trouble cognitif mémoire maison de retraite maison de repos établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes accompagnement temps personne âgée couple attentat institution domicile Résumé : Les maisons de retraite, et plus particulièrement les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) sont devenus des lieux mieux armés sur le plan médical, dépoussiérant un peu ces institutions qui avaient et ont encore parfois une réputation douteuse. La bientraitance fait partie de ces protocoles qui peuvent améliorer le quotidien des résidents, l’aspect technologique, en ce qui concerne les psychologues, étant souvent assuré par les procédures neuropsychologiques aux fins de dépistage et d’objectivation de la détérioration mentale. Note de contenu : Bibliographie p. 51-52 Table des matières : Quand une perte d'autonomie précipite le départ de chez soi
- Quand le temps s'en mêle : la difficulté des temporalités en EHPAD
- Les appels incessants de la personne âgée
- Le devenir du couple en EHPAD
- Les personnes âgées en EHPAD et les attentats de 2015
- Une pratique singulière de psychologue à domicilePermalink : http://cdocs.helha.be/pmbgosselies/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=2508
in Le journal des psychologues > 336 (Avril 2016) . - p. 20-52[article] Psychologues en EHPAD : à l'écoute des personnes âgées : dossier [texte imprimé] / Patrick Conrath, Directeur de publication, rédacteur en chef . - 2016 . - p. 20-52.
Langues : Français (fre)
in Le journal des psychologues > 336 (Avril 2016) . - p. 20-52
Mots-clés : psychologue vieillissement autonomie maladie d'Alzheimer Alzheimer Dépendance trouble cognitif mémoire maison de retraite maison de repos établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes accompagnement temps personne âgée couple attentat institution domicile Résumé : Les maisons de retraite, et plus particulièrement les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) sont devenus des lieux mieux armés sur le plan médical, dépoussiérant un peu ces institutions qui avaient et ont encore parfois une réputation douteuse. La bientraitance fait partie de ces protocoles qui peuvent améliorer le quotidien des résidents, l’aspect technologique, en ce qui concerne les psychologues, étant souvent assuré par les procédures neuropsychologiques aux fins de dépistage et d’objectivation de la détérioration mentale. Note de contenu : Bibliographie p. 51-52 Table des matières : Quand une perte d'autonomie précipite le départ de chez soi
- Quand le temps s'en mêle : la difficulté des temporalités en EHPAD
- Les appels incessants de la personne âgée
- Le devenir du couple en EHPAD
- Les personnes âgées en EHPAD et les attentats de 2015
- Une pratique singulière de psychologue à domicilePermalink : http://cdocs.helha.be/pmbgosselies/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=2508 Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 18538 Archives JDP 336 Périodique Centre de documentation HELHa - Gosselies REVUES Inventaire 2023
DisponibleLes psychologues en instituts médico-éducatifs: au carrefour des pratiques [Dossier] / Maurice Villard in Le journal des psychologues, 352 (Novembre 2017)
[article]
Titre : Les psychologues en instituts médico-éducatifs: au carrefour des pratiques [Dossier] Type de document : texte imprimé Auteurs : Maurice Villard, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Patrick Conrath, Directeur de publication, rédacteur en chef Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 11-34 Note générale : Dossier de 5 articles Langues : Français (fre) Note de contenu : Bibliographie Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgosselies/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3117
in Le journal des psychologues > 352 (Novembre 2017) . - p. 11-34[article] Les psychologues en instituts médico-éducatifs: au carrefour des pratiques [Dossier] [texte imprimé] / Maurice Villard, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Patrick Conrath, Directeur de publication, rédacteur en chef . - 2017 . - p. 11-34.
Dossier de 5 articles
Langues : Français (fre)
in Le journal des psychologues > 352 (Novembre 2017) . - p. 11-34
Note de contenu : Bibliographie Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgosselies/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3117 Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 20046 Archives JDP 352 Périodique Centre de documentation HELHa - Gosselies REVUES Inventaire 2023
DisponibleQuelle déontologie pour les psychologues ? : Dossier / Delphine Goetgheluck in Le journal des psychologues, 337 (Mai 2016)
[article]
Titre : Quelle déontologie pour les psychologues ? : Dossier Type de document : texte imprimé Auteurs : Delphine Goetgheluck, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Patrick Conrath, Directeur de publication, rédacteur en chef Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 16-45 Langues : Français (fre) Mots-clés : déontologie psychologue code de déontologie Résumé : La profession de psychologue, dont l’un des objectifs est de mettre du sens sur les conduites, comportements et ressentis, se prévaut d’un exercice respectueux de sa déontologie. Mais quand les psychologues parlent de déontologie, de quoi et de laquelle parlent-ils ? Pourquoi cet attachement à ce qui est censé servir d’étayage pour l’élaboration de nos postures professionnelles ?
C’est de l’identité d’une profession dont il est question derrière cette interrogation sur la déontologie. Et l’on peut se demander en quoi ce rapport à la fois revendicateur et conflictuel à la réglementation est révélateur de ce qui semble être au cœur de cette profession : le sens critique.
Lors de la recherche d’un consensus sur la définition des prérequis au titre de psychologue, en 1985, et pour l’écriture de la loi, obligation a été faite d’abandonner l’idée d’une réglementation d’une déontologie commune pour l’ensemble de notre profession sous peine de ne pas voir aboutir le projet de loi. Néanmoins, et quand bien même cela ait pris du temps, un texte commun a vu le jour en 1996. Depuis, son actualisation de 2012 n’a pas été signée par tous, le Snp a proposé un autre type d’écriture fondé sur le référentiel juridique en la matière et, entre-temps, le Spel a également édité son projet, tout comme l’association Psp…
De fait, des psychologues voient leur contrat adossé à un code, d’autres se voient refuser les conditions propices à la simple confidentialité des échanges ; il est demandé de rendre des comptes sur certains contenus de nos pratiques, posant alors le problème du respect de la vie privée des personnes que nous rencontrons ; certains d’entre nous expérimentent de nouvelles modalités d’intervention au cœur desquelles le respect de l’éthique et des règles déontologiques est mis en danger, etc.
Alors que voulons-nous pour nous-même et pour nos interlocuteurs ? Il y va autant du sens de notre profession que de sa crédibilité auprès du public. Car il serait bien qu’à la question : « Qui puis-je aller consulter ? », la réponse soit : « Un psychologue. » Avec pour seul corollaire le choix de son orientation de travail. Que notre fiabilité, notre sens de la protection et du respect des personnes, que les fondements de notre démarche soient une garantie pour chacun de ne pas se mettre en danger psychiquement dans notre rencontre.
Le débat n’est pas nouveau, mais il est réactivé aujourd’hui, et l’idée de trouver un dénominateur commun à toutes les attentes et exigences en la matière semble se dessiner suffisamment pour espérer. Les deux dernières grandes consultations lancées sur Internet, respectivement en août par le Snp et en ce début d’année par le GIRéDeP, en témoignent.
Ce dossier livre des éléments de compréhension de l’histoire de notre profession au regard de sa déontologie, sur les écrits et structures qui existent actuellement, et sur des réflexions en cours au sein d’instances organisationnelles de notre profession.Table des matières : 30 ans après le titre : le code et la profession
- L'unité par la déontologie
- La CNCDP : 20 ans pour la déontologie des psychologues
- Quelles évolutions pour la déontologie des psychologues en France : propositions du GIRéDép
- La Coreli : une voie vers une déontologie responsabilisée
- Pourquoi un Haut conseil des psychologues est indispensable
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgosselies/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=2541
in Le journal des psychologues > 337 (Mai 2016) . - p. 16-45[article] Quelle déontologie pour les psychologues ? : Dossier [texte imprimé] / Delphine Goetgheluck, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Patrick Conrath, Directeur de publication, rédacteur en chef . - 2016 . - p. 16-45.
Langues : Français (fre)
in Le journal des psychologues > 337 (Mai 2016) . - p. 16-45
Mots-clés : déontologie psychologue code de déontologie Résumé : La profession de psychologue, dont l’un des objectifs est de mettre du sens sur les conduites, comportements et ressentis, se prévaut d’un exercice respectueux de sa déontologie. Mais quand les psychologues parlent de déontologie, de quoi et de laquelle parlent-ils ? Pourquoi cet attachement à ce qui est censé servir d’étayage pour l’élaboration de nos postures professionnelles ?
C’est de l’identité d’une profession dont il est question derrière cette interrogation sur la déontologie. Et l’on peut se demander en quoi ce rapport à la fois revendicateur et conflictuel à la réglementation est révélateur de ce qui semble être au cœur de cette profession : le sens critique.
Lors de la recherche d’un consensus sur la définition des prérequis au titre de psychologue, en 1985, et pour l’écriture de la loi, obligation a été faite d’abandonner l’idée d’une réglementation d’une déontologie commune pour l’ensemble de notre profession sous peine de ne pas voir aboutir le projet de loi. Néanmoins, et quand bien même cela ait pris du temps, un texte commun a vu le jour en 1996. Depuis, son actualisation de 2012 n’a pas été signée par tous, le Snp a proposé un autre type d’écriture fondé sur le référentiel juridique en la matière et, entre-temps, le Spel a également édité son projet, tout comme l’association Psp…
De fait, des psychologues voient leur contrat adossé à un code, d’autres se voient refuser les conditions propices à la simple confidentialité des échanges ; il est demandé de rendre des comptes sur certains contenus de nos pratiques, posant alors le problème du respect de la vie privée des personnes que nous rencontrons ; certains d’entre nous expérimentent de nouvelles modalités d’intervention au cœur desquelles le respect de l’éthique et des règles déontologiques est mis en danger, etc.
Alors que voulons-nous pour nous-même et pour nos interlocuteurs ? Il y va autant du sens de notre profession que de sa crédibilité auprès du public. Car il serait bien qu’à la question : « Qui puis-je aller consulter ? », la réponse soit : « Un psychologue. » Avec pour seul corollaire le choix de son orientation de travail. Que notre fiabilité, notre sens de la protection et du respect des personnes, que les fondements de notre démarche soient une garantie pour chacun de ne pas se mettre en danger psychiquement dans notre rencontre.
Le débat n’est pas nouveau, mais il est réactivé aujourd’hui, et l’idée de trouver un dénominateur commun à toutes les attentes et exigences en la matière semble se dessiner suffisamment pour espérer. Les deux dernières grandes consultations lancées sur Internet, respectivement en août par le Snp et en ce début d’année par le GIRéDeP, en témoignent.
Ce dossier livre des éléments de compréhension de l’histoire de notre profession au regard de sa déontologie, sur les écrits et structures qui existent actuellement, et sur des réflexions en cours au sein d’instances organisationnelles de notre profession.Table des matières : 30 ans après le titre : le code et la profession
- L'unité par la déontologie
- La CNCDP : 20 ans pour la déontologie des psychologues
- Quelles évolutions pour la déontologie des psychologues en France : propositions du GIRéDép
- La Coreli : une voie vers une déontologie responsabilisée
- Pourquoi un Haut conseil des psychologues est indispensable
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgosselies/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=2541 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 18677 Archives JDP 337 Périodique Centre de documentation HELHa - Gosselies REVUES Inventaire 2023
DisponibleUn récepteur neuronal de la douleur / Bernard Calvino in L'Essentiel Cerveau & Psycho, 17 (Février-Mars-Avril 2014)
[article]
Titre : Un récepteur neuronal de la douleur Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard Calvino, Auteur ; Patrick Conrath, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 16-22 Langues : Français (fre) Mots-clés : neurone douleur cerveau Résumé : La sensation de chaleur et la douleur dues au piment mettent en jeu un récepteur présent dans la bouche et la peau. Dans le cerveau, ce récepteur participe aussi aux douleurs chroniques. Table des matières : Le récepteur TRPV1
- La chaleur douloureuse
- De l'environnement à la cellule
- L'acidité et l'inflammation sensibilisent le récepteur
- Une faible stimulation provoque une douleur
- Une excitabilité douloureuse qui perdure
- TRPV1 est de plus en plus sensible
- Atténuer la douleur
- TRPV1 est présent dans le cerveau
- Le contrôle de la douleurPermalink : http://cdocs.helha.be/pmbgosselies/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=2267
in L'Essentiel Cerveau & Psycho > 17 (Février-Mars-Avril 2014) . - p. 16-22[article] Un récepteur neuronal de la douleur [texte imprimé] / Bernard Calvino, Auteur ; Patrick Conrath, Auteur . - 2014 . - p. 16-22.
Langues : Français (fre)
in L'Essentiel Cerveau & Psycho > 17 (Février-Mars-Avril 2014) . - p. 16-22
Mots-clés : neurone douleur cerveau Résumé : La sensation de chaleur et la douleur dues au piment mettent en jeu un récepteur présent dans la bouche et la peau. Dans le cerveau, ce récepteur participe aussi aux douleurs chroniques. Table des matières : Le récepteur TRPV1
- La chaleur douloureuse
- De l'environnement à la cellule
- L'acidité et l'inflammation sensibilisent le récepteur
- Une faible stimulation provoque une douleur
- Une excitabilité douloureuse qui perdure
- TRPV1 est de plus en plus sensible
- Atténuer la douleur
- TRPV1 est présent dans le cerveau
- Le contrôle de la douleurPermalink : http://cdocs.helha.be/pmbgosselies/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=2267 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 18115 Archives ESS 17 Périodique Centre de documentation HELHa - Gosselies REVUES Inventaire 2023
DisponibleRegards sur le handicap: du vécu aux représentations [Dossier] / Patrick Conrath in Le journal des psychologues, 304 (Février 2013)
[article]
Titre : Regards sur le handicap: du vécu aux représentations [Dossier] Type de document : texte imprimé Auteurs : Patrick Conrath, Directeur de publication, rédacteur en chef Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 12-58 Note générale : Article issu du dossier "Regards sur le handicap: du vécu aux représentations" Langues : Français (fre) Résumé : "Désormais, on ne parle plus que de la personne en « situation de handicap » : une terminologie qui nous a délivrés avec bonheur du signifiant « handicapé », stigmate qui réduisait chacun à une situation invalidante particulière.
Néanmoins, cette définition nous emprisonne toujours dans une conception où l’individu est, certes, une personne, mais où, par un autre glissement, cette personne se trouve réduite à une situation. Et que savons-nous de cette situation, sinon les projections identificatoires, les jeux de miroir, les élans de compassion ou de dédain qui nous animent à notre corps défendant ? Il ne s’agit pas de cerner au plus près qui est la personne dite en situation « pas comme les autres », mais bien de reconnaître qu’elle se dérobe, qu’elle nous échappe, comme chaque sujet.
3
Peut-être que là où la reconnaissance du handicap prend toute sa pertinence, c’est lorsque l’on accepte, l’on perçoit, qu’elle nous apporte quelque chose de nouveau, qu’elle représente un plus : le handicap tel qu’il est parlé, présenté par les personnes qui le portent, nous entraîne dans une interrogation sur notre propre statut et notre insuffisance à percevoir le monde comme il est, avec la richesse de ses différences, celle des autres et les nôtres, dont on attend d’autrui qu’il les accepte. Ainsi, l’altérité et sa reconnaissance concernent, par un jeu permanent de réciprocité de perception, autant nous que l’autre.
Aussi, quoi de plus naturel que d’essayer d’entendre ce que nous disent ces personnes de leur handicap, bien sûr, mais aussi et surtout de leur parcours de vie, de leurs craintes et de leurs espoirs ? Quoi de plus fondamental et de plus partagé que la sexualité ? Dans la manière d’aborder la vie, l’espace, l’environnement, dans la place que chacun attend dans la société, il y a bien peu de différences entre les attentes fondamentales des uns et des autres. Plus que jamais, la personne en situation de handicap nécessite un autre regard, regard qui se fait par l’écoute de chaque sujet dans sa totalité."Note de contenu : Bibliographie p. 55 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgosselies/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3261
in Le journal des psychologues > 304 (Février 2013) . - p. 12-58[article] Regards sur le handicap: du vécu aux représentations [Dossier] [texte imprimé] / Patrick Conrath, Directeur de publication, rédacteur en chef . - 2013 . - p. 12-58.
Article issu du dossier "Regards sur le handicap: du vécu aux représentations"
Langues : Français (fre)
in Le journal des psychologues > 304 (Février 2013) . - p. 12-58
Résumé : "Désormais, on ne parle plus que de la personne en « situation de handicap » : une terminologie qui nous a délivrés avec bonheur du signifiant « handicapé », stigmate qui réduisait chacun à une situation invalidante particulière.
Néanmoins, cette définition nous emprisonne toujours dans une conception où l’individu est, certes, une personne, mais où, par un autre glissement, cette personne se trouve réduite à une situation. Et que savons-nous de cette situation, sinon les projections identificatoires, les jeux de miroir, les élans de compassion ou de dédain qui nous animent à notre corps défendant ? Il ne s’agit pas de cerner au plus près qui est la personne dite en situation « pas comme les autres », mais bien de reconnaître qu’elle se dérobe, qu’elle nous échappe, comme chaque sujet.
3
Peut-être que là où la reconnaissance du handicap prend toute sa pertinence, c’est lorsque l’on accepte, l’on perçoit, qu’elle nous apporte quelque chose de nouveau, qu’elle représente un plus : le handicap tel qu’il est parlé, présenté par les personnes qui le portent, nous entraîne dans une interrogation sur notre propre statut et notre insuffisance à percevoir le monde comme il est, avec la richesse de ses différences, celle des autres et les nôtres, dont on attend d’autrui qu’il les accepte. Ainsi, l’altérité et sa reconnaissance concernent, par un jeu permanent de réciprocité de perception, autant nous que l’autre.
Aussi, quoi de plus naturel que d’essayer d’entendre ce que nous disent ces personnes de leur handicap, bien sûr, mais aussi et surtout de leur parcours de vie, de leurs craintes et de leurs espoirs ? Quoi de plus fondamental et de plus partagé que la sexualité ? Dans la manière d’aborder la vie, l’espace, l’environnement, dans la place que chacun attend dans la société, il y a bien peu de différences entre les attentes fondamentales des uns et des autres. Plus que jamais, la personne en situation de handicap nécessite un autre regard, regard qui se fait par l’écoute de chaque sujet dans sa totalité."Note de contenu : Bibliographie p. 55 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgosselies/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=3261 Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 20464 ARCHIVES JDP 304 Périodique Centre de documentation HELHa - Gosselies REVUES Inventaire 2023
Sorti jusqu'au 13/05/2024Statut des psychologues de l'Education nationale : Le ministère doit revoir sa copie / Delphine Goetgheluck in Le journal des psychologues, 316 (Avril 2014)
PermalinkLe titre de psychologue a trente ans : quel avenir pour la profession ? / Patrick Conrath in Le journal des psychologues, 334 (Février 2016)
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