Centre de Documentation Campus Montignies
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Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation fermera à 17h30 ce jeudi 28 novembre
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Kinésithérapie, la revue . 266Mention de date : février 2024 Paru le : 01/02/2024 |
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Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierÀ la recherche du tour de la chaise du « Get-up and Go Test ». « Lost in translation », un exemple de transmission d’erreurs dans la littérature / Xavier Pons in Kinésithérapie, la revue, 266 (février 2024)
[article]
Titre : À la recherche du tour de la chaise du « Get-up and Go Test ». « Lost in translation », un exemple de transmission d’erreurs dans la littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : Xavier Pons ; Freitas-Azvedo ; Séif Arfa ; Frédéric André ; Anne Damême ; Marta Moriano Nunez ; Jessica Bouguen Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 35-39 Langues : Français (fre) Mots-clés : Gériatrie Get-up and Go test (GUG) Timed Up & Go test (TUG) Traduction Transmissions des connaissances scientifiques Résumé : Les tests Timed Up & Go et Get-up and go test sont différents, mais il semble exister une certaine confusion entre ces deux tests. Dans une des recommandations françaises de la Haute Autorité de Santé, le tour de la chaise avant de se rasseoir, présent dans le Get-up and go , semble être la différence essentielle entre les deux tests. Néanmoins on ne retrouve pas cette distinction dans toutes les sources. La recherche effectuée pour résoudre cette contradiction a amené à identifier à la fois une erreur de traduction et une erreur de citations perpétuelles. La procédure du Get-up and go ne comporte pas de tour de la chaise avant de se rasseoir. Cet article permet également de mettre en lumière quelques critères afin de limiter les erreurs dans la transmission des connaissances via la littérature scientifique. La lecture des articles originaux constitue une des clés. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115804
in Kinésithérapie, la revue > 266 (février 2024) . - p. 35-39[article] À la recherche du tour de la chaise du « Get-up and Go Test ». « Lost in translation », un exemple de transmission d’erreurs dans la littérature [texte imprimé] / Xavier Pons ; Freitas-Azvedo ; Séif Arfa ; Frédéric André ; Anne Damême ; Marta Moriano Nunez ; Jessica Bouguen . - 2024 . - p. 35-39.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 266 (février 2024) . - p. 35-39
Mots-clés : Gériatrie Get-up and Go test (GUG) Timed Up & Go test (TUG) Traduction Transmissions des connaissances scientifiques Résumé : Les tests Timed Up & Go et Get-up and go test sont différents, mais il semble exister une certaine confusion entre ces deux tests. Dans une des recommandations françaises de la Haute Autorité de Santé, le tour de la chaise avant de se rasseoir, présent dans le Get-up and go , semble être la différence essentielle entre les deux tests. Néanmoins on ne retrouve pas cette distinction dans toutes les sources. La recherche effectuée pour résoudre cette contradiction a amené à identifier à la fois une erreur de traduction et une erreur de citations perpétuelles. La procédure du Get-up and go ne comporte pas de tour de la chaise avant de se rasseoir. Cet article permet également de mettre en lumière quelques critères afin de limiter les erreurs dans la transmission des connaissances via la littérature scientifique. La lecture des articles originaux constitue une des clés. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115804 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtEnquête nationale sur l’enseignement de l’éducation thérapeutique du patient au sein des instituts de formation en masso-kinésithérapie / Mathieu Berthelot in Kinésithérapie, la revue, 266 (février 2024)
[article]
Titre : Enquête nationale sur l’enseignement de l’éducation thérapeutique du patient au sein des instituts de formation en masso-kinésithérapie Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathieu Berthelot ; Claire Marchand Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 9-17 Langues : Français (fre) Mots-clés : Éducation du patient comme sujet éducation thérapeutique Résumé : Introduction.
La participation à un programme d’éducation thérapeutique du patient nécessite une formation. Depuis la réforme du diplôme d’État de masso-kinésithérapie, elle est intégrée dans le référentiel de compétences. L’objectif de cette enquête nationale était de réaliser un état des lieux de ces enseignements au sein des Instituts de Formation en Masso-Kinésithérapie.
Matériel et méthodes.
Un questionnaire auto-administré qui portait sur l’enseignement de cette approche a été diffusé auprès des 52 instituts de France. Il explorait l’organisation, l’évaluation, le profil des formateurs, les terrains de stage et les difficultés rencontrées.
Résultats.
Sur 32 répondants, 29 enseignaient cette approche. Les modalités pédagogiques utilisées suivaient les recommandations. Seuls 28 % des formateurs possédaient le niveau requis ; cinq équipes incluaient des patients-intervenants. Un manque de terrains de stage était relevé par 24 répondants.
Discussion.
L’enseignement de l’éducation thérapeutique du patient est intégré au sein des instituts, ce qui favorise l’évolution des pratiques professionnelles. Il convient d’optimiser les équipes pédagogiques. Le manque de terrains de stage nuit au développement de compétences.
Niveau de preuve NC.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115809
in Kinésithérapie, la revue > 266 (février 2024) . - p. 9-17[article] Enquête nationale sur l’enseignement de l’éducation thérapeutique du patient au sein des instituts de formation en masso-kinésithérapie [texte imprimé] / Mathieu Berthelot ; Claire Marchand . - 2024 . - p. 9-17.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 266 (février 2024) . - p. 9-17
Mots-clés : Éducation du patient comme sujet éducation thérapeutique Résumé : Introduction.
La participation à un programme d’éducation thérapeutique du patient nécessite une formation. Depuis la réforme du diplôme d’État de masso-kinésithérapie, elle est intégrée dans le référentiel de compétences. L’objectif de cette enquête nationale était de réaliser un état des lieux de ces enseignements au sein des Instituts de Formation en Masso-Kinésithérapie.
Matériel et méthodes.
Un questionnaire auto-administré qui portait sur l’enseignement de cette approche a été diffusé auprès des 52 instituts de France. Il explorait l’organisation, l’évaluation, le profil des formateurs, les terrains de stage et les difficultés rencontrées.
Résultats.
Sur 32 répondants, 29 enseignaient cette approche. Les modalités pédagogiques utilisées suivaient les recommandations. Seuls 28 % des formateurs possédaient le niveau requis ; cinq équipes incluaient des patients-intervenants. Un manque de terrains de stage était relevé par 24 répondants.
Discussion.
L’enseignement de l’éducation thérapeutique du patient est intégré au sein des instituts, ce qui favorise l’évolution des pratiques professionnelles. Il convient d’optimiser les équipes pédagogiques. Le manque de terrains de stage nuit au développement de compétences.
Niveau de preuve NC.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115809 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtIntérêt de coupler le massage, l’alimentation et la posture pour réduire la douleur chez les nouveau-nés prématurés dans les unités de soins kangourou : une revue systématique / Lucie Maurouard in Kinésithérapie, la revue, 266 (février 2024)
[article]
Titre : Intérêt de coupler le massage, l’alimentation et la posture pour réduire la douleur chez les nouveau-nés prématurés dans les unités de soins kangourou : une revue systématique Type de document : texte imprimé Auteurs : Lucie Maurouard ; Maxime Auzou ; Mathilde Collet Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 40-52 Langues : Français (fre) Mots-clés : Prématuré Gestion de la douleur Méthode mère kangourou Douleur Massage Méthodes d’alimentation Nouveau-né prématuré Posture Résumé : Introduction
La gestion de la douleur chez les nouveau-nés prématurés en unités de soins mère kangourou occupe une place prédominante dans la prise en charge de ces patients. Le massage, l’alimentation et la posture en peau à peau sont trois méthodes non-pharmacologiques élémentaires utilisées pour gérer cette douleur.
Objectif
L’objectif principal de cette étude était d’émettre des recommandations sur les différentes techniques choisies et recensées dans la littérature : le massage, l’alimentation et la posture.
Matériel et méthodes
Cette revue systématique s’est appuyée sur les recommandations PRISMA 2020. La recherche d’articles a été réalisée de novembre 2020 à décembre 2022 dans les base de données PubMed, Cochrane et Pediatrics selon les mots clés : nouveau-nés prématurés, comparaison à un autre traitement, recevoir l’intervention. La qualité méthodologie des études a été déterminée au moyen de l’échelle PEDro. La douleur était l’unique paramètre étudié.
Résultats
Quatorze essais contrôlés randomisés ont été inclus dans l’étude parmi les 376 études identifiées. Treize avaient un niveau de preuve 1 (score PEDro?7), le dernier un niveau de preuve 2 (score PEDro<7). Le massage, l’alimentation et la posture ont montré un effet significativement positif sur le critère de jugement de la douleur.
Discussion
Cette revue systématique permet de conclure que ces techniques sont efficaces indépendamment les unes des autres. Les associer lors des soins est donc indispensable. Il est conseillé aux professionnels de santé des unités de soins mère kangourou d’ajouter ces techniques à leur prise en charge afin d’obtenir une moindre douleur lors des actes médicaux. Ces techniques peuvent également être pratiquées par les parents.
Niveau de preuve NA.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115812
in Kinésithérapie, la revue > 266 (février 2024) . - p. 40-52[article] Intérêt de coupler le massage, l’alimentation et la posture pour réduire la douleur chez les nouveau-nés prématurés dans les unités de soins kangourou : une revue systématique [texte imprimé] / Lucie Maurouard ; Maxime Auzou ; Mathilde Collet . - 2024 . - p. 40-52.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 266 (février 2024) . - p. 40-52
Mots-clés : Prématuré Gestion de la douleur Méthode mère kangourou Douleur Massage Méthodes d’alimentation Nouveau-né prématuré Posture Résumé : Introduction
La gestion de la douleur chez les nouveau-nés prématurés en unités de soins mère kangourou occupe une place prédominante dans la prise en charge de ces patients. Le massage, l’alimentation et la posture en peau à peau sont trois méthodes non-pharmacologiques élémentaires utilisées pour gérer cette douleur.
Objectif
L’objectif principal de cette étude était d’émettre des recommandations sur les différentes techniques choisies et recensées dans la littérature : le massage, l’alimentation et la posture.
Matériel et méthodes
Cette revue systématique s’est appuyée sur les recommandations PRISMA 2020. La recherche d’articles a été réalisée de novembre 2020 à décembre 2022 dans les base de données PubMed, Cochrane et Pediatrics selon les mots clés : nouveau-nés prématurés, comparaison à un autre traitement, recevoir l’intervention. La qualité méthodologie des études a été déterminée au moyen de l’échelle PEDro. La douleur était l’unique paramètre étudié.
Résultats
Quatorze essais contrôlés randomisés ont été inclus dans l’étude parmi les 376 études identifiées. Treize avaient un niveau de preuve 1 (score PEDro?7), le dernier un niveau de preuve 2 (score PEDro<7). Le massage, l’alimentation et la posture ont montré un effet significativement positif sur le critère de jugement de la douleur.
Discussion
Cette revue systématique permet de conclure que ces techniques sont efficaces indépendamment les unes des autres. Les associer lors des soins est donc indispensable. Il est conseillé aux professionnels de santé des unités de soins mère kangourou d’ajouter ces techniques à leur prise en charge afin d’obtenir une moindre douleur lors des actes médicaux. Ces techniques peuvent également être pratiquées par les parents.
Niveau de preuve NA.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115812 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtIntérêt de l’entraînement en restriction de flux sanguin associé aux exercices aérobies en rééducation : une revue de portée / Maximilien Reverdy in Kinésithérapie, la revue, 266 (février 2024)
[article]
Titre : Intérêt de l’entraînement en restriction de flux sanguin associé aux exercices aérobies en rééducation : une revue de portée Type de document : texte imprimé Auteurs : Maximilien Reverdy ; Maël Stephan ; Arnaud Daufrène Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 18-28 Langues : Français (fre) Mots-clés : Exercice physique Blood flow restriction Exercice aérobie, Force Hypertrophie Rating of perceived exertion VO2 max Résumé : Contexte
L’entraînement en restriction de flux sanguin (blood flow restriction ) est largement utilisé en combinaison avec des exercices en résistance en rééducation, mais rarement en combinaison avec des exercices aérobies. L’objectif de cette revue était de savoir si son utilisation, en association avec les exercices aérobies, peut être pertinente en rééducation. Pour ce faire, ses effets sur la VO2 max, la force, l’hypertrophie et la perception de l’effort ont été étudiés au moyen d’une revue de littérature.
Méthodes
Une revue de portée a été réalisée ; 10 bases de données ont été consultées.
Résultats
Quarante-sept études ont été incluses dans la revue. Les résultats montrent une tendance à l’amélioration de la VO2 max, de la force et de l’hypertrophie, indépendamment de l’âge, de la santé ou de la condition physique des sujets. Les résultats montrent également une augmentation de la perception de l’effort lorsque la restriction du flux sanguin est ajoutée pendant l’exercice aérobie.
Conclusion
L’utilisation de la restriction du flux sanguin en association avec l’exercice aérobie peut être pertinente en rééducation pour améliorer la VO2 max, la force et l’hypertrophie, indépendamment de l’âge, de la forme physique ou de l’état de santé de l’individu, tant que le thérapeute gère la tolérance à l’effort du patient.
Niveau de preuve 2.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115813
in Kinésithérapie, la revue > 266 (février 2024) . - p. 18-28[article] Intérêt de l’entraînement en restriction de flux sanguin associé aux exercices aérobies en rééducation : une revue de portée [texte imprimé] / Maximilien Reverdy ; Maël Stephan ; Arnaud Daufrène . - 2024 . - p. 18-28.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 266 (février 2024) . - p. 18-28
Mots-clés : Exercice physique Blood flow restriction Exercice aérobie, Force Hypertrophie Rating of perceived exertion VO2 max Résumé : Contexte
L’entraînement en restriction de flux sanguin (blood flow restriction ) est largement utilisé en combinaison avec des exercices en résistance en rééducation, mais rarement en combinaison avec des exercices aérobies. L’objectif de cette revue était de savoir si son utilisation, en association avec les exercices aérobies, peut être pertinente en rééducation. Pour ce faire, ses effets sur la VO2 max, la force, l’hypertrophie et la perception de l’effort ont été étudiés au moyen d’une revue de littérature.
Méthodes
Une revue de portée a été réalisée ; 10 bases de données ont été consultées.
Résultats
Quarante-sept études ont été incluses dans la revue. Les résultats montrent une tendance à l’amélioration de la VO2 max, de la force et de l’hypertrophie, indépendamment de l’âge, de la santé ou de la condition physique des sujets. Les résultats montrent également une augmentation de la perception de l’effort lorsque la restriction du flux sanguin est ajoutée pendant l’exercice aérobie.
Conclusion
L’utilisation de la restriction du flux sanguin en association avec l’exercice aérobie peut être pertinente en rééducation pour améliorer la VO2 max, la force et l’hypertrophie, indépendamment de l’âge, de la forme physique ou de l’état de santé de l’individu, tant que le thérapeute gère la tolérance à l’effort du patient.
Niveau de preuve 2.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115813 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtL’arthroscopie du genou est-elle utile en cas de modifications dégénératives ? / Colette Widmer Leu in Kinésithérapie, la revue, 266 (février 2024)
[article]
Titre : L’arthroscopie du genou est-elle utile en cas de modifications dégénératives ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Colette Widmer Leu ; Dominique Monnin Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 29-30 Langues : Français (fre) Mots-clés : Gonarthrose Techniques de physiothérapie Résumé : Les maladies dégénératives du genou (arthrose du genou avec ou sans lésions méniscales) constituent une cause de handicap très répandue. Avec l’allongement de l’espérance de vie et l’augmentation de l’obésité, leur prévalence augmente dans le monde entier.
Dans la mise à jour d’une revue de 2017, O’Connor et al . [1] ont comparé les avantages et les inconvénients de la chirurgie arthroscopique – y compris le débridement, la méniscectomie partielle ou les deux – avec la chirurgie placebo ou le traitement non chirurgical chez des personnes atteintes de maladies dégénératives du genou. Les principaux critères d’évaluation étaient la douleur, la fonction, le succès du traitement ressenti par les participants, la qualité de vie liée à la santé avec un accent sur les douleurs du genou, les événements indésirables (graves et généraux) et la chirurgie du genou (remplacement de l’articulation ou ostéotomie).Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115815
in Kinésithérapie, la revue > 266 (février 2024) . - p. 29-30[article] L’arthroscopie du genou est-elle utile en cas de modifications dégénératives ? [texte imprimé] / Colette Widmer Leu ; Dominique Monnin . - 2024 . - p. 29-30.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 266 (février 2024) . - p. 29-30
Mots-clés : Gonarthrose Techniques de physiothérapie Résumé : Les maladies dégénératives du genou (arthrose du genou avec ou sans lésions méniscales) constituent une cause de handicap très répandue. Avec l’allongement de l’espérance de vie et l’augmentation de l’obésité, leur prévalence augmente dans le monde entier.
Dans la mise à jour d’une revue de 2017, O’Connor et al . [1] ont comparé les avantages et les inconvénients de la chirurgie arthroscopique – y compris le débridement, la méniscectomie partielle ou les deux – avec la chirurgie placebo ou le traitement non chirurgical chez des personnes atteintes de maladies dégénératives du genou. Les principaux critères d’évaluation étaient la douleur, la fonction, le succès du traitement ressenti par les participants, la qualité de vie liée à la santé avec un accent sur les douleurs du genou, les événements indésirables (graves et généraux) et la chirurgie du genou (remplacement de l’articulation ou ostéotomie).Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115815 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLa kinésithérapie virtuelle, un énorme pas en avant pour la profession ? / Youness Azemmour in Kinésithérapie, la revue, 266 (février 2024)
[article]
Titre : La kinésithérapie virtuelle, un énorme pas en avant pour la profession ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Youness Azemmour Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 1-2 Langues : Français (fre) Mots-clés : Télémédecine E-santé Kinésithérapie virtuelle Technologie de l’information et de communication Télé-médecine Résumé : Le télé-soin permet d’offrir des services de rééducation à domicile pour les patients, appelés « télé-rééducation », dont la kinésithérapie virtuelle fait partie intégrante. Cette approche permet de surpasser les barrières d’accès au soin aussi bien physiques et financières que motivationnelles. Plusieurs méthodes de la kinésithérapie virtuelle, seules ou associées à la kinésithérapie traditionnelle, ont été étudiées dans plusieurs contextes cliniques. Selon Suso-Martí et al., elle offre des résultats cliniques positifs sur les fonctions physiques, voire comparables aux effets d’interventions délivrées par un kinésithérapeute chez les patients atteints de troubles neurologiques Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115821
in Kinésithérapie, la revue > 266 (février 2024) . - p. 1-2[article] La kinésithérapie virtuelle, un énorme pas en avant pour la profession ? [texte imprimé] / Youness Azemmour . - 2024 . - p. 1-2.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 266 (février 2024) . - p. 1-2
Mots-clés : Télémédecine E-santé Kinésithérapie virtuelle Technologie de l’information et de communication Télé-médecine Résumé : Le télé-soin permet d’offrir des services de rééducation à domicile pour les patients, appelés « télé-rééducation », dont la kinésithérapie virtuelle fait partie intégrante. Cette approche permet de surpasser les barrières d’accès au soin aussi bien physiques et financières que motivationnelles. Plusieurs méthodes de la kinésithérapie virtuelle, seules ou associées à la kinésithérapie traditionnelle, ont été étudiées dans plusieurs contextes cliniques. Selon Suso-Martí et al., elle offre des résultats cliniques positifs sur les fonctions physiques, voire comparables aux effets d’interventions délivrées par un kinésithérapeute chez les patients atteints de troubles neurologiques Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115821 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtPourquoi faut-il remettre en cause l’existence d’une « sidération réflexe du quadriceps » après une intervention chirurgicale sur le genou / Roland Sultana in Kinésithérapie, la revue, 266 (février 2024)
[article]
Titre : Pourquoi faut-il remettre en cause l’existence d’une « sidération réflexe du quadriceps » après une intervention chirurgicale sur le genou Type de document : texte imprimé Auteurs : Roland Sultana ; Serge Mesure Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 53-54 Langues : Français (fre) Mots-clés : Muscle quadriceps fémoral neurapraxie Résumé : Dans les interventions chirurgicales du genou réalisées sous garrot, on sait depuis longtemps qu’il existe une atteinte du nerf fémoral et donc du quadriceps, liée à l’usage du garrot. Il s’agit non seulement de neurapraxie, mais aussi dans certains cas d’axonotmesis que l’électromyogramme confirme. De rares cas de paralysie permanente du quadriceps ont été rapportés à la suite d’une intervention sur le genou avec garrot.
Dans l’étude de Dobner [1], 71 % des patients qui avaient été opérés sous garrot présentaient des preuves de dénervation à l’électromyographie. A contrario , aucun patient opéré sans utilisation du garrot n’a présenté des signes de dénervation et, de ce fait, la récupération fonctionnelle était plus rapide.
Les données récentes [2] confirment cet aspect des atteintes potentielles. Cela sous-entend que la légende de « la sidération réflexe du quadriceps » encore appelée « inhibition musculaire arthrogène du quadriceps » aurait peut-être été inventée pour éviter l’angoisse du patient et des rééducateurs à l’idée d’avoir une paralysie ? Ou pour éviter les procédures judiciaires ? En effet, une paralysie postopératoire liée à un garrot engage la responsabilité de l’équipe soignante. De ce fait, il est devenu habituel de parler de « sidération réflexe du quadriceps » car cette appellation a une meilleure acceptabilité. Cela reste malgré tout une atteinte neurophysiologique connue, assez habituelle et acceptée.
Dans tous les cas, le rééducateur doit savoir qu’avec ou sans facilitations neuromusculaires, la récupération du quadriceps ne peut avoir lieu que lorsque le nerf fémoral aura commencé à récupérer et pas avant ! Son rôle est donc de définir, au plus vite et dans les meilleures conditions, les caractéristiques de l’atteinte observée.
La rééducation en neurologie a été décrite comme « l’art d’accommoder les restes ». Il semble bien que dans ce cas ce soit une nouvelle fois la réalité…Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115829
in Kinésithérapie, la revue > 266 (février 2024) . - p. 53-54[article] Pourquoi faut-il remettre en cause l’existence d’une « sidération réflexe du quadriceps » après une intervention chirurgicale sur le genou [texte imprimé] / Roland Sultana ; Serge Mesure . - 2024 . - p. 53-54.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 266 (février 2024) . - p. 53-54
Mots-clés : Muscle quadriceps fémoral neurapraxie Résumé : Dans les interventions chirurgicales du genou réalisées sous garrot, on sait depuis longtemps qu’il existe une atteinte du nerf fémoral et donc du quadriceps, liée à l’usage du garrot. Il s’agit non seulement de neurapraxie, mais aussi dans certains cas d’axonotmesis que l’électromyogramme confirme. De rares cas de paralysie permanente du quadriceps ont été rapportés à la suite d’une intervention sur le genou avec garrot.
Dans l’étude de Dobner [1], 71 % des patients qui avaient été opérés sous garrot présentaient des preuves de dénervation à l’électromyographie. A contrario , aucun patient opéré sans utilisation du garrot n’a présenté des signes de dénervation et, de ce fait, la récupération fonctionnelle était plus rapide.
Les données récentes [2] confirment cet aspect des atteintes potentielles. Cela sous-entend que la légende de « la sidération réflexe du quadriceps » encore appelée « inhibition musculaire arthrogène du quadriceps » aurait peut-être été inventée pour éviter l’angoisse du patient et des rééducateurs à l’idée d’avoir une paralysie ? Ou pour éviter les procédures judiciaires ? En effet, une paralysie postopératoire liée à un garrot engage la responsabilité de l’équipe soignante. De ce fait, il est devenu habituel de parler de « sidération réflexe du quadriceps » car cette appellation a une meilleure acceptabilité. Cela reste malgré tout une atteinte neurophysiologique connue, assez habituelle et acceptée.
Dans tous les cas, le rééducateur doit savoir qu’avec ou sans facilitations neuromusculaires, la récupération du quadriceps ne peut avoir lieu que lorsque le nerf fémoral aura commencé à récupérer et pas avant ! Son rôle est donc de définir, au plus vite et dans les meilleures conditions, les caractéristiques de l’atteinte observée.
La rééducation en neurologie a été décrite comme « l’art d’accommoder les restes ». Il semble bien que dans ce cas ce soit une nouvelle fois la réalité…Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115829 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtQuantification de la charge d’entraînement et blessures liées à la course à pied : une revue systématique / Sacha Lantelme in Kinésithérapie, la revue, 266 (février 2024)
[article]
Titre : Quantification de la charge d’entraînement et blessures liées à la course à pied : une revue systématique Type de document : texte imprimé Auteurs : Sacha Lantelme Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 31-34 Langues : Français (fre) Mots-clés : Course à pied Traumatismes sportifs Entraînement sportif Résumé : La course à pied est une discipline sportive de plus en plus populaire en France. Avec la marche, elle représente 50 % des sports pratiqués ; 8,5 millions de Français courent et, chaque année, 50 % d’entre eux se blessent. Plusieurs facteurs de risque, intrinsèques et extrinsèques ont d’ores et déjà été décelés, parmi lesquels figure la manière de s’entraîner. Un entraînement inadapté, une intensité trop élevée ou un manque de progressivité seraient responsables à eux seuls de 80 % des blessures. Lorsqu’un coureur s’entraîne, de nombreuses adaptations musculosquelettiques ont lieu : adaptation des fibres musculaires, des os, du cartilage, du métabolisme, des ménisques, des tendons. Ces adaptations sont corrélées au risque de lésions. Le corps doit s’adapter de manière efficiente à l’effort qui lui est demandé, sinon l’individu risque de se blesser. Lors d’une activité physique comme la course à pied, les tissus sont stressés mécaniquement par différentes forces. Un stress mécanique insuffisant a pour conséquence une fragilisation et un déconditionnement tissulaire ; un stress trop important altère les tissus. Pour ne pas se blesser, l’idée serait de stresser le corps, pour qu’il s’adapte aux contraintes exigées par le sport et devienne plus résistant, mais sans excès. Pour savoir si le stress imposé au corps est suffisamment adapté, il est impératif de mesurer la charge d’entraînement. Cette dernière peut être répartie en deux catégories : la charge externe – l’effort physique réalisé – qui peut être mesurée objectivement par capteurs GPS ou par la tenue d’un journal de bord, et la charge interne – la réponse physiologique et psychologique à l’entraînement – qui peut être évaluée par le taux de lactates sanguins ou la fréquence cardiaque. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115831
in Kinésithérapie, la revue > 266 (février 2024) . - p. 31-34[article] Quantification de la charge d’entraînement et blessures liées à la course à pied : une revue systématique [texte imprimé] / Sacha Lantelme . - 2024 . - p. 31-34.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 266 (février 2024) . - p. 31-34
Mots-clés : Course à pied Traumatismes sportifs Entraînement sportif Résumé : La course à pied est une discipline sportive de plus en plus populaire en France. Avec la marche, elle représente 50 % des sports pratiqués ; 8,5 millions de Français courent et, chaque année, 50 % d’entre eux se blessent. Plusieurs facteurs de risque, intrinsèques et extrinsèques ont d’ores et déjà été décelés, parmi lesquels figure la manière de s’entraîner. Un entraînement inadapté, une intensité trop élevée ou un manque de progressivité seraient responsables à eux seuls de 80 % des blessures. Lorsqu’un coureur s’entraîne, de nombreuses adaptations musculosquelettiques ont lieu : adaptation des fibres musculaires, des os, du cartilage, du métabolisme, des ménisques, des tendons. Ces adaptations sont corrélées au risque de lésions. Le corps doit s’adapter de manière efficiente à l’effort qui lui est demandé, sinon l’individu risque de se blesser. Lors d’une activité physique comme la course à pied, les tissus sont stressés mécaniquement par différentes forces. Un stress mécanique insuffisant a pour conséquence une fragilisation et un déconditionnement tissulaire ; un stress trop important altère les tissus. Pour ne pas se blesser, l’idée serait de stresser le corps, pour qu’il s’adapte aux contraintes exigées par le sport et devienne plus résistant, mais sans excès. Pour savoir si le stress imposé au corps est suffisamment adapté, il est impératif de mesurer la charge d’entraînement. Cette dernière peut être répartie en deux catégories : la charge externe – l’effort physique réalisé – qui peut être mesurée objectivement par capteurs GPS ou par la tenue d’un journal de bord, et la charge interne – la réponse physiologique et psychologique à l’entraînement – qui peut être évaluée par le taux de lactates sanguins ou la fréquence cardiaque. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115831 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtReprésentations de la physiothérapie et des physiothérapeutes : voyage au cœur de l’expérience de personnes atteintes de lombalgie chronique / Josiane Mbarga in Kinésithérapie, la revue, 266 (février 2024)
[article]
Titre : Représentations de la physiothérapie et des physiothérapeutes : voyage au cœur de l’expérience de personnes atteintes de lombalgie chronique Type de document : texte imprimé Auteurs : Josiane Mbarga ; Claude Pichonnaz ; Rose-Anna Foley ; Céline Ancey Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 3-8 Langues : Français (fre) Mots-clés : lombalgie chronique Lombalgie chronique Physiothérapeutes Programme de rééducation Représentations profession physiothérapie Résumé : Objectif
L’objectif de cet article était d’explorer les représentations associées à la physiothérapie et aux physiothérapeutes par des patients lombalgiques chroniques.
Méthodes
Une recherche qualitative interdisciplinaire, basée sur des entretiens, a été conduite auprès de 20 personnes qui participaient à un programme de rééducation.
Résultats
La physiothérapie est perçue comme une profession qui peut soulager la douleur ou fournir des outils de sa gestion grâce à de multiples approches. Considérés comme des thérapeutes du physique, les physiothérapeutes peuvent également s’intéresser aux aspects émotionnels. Les patients reconnaissent l’importance de s’impliquer personnellement dans la gestion de leur problème, sous le regard du physiothérapeute, qui revêt alors des rôles d’enseignant, de conseiller, d’accompagnateur.
Conclusion
Le rôle du physiothérapeute dans la gestion de la douleur est clairement identifié: il peut soit soulager la douleur soit agir comme catalyseur en proposant des possibilités d’emprise sur elle.
Niveau de preuve 5.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=115832
in Kinésithérapie, la revue > 266 (février 2024) . - p. 3-8[article] Représentations de la physiothérapie et des physiothérapeutes : voyage au cœur de l’expérience de personnes atteintes de lombalgie chronique [texte imprimé] / Josiane Mbarga ; Claude Pichonnaz ; Rose-Anna Foley ; Céline Ancey . - 2024 . - p. 3-8.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 266 (février 2024) . - p. 3-8
Mots-clés : lombalgie chronique Lombalgie chronique Physiothérapeutes Programme de rééducation Représentations profession physiothérapie Résumé : Objectif
L’objectif de cet article était d’explorer les représentations associées à la physiothérapie et aux physiothérapeutes par des patients lombalgiques chroniques.
Méthodes
Une recherche qualitative interdisciplinaire, basée sur des entretiens, a été conduite auprès de 20 personnes qui participaient à un programme de rééducation.
Résultats
La physiothérapie est perçue comme une profession qui peut soulager la douleur ou fournir des outils de sa gestion grâce à de multiples approches. Considérés comme des thérapeutes du physique, les physiothérapeutes peuvent également s’intéresser aux aspects émotionnels. Les patients reconnaissent l’importance de s’impliquer personnellement dans la gestion de leur problème, sous le regard du physiothérapeute, qui revêt alors des rôles d’enseignant, de conseiller, d’accompagnateur.
Conclusion
Le rôle du physiothérapeute dans la gestion de la douleur est clairement identifié: il peut soit soulager la douleur soit agir comme catalyseur en proposant des possibilités d’emprise sur elle.
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