Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur Ben Kamuntu |
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Un exemple de systématisation d’expérience / Ben Kamuntu in Antipodes [périodique électronique], Carnets pédagogiques n°23 (Novembre 2022)
[article]
Titre : Un exemple de systématisation d’expérience Type de document : texte imprimé Auteurs : Ben Kamuntu Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 74-94 Note générale : Issu du dossier "Systématisation d'expériences" Langues : Français (fre) Mots-clés : Discrimination Discrimination multiple Échange de savoirs Esprit critique Expérience Féminisme Travailleurs sociaux -- Pratique Analyse des pratiques (formation) Résumé : "Ce document tente de retracer le parcours des 18 journées de formation ainsi que les étapes du processus de systématisation des expériences mis en place avec le groupe de participantes à la formation « 120H pour l’égalité : Pour un féminisme solidaire et intersectionnel » en 2022. Il s’agit pour nous de synthétiser l’interprétation critique de l’expérience vécue de la formation, à partir de l’organisation et la reconstruction de cette dernière, afin de mettre en évidence et expliciter la logique des processus qui se sont déroulés." En ligne : http://www.iteco.be/revue-antipodes/systematisation-d-experiences/article/un-exe [...] Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=116572
in Antipodes [périodique électronique] > Carnets pédagogiques n°23 (Novembre 2022) . - p. 74-94[article] Un exemple de systématisation d’expérience [texte imprimé] / Ben Kamuntu . - 2022 . - p. 74-94.
Issu du dossier "Systématisation d'expériences"
Langues : Français (fre)
in Antipodes [périodique électronique] > Carnets pédagogiques n°23 (Novembre 2022) . - p. 74-94
Mots-clés : Discrimination Discrimination multiple Échange de savoirs Esprit critique Expérience Féminisme Travailleurs sociaux -- Pratique Analyse des pratiques (formation) Résumé : "Ce document tente de retracer le parcours des 18 journées de formation ainsi que les étapes du processus de systématisation des expériences mis en place avec le groupe de participantes à la formation « 120H pour l’égalité : Pour un féminisme solidaire et intersectionnel » en 2022. Il s’agit pour nous de synthétiser l’interprétation critique de l’expérience vécue de la formation, à partir de l’organisation et la reconstruction de cette dernière, afin de mettre en évidence et expliciter la logique des processus qui se sont déroulés." En ligne : http://www.iteco.be/revue-antipodes/systematisation-d-experiences/article/un-exe [...] Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=116572 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Une expérience qui nous a permis de langues, de dialogue et de participation / Ben Kamuntu in Antipodes [périodique électronique], Carnets pédagogiques n°23 (Novembre 2022)
[article]
Titre : Une expérience qui nous a permis de langues, de dialogue et de participation Type de document : texte imprimé Auteurs : Ben Kamuntu Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 96-104 Note générale : Issu du dossier "Systématisation d'expériences" Langues : Français (fre) Mots-clés : Analyse des pratiques (formation) Échange de savoirs Esprit critique Expérience Formation Langage Sociolinguistique Travailleurs sociaux -- Pratique Résumé : "En novembre 2022, la formation « Systématisation d’expériences : Redonner du sens et de la créativité aux actions » a eu lieu. C’était une première à plusieurs égards : c’était la première fois que je devais donner une formation en tant que formateur à ITECO ; c’était également la première fois que je coordonnais une formation sur la systématisation en Belgique francophone ; et enfin, c’était la première fois que j’allais le faire en français. On dit que la première fois fait la différence et ce cas ne fait pas exception. Dans ce texte, je partagerai avec vous mes réflexions sur les débats concernant ce qu’est une expérience, et à partir de là, quelques idées sur les langues, le dialogue et la participation aux processus de formation. Mais avant d’aller plus loin, deux clarifications sont nécessaires. D’abord, les réflexions qui suivent ne se veulent pas une analyse linguistique des acceptions du mot expérience et des différences qui peuvent exister entre les significations en espagnol et français. Je me sers plutôt des différences que nous avons identifiées, lorsque chaque participant·e exprimait ce que le mot « expérience » lui évoquait, pour réfléchir à la manière dont le langage conditionne nos pratiques et notre analyse de celles-ci, et à la manière dont les différentes compréhensions d’un mot, que ce soit dans une seule langue ou dans plusieurs, peuvent faciliter ou entraver le dialogue et la participation dans les processus sociaux." En ligne : http://www.iteco.be/revue-antipodes/systematisation-d-experiences/article/une-ex [...] Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=116573
in Antipodes [périodique électronique] > Carnets pédagogiques n°23 (Novembre 2022) . - p. 96-104[article] Une expérience qui nous a permis de langues, de dialogue et de participation [texte imprimé] / Ben Kamuntu . - 2022 . - p. 96-104.
Issu du dossier "Systématisation d'expériences"
Langues : Français (fre)
in Antipodes [périodique électronique] > Carnets pédagogiques n°23 (Novembre 2022) . - p. 96-104
Mots-clés : Analyse des pratiques (formation) Échange de savoirs Esprit critique Expérience Formation Langage Sociolinguistique Travailleurs sociaux -- Pratique Résumé : "En novembre 2022, la formation « Systématisation d’expériences : Redonner du sens et de la créativité aux actions » a eu lieu. C’était une première à plusieurs égards : c’était la première fois que je devais donner une formation en tant que formateur à ITECO ; c’était également la première fois que je coordonnais une formation sur la systématisation en Belgique francophone ; et enfin, c’était la première fois que j’allais le faire en français. On dit que la première fois fait la différence et ce cas ne fait pas exception. Dans ce texte, je partagerai avec vous mes réflexions sur les débats concernant ce qu’est une expérience, et à partir de là, quelques idées sur les langues, le dialogue et la participation aux processus de formation. Mais avant d’aller plus loin, deux clarifications sont nécessaires. D’abord, les réflexions qui suivent ne se veulent pas une analyse linguistique des acceptions du mot expérience et des différences qui peuvent exister entre les significations en espagnol et français. Je me sers plutôt des différences que nous avons identifiées, lorsque chaque participant·e exprimait ce que le mot « expérience » lui évoquait, pour réfléchir à la manière dont le langage conditionne nos pratiques et notre analyse de celles-ci, et à la manière dont les différentes compréhensions d’un mot, que ce soit dans une seule langue ou dans plusieurs, peuvent faciliter ou entraver le dialogue et la participation dans les processus sociaux." En ligne : http://www.iteco.be/revue-antipodes/systematisation-d-experiences/article/une-ex [...] Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=116573 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire La LUCHA : un mouvement citoyen congolais qui apprend de ses expériences / Ben Kamuntu in Antipodes [périodique électronique], Carnets pédagogiques n°23 (Novembre 2022)
[article]
Titre : La LUCHA : un mouvement citoyen congolais qui apprend de ses expériences Type de document : texte imprimé Auteurs : Ben Kamuntu Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 32-43 Note générale : Issu du dossier "Systématisation d'expériences" Langues : Français (fre) Mots-clés : Chômage Conditions sociales -- Congo (République) Mouvements sociaux Participation sociale Politique et gouvernement -- Congo (République démocratique) Travail Travail précaire Résumé : "La nuit du 30 Avril 2012, la veille du 1er Mai, journée internationale du travail, onze jeunes de Goma, située à l’Est de la RD Congo, dans la région du Kivu, passèrent la nuit entière à placarder des calicots sur les artères principales de la Ville. Ces calicots portaient un message puissant, mais qui, à la base, paraissait ridicule même aux yeux de certains membres du groupe de 11 (C’est comme ça que nous les avons surnommés dans le mouvement, tout en moquant la qualité médiocre de la calligraphie des écrits sur les calicots). L’idée était de Commémorer le 1er Mai 2012, pas comme la journée du travail mais plutôt comme “la Journée Nationale du chômage“. A leurs yeux, il était incompréhensible de célébrer la journée Internationale du travail pendant que plus de 80% de la population congolaise est au chômage. Les calicots portaient un message clair en Swahili : Tuna choka na bilaka, Kazi sasa kwa raiya qui signifie nous sommes fatigués par des petits boulots, nous voulons des vrais emplois garantissant notre avenir. #Le 1er Mai, Journée Nationale du chômage.
Le matin, la ville se réveilla avec des écrits gigantesques sur les grands panneaux, les passants s’attardaient pour lire attentivement le message, les médias s’y étaient penchés, mais du reste, l’action restait anonyme. Il y eut même certains opposants qui avaient tenté une récupération politique dans les médias en revendiquant l’initiative. La stratégie d’action fut le résultat de trois réunions tenues dans les locaux de l’Université de Goma, où la plupart des membres du groupe étudiaient à cette époque. Cela fut précédé par les consultations individuelles menées par une femme, Micheline MWENDIKE, à qui on doit la maternité de la LUCHA, premier mouvement citoyen de la République Démocratique du Congo. Micheline rêvait de voir les jeunes agir autrement, au-delà des mots, d’attentes de financements d’ONG pour organiser des conférences, rédiger les rapports et mémorandums. Le souci de voir les jeunes agir en toute dignité et responsabilité tourmentait son Esprit. Elle rêvait de mener des actions citoyennes loin des revendications partisanes téléguidées par les politiciens qui nourrissent les espoirs désespérés des jeunes en leur promettant des postes politiques."Note de contenu : Bibliographie p. 42 En ligne : http://www.iteco.be/revue-antipodes/systematisation-d-experiences/article/la-luc [...] Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=116556
in Antipodes [périodique électronique] > Carnets pédagogiques n°23 (Novembre 2022) . - p. 32-43[article] La LUCHA : un mouvement citoyen congolais qui apprend de ses expériences [texte imprimé] / Ben Kamuntu . - 2022 . - p. 32-43.
Issu du dossier "Systématisation d'expériences"
Langues : Français (fre)
in Antipodes [périodique électronique] > Carnets pédagogiques n°23 (Novembre 2022) . - p. 32-43
Mots-clés : Chômage Conditions sociales -- Congo (République) Mouvements sociaux Participation sociale Politique et gouvernement -- Congo (République démocratique) Travail Travail précaire Résumé : "La nuit du 30 Avril 2012, la veille du 1er Mai, journée internationale du travail, onze jeunes de Goma, située à l’Est de la RD Congo, dans la région du Kivu, passèrent la nuit entière à placarder des calicots sur les artères principales de la Ville. Ces calicots portaient un message puissant, mais qui, à la base, paraissait ridicule même aux yeux de certains membres du groupe de 11 (C’est comme ça que nous les avons surnommés dans le mouvement, tout en moquant la qualité médiocre de la calligraphie des écrits sur les calicots). L’idée était de Commémorer le 1er Mai 2012, pas comme la journée du travail mais plutôt comme “la Journée Nationale du chômage“. A leurs yeux, il était incompréhensible de célébrer la journée Internationale du travail pendant que plus de 80% de la population congolaise est au chômage. Les calicots portaient un message clair en Swahili : Tuna choka na bilaka, Kazi sasa kwa raiya qui signifie nous sommes fatigués par des petits boulots, nous voulons des vrais emplois garantissant notre avenir. #Le 1er Mai, Journée Nationale du chômage.
Le matin, la ville se réveilla avec des écrits gigantesques sur les grands panneaux, les passants s’attardaient pour lire attentivement le message, les médias s’y étaient penchés, mais du reste, l’action restait anonyme. Il y eut même certains opposants qui avaient tenté une récupération politique dans les médias en revendiquant l’initiative. La stratégie d’action fut le résultat de trois réunions tenues dans les locaux de l’Université de Goma, où la plupart des membres du groupe étudiaient à cette époque. Cela fut précédé par les consultations individuelles menées par une femme, Micheline MWENDIKE, à qui on doit la maternité de la LUCHA, premier mouvement citoyen de la République Démocratique du Congo. Micheline rêvait de voir les jeunes agir autrement, au-delà des mots, d’attentes de financements d’ONG pour organiser des conférences, rédiger les rapports et mémorandums. Le souci de voir les jeunes agir en toute dignité et responsabilité tourmentait son Esprit. Elle rêvait de mener des actions citoyennes loin des revendications partisanes téléguidées par les politiciens qui nourrissent les espoirs désespérés des jeunes en leur promettant des postes politiques."Note de contenu : Bibliographie p. 42 En ligne : http://www.iteco.be/revue-antipodes/systematisation-d-experiences/article/la-luc [...] Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=116556 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire