Dépouillements

« Brûler la chandelle par les deux bouts… ». Et si les masseurs-kinésithérapeutes avaient leur place dans la détection et la prise en charge du burnout chez l’adulte ? Regards croisés de masseurs-kinésithérapeutes libéraux et d’experts en santé mentale / Séverine Buatois in Kinésithérapie, la revue, 269 (Mai 2024)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie, la revue > 269 (Mai 2024) . - p. 21-28 Titre : « Brûler la chandelle par les deux bouts… ». Et si les masseurs-kinésithérapeutes avaient leur place dans la détection et la prise en charge du burnout chez l’adulte ? Regards croisés de masseurs-kinésithérapeutes libéraux et d’experts en santé mentale Type de document : texte imprimé Auteurs : Séverine Buatois ; Mélanie Pereira ; Annaelle Geoffroy ; Marion Favini ; Thomas Clement ; Mélanie Jambeau Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 21-28 Note générale : https://doi : 10.1016/j.kine.2024.03.001 Langues : Français (fre) Mots-clés : Syndrome d'épuisement professionnel  Burnout , Dépistage, Masso-kinésithérapie, Syndrome d’épuisement professionnel, Traitement Résumé : Le burnout , ou syndrome d’épuisement professionnel, peut toucher n’importe quel travailleur et nécessite un suivi pluriprofessionnel. Ici, l’objectif était d’identifier la place du masseur-kinésithérapeute dans la détection et la prise en charge de ce syndrome. Méthode Deux enquêtes ont été menées : un questionnaire auprès de 29 kinésithérapeutes libéraux et cinq entretiens semi-directifs auprès d’experts en santé mentale. Résultats Soixante-neuf pour cent des kinésithérapeutes avaient déjà suspecté un burnout chez leurs patients. Ils se sentaient confiants pour la détection des symptômes physiques, et de façon plus variable pour repérer les signes émotionnels et cognitifs. Les facteurs favorisants étaient le suivi régulier et personnalisé, les freins étaient le manque de connaissances. Les experts associaient les kinésithérapeutes au traitement des troubles somatiques par le massage, la détente et l’activité physique, en soulignant l’importance des qualités d’empathie et d’écoute. Conclusion Le masseur-kinésithérapeute, par son approche bio-psycho-sociale, a un rôle à jouer auprès des patients ; il gagnera à être sensibilisé aux outils et guides disponibles sur le burnout . Niveau de preuve NA. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117417 [article] « Brûler la chandelle par les deux bouts… ». Et si les masseurs-kinésithérapeutes avaient leur place dans la détection et la prise en charge du burnout chez l’adulte ? Regards croisés de masseurs-kinésithérapeutes libéraux et d’experts en santé mentale [texte imprimé] / Séverine Buatois ; Mélanie Pereira ; Annaelle Geoffroy ; Marion Favini ; Thomas Clement ; Mélanie Jambeau . - 2024 . - p. 21-28. https://doi : 10.1016/j.kine.2024.03.001 Langues : Français (fre) in Kinésithérapie, la revue > 269 (Mai 2024) . - p. 21-28 Mots-clés : Syndrome d'épuisement professionnel  Burnout , Dépistage, Masso-kinésithérapie, Syndrome d’épuisement professionnel, Traitement Résumé : Le burnout , ou syndrome d’épuisement professionnel, peut toucher n’importe quel travailleur et nécessite un suivi pluriprofessionnel. Ici, l’objectif était d’identifier la place du masseur-kinésithérapeute dans la détection et la prise en charge de ce syndrome. Méthode Deux enquêtes ont été menées : un questionnaire auprès de 29 kinésithérapeutes libéraux et cinq entretiens semi-directifs auprès d’experts en santé mentale. Résultats Soixante-neuf pour cent des kinésithérapeutes avaient déjà suspecté un burnout chez leurs patients. Ils se sentaient confiants pour la détection des symptômes physiques, et de façon plus variable pour repérer les signes émotionnels et cognitifs. Les facteurs favorisants étaient le suivi régulier et personnalisé, les freins étaient le manque de connaissances. Les experts associaient les kinésithérapeutes au traitement des troubles somatiques par le massage, la détente et l’activité physique, en soulignant l’importance des qualités d’empathie et d’écoute. Conclusion Le masseur-kinésithérapeute, par son approche bio-psycho-sociale, a un rôle à jouer auprès des patients ; il gagnera à être sensibilisé aux outils et guides disponibles sur le burnout . Niveau de preuve NA. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117417

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Essais contrôlés randomisés et études observationnelles semblent avoir la même efficacité pour fournir des données probantes en santé ! / Dominique Monnin in Kinésithérapie, la revue, 269 (Mai 2024)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie, la revue > 269 (Mai 2024) . - p. 34-35 Titre : Essais contrôlés randomisés et études observationnelles semblent avoir la même efficacité pour fournir des données probantes en santé ! Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominique Monnin ; Ivo Neto Silva Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 34-35 Note générale : https://doi : 10.1016/j.kine.2024.02.008 Langues : Français (fre) Mots-clés : preuves cliniques Résumé : La communauté scientifique considère généralement que « Les preuves les plus solides de la causalité entre l’exposition ou l’intervention étudiée et le résultat observé proviennent de modèles expérimentaux prospectifs qui attribuent de manière aléatoire les interventions aux participants à l’essai (ECR) » [1]. Des études observationnelles (cohortes prospectives ou rétrospectives, études transversales ou études cas-témoins) sont aussi utilisées pour mesurer l’efficacité d’une intervention en situation « réelle ». Mais le Cochrane Handbook for Systematic Reviews of interventions stipule que les biais potentiels sont susceptibles d’être plus importants dans les études non randomisées que dans les ECR.Cette actualisation d’une revue Cochrane publiée en 2014 présente les résultats de revues méthodologiques qui ont comparé les estimations de l’effet des études observationnelles avec ceux des ECR à partir de données qui ont abordé la même question de recherche en santé Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117419 [article] Essais contrôlés randomisés et études observationnelles semblent avoir la même efficacité pour fournir des données probantes en santé ! [texte imprimé] / Dominique Monnin ; Ivo Neto Silva . - 2024 . - p. 34-35. https://doi : 10.1016/j.kine.2024.02.008 Langues : Français (fre) in Kinésithérapie, la revue > 269 (Mai 2024) . - p. 34-35 Mots-clés : preuves cliniques Résumé : La communauté scientifique considère généralement que « Les preuves les plus solides de la causalité entre l’exposition ou l’intervention étudiée et le résultat observé proviennent de modèles expérimentaux prospectifs qui attribuent de manière aléatoire les interventions aux participants à l’essai (ECR) » [1]. Des études observationnelles (cohortes prospectives ou rétrospectives, études transversales ou études cas-témoins) sont aussi utilisées pour mesurer l’efficacité d’une intervention en situation « réelle ». Mais le Cochrane Handbook for Systematic Reviews of interventions stipule que les biais potentiels sont susceptibles d’être plus importants dans les études non randomisées que dans les ECR.Cette actualisation d’une revue Cochrane publiée en 2014 présente les résultats de revues méthodologiques qui ont comparé les estimations de l’effet des études observationnelles avec ceux des ECR à partir de données qui ont abordé la même question de recherche en santé Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117419

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Impact d’un atelier ‘équilibre’ au sein d’un service de soins médicaux et de réadaptation : étude pilote rétrospective / Roland Hussier in Kinésithérapie, la revue, 269 (Mai 2024)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie, la revue > 269 (Mai 2024) . - p. 16-20 Titre : Impact d’un atelier ‘équilibre’ au sein d’un service de soins médicaux et de réadaptation : étude pilote rétrospective Type de document : texte imprimé Auteurs : Roland Hussier Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 16-20 Note générale : https://doi : 10.1016/j.kine.2024.02.009 Langues : Français (fre) Mots-clés : Atelier équilibre  Facteurs de risque de chute  Santé publique  Service de soins médicaux et de réadaptation Résumé : Selon les données de santé publique de 2020, près de 10 000 personnes de 65 ans et plus décèdent chaque année des suites d’une chute. Un plan national de lutte contre les chutes a donc été mis en place. Il vise à réduire de 20 % la mortalité due aux chutes d’ici 2024. But de l’étude L’objectif de cette étude pilote rétrospective était d’évaluer la pertinence et l’efficacité de la mise en place d’un ‘atelier équilibre’ en service de soins médicaux et de réadaptation, en adéquation avec le plan national. Résultats L’étude a montré une amélioration significative des connaissances des risques de chutes ainsi que de l’équilibration statique et dynamique des personnes âgées qui ont participé à l’atelier. Conclusion Cette étude confirme les résultats obtenus dans les études précédentes, souligne l’intérêt d’utiliser un ‘atelier équilibre’ comme vecteur d’amélioration des connaissances de risques de chutes et montre l’utilité d’un ‘atelier équilibre’ en service de soins médicaux et de réadaptation. Niveau de preuve 5. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117420 [article] Impact d’un atelier ‘équilibre’ au sein d’un service de soins médicaux et de réadaptation : étude pilote rétrospective [texte imprimé] / Roland Hussier . - 2024 . - p. 16-20. https://doi : 10.1016/j.kine.2024.02.009 Langues : Français (fre) in Kinésithérapie, la revue > 269 (Mai 2024) . - p. 16-20 Mots-clés : Atelier équilibre  Facteurs de risque de chute  Santé publique  Service de soins médicaux et de réadaptation Résumé : Selon les données de santé publique de 2020, près de 10 000 personnes de 65 ans et plus décèdent chaque année des suites d’une chute. Un plan national de lutte contre les chutes a donc été mis en place. Il vise à réduire de 20 % la mortalité due aux chutes d’ici 2024. But de l’étude L’objectif de cette étude pilote rétrospective était d’évaluer la pertinence et l’efficacité de la mise en place d’un ‘atelier équilibre’ en service de soins médicaux et de réadaptation, en adéquation avec le plan national. Résultats L’étude a montré une amélioration significative des connaissances des risques de chutes ainsi que de l’équilibration statique et dynamique des personnes âgées qui ont participé à l’atelier. Conclusion Cette étude confirme les résultats obtenus dans les études précédentes, souligne l’intérêt d’utiliser un ‘atelier équilibre’ comme vecteur d’amélioration des connaissances de risques de chutes et montre l’utilité d’un ‘atelier équilibre’ en service de soins médicaux et de réadaptation. Niveau de preuve 5. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117420

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Impact d’un programme de rééducation multimodale démarré précocement sur l’apparition de douleurs neuropathiques induites par la chimiothérapie chez les patientes atteintes d’un cancer du sein / V. Cartolano in Kinésithérapie, la revue, 269 (Mai 2024)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie, la revue > 269 (Mai 2024) . - p. 29-33 Titre : Impact d’un programme de rééducation multimodale démarré précocement sur l’apparition de douleurs neuropathiques induites par la chimiothérapie chez les patientes atteintes d’un cancer du sein Type de document : texte imprimé Auteurs : V. Cartolano ; C. Pelca Poivre ; Marie-Cécile Nierat Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 29-33 Note générale : https://doi : 10.1016/j.kine.2023.12.002 Langues : Français (fre) Mots-clés : douleur neuropathique  entrainement multimodale Résumé : Les patientes atteintes de cancer du sein sont généralement traitées par une polychimiothérapie qui comporte notamment des taxanes susceptibles de provoquer une neuropathie périphérique induite par chimiothérapie (Chemotherapy Induced Peripheral Neuropathy [CIPN]); ce risque augmente avec l’accumulation des cycles de chimiothérapie. La CIPN se manifeste par l’apparition d’hypo/hyperesthésies, d’allodynies ou de dysesthésies au niveau des mains et des pieds. Elle a pour conséquence l’apparition de douleurs, une altération du contrôle postural, de l’équilibre et de la qualité de vie . Six mois après l’arrêt du traitement, 60 % des patientes atteints de cancer présentent une neuropathie chronique de durée variable.Les stratégies de traitement de la CIPN sont principalement basées sur la modification de la cure de chimiothérapie (dose, cycle, posologie) [1]. Cependant, la réduction de la dose ou l’arrêt de la chimiothérapie peuvent augmenter la morbi-mortalité liée au cancer.Du point de vue de la kinésithérapie, la Haute Autorité de Santé recommande d’adopter une approche multidisciplinaire précoce [4] et d’utiliser un programme multimodal pour lutter contre les troubles liés à la CIPN. Cependant, l’impact d’un tel programme sur la prévention de l’apparition des troubles liés à la CIPN chez les patientes atteintes d’un cancer du sein n’a à ce jour pas été étudié. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117421 [article] Impact d’un programme de rééducation multimodale démarré précocement sur l’apparition de douleurs neuropathiques induites par la chimiothérapie chez les patientes atteintes d’un cancer du sein [texte imprimé] / V. Cartolano ; C. Pelca Poivre ; Marie-Cécile Nierat . - 2024 . - p. 29-33. https://doi : 10.1016/j.kine.2023.12.002 Langues : Français (fre) in Kinésithérapie, la revue > 269 (Mai 2024) . - p. 29-33 Mots-clés : douleur neuropathique  entrainement multimodale Résumé : Les patientes atteintes de cancer du sein sont généralement traitées par une polychimiothérapie qui comporte notamment des taxanes susceptibles de provoquer une neuropathie périphérique induite par chimiothérapie (Chemotherapy Induced Peripheral Neuropathy [CIPN]); ce risque augmente avec l’accumulation des cycles de chimiothérapie. La CIPN se manifeste par l’apparition d’hypo/hyperesthésies, d’allodynies ou de dysesthésies au niveau des mains et des pieds. Elle a pour conséquence l’apparition de douleurs, une altération du contrôle postural, de l’équilibre et de la qualité de vie . Six mois après l’arrêt du traitement, 60 % des patientes atteints de cancer présentent une neuropathie chronique de durée variable.Les stratégies de traitement de la CIPN sont principalement basées sur la modification de la cure de chimiothérapie (dose, cycle, posologie) [1]. Cependant, la réduction de la dose ou l’arrêt de la chimiothérapie peuvent augmenter la morbi-mortalité liée au cancer.Du point de vue de la kinésithérapie, la Haute Autorité de Santé recommande d’adopter une approche multidisciplinaire précoce [4] et d’utiliser un programme multimodal pour lutter contre les troubles liés à la CIPN. Cependant, l’impact d’un tel programme sur la prévention de l’apparition des troubles liés à la CIPN chez les patientes atteintes d’un cancer du sein n’a à ce jour pas été étudié. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117421

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Le muscle : un organe extraordinaire / Simone Birnbaum in Kinésithérapie, la revue, 269 (Mai 2024)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie, la revue > 269 (Mai 2024) . - p. 1-3 Titre : Le muscle : un organe extraordinaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Simone Birnbaum ; Pauline Santmarty Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 1-3 Note générale : doi://doi : 10.1016/j.kine.2024.03.012 Langues : Français (fre) Mots-clés : Muscles  musculation  Sarcopénie Résumé : Saviez-vous que le muscle correspond approximativement à la moitié de notre masse corporelle ? Le muscle est indispensable pour nos mouvements - volontaires ou non : • les battements du cœur, involontaires, existent grâce aux muscles cardiaques ; • le système digestif et la vessie fonctionnent grâce aux muscles lisses ; • la ventilation est possible grâce au diaphragme, en association avec les muscles inspiratoires accessoires et expiratoires ; • les fonctions motrices telles que courir, surfer, peindre, jouer de la musique ou encore parler, rire ou sourire sont assurées grâce à nos muscles striés squelettiques qui représentent environ 40 % de notre masse corporelle, voire 45 % chez les athlètes [1, 2]. En tout, le corps humain est composé de plus de 600 muscles squelettiques [3, 4]. Le muscle squelettique est constitué de fibres musculaires, elles-mêmes composées de myofibrilles avec des propriétés différentes selon leur classification qui dépend essentiellement de leur métabolisme (oxydatif ou glycolytique).En tant que physio/kinésithérapeutes travaillant dans le champ des maladies neuromusculaires, nous nous rendons compte chaque jour de l’importance du muscle et des conséquences de son dysfonctionnement....Si la fonction première des muscles squelettiques est d’assurer le mouvement et la mobilité du corps, le muscle contribue de manière significative à la santé globale. Le système musculaire est étroitement lié à de nombreuses fonctions du corps humain telles que le système immunitaire, endocrinien ou encore cardiovasculaire. Maintenir un tissu musculaire en bonne santé peut donc avoir des effets bénéfiques sur l’ensemble de ces systèmes. Un autre enjeu de santé dans lequel l’entretien musculaire est fondamental est la survenue de la sarcopénie. Cette perte de fonction et de masse liée au vieillissement entraîne à partir de 50 ans une perte d’environ 1 à 2 % par an de masse musculaire des membres inférieurs et 1,5 à 5 % de force par an [13]. En tant que physio/kinésithérapeutes, nous sommes des acteurs de santé publique pouvant accompagner les patients dans la mise en place d’une bonne hygiène de vie incluant l’activité physique et cela à tout âge. Le muscle c’est la vie alors musclons-nous !! Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117422 [article] Le muscle : un organe extraordinaire [texte imprimé] / Simone Birnbaum ; Pauline Santmarty . - 2024 . - p. 1-3. doi://doi : 10.1016/j.kine.2024.03.012 Langues : Français (fre) in Kinésithérapie, la revue > 269 (Mai 2024) . - p. 1-3 Mots-clés : Muscles  musculation  Sarcopénie Résumé : Saviez-vous que le muscle correspond approximativement à la moitié de notre masse corporelle ? Le muscle est indispensable pour nos mouvements - volontaires ou non : • les battements du cœur, involontaires, existent grâce aux muscles cardiaques ; • le système digestif et la vessie fonctionnent grâce aux muscles lisses ; • la ventilation est possible grâce au diaphragme, en association avec les muscles inspiratoires accessoires et expiratoires ; • les fonctions motrices telles que courir, surfer, peindre, jouer de la musique ou encore parler, rire ou sourire sont assurées grâce à nos muscles striés squelettiques qui représentent environ 40 % de notre masse corporelle, voire 45 % chez les athlètes [1, 2]. En tout, le corps humain est composé de plus de 600 muscles squelettiques [3, 4]. Le muscle squelettique est constitué de fibres musculaires, elles-mêmes composées de myofibrilles avec des propriétés différentes selon leur classification qui dépend essentiellement de leur métabolisme (oxydatif ou glycolytique).En tant que physio/kinésithérapeutes travaillant dans le champ des maladies neuromusculaires, nous nous rendons compte chaque jour de l’importance du muscle et des conséquences de son dysfonctionnement....Si la fonction première des muscles squelettiques est d’assurer le mouvement et la mobilité du corps, le muscle contribue de manière significative à la santé globale. Le système musculaire est étroitement lié à de nombreuses fonctions du corps humain telles que le système immunitaire, endocrinien ou encore cardiovasculaire. Maintenir un tissu musculaire en bonne santé peut donc avoir des effets bénéfiques sur l’ensemble de ces systèmes. Un autre enjeu de santé dans lequel l’entretien musculaire est fondamental est la survenue de la sarcopénie. Cette perte de fonction et de masse liée au vieillissement entraîne à partir de 50 ans une perte d’environ 1 à 2 % par an de masse musculaire des membres inférieurs et 1,5 à 5 % de force par an [13]. En tant que physio/kinésithérapeutes, nous sommes des acteurs de santé publique pouvant accompagner les patients dans la mise en place d’une bonne hygiène de vie incluant l’activité physique et cela à tout âge. Le muscle c’est la vie alors musclons-nous !! Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117422

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Les facteurs influençant la survenue des émotions du masseur-kinésithérapeute en soins palliatifs. Étude qualitative / Laurie Gaillard in Kinésithérapie, la revue, 269 (Mai 2024)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie, la revue > 269 (Mai 2024) . - p. 4-9 Titre : Les facteurs influençant la survenue des émotions du masseur-kinésithérapeute en soins palliatifs. Étude qualitative Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurie Gaillard ; Pauline Lemersre ; Grégory Guyot Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 4-9 Note générale : https://doi : 10.1016/j.kine.2024.01.019 Langues : Français (fre) Mots-clés : Soins palliatifs  Émotions  Intelligence émotionnelle  Kinésithérapie Résumé : Introduction Les soins palliatifs font l’objet d’une prise en charge spécifique, centrée sur le patient et ses proches. Celle-ci relève d’une équipe interdisciplinaire dans laquelle le kinésithérapeute occupe une place particulière, de par son approche qui l’expose à différentes émotions qui sont partie intégrante de l’intervention et contribuent à rendre les soins plus humains. Méthode L’objectif de cette étude qualitative était de mettre en évidence les facteurs qui influencent la survenue des émotions du kinésithérapeute en soins palliatifs. Pour cela, sept entretiens semi-directifs ont été réalisés auprès de kinésithérapeutes qui exerçaient en soins palliatifs, grâce à un guide d’entretien élaboré préalablement. Les entretiens ont été retranscrits, anonymisés et analysés via une analyse thématique inductive. Résultats Les entretiens ont mis en évidence certains facteurs qui favoriseraient la survenue des émotions chez les kinésithérapeutes. Discussion Cette étude souligne l’importance et la prégnance des émotions dans les soins et plus particulièrement dans la prise en charge palliative. Leur survenue reste un phénomène propre à chacun avec un ressenti différent chez chaque professionnel. Pour favoriser la relation de soin, il est essentiel que les kinésithérapeutes développent leurs compétences émotionnelles afin d’identifier et exprimer leurs émotions et celles des patients. Le peu de littérature identifiée à ce sujet et le nombre de professionnels interrogés sont les principales limites de cette étude. Conclusion Les kinésithérapeutes occupent une place singulière en soins palliatifs, ce qui peut favoriser la survenue d’émotions. Il est important de former ces professionnels à la gestion de leurs émotions et ainsi développer leurs compétences émotionnelles. Niveau de preuve: NA. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117423 [article] Les facteurs influençant la survenue des émotions du masseur-kinésithérapeute en soins palliatifs. Étude qualitative [texte imprimé] / Laurie Gaillard ; Pauline Lemersre ; Grégory Guyot . - 2024 . - p. 4-9. https://doi : 10.1016/j.kine.2024.01.019 Langues : Français (fre) in Kinésithérapie, la revue > 269 (Mai 2024) . - p. 4-9 Mots-clés : Soins palliatifs  Émotions  Intelligence émotionnelle  Kinésithérapie Résumé : Introduction Les soins palliatifs font l’objet d’une prise en charge spécifique, centrée sur le patient et ses proches. Celle-ci relève d’une équipe interdisciplinaire dans laquelle le kinésithérapeute occupe une place particulière, de par son approche qui l’expose à différentes émotions qui sont partie intégrante de l’intervention et contribuent à rendre les soins plus humains. Méthode L’objectif de cette étude qualitative était de mettre en évidence les facteurs qui influencent la survenue des émotions du kinésithérapeute en soins palliatifs. Pour cela, sept entretiens semi-directifs ont été réalisés auprès de kinésithérapeutes qui exerçaient en soins palliatifs, grâce à un guide d’entretien élaboré préalablement. Les entretiens ont été retranscrits, anonymisés et analysés via une analyse thématique inductive. Résultats Les entretiens ont mis en évidence certains facteurs qui favoriseraient la survenue des émotions chez les kinésithérapeutes. Discussion Cette étude souligne l’importance et la prégnance des émotions dans les soins et plus particulièrement dans la prise en charge palliative. Leur survenue reste un phénomène propre à chacun avec un ressenti différent chez chaque professionnel. Pour favoriser la relation de soin, il est essentiel que les kinésithérapeutes développent leurs compétences émotionnelles afin d’identifier et exprimer leurs émotions et celles des patients. Le peu de littérature identifiée à ce sujet et le nombre de professionnels interrogés sont les principales limites de cette étude. Conclusion Les kinésithérapeutes occupent une place singulière en soins palliatifs, ce qui peut favoriser la survenue d’émotions. Il est important de former ces professionnels à la gestion de leurs émotions et ainsi développer leurs compétences émotionnelles. Niveau de preuve: NA. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117423

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Pourquoi il n’est pas nécessaire d’incliner la pente d’établissement d’une impulsion électrique pour stimuler un muscle dénervé / Michel Gedda in Kinésithérapie, la revue, 269 (Mai 2024)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie, la revue > 269 (Mai 2024) . - p. 40 Titre : Pourquoi il n’est pas nécessaire d’incliner la pente d’établissement d’une impulsion électrique pour stimuler un muscle dénervé Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Gedda, Auteur Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 40 Note générale : https://doi : 10.1016/j.kine.2024.03.002 Langues : Français (fre) Mots-clés : Dénervation  Électrologie  Électrothérapie  Muscle  Myofibrille  Stimulation Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117424 [article] Pourquoi il n’est pas nécessaire d’incliner la pente d’établissement d’une impulsion électrique pour stimuler un muscle dénervé [texte imprimé] / Michel Gedda, Auteur . - 2024 . - p. 40. https://doi : 10.1016/j.kine.2024.03.002 Langues : Français (fre) in Kinésithérapie, la revue > 269 (Mai 2024) . - p. 40 Mots-clés : Dénervation  Électrologie  Électrothérapie  Muscle  Myofibrille  Stimulation Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117424

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Prophylaxie de l’épuisement professionnel chez les masseurs-kinésithérapeutes libéraux : étude qualitative par entretien semi-directif / Lise Riollet in Kinésithérapie, la revue, 269 (Mai 2024)

Public ISBD [article]  inKinésithérapie, la revue > 269 (Mai 2024) . - p. 10-15 Titre : Prophylaxie de l’épuisement professionnel chez les masseurs-kinésithérapeutes libéraux : étude qualitative par entretien semi-directif Type de document : texte imprimé Auteurs : Lise Riollet ; Nicolas Prost Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 10-15 Note générale : httsp://doi : 10.1016/j.kine.2023.11.005 Langues : Français (fre) Mots-clés : Syndrome d'épuisement professionnel  Personnel de santé Résumé : Introduction L’épuisement professionnel impacte les professionnels de santé, d’autant plus depuis la récente crise sanitaire. La littérature montre que les masseurs-kinésithérapeutes libéraux sont exposés à des facteurs de risque d’épuisement professionnel et qu’il n’existe pas de prévention spécifique de ce syndrome au sein de cette population. L’objet de ce travail était d’identifier les stratégies et moyens employés par les masseurs-kinésithérapeutes libéraux pour prévenir ce syndrome d’épuisement. Méthode Une étude qualitative par entretiens semi-directifs a été réalisée. Huit masseurs-kinésithérapeutes libéraux, exerçant au sein de la même ville de France, ont été recrutés par tirage au sort et interrogés sur leur lieu d’exercice professionnel. Des entretiens semi-directifs ont été effectués. Ont été recueillis les stratégies et moyens de gestion des facteurs de risque d’épuisement de chacun, leur ressentiment quant à leur exposition à ces facteurs ainsi que leur niveau d’information concernant le syndrome et sa prévention. Résultats Les résultats montrent que les professionnels interrogés sont exposés aux facteurs de risque d’épuisement, qu’ils utilisent des stratégies de prévention organisationnelles et individuelles, qu’ils manquent d’information et de formation concernant ce syndrome et sa prévention. Conclusion/Discussion Une autre étude pourrait s’intéresser aux moyens de prévention du syndrome pour l’ensemble de la population étudiée. Niveau de preuve : NA Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117425 [article] Prophylaxie de l’épuisement professionnel chez les masseurs-kinésithérapeutes libéraux : étude qualitative par entretien semi-directif [texte imprimé] / Lise Riollet ; Nicolas Prost . - 2024 . - p. 10-15. httsp://doi : 10.1016/j.kine.2023.11.005 Langues : Français (fre) in Kinésithérapie, la revue > 269 (Mai 2024) . - p. 10-15 Mots-clés : Syndrome d'épuisement professionnel  Personnel de santé Résumé : Introduction L’épuisement professionnel impacte les professionnels de santé, d’autant plus depuis la récente crise sanitaire. La littérature montre que les masseurs-kinésithérapeutes libéraux sont exposés à des facteurs de risque d’épuisement professionnel et qu’il n’existe pas de prévention spécifique de ce syndrome au sein de cette population. L’objet de ce travail était d’identifier les stratégies et moyens employés par les masseurs-kinésithérapeutes libéraux pour prévenir ce syndrome d’épuisement. Méthode Une étude qualitative par entretiens semi-directifs a été réalisée. Huit masseurs-kinésithérapeutes libéraux, exerçant au sein de la même ville de France, ont été recrutés par tirage au sort et interrogés sur leur lieu d’exercice professionnel. Des entretiens semi-directifs ont été effectués. Ont été recueillis les stratégies et moyens de gestion des facteurs de risque d’épuisement de chacun, leur ressentiment quant à leur exposition à ces facteurs ainsi que leur niveau d’information concernant le syndrome et sa prévention. Résultats Les résultats montrent que les professionnels interrogés sont exposés aux facteurs de risque d’épuisement, qu’ils utilisent des stratégies de prévention organisationnelles et individuelles, qu’ils manquent d’information et de formation concernant ce syndrome et sa prévention. Conclusion/Discussion Une autre étude pourrait s’intéresser aux moyens de prévention du syndrome pour l’ensemble de la population étudiée. Niveau de preuve : NA Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117425

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