Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Annales de Biologie Clinique . Vol.80, n°4Paru le : 01/07/2022 |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierRevue des facteurs nutritionnels dans la Covid-19 / Muriel Bost in Annales de Biologie Clinique, Vol.80, n°4 (Juillet-Août 2022)
[article]
Titre : Revue des facteurs nutritionnels dans la Covid-19 : qu’en est-il des micronutriments ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Muriel Bost ; Emmanuel Richard ; Isabelle Redonnet-Vernhet ; François Parant ; Lysiane Boulet ; Thierry Dupré ; Delphine Collin-Chavagnac ; Samir Mesli ; Marie-Christine Beauvieux Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 319-331 Note générale : https://doi.org/10.1684/abc.2022.1741 Langues : Français (fre) Mots-clés : Covid-19 micronutriments vitamines éléments trace Résumé : Le statut nutritionnel est important pour protéger des infections virales. La dénutrition comme la malnutrition induisent des déficits en micronutriments, éléments-trace et vitamines nécessaires aux fonctions physiologiques et au fonctionnement du système immunitaire. Ces carences et les maladies infectieuses coexistent souvent en complexes interactions. Une évaluation de l’état nutritionnel en micronutriments des patients Covid-19 n’a pas été au centre des priorités face à l’urgence médicale et à l’absence de preuves directes et rapides des effets de supplémentation. Peu de recommandations ont émané des sociétés savantes par manque de preuves significatives des effets de supplémentations, avec une nécessité d’études robustes.
S’il est reconnu que les oligo-éléments essentiels et les vitamines sont nécessaires à la différenciation, l’activation et l’exécution de fonctions des cellules immunitaires, leur rôle spécifique reste encore à définir. Cette synthèse aborde dans la Covid-19 l’importance des micronutriments (sélénium, cuivre, zinc, vitamines C, D, A et groupe B) chez l’hôte pour tendre vers une optimisation de la réponse immunitaire aux infections.
En prévention primaire, en population générale, un équilibre nutritionnel reste central pour atteindre l’homéostasie des micronutriments, pour diminuer le risque des situations de déséquilibre et de fragilisation face à des situations sanitaires d’ampleur.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105662
in Annales de Biologie Clinique > Vol.80, n°4 (Juillet-Août 2022) . - p. 319-331[article] Revue des facteurs nutritionnels dans la Covid-19 : qu’en est-il des micronutriments ? [texte imprimé] / Muriel Bost ; Emmanuel Richard ; Isabelle Redonnet-Vernhet ; François Parant ; Lysiane Boulet ; Thierry Dupré ; Delphine Collin-Chavagnac ; Samir Mesli ; Marie-Christine Beauvieux . - 2022 . - p. 319-331.
https://doi.org/10.1684/abc.2022.1741
Langues : Français (fre)
in Annales de Biologie Clinique > Vol.80, n°4 (Juillet-Août 2022) . - p. 319-331
Mots-clés : Covid-19 micronutriments vitamines éléments trace Résumé : Le statut nutritionnel est important pour protéger des infections virales. La dénutrition comme la malnutrition induisent des déficits en micronutriments, éléments-trace et vitamines nécessaires aux fonctions physiologiques et au fonctionnement du système immunitaire. Ces carences et les maladies infectieuses coexistent souvent en complexes interactions. Une évaluation de l’état nutritionnel en micronutriments des patients Covid-19 n’a pas été au centre des priorités face à l’urgence médicale et à l’absence de preuves directes et rapides des effets de supplémentation. Peu de recommandations ont émané des sociétés savantes par manque de preuves significatives des effets de supplémentations, avec une nécessité d’études robustes.
S’il est reconnu que les oligo-éléments essentiels et les vitamines sont nécessaires à la différenciation, l’activation et l’exécution de fonctions des cellules immunitaires, leur rôle spécifique reste encore à définir. Cette synthèse aborde dans la Covid-19 l’importance des micronutriments (sélénium, cuivre, zinc, vitamines C, D, A et groupe B) chez l’hôte pour tendre vers une optimisation de la réponse immunitaire aux infections.
En prévention primaire, en population générale, un équilibre nutritionnel reste central pour atteindre l’homéostasie des micronutriments, pour diminuer le risque des situations de déséquilibre et de fragilisation face à des situations sanitaires d’ampleur.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105662 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtDétection des anticorps antiphospholipides / Sophie Melicine in Annales de Biologie Clinique, Vol.80, n°4 (Juillet-Août 2022)
[article]
Titre : Détection des anticorps antiphospholipides : actualités en 2022 Type de document : texte imprimé Auteurs : Sophie Melicine ; Nicolas Gendron ; Luc Darnige ; Laetitia Mauge Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 333-343 Note générale : https://doi.org/10.1684/abc.2022.1745 Langues : Français (fre) Mots-clés : Anticorps antiphospholipides anticorps anti-phosphatidylsérine/prothrombine SAPL Résumé : Le syndrome des antiphospholipides (SAPL) est une entité clinico-biologique définie par l’association de manifestations thrombotiques et/ou de complications obstétricales et la présence persistante d’anticorps antiphospholipides (aPLs) détectés par des tests de coagulation (lupus anticoagulant, LA) et/ou par des tests immunologiques (anticorps anti-cardiolipine et anticorps anti-β2-glycoprotéine-I). L’essor des anticoagulants oraux directs (AOD) dans la prise en charge des évènements thrombotiques veineux (ETV) constitue aujourd’hui un défi pour les laboratoires d’hémostase dans le cadre du diagnostic du SAPL. Les AOD interfèrent avec les tests de dépistage et de confirmation du LA occasionnant des faux positifs. Afin de se soustraire à ces interférences plusieurs solutions sont proposées. Certaines reposent sur l’utilisation de système neutralisant l’AOD (pastille de charbon activé, système de filtre) d’autres sur l’utilisation de réactifs insensibles à la présence d’AOD. On peut également faire appel aux anticorps anti-phosphatidylsérine/prothrombine très corrélés à la présence de LA et constituant un outil de plus en plus reconnu dans le diagnostic biologique du SAPL et son pronostic. Enfin, la positivité des aPLs dans un contexte infectieux est fréquente et non spécifique du SAPL. Au cours de la pandémie Covid-19, de nombreux patients ont présentés des ETV et artériels qui ont pu motiver la recherche d’aPLs. L’association entre LA et le risque d’ETV ou la mortalité hospitalière chez les patients Covid-19 hospitalisés n’a pas été démontrée. De plus, il ne semble pas qu’il y ait de persistance de ces aPLs après la Covid-19. A ce jour, la recherche d’aPLs chez les patients atteint de Covid-19 n’est pas recommandée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105663
in Annales de Biologie Clinique > Vol.80, n°4 (Juillet-Août 2022) . - p. 333-343[article] Détection des anticorps antiphospholipides : actualités en 2022 [texte imprimé] / Sophie Melicine ; Nicolas Gendron ; Luc Darnige ; Laetitia Mauge . - 2022 . - p. 333-343.
https://doi.org/10.1684/abc.2022.1745
Langues : Français (fre)
in Annales de Biologie Clinique > Vol.80, n°4 (Juillet-Août 2022) . - p. 333-343
Mots-clés : Anticorps antiphospholipides anticorps anti-phosphatidylsérine/prothrombine SAPL Résumé : Le syndrome des antiphospholipides (SAPL) est une entité clinico-biologique définie par l’association de manifestations thrombotiques et/ou de complications obstétricales et la présence persistante d’anticorps antiphospholipides (aPLs) détectés par des tests de coagulation (lupus anticoagulant, LA) et/ou par des tests immunologiques (anticorps anti-cardiolipine et anticorps anti-β2-glycoprotéine-I). L’essor des anticoagulants oraux directs (AOD) dans la prise en charge des évènements thrombotiques veineux (ETV) constitue aujourd’hui un défi pour les laboratoires d’hémostase dans le cadre du diagnostic du SAPL. Les AOD interfèrent avec les tests de dépistage et de confirmation du LA occasionnant des faux positifs. Afin de se soustraire à ces interférences plusieurs solutions sont proposées. Certaines reposent sur l’utilisation de système neutralisant l’AOD (pastille de charbon activé, système de filtre) d’autres sur l’utilisation de réactifs insensibles à la présence d’AOD. On peut également faire appel aux anticorps anti-phosphatidylsérine/prothrombine très corrélés à la présence de LA et constituant un outil de plus en plus reconnu dans le diagnostic biologique du SAPL et son pronostic. Enfin, la positivité des aPLs dans un contexte infectieux est fréquente et non spécifique du SAPL. Au cours de la pandémie Covid-19, de nombreux patients ont présentés des ETV et artériels qui ont pu motiver la recherche d’aPLs. L’association entre LA et le risque d’ETV ou la mortalité hospitalière chez les patients Covid-19 hospitalisés n’a pas été démontrée. De plus, il ne semble pas qu’il y ait de persistance de ces aPLs après la Covid-19. A ce jour, la recherche d’aPLs chez les patients atteint de Covid-19 n’est pas recommandée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105663 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtGénétique des anévrismes de l’aorte thoracique / Margaux Cadenet in Annales de Biologie Clinique, Vol.80, n°4 (Juillet-Août 2022)
[article]
Titre : Génétique des anévrismes de l’aorte thoracique Type de document : texte imprimé Auteurs : Margaux Cadenet ; Nadine Hannah ; Pauline Arnaud Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 344-354 Note générale : https://doi.org/10.1684/abc.2022.1742 Langues : Français (fre) Résumé : L’anévrisme de l’aorte thoracique correspond à la dilatation de la partie ascendante de l’aorte pouvant aller jusqu’à la dissection (TAAD pour Thoracic Aortic Aneurysm and Dissection), voire la rupture aortique. Les étiologies sont diverses mais dans environ 20 % des cas, l’origine est génétique. Une trentaine de gènes au total ont été rapportés comme étant responsables du développement de TAAD. La majorité de ces gènes codent pour des protéines impliquées dans la matrice extracellulaire, la contraction des cellules musculaires lisses ou la voie de signalisation du facteur de croissance TGF-β. Identifier le variant pathogène responsable de la maladie aortique permet de poser un diagnostic définitif, d’orienter, voire de personnaliser la prise en charge des patients et permet le dépistage des apparentés à risque. La disponibilité et l’accès aux tests génétiques se sont considérablement améliorés avec le développement de nouvelles techniques de séquençage (NGS pour Next Generation Sequencing) et l’utilisation de panels de gènes. Cette revue résume les principaux gènes associés aux TAAD, ainsi que la stratégie diagnostique actuelle. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105664
in Annales de Biologie Clinique > Vol.80, n°4 (Juillet-Août 2022) . - p. 344-354[article] Génétique des anévrismes de l’aorte thoracique [texte imprimé] / Margaux Cadenet ; Nadine Hannah ; Pauline Arnaud . - 2022 . - p. 344-354.
https://doi.org/10.1684/abc.2022.1742
Langues : Français (fre)
in Annales de Biologie Clinique > Vol.80, n°4 (Juillet-Août 2022) . - p. 344-354
Résumé : L’anévrisme de l’aorte thoracique correspond à la dilatation de la partie ascendante de l’aorte pouvant aller jusqu’à la dissection (TAAD pour Thoracic Aortic Aneurysm and Dissection), voire la rupture aortique. Les étiologies sont diverses mais dans environ 20 % des cas, l’origine est génétique. Une trentaine de gènes au total ont été rapportés comme étant responsables du développement de TAAD. La majorité de ces gènes codent pour des protéines impliquées dans la matrice extracellulaire, la contraction des cellules musculaires lisses ou la voie de signalisation du facteur de croissance TGF-β. Identifier le variant pathogène responsable de la maladie aortique permet de poser un diagnostic définitif, d’orienter, voire de personnaliser la prise en charge des patients et permet le dépistage des apparentés à risque. La disponibilité et l’accès aux tests génétiques se sont considérablement améliorés avec le développement de nouvelles techniques de séquençage (NGS pour Next Generation Sequencing) et l’utilisation de panels de gènes. Cette revue résume les principaux gènes associés aux TAAD, ainsi que la stratégie diagnostique actuelle. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105664 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtHyperéosinophilies hématologiques / Inès Ghariani in Annales de Biologie Clinique, Vol.80, n°4 (Juillet-Août 2022)
[article]
Titre : Hyperéosinophilies hématologiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Inès Ghariani ; Oumaima Mahmoud ; Saloua Hamzaoui ; Néjia Braham ; Leila Bekir Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 355-362 Note générale : https://doi.org/10.1684/abc.2022.1731 Langues : Français (fre) Mots-clés : hyperéosinophilies hématologiques biologie moléculaire imatinib Résumé : Les affections hématologiques représentent la troisième cause des hyper éosinophilies. L’objectif de notre travail est d’étudier les caractéristiques épidémiologiques, étiologiques, cliniques, biologiques et thérapeutiques des hyperéosinophilies hématologiques.
Il s’agit d’une étude rétrospective menée sur une période de 4 années (mars 2017-mars 2021). Cette étude a colligé 14 patients atteints d’hyperéosinophilie hématologique.
Quatorze patients ont été inclus (9 femmes et 5 hommes). L’âge médian au moment du diagnostic était de 55 ans. L’hyperéosinophilie hématologique était principalement d’étiologie clonale. Les manifestations cliniques étaient soit spécifiques à l’hyperéosinophilie telles que les atteintes d’organes, soit liées à l’étiologie de l’hyperéosinophilie telles que l’hépato-splénomégalie et les adénopathies. Les formes modérées et sévères étaient les plus fréquemment rapportées. Plusieurs autres anomalies quantitatives et qualitatives de l’hémogramme ont été rapportées. L’identification du gène de fusion FIP1L1-PDGFRA par biologie moléculaire (RT-PCR) était positive chez deux patients. L’imatinib était le traitement de choix des formes clonales.
L’hyperéosinophilie hématologique est une pathologie rare et complexe. Notre étude a permis de confirmer cette hétérogénéité épidémiologique, étiologique, clinique, biologique et thérapeutique et de montrer l’apport de la biologie moléculaire dans le diagnostic et le traitement de cette pathologie.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105665
in Annales de Biologie Clinique > Vol.80, n°4 (Juillet-Août 2022) . - p. 355-362[article] Hyperéosinophilies hématologiques [texte imprimé] / Inès Ghariani ; Oumaima Mahmoud ; Saloua Hamzaoui ; Néjia Braham ; Leila Bekir . - 2022 . - p. 355-362.
https://doi.org/10.1684/abc.2022.1731
Langues : Français (fre)
in Annales de Biologie Clinique > Vol.80, n°4 (Juillet-Août 2022) . - p. 355-362
Mots-clés : hyperéosinophilies hématologiques biologie moléculaire imatinib Résumé : Les affections hématologiques représentent la troisième cause des hyper éosinophilies. L’objectif de notre travail est d’étudier les caractéristiques épidémiologiques, étiologiques, cliniques, biologiques et thérapeutiques des hyperéosinophilies hématologiques.
Il s’agit d’une étude rétrospective menée sur une période de 4 années (mars 2017-mars 2021). Cette étude a colligé 14 patients atteints d’hyperéosinophilie hématologique.
Quatorze patients ont été inclus (9 femmes et 5 hommes). L’âge médian au moment du diagnostic était de 55 ans. L’hyperéosinophilie hématologique était principalement d’étiologie clonale. Les manifestations cliniques étaient soit spécifiques à l’hyperéosinophilie telles que les atteintes d’organes, soit liées à l’étiologie de l’hyperéosinophilie telles que l’hépato-splénomégalie et les adénopathies. Les formes modérées et sévères étaient les plus fréquemment rapportées. Plusieurs autres anomalies quantitatives et qualitatives de l’hémogramme ont été rapportées. L’identification du gène de fusion FIP1L1-PDGFRA par biologie moléculaire (RT-PCR) était positive chez deux patients. L’imatinib était le traitement de choix des formes clonales.
L’hyperéosinophilie hématologique est une pathologie rare et complexe. Notre étude a permis de confirmer cette hétérogénéité épidémiologique, étiologique, clinique, biologique et thérapeutique et de montrer l’apport de la biologie moléculaire dans le diagnostic et le traitement de cette pathologie.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105665 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLa ferritine comme biomarqueur prédictif des formes sévères de Covid-19 / Jérémy Perottet in Annales de Biologie Clinique, Vol.80, n°4 (Juillet-Août 2022)
[article]
Titre : La ferritine comme biomarqueur prédictif des formes sévères de Covid-19 Type de document : texte imprimé Auteurs : Jérémy Perottet ; Clémentine Gondolf ; Frédérique Grandhomme ; Christian Creveuil ; Stéphane Allouche Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 363-368 Note générale : https://doi.org/ Langues : Français (fre) Mots-clés : ferritine CRP obésité Covid-19 marqueurs prédictifs Résumé : Pour une meilleure prise en charge, il est nécessaire de pouvoir identifier précocement les patients atteints de la Covid-19 susceptibles de développer une forme sévère. L’objectif de notre étude était de déterminer si des marqueurs biologiques, notamment la ferritinémie, peuvent prédire la sévérité de la Covid-19. Nous avons inclus de manière rétrospective 171 patients au CHU de Caen avec un diagnostic de Covid-19. Les patients devaient avoir un bilan biologique incluant la ferritinémie à l’admission et ont été classés en formes sévères (n = 59, hospitalisation et ventilation invasive en soins intensifs ou en réanimation, et/ou décès) et non-sévères (n = 112, tous les autres patients). L’analyse univariée a montré une association entre les formes sévères de Covid-19 avec les niveaux élevés de ferritine et de CRP, l’obésité, les lésions pulmonaires, la fréquence respiratoire élevée, la diminution du ratio PaO2/FiO2 et le score de NEWS-2. Cependant, en analyse multivariée seules la CRP et l’obésité montraient une association avec les formes sévères. En conclusion, alors que la ferritinémie élevée est associée à un risque accru de développer une forme sévère de la Covid-19, la CRP et la présence d’une obésité seraient de meilleurs marqueurs prédictifs. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105666
in Annales de Biologie Clinique > Vol.80, n°4 (Juillet-Août 2022) . - p. 363-368[article] La ferritine comme biomarqueur prédictif des formes sévères de Covid-19 [texte imprimé] / Jérémy Perottet ; Clémentine Gondolf ; Frédérique Grandhomme ; Christian Creveuil ; Stéphane Allouche . - 2022 . - p. 363-368.
https://doi.org/
Langues : Français (fre)
in Annales de Biologie Clinique > Vol.80, n°4 (Juillet-Août 2022) . - p. 363-368
Mots-clés : ferritine CRP obésité Covid-19 marqueurs prédictifs Résumé : Pour une meilleure prise en charge, il est nécessaire de pouvoir identifier précocement les patients atteints de la Covid-19 susceptibles de développer une forme sévère. L’objectif de notre étude était de déterminer si des marqueurs biologiques, notamment la ferritinémie, peuvent prédire la sévérité de la Covid-19. Nous avons inclus de manière rétrospective 171 patients au CHU de Caen avec un diagnostic de Covid-19. Les patients devaient avoir un bilan biologique incluant la ferritinémie à l’admission et ont été classés en formes sévères (n = 59, hospitalisation et ventilation invasive en soins intensifs ou en réanimation, et/ou décès) et non-sévères (n = 112, tous les autres patients). L’analyse univariée a montré une association entre les formes sévères de Covid-19 avec les niveaux élevés de ferritine et de CRP, l’obésité, les lésions pulmonaires, la fréquence respiratoire élevée, la diminution du ratio PaO2/FiO2 et le score de NEWS-2. Cependant, en analyse multivariée seules la CRP et l’obésité montraient une association avec les formes sévères. En conclusion, alors que la ferritinémie élevée est associée à un risque accru de développer une forme sévère de la Covid-19, la CRP et la présence d’une obésité seraient de meilleurs marqueurs prédictifs. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105666 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtCriblage toxicologique urinaire par une méthode automatisée immunoenzymatique multiparamétrique basée sur une technique de biopuce / David Metsu in Annales de Biologie Clinique, Vol.80, n°4 (Juillet-Août 2022)
[article]
Titre : Criblage toxicologique urinaire par une méthode automatisée immunoenzymatique multiparamétrique basée sur une technique de biopuce : comparaison à de l’immunochromatographie et de la chromatographie liquide couplée à de la spectrométrie de masse Type de document : texte imprimé Auteurs : David Metsu ; Malika Nouhaud ; Souleiman El-Balkhi ; Michel Lavit ; Hélène Paillard ; Pierre Berthomès ; Chantal Martinez ; Nathalie Gicquel-Bordelongue ; Benjamin Blonstein ; Julien Latier ; Sabine Billoré ; Claire Chassagne ; Thomas Lanot ; Frédéric Février Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 369-384 Note générale : https://doi.org/10.1684/abc.2022.1744 Langues : Français (fre) Mots-clés : criblage toxicologique immunoenzymatique immunochromatographie chromatographie Résumé : La recherche des toxiques multiparamétrique repose principalement sur des méthodes immunochromatographie [IC] et de chromatographie (CL). Une nouvelle méthode automatisée immunoenzymatique (IE) (Multistat®) en biopuce, combine un rendu de résultats rapide et des performances analytiques, en termes de seuils de positivité, proche de la CL. L’objectif de notre étude a été de comparer l’IE à des méthodes d’IC et de CL sur des échantillons hospitaliers.
Soixante-douze échantillons ont été analysés par IC (amphétamines, opiacés, benzodiazépines, THC, méthadone, cocaïne), IE et CL (classes précédentes plus opioïdes et dérivés de la cathinone). Les résultats d’IC étaient lus par au moins 7 personnes pour évaluer la subjectivité des lectures. Les résultats d’IE, d’IC et de CL étaient comparés entre eux. La quantification en CL était exploitée pour expliquer les discordances.
Une forte proportion de discordances (de 29 à 64 %) était observée entre IC et IE sur la plupart des toxiques explorées sauf pour les benzodiazépines, la méthadone et les opiacés. Ces discordances n’étaient pas retrouvées entre IE et CL, hormis pour certaines substances (28 % à 67 % de divergences pour buprénorphine, tramadol et oxycodone, 100 % pour les dérivés de la cathinone). À l’inverse de l’IC, les performances de l’IE se rapprochaient de celles de la CL, sauf pour certaines substances pour lesquelles des réactions croisées doivent être recherchées. Les discordances de lecture étaient fréquentes en IC et rendent difficile un rendu de résultat robuste. En conclusion, le Multistat® est une méthode intéressante pour un criblage en première intention pour les laboratoires sans CL.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105667
in Annales de Biologie Clinique > Vol.80, n°4 (Juillet-Août 2022) . - p. 369-384[article] Criblage toxicologique urinaire par une méthode automatisée immunoenzymatique multiparamétrique basée sur une technique de biopuce : comparaison à de l’immunochromatographie et de la chromatographie liquide couplée à de la spectrométrie de masse [texte imprimé] / David Metsu ; Malika Nouhaud ; Souleiman El-Balkhi ; Michel Lavit ; Hélène Paillard ; Pierre Berthomès ; Chantal Martinez ; Nathalie Gicquel-Bordelongue ; Benjamin Blonstein ; Julien Latier ; Sabine Billoré ; Claire Chassagne ; Thomas Lanot ; Frédéric Février . - 2022 . - p. 369-384.
https://doi.org/10.1684/abc.2022.1744
Langues : Français (fre)
in Annales de Biologie Clinique > Vol.80, n°4 (Juillet-Août 2022) . - p. 369-384
Mots-clés : criblage toxicologique immunoenzymatique immunochromatographie chromatographie Résumé : La recherche des toxiques multiparamétrique repose principalement sur des méthodes immunochromatographie [IC] et de chromatographie (CL). Une nouvelle méthode automatisée immunoenzymatique (IE) (Multistat®) en biopuce, combine un rendu de résultats rapide et des performances analytiques, en termes de seuils de positivité, proche de la CL. L’objectif de notre étude a été de comparer l’IE à des méthodes d’IC et de CL sur des échantillons hospitaliers.
Soixante-douze échantillons ont été analysés par IC (amphétamines, opiacés, benzodiazépines, THC, méthadone, cocaïne), IE et CL (classes précédentes plus opioïdes et dérivés de la cathinone). Les résultats d’IC étaient lus par au moins 7 personnes pour évaluer la subjectivité des lectures. Les résultats d’IE, d’IC et de CL étaient comparés entre eux. La quantification en CL était exploitée pour expliquer les discordances.
Une forte proportion de discordances (de 29 à 64 %) était observée entre IC et IE sur la plupart des toxiques explorées sauf pour les benzodiazépines, la méthadone et les opiacés. Ces discordances n’étaient pas retrouvées entre IE et CL, hormis pour certaines substances (28 % à 67 % de divergences pour buprénorphine, tramadol et oxycodone, 100 % pour les dérivés de la cathinone). À l’inverse de l’IC, les performances de l’IE se rapprochaient de celles de la CL, sauf pour certaines substances pour lesquelles des réactions croisées doivent être recherchées. Les discordances de lecture étaient fréquentes en IC et rendent difficile un rendu de résultat robuste. En conclusion, le Multistat® est une méthode intéressante pour un criblage en première intention pour les laboratoires sans CL.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105667 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêt