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2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'immunoenzymatique'
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Criblage toxicologique urinaire par une méthode automatisée immunoenzymatique multiparamétrique basée sur une technique de biopuce / David Metsu in Annales de Biologie Clinique, Vol.80, n°4 (Juillet-Août 2022)
[article]
Titre : Criblage toxicologique urinaire par une méthode automatisée immunoenzymatique multiparamétrique basée sur une technique de biopuce : comparaison à de l’immunochromatographie et de la chromatographie liquide couplée à de la spectrométrie de masse Type de document : texte imprimé Auteurs : David Metsu ; Malika Nouhaud ; Souleiman El-Balkhi ; Michel Lavit ; Hélène Paillard ; Pierre Berthomès ; Chantal Martinez ; Nathalie Gicquel-Bordelongue ; Benjamin Blonstein ; Julien Latier ; Sabine Billoré ; Claire Chassagne ; Thomas Lanot ; Frédéric Février Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 369-384 Note générale : https://doi.org/10.1684/abc.2022.1744 Langues : Français (fre) Mots-clés : criblage toxicologique immunoenzymatique immunochromatographie chromatographie Résumé : La recherche des toxiques multiparamétrique repose principalement sur des méthodes immunochromatographie [IC] et de chromatographie (CL). Une nouvelle méthode automatisée immunoenzymatique (IE) (Multistat®) en biopuce, combine un rendu de résultats rapide et des performances analytiques, en termes de seuils de positivité, proche de la CL. L’objectif de notre étude a été de comparer l’IE à des méthodes d’IC et de CL sur des échantillons hospitaliers.
Soixante-douze échantillons ont été analysés par IC (amphétamines, opiacés, benzodiazépines, THC, méthadone, cocaïne), IE et CL (classes précédentes plus opioïdes et dérivés de la cathinone). Les résultats d’IC étaient lus par au moins 7 personnes pour évaluer la subjectivité des lectures. Les résultats d’IE, d’IC et de CL étaient comparés entre eux. La quantification en CL était exploitée pour expliquer les discordances.
Une forte proportion de discordances (de 29 à 64 %) était observée entre IC et IE sur la plupart des toxiques explorées sauf pour les benzodiazépines, la méthadone et les opiacés. Ces discordances n’étaient pas retrouvées entre IE et CL, hormis pour certaines substances (28 % à 67 % de divergences pour buprénorphine, tramadol et oxycodone, 100 % pour les dérivés de la cathinone). À l’inverse de l’IC, les performances de l’IE se rapprochaient de celles de la CL, sauf pour certaines substances pour lesquelles des réactions croisées doivent être recherchées. Les discordances de lecture étaient fréquentes en IC et rendent difficile un rendu de résultat robuste. En conclusion, le Multistat® est une méthode intéressante pour un criblage en première intention pour les laboratoires sans CL.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105667
in Annales de Biologie Clinique > Vol.80, n°4 (Juillet-Août 2022) . - p. 369-384[article] Criblage toxicologique urinaire par une méthode automatisée immunoenzymatique multiparamétrique basée sur une technique de biopuce : comparaison à de l’immunochromatographie et de la chromatographie liquide couplée à de la spectrométrie de masse [texte imprimé] / David Metsu ; Malika Nouhaud ; Souleiman El-Balkhi ; Michel Lavit ; Hélène Paillard ; Pierre Berthomès ; Chantal Martinez ; Nathalie Gicquel-Bordelongue ; Benjamin Blonstein ; Julien Latier ; Sabine Billoré ; Claire Chassagne ; Thomas Lanot ; Frédéric Février . - 2022 . - p. 369-384.
https://doi.org/10.1684/abc.2022.1744
Langues : Français (fre)
in Annales de Biologie Clinique > Vol.80, n°4 (Juillet-Août 2022) . - p. 369-384
Mots-clés : criblage toxicologique immunoenzymatique immunochromatographie chromatographie Résumé : La recherche des toxiques multiparamétrique repose principalement sur des méthodes immunochromatographie [IC] et de chromatographie (CL). Une nouvelle méthode automatisée immunoenzymatique (IE) (Multistat®) en biopuce, combine un rendu de résultats rapide et des performances analytiques, en termes de seuils de positivité, proche de la CL. L’objectif de notre étude a été de comparer l’IE à des méthodes d’IC et de CL sur des échantillons hospitaliers.
Soixante-douze échantillons ont été analysés par IC (amphétamines, opiacés, benzodiazépines, THC, méthadone, cocaïne), IE et CL (classes précédentes plus opioïdes et dérivés de la cathinone). Les résultats d’IC étaient lus par au moins 7 personnes pour évaluer la subjectivité des lectures. Les résultats d’IE, d’IC et de CL étaient comparés entre eux. La quantification en CL était exploitée pour expliquer les discordances.
Une forte proportion de discordances (de 29 à 64 %) était observée entre IC et IE sur la plupart des toxiques explorées sauf pour les benzodiazépines, la méthadone et les opiacés. Ces discordances n’étaient pas retrouvées entre IE et CL, hormis pour certaines substances (28 % à 67 % de divergences pour buprénorphine, tramadol et oxycodone, 100 % pour les dérivés de la cathinone). À l’inverse de l’IC, les performances de l’IE se rapprochaient de celles de la CL, sauf pour certaines substances pour lesquelles des réactions croisées doivent être recherchées. Les discordances de lecture étaient fréquentes en IC et rendent difficile un rendu de résultat robuste. En conclusion, le Multistat® est une méthode intéressante pour un criblage en première intention pour les laboratoires sans CL.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105667 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtDiagnostic de l’infection à Clostridium difficile au laboratoire / Rémi Le Guern in Annales de Biologie Clinique, 71/4 (Juillet-août 2013)
[article]
Titre : Diagnostic de l’infection à Clostridium difficile au laboratoire Type de document : texte imprimé Auteurs : Rémi Le Guern, Auteur ; Frédéric Wallet, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : p.395-400 Langues : Français (fre) Mots-clés : PCR biologie moléculaire tcdB immunoenzymatique Résumé : Le diagnostic d’infection liée à Clostridium difficile (ICD) repose sur la mise en évidence de C. difficile toxinogène par le laboratoire, associée à une symptomatologie clinique compatible (diarrhée ou iléus). Deux gold standard existent : le test de cytotoxicité (spécifique, mais moins sensible que ce qui était admis) et la culture toxigénique (très sensible mais moins spécifique car elle peut détecter de simples colonisations). Ces gold standard ne sont pas utilisables en routine à cause du délai nécessaire pour l’obtention des résultats (48 à 72 h minimum). La majorité des laboratoires français utilise encore des tests immunoenzymatiques recherchant les toxines A et B, qui permettent une réponse rapide mais dont la sensibilité est insuffisante (seulement 50 %). Les techniques commerciales de biologie moléculaire (ciblant les gènes tcdA ou tcdB) ainsi que la recherche immunoenzymatique de glutamate déshydrogénase (GDH) représentent une alternative intéressante car leur sensibilité supérieure à 85 % permet d’écarter le diagnostic d’ICD en cas de résultat négatif. La recherche de GDH n’étant pas spécifique, une autre technique doit être utilisée pour confirmer les résultats positifs. En cas de positivité d’une technique de biologie moléculaire sans présence de toxine libre, les autres causes de diarrhée doivent être éliminées avant de conclure à une ICD. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75066
in Annales de Biologie Clinique > 71/4 (Juillet-août 2013) . - p.395-400[article] Diagnostic de l’infection à Clostridium difficile au laboratoire [texte imprimé] / Rémi Le Guern, Auteur ; Frédéric Wallet, Auteur . - 2013 . - p.395-400.
Langues : Français (fre)
in Annales de Biologie Clinique > 71/4 (Juillet-août 2013) . - p.395-400
Mots-clés : PCR biologie moléculaire tcdB immunoenzymatique Résumé : Le diagnostic d’infection liée à Clostridium difficile (ICD) repose sur la mise en évidence de C. difficile toxinogène par le laboratoire, associée à une symptomatologie clinique compatible (diarrhée ou iléus). Deux gold standard existent : le test de cytotoxicité (spécifique, mais moins sensible que ce qui était admis) et la culture toxigénique (très sensible mais moins spécifique car elle peut détecter de simples colonisations). Ces gold standard ne sont pas utilisables en routine à cause du délai nécessaire pour l’obtention des résultats (48 à 72 h minimum). La majorité des laboratoires français utilise encore des tests immunoenzymatiques recherchant les toxines A et B, qui permettent une réponse rapide mais dont la sensibilité est insuffisante (seulement 50 %). Les techniques commerciales de biologie moléculaire (ciblant les gènes tcdA ou tcdB) ainsi que la recherche immunoenzymatique de glutamate déshydrogénase (GDH) représentent une alternative intéressante car leur sensibilité supérieure à 85 % permet d’écarter le diagnostic d’ICD en cas de résultat négatif. La recherche de GDH n’étant pas spécifique, une autre technique doit être utilisée pour confirmer les résultats positifs. En cas de positivité d’une technique de biologie moléculaire sans présence de toxine libre, les autres causes de diarrhée doivent être éliminées avant de conclure à une ICD. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=75066 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêt