Centre de Documentation Campus Montignies
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Mercredi 9h-16h30
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Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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EMC : Appareil locomoteur . Vol.36 N°3Paru le : 01/08/2022 |
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Ajouter le résultat dans votre panierTendon normal / J. Tebache in EMC : Appareil locomoteur, Vol.36 N°3 (Août 2022)
[article]
Titre : Tendon normal Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Tebache ; M. Lamontagne ; J.F. Kaux Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 14-007-A-10 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Tendon Collagène Courbe de déformation du tendon Viscoélasticité Neuroplasticité Mécanotransduction Cicatrisation Résumé : Le tendon a été associé au nerf pendant plus de 15 siècles. Ce dogme n'a été rompu qu'en 1745 par les travaux d'Albrecht Von Haller. Embryologiquement, il provient du mésoderme paraxial, du mésoderme de la lame latérale et de l'ectoderme. Il permet la transmission des forces générées par le muscle et est principalement composé de faisceaux de collagène de type I, de glycoprotéines, de protéoglycans, d'eau, de ténocytes et de ténoblastes. L'enthèse, jonction entre l'os et le tendon, peut être fibreuse ou fibrocartilagineuse. La jonction myotendineuse, quant à elle, représente une unité avec des liaisons entre les myocytes et les faisceaux de collagène. Sa vascularisation varie en fonction de la localisation du tendon et s'altère avec l'âge, l'intensité de l'effort, la compression, la friction et la torsion. Il est innervé par des nerfs sensoriels dont les fibres afférentes proviennent des troncs cutanés, musculaires et péritendineux. Sa courbe de déformation permet de comprendre sa biomécanique. En effet, ce tissu est viscoélastique. La mécanotransduction est un processus physiologique par lequel les cellules tissulaires détectent et produisent une réponse biochimique à un stimulus mécanique. L'entraînement favorise la synthèse de collagène de type I et dans une moindre mesure sa dégradation. L'immobilisation, par contre, entraîne une diminution de son poids, de sa rigidité et de sa résistance à la traction. Dans le cas d'une lésion aiguë, la cicatrisation tendineuse s'étend sur un peu plus de 10 semaines et est composée de trois phases : inflammation, réparation et remodelage. Le vieillissement tendineux entraîne un risque plus important de lésions tendineuses. Une diminution de la quantité de collagène et de protéine est alors observée. L'échographie voire l'imagerie par résonance magnétique (IRM) sont les examens d'imagerie médicale de choix en cas de suspicion de tendinopathie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105623
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°3 (Août 2022) . - p. 14-007-A-10 [Tome 1][article] Tendon normal [texte imprimé] / J. Tebache ; M. Lamontagne ; J.F. Kaux . - 2022 . - p. 14-007-A-10 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°3 (Août 2022) . - p. 14-007-A-10 [Tome 1]
Mots-clés : Tendon Collagène Courbe de déformation du tendon Viscoélasticité Neuroplasticité Mécanotransduction Cicatrisation Résumé : Le tendon a été associé au nerf pendant plus de 15 siècles. Ce dogme n'a été rompu qu'en 1745 par les travaux d'Albrecht Von Haller. Embryologiquement, il provient du mésoderme paraxial, du mésoderme de la lame latérale et de l'ectoderme. Il permet la transmission des forces générées par le muscle et est principalement composé de faisceaux de collagène de type I, de glycoprotéines, de protéoglycans, d'eau, de ténocytes et de ténoblastes. L'enthèse, jonction entre l'os et le tendon, peut être fibreuse ou fibrocartilagineuse. La jonction myotendineuse, quant à elle, représente une unité avec des liaisons entre les myocytes et les faisceaux de collagène. Sa vascularisation varie en fonction de la localisation du tendon et s'altère avec l'âge, l'intensité de l'effort, la compression, la friction et la torsion. Il est innervé par des nerfs sensoriels dont les fibres afférentes proviennent des troncs cutanés, musculaires et péritendineux. Sa courbe de déformation permet de comprendre sa biomécanique. En effet, ce tissu est viscoélastique. La mécanotransduction est un processus physiologique par lequel les cellules tissulaires détectent et produisent une réponse biochimique à un stimulus mécanique. L'entraînement favorise la synthèse de collagène de type I et dans une moindre mesure sa dégradation. L'immobilisation, par contre, entraîne une diminution de son poids, de sa rigidité et de sa résistance à la traction. Dans le cas d'une lésion aiguë, la cicatrisation tendineuse s'étend sur un peu plus de 10 semaines et est composée de trois phases : inflammation, réparation et remodelage. Le vieillissement tendineux entraîne un risque plus important de lésions tendineuses. Une diminution de la quantité de collagène et de protéine est alors observée. L'échographie voire l'imagerie par résonance magnétique (IRM) sont les examens d'imagerie médicale de choix en cas de suspicion de tendinopathie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105623 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Pseudopolyarthrite rhizomélique et artérite à cellules géantes / G. Carvajal Alegria in EMC : Appareil locomoteur, Vol.36 N°3 (Août 2022)
[article]
Titre : Pseudopolyarthrite rhizomélique et artérite à cellules géantes Type de document : texte imprimé Auteurs : G. Carvajal Alegria ; S. Jousse-Joulin ; D. Cornec ; D. Guellec ; V. Devauchelle-Pensec ; A. Saraux Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 14-243-A-10 [Tome 4] Langues : Français (fre) Mots-clés : Pseudopolyarthrite rhizomélique Artérite à cellules géantes Résumé : La pseudopolyarthrite rhizomélique (PPR) et l'artérite à cellules géantes (ACG) peuvent survenir associées ou indépendamment l'une de l'autre chez des sujets âgés de plus de 50 ans. La PPR se manifeste essentiellement par des douleurs inflammatoires des ceintures. L'ACG peut se présenter comme une pathologie artéritique crânienne, avec des céphalées comme signes dominants, ou extracrânienne, pouvant toucher alors l'aorte, les vaisseaux des membres supérieurs ou inférieurs. Les deux pathologies sont associées de façon quasi constante à un syndrome inflammatoire, notamment une élévation de la protéine C réactive. Leur diagnostic différentiel est rendu difficile par le fait que beaucoup de maladies peuvent donner des douleurs diffuses associées à un syndrome inflammatoire. C'était jusqu'à ces dernières années surtout l'exclusion de ces diagnostics différentiels, la corticosensibilité dans la PPR et la biopsie d'artère temporale dans l'ACG, qui permettaient de retenir le diagnostic, mais des examens complémentaires tels que l'échographie des épaules et des hanches dans la PPR et l'échographie des artères temporales ou la tomographie par émission de positons dans l'ACG ont apporté un réel progrès. Le traitement de ces deux pathologies repose sur la corticothérapie, mais à une dose très supérieure dans l'ACG. En cas de corticodépendance, on peut proposer des produits épargneurs de la corticothérapie tels que le méthotrexate ou le tocilizumab (anti-interleukine [IL]-6). De nombreux autres traitements sont en développement, notamment le sarilumab, l'abatacept, des anti-Janus kinase (Jak), l'ustékinumab et le secukinumab. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105624
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°3 (Août 2022) . - p. 14-243-A-10 [Tome 4][article] Pseudopolyarthrite rhizomélique et artérite à cellules géantes [texte imprimé] / G. Carvajal Alegria ; S. Jousse-Joulin ; D. Cornec ; D. Guellec ; V. Devauchelle-Pensec ; A. Saraux . - 2022 . - p. 14-243-A-10 [Tome 4].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°3 (Août 2022) . - p. 14-243-A-10 [Tome 4]
Mots-clés : Pseudopolyarthrite rhizomélique Artérite à cellules géantes Résumé : La pseudopolyarthrite rhizomélique (PPR) et l'artérite à cellules géantes (ACG) peuvent survenir associées ou indépendamment l'une de l'autre chez des sujets âgés de plus de 50 ans. La PPR se manifeste essentiellement par des douleurs inflammatoires des ceintures. L'ACG peut se présenter comme une pathologie artéritique crânienne, avec des céphalées comme signes dominants, ou extracrânienne, pouvant toucher alors l'aorte, les vaisseaux des membres supérieurs ou inférieurs. Les deux pathologies sont associées de façon quasi constante à un syndrome inflammatoire, notamment une élévation de la protéine C réactive. Leur diagnostic différentiel est rendu difficile par le fait que beaucoup de maladies peuvent donner des douleurs diffuses associées à un syndrome inflammatoire. C'était jusqu'à ces dernières années surtout l'exclusion de ces diagnostics différentiels, la corticosensibilité dans la PPR et la biopsie d'artère temporale dans l'ACG, qui permettaient de retenir le diagnostic, mais des examens complémentaires tels que l'échographie des épaules et des hanches dans la PPR et l'échographie des artères temporales ou la tomographie par émission de positons dans l'ACG ont apporté un réel progrès. Le traitement de ces deux pathologies repose sur la corticothérapie, mais à une dose très supérieure dans l'ACG. En cas de corticodépendance, on peut proposer des produits épargneurs de la corticothérapie tels que le méthotrexate ou le tocilizumab (anti-interleukine [IL]-6). De nombreux autres traitements sont en développement, notamment le sarilumab, l'abatacept, des anti-Janus kinase (Jak), l'ustékinumab et le secukinumab. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105624 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Sclérodermie systémique : épidémiologie, physiopathologie, clinique / Yannick Allanore in EMC : Appareil locomoteur, Vol.36 N°3 (Août 2022)
[article]
Titre : Sclérodermie systémique : épidémiologie, physiopathologie, clinique Type de document : texte imprimé Auteurs : Yannick Allanore Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 14-245-A-10 [Tome 4] Langues : Français (fre) Mots-clés : Sclérodermie systémique Auto-immunité Fibrose Syndrome de Raynaud Hypertension artérielle pulmonaire Résumé : La sclérodermie systémique est une maladie orpheline sévère du groupe des connectivites et des maladies systémiques auto-immunes rares. Elle est caractérisée par une vasculopathie initiale, une phase inflammatoire dysimmunitaire et elle culmine en une fibrose systémique touchant la peau et les organes internes. Les critères de classification révisés en 2013 permettent d'identifier des formes précoces, théoriquement plus accessibles à un traitement, avant que la fibrose ne devienne plus établie et disséminée. Le syndrome de Raynaud est le symptôme initial et quasi constant de la maladie. Il est au centre de projets actuels visant à identifier des formes très précoces. Cette maladie est très hétérogène et son pronostic extrêmement variable. Ce dernier met en jeu un aspect fonctionnel avec une altération significative de la qualité de vie en raison de multiples atteintes. Mais le pronostic vital des patients peut aussi être engagé essentiellement en raison de complications cardiopulmonaires : pneumopathie interstitielle, hypertension artérielle pulmonaire et atteinte myocardique. Les atteintes viscérales multiples doivent faire l'objet d'un suivi systématique rapproché afin d'en définir les lésions et l'évolutivité. Le bilan minimum comporte une évaluation systémique annuelle qui intègre des aspects cliniques, de biologie, une échographie cardiaque et des épreuves fonctionnelles respiratoires. Un scanner thoracique en coupes fines est réalisé au diagnostic et en cas d'apparition de symptômes pulmonaires ou d'aggravation de symptômes pulmonaires préexistants. Il existe ainsi des critères précis de classification et de suivi de la maladie qui permettent une évaluation fine et d'adapter la prise en charge. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105625
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°3 (Août 2022) . - p. 14-245-A-10 [Tome 4][article] Sclérodermie systémique : épidémiologie, physiopathologie, clinique [texte imprimé] / Yannick Allanore . - 2022 . - p. 14-245-A-10 [Tome 4].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°3 (Août 2022) . - p. 14-245-A-10 [Tome 4]
Mots-clés : Sclérodermie systémique Auto-immunité Fibrose Syndrome de Raynaud Hypertension artérielle pulmonaire Résumé : La sclérodermie systémique est une maladie orpheline sévère du groupe des connectivites et des maladies systémiques auto-immunes rares. Elle est caractérisée par une vasculopathie initiale, une phase inflammatoire dysimmunitaire et elle culmine en une fibrose systémique touchant la peau et les organes internes. Les critères de classification révisés en 2013 permettent d'identifier des formes précoces, théoriquement plus accessibles à un traitement, avant que la fibrose ne devienne plus établie et disséminée. Le syndrome de Raynaud est le symptôme initial et quasi constant de la maladie. Il est au centre de projets actuels visant à identifier des formes très précoces. Cette maladie est très hétérogène et son pronostic extrêmement variable. Ce dernier met en jeu un aspect fonctionnel avec une altération significative de la qualité de vie en raison de multiples atteintes. Mais le pronostic vital des patients peut aussi être engagé essentiellement en raison de complications cardiopulmonaires : pneumopathie interstitielle, hypertension artérielle pulmonaire et atteinte myocardique. Les atteintes viscérales multiples doivent faire l'objet d'un suivi systématique rapproché afin d'en définir les lésions et l'évolutivité. Le bilan minimum comporte une évaluation systémique annuelle qui intègre des aspects cliniques, de biologie, une échographie cardiaque et des épreuves fonctionnelles respiratoires. Un scanner thoracique en coupes fines est réalisé au diagnostic et en cas d'apparition de symptômes pulmonaires ou d'aggravation de symptômes pulmonaires préexistants. Il existe ainsi des critères précis de classification et de suivi de la maladie qui permettent une évaluation fine et d'adapter la prise en charge. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105625 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Sclérodermie systémique : traitement / Yannick Allanore in EMC : Appareil locomoteur, Vol.36 N°3 (Août 2022)
[article]
Titre : Sclérodermie systémique : traitement Type de document : texte imprimé Auteurs : Yannick Allanore Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 14-245-A-12 [Tome 4] Langues : Français (fre) Mots-clés : Sclérodermie systémique Auto-immunité Fibrose Syndrome de Raynaud Hypertension artérielle pulmonaire Résumé : La prise en charge thérapeutique des sclérodermies systémiques a beaucoup évolué, notamment pour le versant vasculaire, avec des traitements ayant démontré leur efficacité pour les ulcères digitaux et l'hypertension artérielle pulmonaire dans des essais randomisés ce qui a conduit à des autorisations officielles. L'atteinte pulmonaire interstitielle a aussi connu des progrès significatifs avec des indications obtenues dans certains pays, en cours d'évaluation dans d'autres, pour le nintédanib, le tocilizumab et le rituximab. Les traitements immunomodulateurs restent le socle pour les formes précoces avec des traitements synthétiques, voire des thérapies ciblées, surtout en cas de polyarthrite, de myosite, voire de formes dermatologiques florides. Des stratégies combinées d'emblée ou séquentielles avec ces divers produits sont dorénavant à l'étude avec l'espoir de contrôler plus largement et durablement cette maladie. Les traitements symptomatiques du syndrome de Raynaud, de l'atteinte digestive ou musculosquelettique restent indispensables dans cette maladie qui engendre une importante altération de la qualité de vie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105626
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°3 (Août 2022) . - p. 14-245-A-12 [Tome 4][article] Sclérodermie systémique : traitement [texte imprimé] / Yannick Allanore . - 2022 . - p. 14-245-A-12 [Tome 4].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°3 (Août 2022) . - p. 14-245-A-12 [Tome 4]
Mots-clés : Sclérodermie systémique Auto-immunité Fibrose Syndrome de Raynaud Hypertension artérielle pulmonaire Résumé : La prise en charge thérapeutique des sclérodermies systémiques a beaucoup évolué, notamment pour le versant vasculaire, avec des traitements ayant démontré leur efficacité pour les ulcères digitaux et l'hypertension artérielle pulmonaire dans des essais randomisés ce qui a conduit à des autorisations officielles. L'atteinte pulmonaire interstitielle a aussi connu des progrès significatifs avec des indications obtenues dans certains pays, en cours d'évaluation dans d'autres, pour le nintédanib, le tocilizumab et le rituximab. Les traitements immunomodulateurs restent le socle pour les formes précoces avec des traitements synthétiques, voire des thérapies ciblées, surtout en cas de polyarthrite, de myosite, voire de formes dermatologiques florides. Des stratégies combinées d'emblée ou séquentielles avec ces divers produits sont dorénavant à l'étude avec l'espoir de contrôler plus largement et durablement cette maladie. Les traitements symptomatiques du syndrome de Raynaud, de l'atteinte digestive ou musculosquelettique restent indispensables dans cette maladie qui engendre une importante altération de la qualité de vie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105626 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Spécificité de la reconstruction des membres pour tumeur maligne chez l'enfant / Eric Mascard in EMC : Appareil locomoteur, Vol.36 N°3 (Août 2022)
[article]
Titre : Spécificité de la reconstruction des membres pour tumeur maligne chez l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : Eric Mascard ; C. Glorion ; S. Pannier Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 14-697 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Tumeurs osseuses malignes Transfert épiphysaire Prothèse de croissance Membrane induite Amputation Plastie de rotation Arthrodèse Troubles de croissance Ostéosarcome Sarcome d'Ewing Enfant Allogreffe Transfert de fibula vascularisée Résumé : La plupart des résections pour tumeurs osseuses malignes des membres chez l'enfant nécessitent de reconstruire le segment qui a été enlevé. On essaye de privilégier les techniques biologiques chez l'enfant qui a une capacité de consolidation et de reconstruction supérieure à l'adulte. Il est parfois nécessaire de recourir à des techniques prothétiques qui peuvent poser des problèmes dus à la croissance. Beaucoup des techniques sont toutefois comparables à celles utilisées chez l'adulte. Parmi les techniques de reconstruction plus spécifiques à l'enfant, il faut retenir : les transferts épiphysaires, les prothèses de croissance, la technique de la greffe en deux temps par membrane induite de Masquelet. La plastie de rotation et les amputations donnent des résultats fonctionnels souvent excellents chez l'enfant. Certaines complications spécifiquement pédiatriques de reconstructions utilisées chez l'adulte vont être développées. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105627
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°3 (Août 2022) . - p. 14-697 [Tome 5][article] Spécificité de la reconstruction des membres pour tumeur maligne chez l'enfant [texte imprimé] / Eric Mascard ; C. Glorion ; S. Pannier . - 2022 . - p. 14-697 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°3 (Août 2022) . - p. 14-697 [Tome 5]
Mots-clés : Tumeurs osseuses malignes Transfert épiphysaire Prothèse de croissance Membrane induite Amputation Plastie de rotation Arthrodèse Troubles de croissance Ostéosarcome Sarcome d'Ewing Enfant Allogreffe Transfert de fibula vascularisée Résumé : La plupart des résections pour tumeurs osseuses malignes des membres chez l'enfant nécessitent de reconstruire le segment qui a été enlevé. On essaye de privilégier les techniques biologiques chez l'enfant qui a une capacité de consolidation et de reconstruction supérieure à l'adulte. Il est parfois nécessaire de recourir à des techniques prothétiques qui peuvent poser des problèmes dus à la croissance. Beaucoup des techniques sont toutefois comparables à celles utilisées chez l'adulte. Parmi les techniques de reconstruction plus spécifiques à l'enfant, il faut retenir : les transferts épiphysaires, les prothèses de croissance, la technique de la greffe en deux temps par membrane induite de Masquelet. La plastie de rotation et les amputations donnent des résultats fonctionnels souvent excellents chez l'enfant. Certaines complications spécifiquement pédiatriques de reconstructions utilisées chez l'adulte vont être développées. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105627 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Pathologies toxiques et endocriniennes du muscle / T. Wirth in EMC : Appareil locomoteur, Vol.36 N°3 (Août 2022)
[article]
Titre : Pathologies toxiques et endocriniennes du muscle Type de document : texte imprimé Auteurs : T. Wirth ; E. Föckens ; H. De Cagny ; P. Lafforgue ; S. Guis Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 15-143-A-10 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Myopathies Myalgies Rhabdomyolyse Toxiques Médicaments Iatrogénie Endocrinopathies Résumé : Les pathologies toxiques, médicamenteuses et endocriniennes du muscle sont fréquentes et souvent méconnues. Elles se manifestent sous forme de douleurs musculaires invalidantes qui cèdent le plus souvent à l'éviction du toxique, à l'arrêt du traitement inducteur ou au traitement de la cause endocrinienne. Elles peuvent, dans de rares cas, s'accompagner de rhabdomyolyse et mettre la vie de la personne en danger. Les traitements et les toxiques inducteurs sont de plus en plus nombreux avec l'apparition de nouvelles molécules et de nouvelles drogues. Ainsi, une liste exhaustive est difficile, mais cette hypothèse doit toujours être envisagée en cas d'atteinte musculaire. Pour mémoire, les myalgies toutes causes confondues représentent environ 10 à 25 % des motifs de consultation en rhumatologie et 50 % d'entre elles ont une cause organique. Leur dépistage est essentiellement orienté grâce à un interrogatoire très précis et fouillé, notamment pour les causes toxiques. Les causes endocriniennes sont essentiellement représentées par les dysthyroïdies, les plus connues, mais il ne faut pas négliger les autres telles les atteintes surrénaliennes, hypophysaires, parathyroïdiennes, etc. La physiopathologie de ces atteintes dépend bien sûr de l'élément déclencheur et les mécanismes fins sont de plus en plus connus. Ils impliquent des dysfonctionnements se répercutant sur le métabolisme de la cellule musculaire (exemple : atteinte des canaux calciques, etc.), mais peuvent s'y ajouter des dysfonctionnements impliquant d'autres organes (exemple : l'implication quelquefois d'anomalies de protéines hépatiques pour les myalgies sous statine). Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105628
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°3 (Août 2022) . - p. 15-143-A-10 [Tome 6][article] Pathologies toxiques et endocriniennes du muscle [texte imprimé] / T. Wirth ; E. Föckens ; H. De Cagny ; P. Lafforgue ; S. Guis . - 2022 . - p. 15-143-A-10 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°3 (Août 2022) . - p. 15-143-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : Myopathies Myalgies Rhabdomyolyse Toxiques Médicaments Iatrogénie Endocrinopathies Résumé : Les pathologies toxiques, médicamenteuses et endocriniennes du muscle sont fréquentes et souvent méconnues. Elles se manifestent sous forme de douleurs musculaires invalidantes qui cèdent le plus souvent à l'éviction du toxique, à l'arrêt du traitement inducteur ou au traitement de la cause endocrinienne. Elles peuvent, dans de rares cas, s'accompagner de rhabdomyolyse et mettre la vie de la personne en danger. Les traitements et les toxiques inducteurs sont de plus en plus nombreux avec l'apparition de nouvelles molécules et de nouvelles drogues. Ainsi, une liste exhaustive est difficile, mais cette hypothèse doit toujours être envisagée en cas d'atteinte musculaire. Pour mémoire, les myalgies toutes causes confondues représentent environ 10 à 25 % des motifs de consultation en rhumatologie et 50 % d'entre elles ont une cause organique. Leur dépistage est essentiellement orienté grâce à un interrogatoire très précis et fouillé, notamment pour les causes toxiques. Les causes endocriniennes sont essentiellement représentées par les dysthyroïdies, les plus connues, mais il ne faut pas négliger les autres telles les atteintes surrénaliennes, hypophysaires, parathyroïdiennes, etc. La physiopathologie de ces atteintes dépend bien sûr de l'élément déclencheur et les mécanismes fins sont de plus en plus connus. Ils impliquent des dysfonctionnements se répercutant sur le métabolisme de la cellule musculaire (exemple : atteinte des canaux calciques, etc.), mais peuvent s'y ajouter des dysfonctionnements impliquant d'autres organes (exemple : l'implication quelquefois d'anomalies de protéines hépatiques pour les myalgies sous statine). Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105628 Exemplaires
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