Centre de Documentation Campus Montignies
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Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
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2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Myalgies'
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Pathologies toxiques et endocriniennes du muscle / T. Wirth in EMC : Appareil locomoteur, Vol.36 N°3 (Août 2022)
[article]
Titre : Pathologies toxiques et endocriniennes du muscle Type de document : texte imprimé Auteurs : T. Wirth ; E. Föckens ; H. De Cagny ; P. Lafforgue ; S. Guis Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 15-143-A-10 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Myopathies Myalgies Rhabdomyolyse Toxiques Médicaments Iatrogénie Endocrinopathies Résumé : Les pathologies toxiques, médicamenteuses et endocriniennes du muscle sont fréquentes et souvent méconnues. Elles se manifestent sous forme de douleurs musculaires invalidantes qui cèdent le plus souvent à l'éviction du toxique, à l'arrêt du traitement inducteur ou au traitement de la cause endocrinienne. Elles peuvent, dans de rares cas, s'accompagner de rhabdomyolyse et mettre la vie de la personne en danger. Les traitements et les toxiques inducteurs sont de plus en plus nombreux avec l'apparition de nouvelles molécules et de nouvelles drogues. Ainsi, une liste exhaustive est difficile, mais cette hypothèse doit toujours être envisagée en cas d'atteinte musculaire. Pour mémoire, les myalgies toutes causes confondues représentent environ 10 à 25 % des motifs de consultation en rhumatologie et 50 % d'entre elles ont une cause organique. Leur dépistage est essentiellement orienté grâce à un interrogatoire très précis et fouillé, notamment pour les causes toxiques. Les causes endocriniennes sont essentiellement représentées par les dysthyroïdies, les plus connues, mais il ne faut pas négliger les autres telles les atteintes surrénaliennes, hypophysaires, parathyroïdiennes, etc. La physiopathologie de ces atteintes dépend bien sûr de l'élément déclencheur et les mécanismes fins sont de plus en plus connus. Ils impliquent des dysfonctionnements se répercutant sur le métabolisme de la cellule musculaire (exemple : atteinte des canaux calciques, etc.), mais peuvent s'y ajouter des dysfonctionnements impliquant d'autres organes (exemple : l'implication quelquefois d'anomalies de protéines hépatiques pour les myalgies sous statine). Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105628
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°3 (Août 2022) . - p. 15-143-A-10 [Tome 6][article] Pathologies toxiques et endocriniennes du muscle [texte imprimé] / T. Wirth ; E. Föckens ; H. De Cagny ; P. Lafforgue ; S. Guis . - 2022 . - p. 15-143-A-10 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°3 (Août 2022) . - p. 15-143-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : Myopathies Myalgies Rhabdomyolyse Toxiques Médicaments Iatrogénie Endocrinopathies Résumé : Les pathologies toxiques, médicamenteuses et endocriniennes du muscle sont fréquentes et souvent méconnues. Elles se manifestent sous forme de douleurs musculaires invalidantes qui cèdent le plus souvent à l'éviction du toxique, à l'arrêt du traitement inducteur ou au traitement de la cause endocrinienne. Elles peuvent, dans de rares cas, s'accompagner de rhabdomyolyse et mettre la vie de la personne en danger. Les traitements et les toxiques inducteurs sont de plus en plus nombreux avec l'apparition de nouvelles molécules et de nouvelles drogues. Ainsi, une liste exhaustive est difficile, mais cette hypothèse doit toujours être envisagée en cas d'atteinte musculaire. Pour mémoire, les myalgies toutes causes confondues représentent environ 10 à 25 % des motifs de consultation en rhumatologie et 50 % d'entre elles ont une cause organique. Leur dépistage est essentiellement orienté grâce à un interrogatoire très précis et fouillé, notamment pour les causes toxiques. Les causes endocriniennes sont essentiellement représentées par les dysthyroïdies, les plus connues, mais il ne faut pas négliger les autres telles les atteintes surrénaliennes, hypophysaires, parathyroïdiennes, etc. La physiopathologie de ces atteintes dépend bien sûr de l'élément déclencheur et les mécanismes fins sont de plus en plus connus. Ils impliquent des dysfonctionnements se répercutant sur le métabolisme de la cellule musculaire (exemple : atteinte des canaux calciques, etc.), mais peuvent s'y ajouter des dysfonctionnements impliquant d'autres organes (exemple : l'implication quelquefois d'anomalies de protéines hépatiques pour les myalgies sous statine). Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105628 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Déficit en myoadénylate désaminase : une cause fréquente de douleurs musculaires À propos d’un cas dépisté par épreuve d’effort / Lydie Lim in Annales de Biologie Clinique, 75/4 (Juillet-août 2017)
[article]
Titre : Déficit en myoadénylate désaminase : une cause fréquente de douleurs musculaires À propos d’un cas dépisté par épreuve d’effort Type de document : texte imprimé Auteurs : Lydie Lim ; Maeva Palayer ; Antoine Bruneau Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 445-449 Langues : Français (fre) Mots-clés : myoadénylate désaminase épreuve d’effort myalgies myopathies métaboliques AMPD1 Résumé : Le déficit en myoadénylate désaminase (MAD, MIM#615511) est la cause la plus fréquente de myopathies métaboliques avec une prévalence estimée entre 1 et 2 % de la population générale. Nous rapportons le cas d’un homme de 39 ans souffrant depuis 4 ans de douleurs musculaires squelettiques invalidantes d’apparition progressive avec, comme seul signe biologique, une augmentation modérée de créatine kinase (CK). Ce cas clinique nous donne l’opportunité de faire le point sur cette pathologie fréquente et méconnue, ainsi que sur l’intérêt des explorations métaboliques dynamiques réalisées lors d’épreuves d’effort sur cyclo-ergomètre. Cet examen clinicobiologique non invasif, à l’interface entre la physiologie et la biologie, nous a en effet permis d’identifier chez ce patient une absence totale d’élévation physiologique de l’ammoniémie lors de l’effort, évocatrice d’un déficit en MAD. Ce déficit enzymatique en MAD a par la suite été confirmé par histochimie et l’étude moléculaire qui a révélé la présence du variant pathogène homozygote retrouvé de manière récurrente chez la majorité des patients dans le gène de l’adénosine monophosphate désaminase 1 (AMPD1). Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=76310
in Annales de Biologie Clinique > 75/4 (Juillet-août 2017) . - p. 445-449[article] Déficit en myoadénylate désaminase : une cause fréquente de douleurs musculaires À propos d’un cas dépisté par épreuve d’effort [texte imprimé] / Lydie Lim ; Maeva Palayer ; Antoine Bruneau . - 2017 . - p. 445-449.
Langues : Français (fre)
in Annales de Biologie Clinique > 75/4 (Juillet-août 2017) . - p. 445-449
Mots-clés : myoadénylate désaminase épreuve d’effort myalgies myopathies métaboliques AMPD1 Résumé : Le déficit en myoadénylate désaminase (MAD, MIM#615511) est la cause la plus fréquente de myopathies métaboliques avec une prévalence estimée entre 1 et 2 % de la population générale. Nous rapportons le cas d’un homme de 39 ans souffrant depuis 4 ans de douleurs musculaires squelettiques invalidantes d’apparition progressive avec, comme seul signe biologique, une augmentation modérée de créatine kinase (CK). Ce cas clinique nous donne l’opportunité de faire le point sur cette pathologie fréquente et méconnue, ainsi que sur l’intérêt des explorations métaboliques dynamiques réalisées lors d’épreuves d’effort sur cyclo-ergomètre. Cet examen clinicobiologique non invasif, à l’interface entre la physiologie et la biologie, nous a en effet permis d’identifier chez ce patient une absence totale d’élévation physiologique de l’ammoniémie lors de l’effort, évocatrice d’un déficit en MAD. Ce déficit enzymatique en MAD a par la suite été confirmé par histochimie et l’étude moléculaire qui a révélé la présence du variant pathogène homozygote retrouvé de manière récurrente chez la majorité des patients dans le gène de l’adénosine monophosphate désaminase 1 (AMPD1). Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=76310 Réservation
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