Centre de Documentation Campus Montignies
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Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Journal de traumatologie du sport . Vol.36, n°3Paru le : 01/09/2019 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierControverse : faut-il opérer une première luxation patellaire ? (Réflexions à partir d’une revue de la littérature) - / Camille Choufani in Journal de traumatologie du sport, Vol.36, n°3 (Septembre 2019)
[article]
Titre : Controverse : faut-il opérer une première luxation patellaire ? (Réflexions à partir d’une revue de la littérature) - Type de document : texte imprimé Auteurs : Camille Choufani, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 194-202 Langues : Français (fre) Mots-clés : Patella LUXATION CHIRURGIE Résumé : La première luxation patellaire isolée relève d’un traitement fonctionnel. La récidive est la principale complication. L’intérêt d’une chirurgie dès le premier épisode se discute. Notre objectif est d’analyser la littérature à ce sujet. Notre hypothèse est qu’une chirurgie dès le premier épisode de luxation réduirait le taux de récidive.
Matériels et méthodes
Nous avons mené une revue de la littérature. Notre critère de jugement principal était la population à risque de récidive (les facteurs prédictifs). Les critères secondaires étaient le type de chirurgie à proposer et le taux de récidive de luxation après chirurgie à la suite d’un premier épisode.
Résultats
Le score Patellar Instability Severity Score (PISS) est un score prédictif significatif du risque de récidive pour chaque patient. La réparation du MPFL est le geste chirurgical à proposer. La littérature ne permet pas d’affirmer significativement une réduction du taux de récidive après une première luxation traitée chirurgicalement.
Discussion
La mauvaise récupération, le risque de lésions ostéocartilagineuses et le risque de récidive sont les aléas du traitement fonctionnel après un premier épisode de luxation. Les patients à haut risque de récidive peuvent être sélectionnés par le score PISS. La réparation du MPFL est à recommander dans ce contexte. Cependant, la qualité scientifique des études ne permet pas de conclure significativement.
Conclusion
Notre analyse met en évidence les facteurs permettant de sélectionner les patients à haut risque de récidive après un premier épisode de luxation. Une chirurgie (réparation du MPFL) semble réduire le taux de récidive.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=82258
in Journal de traumatologie du sport > Vol.36, n°3 (Septembre 2019) . - p. 194-202[article] Controverse : faut-il opérer une première luxation patellaire ? (Réflexions à partir d’une revue de la littérature) - [texte imprimé] / Camille Choufani, Auteur ; et al., Auteur . - 2019 . - p. 194-202.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol.36, n°3 (Septembre 2019) . - p. 194-202
Mots-clés : Patella LUXATION CHIRURGIE Résumé : La première luxation patellaire isolée relève d’un traitement fonctionnel. La récidive est la principale complication. L’intérêt d’une chirurgie dès le premier épisode se discute. Notre objectif est d’analyser la littérature à ce sujet. Notre hypothèse est qu’une chirurgie dès le premier épisode de luxation réduirait le taux de récidive.
Matériels et méthodes
Nous avons mené une revue de la littérature. Notre critère de jugement principal était la population à risque de récidive (les facteurs prédictifs). Les critères secondaires étaient le type de chirurgie à proposer et le taux de récidive de luxation après chirurgie à la suite d’un premier épisode.
Résultats
Le score Patellar Instability Severity Score (PISS) est un score prédictif significatif du risque de récidive pour chaque patient. La réparation du MPFL est le geste chirurgical à proposer. La littérature ne permet pas d’affirmer significativement une réduction du taux de récidive après une première luxation traitée chirurgicalement.
Discussion
La mauvaise récupération, le risque de lésions ostéocartilagineuses et le risque de récidive sont les aléas du traitement fonctionnel après un premier épisode de luxation. Les patients à haut risque de récidive peuvent être sélectionnés par le score PISS. La réparation du MPFL est à recommander dans ce contexte. Cependant, la qualité scientifique des études ne permet pas de conclure significativement.
Conclusion
Notre analyse met en évidence les facteurs permettant de sélectionner les patients à haut risque de récidive après un premier épisode de luxation. Une chirurgie (réparation du MPFL) semble réduire le taux de récidive.
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Exclu du prêtEffets d’un programme de renforcement musculaire des extenseurs du rachis chez les triathlètes lombalgiques chroniques. Étude contrôlée randomisée chez 67 sportifs / T. Raoul in Journal de traumatologie du sport, Vol.36, n°3 (Septembre 2019)
[article]
Titre : Effets d’un programme de renforcement musculaire des extenseurs du rachis chez les triathlètes lombalgiques chroniques. Étude contrôlée randomisée chez 67 sportifs Type de document : texte imprimé Auteurs : T. Raoul ; et al., Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 183-193 Langues : Français (fre) Mots-clés : lombalgie chronique triathlon Isocinetisme Résumé : Plus de 10 % des triathlètes souffrent de lombalgies chroniques dues principalement à un déséquilibre du ratio fléchisseurs/extenseurs (F/E) du rachis, par faiblesse des extenseurs. L’objectif de l’étude était d’analyser l’évolution des douleurs lombaires après réalisation d’un programme de renforcement musculaire des extenseurs du rachis.
Méthodes
L’étude Triath’Lomb était un travail prospectif, contrôlé, randomisé, mené de décembre 2017 à mai 2018. Elle a inclus des triathlètes masculins, âgés de 18 à 65 ans, quel que soit leur niveau sportif, souffrant de douleurs lombaires chroniques. Soixante-sept sujets ont été randomisés en 2 groupes : « auto-rééducation » et « témoin ». Le groupe « auto-rééducation » devait réaliser un protocole de renforcement musculaire des extenseurs du rachis 4 fois par semaine pendant 1 mois. L’évaluation isométrique était basée sur des tests d’endurance statique : tests de Sorensen et de Ito-Shirado. Les tests isocinétiques réalisés sur un dynamomètre Biodex System 4® ont mesuré : le pic de force des extenseurs et des fléchisseurs du rachis à 60°/s et 120°/s en concentrique, à 30°/s en excentrique, et les ratios F/E à 60°/s et 120°/s. Le critère de jugement principal était l’évolution de la douleur lombaire par rapport à un groupe « témoin ». Les critères de jugement secondaires étaient la comparaison de la force, des ratios et des tests d’endurance statique entre les 2 groupes.
Résultats
Soixante-deux sujets (92 %) ont terminé l’étude, 33 dans le groupe « auto-rééducation », et 29 dans le groupe « témoin ». Sur une échelle de 0 à 10, l’amélioration des douleurs a été significativement plus élevée dans le groupe « auto-rééducation » : 3,91±2,88 contre 1,83±2,80 dans le groupe « témoin » (p<0,01). Dans le groupe « auto-rééducation », les pics de forces, les ratios et le temps de maintien au test de Sorensen étaient significativement améliorés.
Conclusion Un programme de renforcement musculaire des extenseurs du rachis a permis une amélioration de la douleur, de la force et de l’endurance de ces muscles chez les triathlètes lombalgiques chroniques.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=82260
in Journal de traumatologie du sport > Vol.36, n°3 (Septembre 2019) . - p. 183-193[article] Effets d’un programme de renforcement musculaire des extenseurs du rachis chez les triathlètes lombalgiques chroniques. Étude contrôlée randomisée chez 67 sportifs [texte imprimé] / T. Raoul ; et al., Auteur . - 2019 . - p. 183-193.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol.36, n°3 (Septembre 2019) . - p. 183-193
Mots-clés : lombalgie chronique triathlon Isocinetisme Résumé : Plus de 10 % des triathlètes souffrent de lombalgies chroniques dues principalement à un déséquilibre du ratio fléchisseurs/extenseurs (F/E) du rachis, par faiblesse des extenseurs. L’objectif de l’étude était d’analyser l’évolution des douleurs lombaires après réalisation d’un programme de renforcement musculaire des extenseurs du rachis.
Méthodes
L’étude Triath’Lomb était un travail prospectif, contrôlé, randomisé, mené de décembre 2017 à mai 2018. Elle a inclus des triathlètes masculins, âgés de 18 à 65 ans, quel que soit leur niveau sportif, souffrant de douleurs lombaires chroniques. Soixante-sept sujets ont été randomisés en 2 groupes : « auto-rééducation » et « témoin ». Le groupe « auto-rééducation » devait réaliser un protocole de renforcement musculaire des extenseurs du rachis 4 fois par semaine pendant 1 mois. L’évaluation isométrique était basée sur des tests d’endurance statique : tests de Sorensen et de Ito-Shirado. Les tests isocinétiques réalisés sur un dynamomètre Biodex System 4® ont mesuré : le pic de force des extenseurs et des fléchisseurs du rachis à 60°/s et 120°/s en concentrique, à 30°/s en excentrique, et les ratios F/E à 60°/s et 120°/s. Le critère de jugement principal était l’évolution de la douleur lombaire par rapport à un groupe « témoin ». Les critères de jugement secondaires étaient la comparaison de la force, des ratios et des tests d’endurance statique entre les 2 groupes.
Résultats
Soixante-deux sujets (92 %) ont terminé l’étude, 33 dans le groupe « auto-rééducation », et 29 dans le groupe « témoin ». Sur une échelle de 0 à 10, l’amélioration des douleurs a été significativement plus élevée dans le groupe « auto-rééducation » : 3,91±2,88 contre 1,83±2,80 dans le groupe « témoin » (p<0,01). Dans le groupe « auto-rééducation », les pics de forces, les ratios et le temps de maintien au test de Sorensen étaient significativement améliorés.
Conclusion Un programme de renforcement musculaire des extenseurs du rachis a permis une amélioration de la douleur, de la force et de l’endurance de ces muscles chez les triathlètes lombalgiques chroniques.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=82260 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtInfiltrations par corticoïdes des lésions méniscales : efficacité, tolérance et survie à 6 mois minimum / P.-A. Bouche in Journal de traumatologie du sport, Vol.36, n°3 (Septembre 2019)
[article]
Titre : Infiltrations par corticoïdes des lésions méniscales : efficacité, tolérance et survie à 6 mois minimum Type de document : texte imprimé Auteurs : P.-A. Bouche ; P. Guillon Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 165-171 Langues : Français (fre) Mots-clés : Ménisques de l'articulation du genou Infiltration corticoïdes Résumé : Introduction
La prise en charge des lésions méniscales non chirurgicales n’est pas encore assez bien codifiée, notamment la place des infiltrations de corticoïdes. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité et la tolérance de ces infiltrations dans le traitement des lésions méniscales traumatiques ou dégénératives et d’essayer d’en établir les indications.
Méthode
Tous les patients ayant eu une infiltration intra-articulaire du genou pour une lésion méniscale ont été inclus dans l’étude et ont suivi le même protocole. Le critère de jugement principal était le nombre de patients ayant eu une chirurgie méniscale post-infiltration.
Résultats
L’étude, sur 3 ans, a inclus 18 patients (11 hommes et 7 femmes), d’âge moyen 45 ans (22,5–71,9 ans). Au total, 8 patients (44 %) ont subi une intervention chirurgicale. La médiane du délai entre la dernière infiltration et l’intervention chirurgicale a été de 9,1 mois. Il n’y avait pas de différence en termes de caractéristique clinique et de lésions entre le groupe « chirurgie » et le groupe « pas chirurgie ». L’intervention chirurgicale a été plus précoce pour les patients sportifs que chez les non sportifs : 2,43 mois contre 12,03 mois respectivement (p = 0,02). Aucun effet indésirable lié aux infiltrations n’a été relevé.
Discussion
Notre série, malgré le manque de puissance du au faible nombre de participants, retrouve les mêmes résultats que dans la littérature. L’infiltration de corticoïdes dans les lésions méniscales non chirurgicales peut être un traitement acceptable chez les patients non sportifs. Les sportifs nécessitent une évaluation clinique rapprochée, en raison de leur demande fonctionnelle plus importante.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=82268
in Journal de traumatologie du sport > Vol.36, n°3 (Septembre 2019) . - p. 165-171[article] Infiltrations par corticoïdes des lésions méniscales : efficacité, tolérance et survie à 6 mois minimum [texte imprimé] / P.-A. Bouche ; P. Guillon . - 2019 . - p. 165-171.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol.36, n°3 (Septembre 2019) . - p. 165-171
Mots-clés : Ménisques de l'articulation du genou Infiltration corticoïdes Résumé : Introduction
La prise en charge des lésions méniscales non chirurgicales n’est pas encore assez bien codifiée, notamment la place des infiltrations de corticoïdes. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité et la tolérance de ces infiltrations dans le traitement des lésions méniscales traumatiques ou dégénératives et d’essayer d’en établir les indications.
Méthode
Tous les patients ayant eu une infiltration intra-articulaire du genou pour une lésion méniscale ont été inclus dans l’étude et ont suivi le même protocole. Le critère de jugement principal était le nombre de patients ayant eu une chirurgie méniscale post-infiltration.
Résultats
L’étude, sur 3 ans, a inclus 18 patients (11 hommes et 7 femmes), d’âge moyen 45 ans (22,5–71,9 ans). Au total, 8 patients (44 %) ont subi une intervention chirurgicale. La médiane du délai entre la dernière infiltration et l’intervention chirurgicale a été de 9,1 mois. Il n’y avait pas de différence en termes de caractéristique clinique et de lésions entre le groupe « chirurgie » et le groupe « pas chirurgie ». L’intervention chirurgicale a été plus précoce pour les patients sportifs que chez les non sportifs : 2,43 mois contre 12,03 mois respectivement (p = 0,02). Aucun effet indésirable lié aux infiltrations n’a été relevé.
Discussion
Notre série, malgré le manque de puissance du au faible nombre de participants, retrouve les mêmes résultats que dans la littérature. L’infiltration de corticoïdes dans les lésions méniscales non chirurgicales peut être un traitement acceptable chez les patients non sportifs. Les sportifs nécessitent une évaluation clinique rapprochée, en raison de leur demande fonctionnelle plus importante.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=82268 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtLuxation radio-ulnaire distale palmaire : affection rare en milieu sportif / Y. Jalal in Journal de traumatologie du sport, Vol.36, n°3 (Septembre 2019)
[article]
Titre : Luxation radio-ulnaire distale palmaire : affection rare en milieu sportif Type de document : texte imprimé Auteurs : Y. Jalal ; et al. Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 203-206 Langues : Français (fre) Mots-clés : Volleyball Traumatismes sportifs LUXATION Résumé : La luxation radio-ulnaire distale palmaire isolée est une lésion rare. Les signes cliniques sont peu évocateurs et l’examen radiologique ne fournit pas souvent d’éléments diagnostiques clairs. Aussi, elle doit toujours être suspectée devant un poignet douloureux traumatique en l’absence de fracture. Les auteurs rapportent le cas d’un homme de 23 ans se présentant pour une luxation palmaire aiguë de l’articulation radio-ulnaire distale survenue lors d’un match de volley-ball, afin de mettre en évidence les caractéristiques cliniques et radiologiques pouvant aider à la reconnaissance rapide et à la gestion de cette blessure. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=82277
in Journal de traumatologie du sport > Vol.36, n°3 (Septembre 2019) . - p. 203-206[article] Luxation radio-ulnaire distale palmaire : affection rare en milieu sportif [texte imprimé] / Y. Jalal ; et al. . - 2019 . - p. 203-206.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol.36, n°3 (Septembre 2019) . - p. 203-206
Mots-clés : Volleyball Traumatismes sportifs LUXATION Résumé : La luxation radio-ulnaire distale palmaire isolée est une lésion rare. Les signes cliniques sont peu évocateurs et l’examen radiologique ne fournit pas souvent d’éléments diagnostiques clairs. Aussi, elle doit toujours être suspectée devant un poignet douloureux traumatique en l’absence de fracture. Les auteurs rapportent le cas d’un homme de 23 ans se présentant pour une luxation palmaire aiguë de l’articulation radio-ulnaire distale survenue lors d’un match de volley-ball, afin de mettre en évidence les caractéristiques cliniques et radiologiques pouvant aider à la reconnaissance rapide et à la gestion de cette blessure. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=82277 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtReconstruction du ligament croisé antérieur du genou : quelle stratégie de réhabilitation et quel impact sur le risque de re-rupture à 6 et 12 mois post-ligamentoplastie ? / S. Abellaneja in Journal de traumatologie du sport, Vol.36, n°3 (Septembre 2019)
[article]
Titre : Reconstruction du ligament croisé antérieur du genou : quelle stratégie de réhabilitation et quel impact sur le risque de re-rupture à 6 et 12 mois post-ligamentoplastie ? Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Abellaneja ; et al. Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 172-182 Langues : Français (fre) Mots-clés : ligamentoplastie Résumé : Introduction
Après une rupture du ligament croisé antérieur du genou, les sportifs présentant une instabilité dans leurs activités quotidiennes ou sportives et qui ont la volonté de retrouver une fonctionnalité optimale du genou choisissent l’option thérapeutique chirurgicale. Dès lors, une équipe structurée avec une stratégie spécifique doit se coordonner. Les objectifs sont de limiter les risques de re-rupture de la plastie et d’augmenter les chances de chaque patient de reprendre l’ensemble de ses activités, au même niveau qu’avant la lésion. Seulement 60 % des sportifs non professionnels atteignent ce dernier objectif.
Objectifs de l’étude
Évaluer une stratégie de réhabilitation composée de séances de rééducation et d’évaluations régulières basées sur la récupération des acquis fonctionnels de chacun. La planification et la coordination du suivi de chaque patient puis l’analyse et l’explication des résultats de chaque évaluation offrent plusieurs intérêts : le premier est le répérage des patients dont la récupération segmentée présente une anomalie susceptible d’être à l’origine de futurs patterns de compensation ; le deuxième est d’influer sur les facteurs psychosociaux, essentiellement la gestion du stress.
Hypothèse
Notre hypothèse est que l’information et l’éducation constantes dispensées tout au long du processus puissent augmenter le niveau de compétence des patients et leur permettre d’appliquer, au quotidien, les conseils dispensés. Notre objectif est que chaque sujet soit capable de gérer le moment risqué du retour sur le terrain.
Résultats
À 6 mois post-ligamentoplastie, tous les patients de l’échantillon ont repris leurs activités professionnelles sans adaptation et tous envisagent de reprendre leurs activités sportives sur le terrain, de manière progressive, raisonnée et sécurisée. À 12 mois, aucune re-rupture n’a été suspectée ou signalée lors du suivi.
Conclusion
Les résultats de cette étude montrent qu’intégrer le patient dans une stratégie de réhabilitation peut contribuer à mieux manager le retour sur le terrain et à limiter le risque de re-rupture.
Design de l’étude
Il s’agit d’une étude rétrospective. Le niveau d’évidence est de III.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=82280
in Journal de traumatologie du sport > Vol.36, n°3 (Septembre 2019) . - p. 172-182[article] Reconstruction du ligament croisé antérieur du genou : quelle stratégie de réhabilitation et quel impact sur le risque de re-rupture à 6 et 12 mois post-ligamentoplastie ? [texte imprimé] / S. Abellaneja ; et al. . - 2019 . - p. 172-182.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol.36, n°3 (Septembre 2019) . - p. 172-182
Mots-clés : ligamentoplastie Résumé : Introduction
Après une rupture du ligament croisé antérieur du genou, les sportifs présentant une instabilité dans leurs activités quotidiennes ou sportives et qui ont la volonté de retrouver une fonctionnalité optimale du genou choisissent l’option thérapeutique chirurgicale. Dès lors, une équipe structurée avec une stratégie spécifique doit se coordonner. Les objectifs sont de limiter les risques de re-rupture de la plastie et d’augmenter les chances de chaque patient de reprendre l’ensemble de ses activités, au même niveau qu’avant la lésion. Seulement 60 % des sportifs non professionnels atteignent ce dernier objectif.
Objectifs de l’étude
Évaluer une stratégie de réhabilitation composée de séances de rééducation et d’évaluations régulières basées sur la récupération des acquis fonctionnels de chacun. La planification et la coordination du suivi de chaque patient puis l’analyse et l’explication des résultats de chaque évaluation offrent plusieurs intérêts : le premier est le répérage des patients dont la récupération segmentée présente une anomalie susceptible d’être à l’origine de futurs patterns de compensation ; le deuxième est d’influer sur les facteurs psychosociaux, essentiellement la gestion du stress.
Hypothèse
Notre hypothèse est que l’information et l’éducation constantes dispensées tout au long du processus puissent augmenter le niveau de compétence des patients et leur permettre d’appliquer, au quotidien, les conseils dispensés. Notre objectif est que chaque sujet soit capable de gérer le moment risqué du retour sur le terrain.
Résultats
À 6 mois post-ligamentoplastie, tous les patients de l’échantillon ont repris leurs activités professionnelles sans adaptation et tous envisagent de reprendre leurs activités sportives sur le terrain, de manière progressive, raisonnée et sécurisée. À 12 mois, aucune re-rupture n’a été suspectée ou signalée lors du suivi.
Conclusion
Les résultats de cette étude montrent qu’intégrer le patient dans une stratégie de réhabilitation peut contribuer à mieux manager le retour sur le terrain et à limiter le risque de re-rupture.
Design de l’étude
Il s’agit d’une étude rétrospective. Le niveau d’évidence est de III.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=82280 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtSpécial triathlon: 7°colloque Sports Liège 2019 in Journal de traumatologie du sport, Vol.36, n°3 (Septembre 2019)
[article]
Titre : Spécial triathlon: 7°colloque Sports Liège 2019 Type de document : texte imprimé Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 145-164 Langues : Français (fre) Mots-clés : Traumatismes sportifs triathlon alimentation Entraînement autogène Résumé : Bien que la littérature scientifique relative à la prévention de blessures dans le triathlon soit globalement pauvre, des lignes de conduite directement applicables sur le terrain peuvent être proposées. Les principales blessures du triathlète étant des lésions de surcharge des membres inférieurs (tendinopathies, fractures de fatigue, périostites), leurs facteurs de risque principaux sont un premier épisode lésionnel et une charge de travail inadaptée. Concrètement, les mesures préventives peuvent être regroupées selon différents axes : réaliser un bilan médical de pré-saison pour recenser tout élément susceptible de prédisposer à la survenue d’une blessure ultérieure ; monitorer et gérer la charge de travail ; prévoir une préparation physique incluant notamment un travail de core stability et de renforcement musculaire afin de préparer les organismes aux contraintes ; insister sur une qualité de gestuelles techniques dans chacune des trois disciplines ; ne pas négliger d’éventuels autres facteurs de risque modifiables comme l’hygiène de vie ou la pratique d’échauffement de qualité. Cependant, il apparaît nécessaire de disposer de plus d’études sur le sujet pour pouvoir répondre encore plus efficacement aux besoins fondamentaux de la prévention lésionnelle dans le triathlon.Lors d’un Ironman, il est extrêmement compliqué de couvrir les besoins nutritionnels. Pour y parvenir, il convient de mettre en place une stratégie permettant de compenser les pertes sudorales et énergétiques, de limiter l’apparition de la fatigue et des troubles digestifs. De même, la récupération est un élément essentiel avant de pouvoir reprendre les entraînements. Afin de préparer au mieux le triathlète, la périodisation nutritionnelle en relation avec la planification d’entraînement est un nouvel outil reconnu. Ce domaine comprend les variations des sources énergétiques, des protéines, mais aussi de certaines aides ergogéniques en vue d’optimiser les réponses cellulaires à l’exercice. Les troubles gastro-intestinaux sont particulièrement fréquents chez les athlètes d’endurance et sont l’une des premières causes de douleurs et d’abandon. L’intestin étant un organe important pour l’absorption d’eau et de nutriments pour l’effort, il est essentiel de l’entraîner avant la compétition. En raison d’un volume considérable d’entraînement, la gestion nutritionnelle permet aussi de limiter la survenue de blessures. Le diététicien joue un rôle important pour définir une stratégie hydrique et alimentaire pour la compétition en réduisant les risques de contre-performances. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=82281
in Journal de traumatologie du sport > Vol.36, n°3 (Septembre 2019) . - p. 145-164[article] Spécial triathlon: 7°colloque Sports Liège 2019 [texte imprimé] . - 2019 . - p. 145-164.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol.36, n°3 (Septembre 2019) . - p. 145-164
Mots-clés : Traumatismes sportifs triathlon alimentation Entraînement autogène Résumé : Bien que la littérature scientifique relative à la prévention de blessures dans le triathlon soit globalement pauvre, des lignes de conduite directement applicables sur le terrain peuvent être proposées. Les principales blessures du triathlète étant des lésions de surcharge des membres inférieurs (tendinopathies, fractures de fatigue, périostites), leurs facteurs de risque principaux sont un premier épisode lésionnel et une charge de travail inadaptée. Concrètement, les mesures préventives peuvent être regroupées selon différents axes : réaliser un bilan médical de pré-saison pour recenser tout élément susceptible de prédisposer à la survenue d’une blessure ultérieure ; monitorer et gérer la charge de travail ; prévoir une préparation physique incluant notamment un travail de core stability et de renforcement musculaire afin de préparer les organismes aux contraintes ; insister sur une qualité de gestuelles techniques dans chacune des trois disciplines ; ne pas négliger d’éventuels autres facteurs de risque modifiables comme l’hygiène de vie ou la pratique d’échauffement de qualité. Cependant, il apparaît nécessaire de disposer de plus d’études sur le sujet pour pouvoir répondre encore plus efficacement aux besoins fondamentaux de la prévention lésionnelle dans le triathlon.Lors d’un Ironman, il est extrêmement compliqué de couvrir les besoins nutritionnels. Pour y parvenir, il convient de mettre en place une stratégie permettant de compenser les pertes sudorales et énergétiques, de limiter l’apparition de la fatigue et des troubles digestifs. De même, la récupération est un élément essentiel avant de pouvoir reprendre les entraînements. Afin de préparer au mieux le triathlète, la périodisation nutritionnelle en relation avec la planification d’entraînement est un nouvel outil reconnu. Ce domaine comprend les variations des sources énergétiques, des protéines, mais aussi de certaines aides ergogéniques en vue d’optimiser les réponses cellulaires à l’exercice. Les troubles gastro-intestinaux sont particulièrement fréquents chez les athlètes d’endurance et sont l’une des premières causes de douleurs et d’abandon. L’intestin étant un organe important pour l’absorption d’eau et de nutriments pour l’effort, il est essentiel de l’entraîner avant la compétition. En raison d’un volume considérable d’entraînement, la gestion nutritionnelle permet aussi de limiter la survenue de blessures. Le diététicien joue un rôle important pour définir une stratégie hydrique et alimentaire pour la compétition en réduisant les risques de contre-performances. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=82281 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêt