Centre de Documentation Campus Montignies
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2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Entraînement autogène'
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Spécial triathlon: 7°colloque Sports Liège 2019 in Journal de traumatologie du sport, Vol.36, n°3 (Septembre 2019)
[article]
Titre : Spécial triathlon: 7°colloque Sports Liège 2019 Type de document : texte imprimé Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 145-164 Langues : Français (fre) Mots-clés : Traumatismes sportifs triathlon alimentation Entraînement autogène Résumé : Bien que la littérature scientifique relative à la prévention de blessures dans le triathlon soit globalement pauvre, des lignes de conduite directement applicables sur le terrain peuvent être proposées. Les principales blessures du triathlète étant des lésions de surcharge des membres inférieurs (tendinopathies, fractures de fatigue, périostites), leurs facteurs de risque principaux sont un premier épisode lésionnel et une charge de travail inadaptée. Concrètement, les mesures préventives peuvent être regroupées selon différents axes : réaliser un bilan médical de pré-saison pour recenser tout élément susceptible de prédisposer à la survenue d’une blessure ultérieure ; monitorer et gérer la charge de travail ; prévoir une préparation physique incluant notamment un travail de core stability et de renforcement musculaire afin de préparer les organismes aux contraintes ; insister sur une qualité de gestuelles techniques dans chacune des trois disciplines ; ne pas négliger d’éventuels autres facteurs de risque modifiables comme l’hygiène de vie ou la pratique d’échauffement de qualité. Cependant, il apparaît nécessaire de disposer de plus d’études sur le sujet pour pouvoir répondre encore plus efficacement aux besoins fondamentaux de la prévention lésionnelle dans le triathlon.Lors d’un Ironman, il est extrêmement compliqué de couvrir les besoins nutritionnels. Pour y parvenir, il convient de mettre en place une stratégie permettant de compenser les pertes sudorales et énergétiques, de limiter l’apparition de la fatigue et des troubles digestifs. De même, la récupération est un élément essentiel avant de pouvoir reprendre les entraînements. Afin de préparer au mieux le triathlète, la périodisation nutritionnelle en relation avec la planification d’entraînement est un nouvel outil reconnu. Ce domaine comprend les variations des sources énergétiques, des protéines, mais aussi de certaines aides ergogéniques en vue d’optimiser les réponses cellulaires à l’exercice. Les troubles gastro-intestinaux sont particulièrement fréquents chez les athlètes d’endurance et sont l’une des premières causes de douleurs et d’abandon. L’intestin étant un organe important pour l’absorption d’eau et de nutriments pour l’effort, il est essentiel de l’entraîner avant la compétition. En raison d’un volume considérable d’entraînement, la gestion nutritionnelle permet aussi de limiter la survenue de blessures. Le diététicien joue un rôle important pour définir une stratégie hydrique et alimentaire pour la compétition en réduisant les risques de contre-performances. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=82281
in Journal de traumatologie du sport > Vol.36, n°3 (Septembre 2019) . - p. 145-164[article] Spécial triathlon: 7°colloque Sports Liège 2019 [texte imprimé] . - 2019 . - p. 145-164.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol.36, n°3 (Septembre 2019) . - p. 145-164
Mots-clés : Traumatismes sportifs triathlon alimentation Entraînement autogène Résumé : Bien que la littérature scientifique relative à la prévention de blessures dans le triathlon soit globalement pauvre, des lignes de conduite directement applicables sur le terrain peuvent être proposées. Les principales blessures du triathlète étant des lésions de surcharge des membres inférieurs (tendinopathies, fractures de fatigue, périostites), leurs facteurs de risque principaux sont un premier épisode lésionnel et une charge de travail inadaptée. Concrètement, les mesures préventives peuvent être regroupées selon différents axes : réaliser un bilan médical de pré-saison pour recenser tout élément susceptible de prédisposer à la survenue d’une blessure ultérieure ; monitorer et gérer la charge de travail ; prévoir une préparation physique incluant notamment un travail de core stability et de renforcement musculaire afin de préparer les organismes aux contraintes ; insister sur une qualité de gestuelles techniques dans chacune des trois disciplines ; ne pas négliger d’éventuels autres facteurs de risque modifiables comme l’hygiène de vie ou la pratique d’échauffement de qualité. Cependant, il apparaît nécessaire de disposer de plus d’études sur le sujet pour pouvoir répondre encore plus efficacement aux besoins fondamentaux de la prévention lésionnelle dans le triathlon.Lors d’un Ironman, il est extrêmement compliqué de couvrir les besoins nutritionnels. Pour y parvenir, il convient de mettre en place une stratégie permettant de compenser les pertes sudorales et énergétiques, de limiter l’apparition de la fatigue et des troubles digestifs. De même, la récupération est un élément essentiel avant de pouvoir reprendre les entraînements. Afin de préparer au mieux le triathlète, la périodisation nutritionnelle en relation avec la planification d’entraînement est un nouvel outil reconnu. Ce domaine comprend les variations des sources énergétiques, des protéines, mais aussi de certaines aides ergogéniques en vue d’optimiser les réponses cellulaires à l’exercice. Les troubles gastro-intestinaux sont particulièrement fréquents chez les athlètes d’endurance et sont l’une des premières causes de douleurs et d’abandon. L’intestin étant un organe important pour l’absorption d’eau et de nutriments pour l’effort, il est essentiel de l’entraîner avant la compétition. En raison d’un volume considérable d’entraînement, la gestion nutritionnelle permet aussi de limiter la survenue de blessures. Le diététicien joue un rôle important pour définir une stratégie hydrique et alimentaire pour la compétition en réduisant les risques de contre-performances. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=82281 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtFONCTION MUSCULAIRE, POSTURE ET LOCOMOTION CHEZ LES PERSONNES EN SITUATION D'OBÉSITÉ : effet conjugué de la perte de poids induite par la chirurgie bariatrique et de l'activité physique / Alice Bellicha in Kinésithérapie scientifique, 617 (Février 2020)
[article]
Titre : FONCTION MUSCULAIRE, POSTURE ET LOCOMOTION CHEZ LES PERSONNES EN SITUATION D'OBÉSITÉ : effet conjugué de la perte de poids induite par la chirurgie bariatrique et de l'activité physique Type de document : texte imprimé Auteurs : Alice Bellicha ; Cécile Ciangura ; Jean-Michel Oppert ; Pierre Portero Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 5-14 Langues : Français (fre) Mots-clés : activité physique Obésité Entraînement autogène Résumé : L’obésité est définie comme un excès de masse grasse qui entraîne des inconvénients pour la santé [1]. Son diagnostic repose sur la mesure de l’indice de masse corporelle (IMC, rapport du poids sur la taille au carré exprimé en kg.m-2), avec les seuils de 30, 35 et 40 kg/m-2 retenus pour définir l’obésité grades I, II et III (ou modérée, sévère et massive) chez l’adulte.
Selon les dernières enquêtes OBEPI (2012) et ESTEBAN (2017), respectivement 15 et 17 % de la population adulte française présentent une obésité [2, 3]. La prévalence de l’obésité aurait ainsi presque doublé depuis la première enquête OBEPI réalisée en 1997. La prévalence de l’obésité de grade III a particulièrement augmenté, passant de 0,4 % de la population adulte en 1997 à 1,2 % en 2012 [2].
L’activité physique (AP) joue un rôle important dans la prise en charge de l’obésité. Ses bénéfices sont en effet bien démontrés sur la prévention des principales complications cardio-métaboliques de l'obésité (en particulier le diabète de type 2) et sur l'amélioration de la capacité physique [1]. Les bénéfices de l'AP dans certaines situations spécifiques, comme celle de la chirurgie bariatrique, nécessitent cependant d'être mieux définis. La chirurgie bariatrique correspond à différents types d’interventions chirurgicales réduisant la taille de l’estomac, et limitant de ce fait la prise alimentaire, avec ou sans court-circuit intestinal, limitant l’absorption des nutriments. Elle est aujourd’hui considérée comme le traitement le plus efficace à long terme de l’obésité sévère, et le nombre d’actes de chirurgie bariatrique a considérablement augmenté, passant en France de 15 000 par an en 2006 à plus de 40 000 par an en 2013 [4].
L'intervention bariatrique la plus souvent réalisée en France est la gastrectomie en manchon (ou sleeve) qui est une intervention uniquement restrictive et le court-circuit gastrique (ou bypass en Y) qui est une intervention à la fois restrictive et malabsorptive. L'essentiel de la perte de poids est obtenu au cours de la première année postopératoire (-30 % du poids initial en un an) [5]. Si une reprise de poids progressive est souvent observée à distance, la perte de poids reste significative, de l’ordre de 20 % après 20 ans de suivi [6].
La chirurgie bariatrique entraîne par ailleurs d'importants bénéfices de santé : diminution du risque de mortalité de 29 %, de l'incidence du diabète de type 2 de 83 %, d'accident coronaire aigu de 29 %, d'accident vasculaire cérébral de 34 % et de cancers chez les femmes de 42 % [6] ; ainsi qu’une amélioration de la qualité de vie [7] et de la capacité physique fonctionnelle [8]. Un nombre relativement restreint d'études a évalué l’effet de la perte de poids induite par la chirurgie bariatrique sur la fonction musculaire, la posture et la locomotion, et le rôle spécifique de l'AP dans ce contexte.Après avoir rappelé les effets de l’obésité sur la fonction musculaire, la posture et la locomotion, nous présenterons une synthèse de la littérature décrivant les effets de la chirurgie bariatrique sur ces trois paramètres, puis les effets bénéfiques de l’AP dans le contexte de chirurgie bariatrique. Nous présenterons ensuite les méthodes de mesure de l’AP et de la fonction musculaire pouvant être utilisées chez les sujets obèses. Enfin, nous présenterons les recommandations actuelles d’AP pour ces patients.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83647
in Kinésithérapie scientifique > 617 (Février 2020) . - p. 5-14[article] FONCTION MUSCULAIRE, POSTURE ET LOCOMOTION CHEZ LES PERSONNES EN SITUATION D'OBÉSITÉ : effet conjugué de la perte de poids induite par la chirurgie bariatrique et de l'activité physique [texte imprimé] / Alice Bellicha ; Cécile Ciangura ; Jean-Michel Oppert ; Pierre Portero . - 2020 . - p. 5-14.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 617 (Février 2020) . - p. 5-14
Mots-clés : activité physique Obésité Entraînement autogène Résumé : L’obésité est définie comme un excès de masse grasse qui entraîne des inconvénients pour la santé [1]. Son diagnostic repose sur la mesure de l’indice de masse corporelle (IMC, rapport du poids sur la taille au carré exprimé en kg.m-2), avec les seuils de 30, 35 et 40 kg/m-2 retenus pour définir l’obésité grades I, II et III (ou modérée, sévère et massive) chez l’adulte.
Selon les dernières enquêtes OBEPI (2012) et ESTEBAN (2017), respectivement 15 et 17 % de la population adulte française présentent une obésité [2, 3]. La prévalence de l’obésité aurait ainsi presque doublé depuis la première enquête OBEPI réalisée en 1997. La prévalence de l’obésité de grade III a particulièrement augmenté, passant de 0,4 % de la population adulte en 1997 à 1,2 % en 2012 [2].
L’activité physique (AP) joue un rôle important dans la prise en charge de l’obésité. Ses bénéfices sont en effet bien démontrés sur la prévention des principales complications cardio-métaboliques de l'obésité (en particulier le diabète de type 2) et sur l'amélioration de la capacité physique [1]. Les bénéfices de l'AP dans certaines situations spécifiques, comme celle de la chirurgie bariatrique, nécessitent cependant d'être mieux définis. La chirurgie bariatrique correspond à différents types d’interventions chirurgicales réduisant la taille de l’estomac, et limitant de ce fait la prise alimentaire, avec ou sans court-circuit intestinal, limitant l’absorption des nutriments. Elle est aujourd’hui considérée comme le traitement le plus efficace à long terme de l’obésité sévère, et le nombre d’actes de chirurgie bariatrique a considérablement augmenté, passant en France de 15 000 par an en 2006 à plus de 40 000 par an en 2013 [4].
L'intervention bariatrique la plus souvent réalisée en France est la gastrectomie en manchon (ou sleeve) qui est une intervention uniquement restrictive et le court-circuit gastrique (ou bypass en Y) qui est une intervention à la fois restrictive et malabsorptive. L'essentiel de la perte de poids est obtenu au cours de la première année postopératoire (-30 % du poids initial en un an) [5]. Si une reprise de poids progressive est souvent observée à distance, la perte de poids reste significative, de l’ordre de 20 % après 20 ans de suivi [6].
La chirurgie bariatrique entraîne par ailleurs d'importants bénéfices de santé : diminution du risque de mortalité de 29 %, de l'incidence du diabète de type 2 de 83 %, d'accident coronaire aigu de 29 %, d'accident vasculaire cérébral de 34 % et de cancers chez les femmes de 42 % [6] ; ainsi qu’une amélioration de la qualité de vie [7] et de la capacité physique fonctionnelle [8]. Un nombre relativement restreint d'études a évalué l’effet de la perte de poids induite par la chirurgie bariatrique sur la fonction musculaire, la posture et la locomotion, et le rôle spécifique de l'AP dans ce contexte.Après avoir rappelé les effets de l’obésité sur la fonction musculaire, la posture et la locomotion, nous présenterons une synthèse de la littérature décrivant les effets de la chirurgie bariatrique sur ces trois paramètres, puis les effets bénéfiques de l’AP dans le contexte de chirurgie bariatrique. Nous présenterons ensuite les méthodes de mesure de l’AP et de la fonction musculaire pouvant être utilisées chez les sujets obèses. Enfin, nous présenterons les recommandations actuelles d’AP pour ces patients.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=83647 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
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