Centre de Documentation Campus Montignies
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Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
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10 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Infiltration'
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Gestion de la douleur par hypnose lors d’une infiltration écho-guidée de la main / Adeline Trojet-Bossard in La revue de l'infirmière, 293 (Aout 2023)
[article]
Titre : Gestion de la douleur par hypnose lors d’une infiltration écho-guidée de la main Type de document : texte imprimé Auteurs : Adeline Trojet-Bossard ; Grégoire Cormier ; Agnès Dorion ; Lucie Planche ; Camille Chollet ; Stéphanie Rabiller Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 42-44 Langues : Français (fre) Mots-clés : Anxiété Douleur liée aux soins Gestion de la douleur Rhumatologie Hypnose Infiltration Main infiltration écho-guidée de la main Résumé : L’infiltration écho-guidée, réalisée dans le but de soulager une douleur, est courante et parfois réputée douloureuse, particulièrement au niveau de la main. Cette potentielle douleur, induite par le soin, peut entraîner une appréhension chez les patients en amont d’un tel geste. L’équipe soignante de rhumatologie du centre hospitalier départemental (CHD) de Vendée pose l’hypothèse qu’une séance d’hypnose, en créant un gant imaginaire sur la main douloureuse du patient, avant le geste, pourrait permettre de diminuer la douleur ressentie ainsi que l’anxiété. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=112931
in La revue de l'infirmière > 293 (Aout 2023) . - p. 42-44[article] Gestion de la douleur par hypnose lors d’une infiltration écho-guidée de la main [texte imprimé] / Adeline Trojet-Bossard ; Grégoire Cormier ; Agnès Dorion ; Lucie Planche ; Camille Chollet ; Stéphanie Rabiller . - 2023 . - p. 42-44.
Langues : Français (fre)
in La revue de l'infirmière > 293 (Aout 2023) . - p. 42-44
Mots-clés : Anxiété Douleur liée aux soins Gestion de la douleur Rhumatologie Hypnose Infiltration Main infiltration écho-guidée de la main Résumé : L’infiltration écho-guidée, réalisée dans le but de soulager une douleur, est courante et parfois réputée douloureuse, particulièrement au niveau de la main. Cette potentielle douleur, induite par le soin, peut entraîner une appréhension chez les patients en amont d’un tel geste. L’équipe soignante de rhumatologie du centre hospitalier départemental (CHD) de Vendée pose l’hypothèse qu’une séance d’hypnose, en créant un gant imaginaire sur la main douloureuse du patient, avant le geste, pourrait permettre de diminuer la douleur ressentie ainsi que l’anxiété. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=112931 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtInfiltrations intradiscales d'acétate de prednisolone dans les lombalgies sévères. Recherche de complications radiologiques / BENYAHYA R. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 47, n°9 (novembre 2004)
[article]
Titre : Infiltrations intradiscales d'acétate de prednisolone dans les lombalgies sévères. Recherche de complications radiologiques Type de document : texte imprimé Auteurs : BENYAHYA R. ; F. Fayad ; Marie-Madeleine Lefevre-Colau ; Anne-Marie Mayoux-Benhamou ; S. Poiraudeau ; F. Rannou ; Michel Revel ; WLODYKA-DEMAILLE S. Année de publication : 2004 Article en page(s) : p.621-626 Mots-clés : Injection Infiltration Complication Pathologie Douleur chronique Résumé : Objectifs.-rechercher des complications radiologiques (calcifications et ou affaissements discaux) après infiltrations intradiscales d'Acétate de Prednisolone (Hydrocortancyl(r)). Méthodes.-Étude rétrospective de dossiers de patients ayant eu une infiltration intradiscale d'Acétate de Prednisolone pour une lombalgie ou lomboradiculalgie avec discopathie destructrice rapide et ou modification du signal des plateaux vertébraux en IRM. L'évaluation des radiographies standards était réalisée par deux médecins, en aveugle, à la recherche de calcifications et ou d'affaissements discaux. L'évaluation de l'efficacité était fondée sur l'appréciation globale du patient sur le résultat de l'infiltration intradiscale à un, trois et six mois. Résultats.-Soixante-sept dossiers (68 disques infiltrés) ont été inclus pour l'étude radiologique. Le délai moyen de contrôle radiographique était de 10,25 + 5,99 mois. 44,8 % des patients avaient une radiographie de contrôle après plus de six mois et 38,8 % à 12 mois ou plus. Aucune calcification n'a été retrouvée, deux disques étaient affaissés de 20 et de 25 % respectivement à six et à 12 mois après l'infiltration. Quatre-vingt-cinq dossiers (55 femmes) ont été inclus pour l'évaluation de l'efficacité des infiltrations intradiscales. L'âge moyen des patients était de 49 +9 ans. 71,8% des patients ont jugé le résultat de l'infiltration bon ou excellent à un mois, 55,3 % à trois mois et 43,5 % à six mois. Conclusion.-Le rapport bénéfice risque des infiltrations intradiscales d'acétate de prednisolone paraît bon chez des lombalgiques sélectionnés.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13227
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 47, n°9 (novembre 2004) . - p.621-626[article] Infiltrations intradiscales d'acétate de prednisolone dans les lombalgies sévères. Recherche de complications radiologiques [texte imprimé] / BENYAHYA R. ; F. Fayad ; Marie-Madeleine Lefevre-Colau ; Anne-Marie Mayoux-Benhamou ; S. Poiraudeau ; F. Rannou ; Michel Revel ; WLODYKA-DEMAILLE S. . - 2004 . - p.621-626.
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 47, n°9 (novembre 2004) . - p.621-626
Mots-clés : Injection Infiltration Complication Pathologie Douleur chronique Résumé : Objectifs.-rechercher des complications radiologiques (calcifications et ou affaissements discaux) après infiltrations intradiscales d'Acétate de Prednisolone (Hydrocortancyl(r)). Méthodes.-Étude rétrospective de dossiers de patients ayant eu une infiltration intradiscale d'Acétate de Prednisolone pour une lombalgie ou lomboradiculalgie avec discopathie destructrice rapide et ou modification du signal des plateaux vertébraux en IRM. L'évaluation des radiographies standards était réalisée par deux médecins, en aveugle, à la recherche de calcifications et ou d'affaissements discaux. L'évaluation de l'efficacité était fondée sur l'appréciation globale du patient sur le résultat de l'infiltration intradiscale à un, trois et six mois. Résultats.-Soixante-sept dossiers (68 disques infiltrés) ont été inclus pour l'étude radiologique. Le délai moyen de contrôle radiographique était de 10,25 + 5,99 mois. 44,8 % des patients avaient une radiographie de contrôle après plus de six mois et 38,8 % à 12 mois ou plus. Aucune calcification n'a été retrouvée, deux disques étaient affaissés de 20 et de 25 % respectivement à six et à 12 mois après l'infiltration. Quatre-vingt-cinq dossiers (55 femmes) ont été inclus pour l'évaluation de l'efficacité des infiltrations intradiscales. L'âge moyen des patients était de 49 +9 ans. 71,8% des patients ont jugé le résultat de l'infiltration bon ou excellent à un mois, 55,3 % à trois mois et 43,5 % à six mois. Conclusion.-Le rapport bénéfice risque des infiltrations intradiscales d'acétate de prednisolone paraît bon chez des lombalgiques sélectionnés.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13227 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtInfiltrations par corticoïdes des lésions méniscales : efficacité, tolérance et survie à 6 mois minimum / P.-A. Bouche in Journal de traumatologie du sport, Vol.36, n°3 (Septembre 2019)
[article]
Titre : Infiltrations par corticoïdes des lésions méniscales : efficacité, tolérance et survie à 6 mois minimum Type de document : texte imprimé Auteurs : P.-A. Bouche ; P. Guillon Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 165-171 Langues : Français (fre) Mots-clés : Ménisques de l'articulation du genou Infiltration corticoïdes Résumé : Introduction
La prise en charge des lésions méniscales non chirurgicales n’est pas encore assez bien codifiée, notamment la place des infiltrations de corticoïdes. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité et la tolérance de ces infiltrations dans le traitement des lésions méniscales traumatiques ou dégénératives et d’essayer d’en établir les indications.
Méthode
Tous les patients ayant eu une infiltration intra-articulaire du genou pour une lésion méniscale ont été inclus dans l’étude et ont suivi le même protocole. Le critère de jugement principal était le nombre de patients ayant eu une chirurgie méniscale post-infiltration.
Résultats
L’étude, sur 3 ans, a inclus 18 patients (11 hommes et 7 femmes), d’âge moyen 45 ans (22,5–71,9 ans). Au total, 8 patients (44 %) ont subi une intervention chirurgicale. La médiane du délai entre la dernière infiltration et l’intervention chirurgicale a été de 9,1 mois. Il n’y avait pas de différence en termes de caractéristique clinique et de lésions entre le groupe « chirurgie » et le groupe « pas chirurgie ». L’intervention chirurgicale a été plus précoce pour les patients sportifs que chez les non sportifs : 2,43 mois contre 12,03 mois respectivement (p = 0,02). Aucun effet indésirable lié aux infiltrations n’a été relevé.
Discussion
Notre série, malgré le manque de puissance du au faible nombre de participants, retrouve les mêmes résultats que dans la littérature. L’infiltration de corticoïdes dans les lésions méniscales non chirurgicales peut être un traitement acceptable chez les patients non sportifs. Les sportifs nécessitent une évaluation clinique rapprochée, en raison de leur demande fonctionnelle plus importante.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=82268
in Journal de traumatologie du sport > Vol.36, n°3 (Septembre 2019) . - p. 165-171[article] Infiltrations par corticoïdes des lésions méniscales : efficacité, tolérance et survie à 6 mois minimum [texte imprimé] / P.-A. Bouche ; P. Guillon . - 2019 . - p. 165-171.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol.36, n°3 (Septembre 2019) . - p. 165-171
Mots-clés : Ménisques de l'articulation du genou Infiltration corticoïdes Résumé : Introduction
La prise en charge des lésions méniscales non chirurgicales n’est pas encore assez bien codifiée, notamment la place des infiltrations de corticoïdes. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité et la tolérance de ces infiltrations dans le traitement des lésions méniscales traumatiques ou dégénératives et d’essayer d’en établir les indications.
Méthode
Tous les patients ayant eu une infiltration intra-articulaire du genou pour une lésion méniscale ont été inclus dans l’étude et ont suivi le même protocole. Le critère de jugement principal était le nombre de patients ayant eu une chirurgie méniscale post-infiltration.
Résultats
L’étude, sur 3 ans, a inclus 18 patients (11 hommes et 7 femmes), d’âge moyen 45 ans (22,5–71,9 ans). Au total, 8 patients (44 %) ont subi une intervention chirurgicale. La médiane du délai entre la dernière infiltration et l’intervention chirurgicale a été de 9,1 mois. Il n’y avait pas de différence en termes de caractéristique clinique et de lésions entre le groupe « chirurgie » et le groupe « pas chirurgie ». L’intervention chirurgicale a été plus précoce pour les patients sportifs que chez les non sportifs : 2,43 mois contre 12,03 mois respectivement (p = 0,02). Aucun effet indésirable lié aux infiltrations n’a été relevé.
Discussion
Notre série, malgré le manque de puissance du au faible nombre de participants, retrouve les mêmes résultats que dans la littérature. L’infiltration de corticoïdes dans les lésions méniscales non chirurgicales peut être un traitement acceptable chez les patients non sportifs. Les sportifs nécessitent une évaluation clinique rapprochée, en raison de leur demande fonctionnelle plus importante.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=82268 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtComparaison entre la latence distale motrice du nerf pudendal, la topographie de la douleur périnéale et le résultat d'infiltrations. Analyse pour 53 patients / LE TALLEC H. in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 50, n°2 (mars 2007)
[article]
Titre : Comparaison entre la latence distale motrice du nerf pudendal, la topographie de la douleur périnéale et le résultat d'infiltrations. Analyse pour 53 patients Type de document : texte imprimé Auteurs : LE TALLEC H., Auteur ; DUGAST J ; D. VEILLARD, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : P.65-69 Langues : Français (fre) Mots-clés : Périnée Infiltration Névralgie Neuropsychologie Résumé : Objectif : Étudier la valeur localisatrice de l'allongement de la latence distale motrice du nerf pudendal (LDMNP), par rapport au côté douloureux, dans les douleurs périnéales, ainsi que la valeur prédictive d'un allongement possible de cette latence sur le résultat d'infiltrations.
Matériel et méthodes : Dans le cadre de cette étude rétrospective, 53 patients, ayant consulté entre 2000 et 2004 pour une névralgie pudendale, ont été inclus. La LDMNP a été mesurée par la technique de Saint-Mark, par le même opérateur. Les critères d'évaluation de la latence ont été les suivants : allongement significatif à partir de 6 ms, différence considérée significative entre les deux côtés à partir de 2 ms. Les infiltrations ont été faites par voie périnéale (30 cas) ou transglutéale (huit cas). Le côté de l'infiltration était défini par le côté de la douleur. Les résultats ont été considérés comme bons en cas de disparition de la douleur supérieure à six mois. Une analyse statistique descriptive a été réalisée et le test exact de Fisher utilisé pour les comparaisons.
Résultats : Chez les 53 patients (42 femmes, 11 hommes ; âge moyen 62+12 ans), l'ancienneté de la douleur périnéale, calculée pour 47 patients, était en moyenne de 30 mois+47). Quarante-trois patients avaient une douleur unilatérale ; parmi eux 17 (40 %), avaient une latence augmentée des deux côtés, six (14 %) une latence augmentée du côté de la douleur et cinq (11 %) une latence augmentée du côté controlatéral. Les 15 autres patients ne présentaient pas d'augmentation de la LDMNP. Les douleurs étaient bilatérales chez dix patients. Parmi eux : quatre présentaient des latences augmentées des deux côtés, un uniquement à droite, un uniquement à gauche et quatre avaient des latences normales. Il n'a pas été trouvé de liaison significative entre, d'une part, l'allongement de la LDMNP et, d'autre part, ni l'ancienneté de la douleur ni le résultat des infiltrations, qu'elles aient été périnéales ou transglutéales.
Conclusion : La LDMNP peut être allongée sans correspondre à une neuropathie pudendale compressive et normale sans l'éliminer. La prise en charge des douleurs périnéales nous paraît devoir encore, actuellement, être guidée essentiellement par la clinique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13512
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 50, n°2 (mars 2007) . - P.65-69[article] Comparaison entre la latence distale motrice du nerf pudendal, la topographie de la douleur périnéale et le résultat d'infiltrations. Analyse pour 53 patients [texte imprimé] / LE TALLEC H., Auteur ; DUGAST J ; D. VEILLARD, Auteur . - 2007 . - P.65-69.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 50, n°2 (mars 2007) . - P.65-69
Mots-clés : Périnée Infiltration Névralgie Neuropsychologie Résumé : Objectif : Étudier la valeur localisatrice de l'allongement de la latence distale motrice du nerf pudendal (LDMNP), par rapport au côté douloureux, dans les douleurs périnéales, ainsi que la valeur prédictive d'un allongement possible de cette latence sur le résultat d'infiltrations.
Matériel et méthodes : Dans le cadre de cette étude rétrospective, 53 patients, ayant consulté entre 2000 et 2004 pour une névralgie pudendale, ont été inclus. La LDMNP a été mesurée par la technique de Saint-Mark, par le même opérateur. Les critères d'évaluation de la latence ont été les suivants : allongement significatif à partir de 6 ms, différence considérée significative entre les deux côtés à partir de 2 ms. Les infiltrations ont été faites par voie périnéale (30 cas) ou transglutéale (huit cas). Le côté de l'infiltration était défini par le côté de la douleur. Les résultats ont été considérés comme bons en cas de disparition de la douleur supérieure à six mois. Une analyse statistique descriptive a été réalisée et le test exact de Fisher utilisé pour les comparaisons.
Résultats : Chez les 53 patients (42 femmes, 11 hommes ; âge moyen 62+12 ans), l'ancienneté de la douleur périnéale, calculée pour 47 patients, était en moyenne de 30 mois+47). Quarante-trois patients avaient une douleur unilatérale ; parmi eux 17 (40 %), avaient une latence augmentée des deux côtés, six (14 %) une latence augmentée du côté de la douleur et cinq (11 %) une latence augmentée du côté controlatéral. Les 15 autres patients ne présentaient pas d'augmentation de la LDMNP. Les douleurs étaient bilatérales chez dix patients. Parmi eux : quatre présentaient des latences augmentées des deux côtés, un uniquement à droite, un uniquement à gauche et quatre avaient des latences normales. Il n'a pas été trouvé de liaison significative entre, d'une part, l'allongement de la LDMNP et, d'autre part, ni l'ancienneté de la douleur ni le résultat des infiltrations, qu'elles aient été périnéales ou transglutéales.
Conclusion : La LDMNP peut être allongée sans correspondre à une neuropathie pudendale compressive et normale sans l'éliminer. La prise en charge des douleurs périnéales nous paraît devoir encore, actuellement, être guidée essentiellement par la clinique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13512 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtComplication inhabituelle des infiltrations de corticostéroïdes : le syndrome de Tachon. À propos de deux cas cliniques / A. HAJJIOUI in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 50, n°9 (décembre 2007)
[article]
Titre : Complication inhabituelle des infiltrations de corticostéroïdes : le syndrome de Tachon. À propos de deux cas cliniques Type de document : texte imprimé Auteurs : A. HAJJIOUI, Auteur ; NYS A., Auteur ; S. Poiraudeau, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : pp. 718-720 Langues : Français (fre) Mots-clés : Infiltration Résumé : Les infiltrations de glucocorticoïdes peuvent être compliquées, dans de très rares cas, d'une symptomatologie très bruyante, spectaculaire décrite sous le nom de syndrome de Tachon. La description clinique est celle de violentes douleurs lombaires et/ou dorsales et/ou thoraciques, survenant quelques minutes après l'infiltration. L'évolution se fait classiquement vers la régression rapide des douleurs. La physiopathologie de ce trouble pourrait s'expliquer par le passage du produit dans une veine à l'occasion d'une brèche de celle-ci faite lors du geste. Il est nécessaire de pouvoir calmer le patient et le rassurer après avoir éliminé les urgences médicochirurgicales classiques, car le syndrome de Tachon reste un diagnostic d'élimination. Nous rapportons deux cas cliniques illustrant bien la symptomatologie typique de ce syndrome très angoissant et qui doit être connu des médecins pratiquant ces infiltrations. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13513
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 50, n°9 (décembre 2007) . - pp. 718-720[article] Complication inhabituelle des infiltrations de corticostéroïdes : le syndrome de Tachon. À propos de deux cas cliniques [texte imprimé] / A. HAJJIOUI, Auteur ; NYS A., Auteur ; S. Poiraudeau, Auteur . - 2007 . - pp. 718-720.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 50, n°9 (décembre 2007) . - pp. 718-720
Mots-clés : Infiltration Résumé : Les infiltrations de glucocorticoïdes peuvent être compliquées, dans de très rares cas, d'une symptomatologie très bruyante, spectaculaire décrite sous le nom de syndrome de Tachon. La description clinique est celle de violentes douleurs lombaires et/ou dorsales et/ou thoraciques, survenant quelques minutes après l'infiltration. L'évolution se fait classiquement vers la régression rapide des douleurs. La physiopathologie de ce trouble pourrait s'expliquer par le passage du produit dans une veine à l'occasion d'une brèche de celle-ci faite lors du geste. Il est nécessaire de pouvoir calmer le patient et le rassurer après avoir éliminé les urgences médicochirurgicales classiques, car le syndrome de Tachon reste un diagnostic d'élimination. Nous rapportons deux cas cliniques illustrant bien la symptomatologie typique de ce syndrome très angoissant et qui doit être connu des médecins pratiquant ces infiltrations. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=13513 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtPathologie chronique acromioclaviculaire / G Nourissat in EMC : Appareil locomoteur, (Juin 2013)
PermalinkSyndrome du canal carpien / T. Dreano in EMC : Appareil locomoteur, (Décembre 2010)
PermalinkLes tatouages chez le sportif : risques et mythes / N. kluger in Journal de traumatologie du sport, Vol.36, n°1 (Mars 2019)
PermalinkDextrose 5%, une alternative à l’injection de corticostéroïdes dans le traitement du syndrome du canal carpien ? / O. Van Overschelde in Minerva [périodique éléctronique], Vol. 19, n° 3 (Avril 2020)
PermalinkIntérêt des infiltrations du « mur méniscal » par les corticoïdes dans les douleurs méniscales du genou. À propos de 214 cas / BOUVARD M. in Journal de traumatologie du sport, vol. 25/1 (février 2008)
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