Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Mention de date : Septembre 2013
Paru le : 27/09/2013 |
Exemplaires
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
aucun exemplaire |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierOstéoarthropathie hypertrophiante / G. Chalès in EMC : Appareil locomoteur, (Septembre 2013)
[article]
Titre : Ostéoarthropathie hypertrophiante Type de document : texte imprimé Auteurs : G. Chalès ; A. Rouil Année de publication : 2013 Article en page(s) : 14-260-A-10 [Tome 4] Langues : Français (fre) Mots-clés : Ostéoarthropathie hypertrophiante Pachydermopériostose Hippocratisme digital Périostose VEGF PGE2 Résumé : L'ostéoarthropathie hypertrophiante (OAH) décrite il y a 125ans par von Bamberger (1889) et Pierre Marie (1890) est une entité clinique et radiologique classiquement secondaire à des pathologies néoplasiques (syndrome paranéoplasique) ou à de nombreuses affections pulmonaires, cardiovasculaires, digestives, métaboliques ou autres ; les principales manifestations intéressent le squelette (hippocratisme digital, périostose, arthrite avec liquide synovial peu cellulaire de type mécanique, acro-ostéolyse) et la peau (épaississement, séborrhée, hypersudation). L'hippocratisme digital peut être mesuré objectivement et les données de la scintigraphie osseuse au technétium 99m permettent de compléter la description du syndrome osseux. Le plus souvent, l'OAH survient chez des patients ayant un cancer du poumon (d'où la terminologie classique d'OAH pneumique). Chez les patients plus jeunes, l'OAH peut être un signe clinique révélateur d'une pneumopathie destructrice de mucoviscidose, ou d'une cardiopathie congénitale. Cependant, le cadre étiologique s'est agrandi, notamment dans le secteur des causes extrathoraciques d'OAH. L'accumulation de faits cliniques et la variété des formes cliniques de l'OAH matérialisent le concept de dysacromélie proposé par Bariéty et Coury (1946) : il y a des liens de passage entre l'hippocratisme digital, l'OAH secondaire et la pachydermopériostose (PDP) qui n'est qu'une OAH primitive. Si la connaissance de la pathogénie de l'OAH reste encore très imparfaite (grand nombre d'observations isolées et anecdotiques, manque d'études contrôlées en pathologie humaine et animale, existence probable de plusieurs mécanismes différents responsables de l'OAH, dénominateur commun final des nombreux facteurs étiologiques), des études génétiques récentes de familles atteintes d'OAH primitive (PDP) ont mis en évidence des mutations de gènes codant le transport et le catabolisme des prostaglandines (PG), en particulier E2, suggérant que l'altération du métabolisme des PGE2 joue un rôle essentiel dans la pathogénie de l'OAH. Le traitement de l'affection causale est le seul traitement efficace de l'OAH secondaire. L'absence d'études contrôlées rend difficile l'appréciation des thérapeutiques complémentaires (corticoïdes, morphiniques, octréotide, bisphosphonates, biothérapie). Note de contenu : Introduction
Syndrome d'ostéoarthropathie hypertrophiante
Syndrome acromélique
Syndrome articulaire
Syndrome cutané
Syndrome osseux
Étiologies
Ostéoarthropathie hypertrophiante primitive ou pachydermopériostose
Ostéoarthropathie hypertrophiante secondaire
Ostéoarthropathie hypertrophiante localisée
Épidémiologie
Anatomopathologie
Synovite
Périostose
Tissus mous
Hippocratisme digital
Physiopathologie de l'hippocratisme digital et de la périostose
Facteurs neurotrophiques
Facteurs humoraux
Facteurs plaquettaires
Facteurs de croissance vasculaires
Prostaglandines
Données génétiques dans la pachydermopériotose
Mutations du gène HPGD
Mutations du gène SLCO2A1
Diagnostic
Évolution
Traitement
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43995
in EMC : Appareil locomoteur > (Septembre 2013) . - 14-260-A-10 [Tome 4][article] Ostéoarthropathie hypertrophiante [texte imprimé] / G. Chalès ; A. Rouil . - 2013 . - 14-260-A-10 [Tome 4].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Septembre 2013) . - 14-260-A-10 [Tome 4]
Mots-clés : Ostéoarthropathie hypertrophiante Pachydermopériostose Hippocratisme digital Périostose VEGF PGE2 Résumé : L'ostéoarthropathie hypertrophiante (OAH) décrite il y a 125ans par von Bamberger (1889) et Pierre Marie (1890) est une entité clinique et radiologique classiquement secondaire à des pathologies néoplasiques (syndrome paranéoplasique) ou à de nombreuses affections pulmonaires, cardiovasculaires, digestives, métaboliques ou autres ; les principales manifestations intéressent le squelette (hippocratisme digital, périostose, arthrite avec liquide synovial peu cellulaire de type mécanique, acro-ostéolyse) et la peau (épaississement, séborrhée, hypersudation). L'hippocratisme digital peut être mesuré objectivement et les données de la scintigraphie osseuse au technétium 99m permettent de compléter la description du syndrome osseux. Le plus souvent, l'OAH survient chez des patients ayant un cancer du poumon (d'où la terminologie classique d'OAH pneumique). Chez les patients plus jeunes, l'OAH peut être un signe clinique révélateur d'une pneumopathie destructrice de mucoviscidose, ou d'une cardiopathie congénitale. Cependant, le cadre étiologique s'est agrandi, notamment dans le secteur des causes extrathoraciques d'OAH. L'accumulation de faits cliniques et la variété des formes cliniques de l'OAH matérialisent le concept de dysacromélie proposé par Bariéty et Coury (1946) : il y a des liens de passage entre l'hippocratisme digital, l'OAH secondaire et la pachydermopériostose (PDP) qui n'est qu'une OAH primitive. Si la connaissance de la pathogénie de l'OAH reste encore très imparfaite (grand nombre d'observations isolées et anecdotiques, manque d'études contrôlées en pathologie humaine et animale, existence probable de plusieurs mécanismes différents responsables de l'OAH, dénominateur commun final des nombreux facteurs étiologiques), des études génétiques récentes de familles atteintes d'OAH primitive (PDP) ont mis en évidence des mutations de gènes codant le transport et le catabolisme des prostaglandines (PG), en particulier E2, suggérant que l'altération du métabolisme des PGE2 joue un rôle essentiel dans la pathogénie de l'OAH. Le traitement de l'affection causale est le seul traitement efficace de l'OAH secondaire. L'absence d'études contrôlées rend difficile l'appréciation des thérapeutiques complémentaires (corticoïdes, morphiniques, octréotide, bisphosphonates, biothérapie). Note de contenu : Introduction
Syndrome d'ostéoarthropathie hypertrophiante
Syndrome acromélique
Syndrome articulaire
Syndrome cutané
Syndrome osseux
Étiologies
Ostéoarthropathie hypertrophiante primitive ou pachydermopériostose
Ostéoarthropathie hypertrophiante secondaire
Ostéoarthropathie hypertrophiante localisée
Épidémiologie
Anatomopathologie
Synovite
Périostose
Tissus mous
Hippocratisme digital
Physiopathologie de l'hippocratisme digital et de la périostose
Facteurs neurotrophiques
Facteurs humoraux
Facteurs plaquettaires
Facteurs de croissance vasculaires
Prostaglandines
Données génétiques dans la pachydermopériotose
Mutations du gène HPGD
Mutations du gène SLCO2A1
Diagnostic
Évolution
Traitement
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43995 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Genu recurvatum osseux / G. Demey in EMC : Appareil locomoteur, (Septembre 2013)
[article]
Titre : Genu recurvatum osseux Type de document : texte imprimé Auteurs : G. Demey, Auteur ; S. Lustig, Auteur ; E. Servien, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : 14-327-A-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Genu recurvatum Ostéotomie tibiale antérieure Ostéotomie fémorale Poliomyélite Pente tibiale Angle épiphysaire fémoral Résumé : Le genu recurvatum est défini par l'hyperextension du genou au-delà de 180̊ ou zéro de référence. Cet état est le plus souvent bilatéral, symétrique, d'origine constitutionnelle et asymptomatique. Il peut être également congénital voire acquis (osseux, ligamentaire ou mixte) et dans ces cas il devient asymétrique et possiblement symptomatique. La symptomatologie peut être diverse, comprenant les douleurs, l'instabilité fémorotibiale, l'instabilité fémoropatellaire, l'inégalité de longueur des membres inférieurs, voire une gêne esthétique. L'examen clinique doit être complet et surtout bilatéral comparatif. Le bilan paraclinique permet la mesure radiologique du recurvatum, de sa part osseuse intra- ou extra-articulaire, et de sa part ligamentaire. Le recurvatum osseux se distingue du recurvatum ligamentaire, mais ils peuvent être associés. L'analyse de l'étiologie permet de déterminer un traitement adapté. Le traitement chirurgical est dominé par les gestes d'ostéotomie d'ouverture tibiale antérieure, mais ce traitement ne résume pas à lui seul la prise en charge. Des gestes ligamentaires ou conservateurs peuvent être réalisés en association ou non. Note de contenu : Introduction
Définition
Genu recurvatum constitutionnel
Genu recurvatum congénital
Genu recurvatum acquis
Examen clinique
Symptômes retrouvés à l'interrogatoire
Étude de la marche
Mesure du genu recurvatum
Examen général des deux membres inférieurs
Bilan complémentaire
Radiographies
Tomodensitométrie
Étiologies
Genu recurvatum constitutionnel
Genu recurvatum congénital
Genu recurvatum acquis
Méthodes thérapeutiques
Méthodes conservatrices
Méthodes chirurgicales osseuses
Gestes ligamentaires
Indications
En cas de genu recurvatum constitutionnel
En cas de genu recurvatum d'origine osseuse
En cas de déformation tibiale
En cas de recurvatum ligamentaire
En cas de recurvatum mixte et notamment dans le cadre de la poliomyélite
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44028
in EMC : Appareil locomoteur > (Septembre 2013) . - 14-327-A-10 [Tome 5][article] Genu recurvatum osseux [texte imprimé] / G. Demey, Auteur ; S. Lustig, Auteur ; E. Servien, Auteur . - 2013 . - 14-327-A-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Septembre 2013) . - 14-327-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Genu recurvatum Ostéotomie tibiale antérieure Ostéotomie fémorale Poliomyélite Pente tibiale Angle épiphysaire fémoral Résumé : Le genu recurvatum est défini par l'hyperextension du genou au-delà de 180̊ ou zéro de référence. Cet état est le plus souvent bilatéral, symétrique, d'origine constitutionnelle et asymptomatique. Il peut être également congénital voire acquis (osseux, ligamentaire ou mixte) et dans ces cas il devient asymétrique et possiblement symptomatique. La symptomatologie peut être diverse, comprenant les douleurs, l'instabilité fémorotibiale, l'instabilité fémoropatellaire, l'inégalité de longueur des membres inférieurs, voire une gêne esthétique. L'examen clinique doit être complet et surtout bilatéral comparatif. Le bilan paraclinique permet la mesure radiologique du recurvatum, de sa part osseuse intra- ou extra-articulaire, et de sa part ligamentaire. Le recurvatum osseux se distingue du recurvatum ligamentaire, mais ils peuvent être associés. L'analyse de l'étiologie permet de déterminer un traitement adapté. Le traitement chirurgical est dominé par les gestes d'ostéotomie d'ouverture tibiale antérieure, mais ce traitement ne résume pas à lui seul la prise en charge. Des gestes ligamentaires ou conservateurs peuvent être réalisés en association ou non. Note de contenu : Introduction
Définition
Genu recurvatum constitutionnel
Genu recurvatum congénital
Genu recurvatum acquis
Examen clinique
Symptômes retrouvés à l'interrogatoire
Étude de la marche
Mesure du genu recurvatum
Examen général des deux membres inférieurs
Bilan complémentaire
Radiographies
Tomodensitométrie
Étiologies
Genu recurvatum constitutionnel
Genu recurvatum congénital
Genu recurvatum acquis
Méthodes thérapeutiques
Méthodes conservatrices
Méthodes chirurgicales osseuses
Gestes ligamentaires
Indications
En cas de genu recurvatum constitutionnel
En cas de genu recurvatum d'origine osseuse
En cas de déformation tibiale
En cas de recurvatum ligamentaire
En cas de recurvatum mixte et notamment dans le cadre de la poliomyélite
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44028 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Chondrosarcomes osseux / P. Anract in EMC : Appareil locomoteur, (Septembre 2013)
[article]
Titre : Chondrosarcomes osseux Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Anract, Auteur ; F. Larousserie, Auteur ; O. Mir, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : 14-716 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Tumeur osseuse Sarcome Chondrosarcome Ostéochondrome Chondrome Résumé : Le chondrosarcome est une tumeur maligne primitive de la lignée cartilagineuse. Il s'agit d'un groupe hétérogène de tumeurs qui peuvent être caractérisées par leur localisation dans l'os (intramédullaire, chondrosarcome conventionnel, ou à la surface de l'os, chondrosarcome). Les tumeurs sont distinguées en fonction de leur aspect histologique, en plus de la forme habituelle (où il existe une différentiation en cartilage hyalin de la tumeur). Il existe des chondrosarcomes à cellules claires, des chondrosarcomes dédifférenciés et des chondrosarcomes mésenchymateux. Enfin, il faut aussi isoler les formes survenant sur une lésion cartilagineuse préexistante (ostéochondrome ou chondrome) appelés « chondrosarcomes secondaires ». Le chondrosarcome survenant sur ostéochondrome est également appelé « chondrosarcome périphérique ». Les chondrosarcomes ne sont pas chimiosensibles et sont relativement résistants à la radiothérapie. Leur traitement reste actuellement fondé sur la résection chirurgicale. Des travaux de caractérisation biologiques récents font entrevoir des possibilités de traitement médical adjuvant. Note de contenu : Forme habituelle des chondrosarcomes
Définition
Épidémiologie
Clinique et biologie
Localisations
Imagerie
Anatomie pathologique
Diagnostic différentiel
Évolution et pronostic
Traitement
Traitement chirurgical
Traitements adjuvants
Formes particulières des chondrosarcomes
Chondrosarcomes secondaires
Chondrosarcome périosté
Chondrosarcome mésenchymateux
Épidémiologie
Localisation
Clinique
Imagerie
Anatomopathologie
Traitement
Évolution et pronostic
Chondrosarcomes à cellules claires
Épidémiologie
Localisation
Clinique
Imagerie
Anatomopathologie
Traitement
Évolution et pronostic
Chondrosarcomes dédifférenciés
Épidémiologie
Clinique
Imagerie
Anatomopathologie
Traitement
Biologie des chondrosarcomes et cibles thérapeutiques possibles
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44043
in EMC : Appareil locomoteur > (Septembre 2013) . - 14-716 [Tome 5][article] Chondrosarcomes osseux [texte imprimé] / P. Anract, Auteur ; F. Larousserie, Auteur ; O. Mir, Auteur . - 2013 . - 14-716 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Septembre 2013) . - 14-716 [Tome 5]
Mots-clés : Tumeur osseuse Sarcome Chondrosarcome Ostéochondrome Chondrome Résumé : Le chondrosarcome est une tumeur maligne primitive de la lignée cartilagineuse. Il s'agit d'un groupe hétérogène de tumeurs qui peuvent être caractérisées par leur localisation dans l'os (intramédullaire, chondrosarcome conventionnel, ou à la surface de l'os, chondrosarcome). Les tumeurs sont distinguées en fonction de leur aspect histologique, en plus de la forme habituelle (où il existe une différentiation en cartilage hyalin de la tumeur). Il existe des chondrosarcomes à cellules claires, des chondrosarcomes dédifférenciés et des chondrosarcomes mésenchymateux. Enfin, il faut aussi isoler les formes survenant sur une lésion cartilagineuse préexistante (ostéochondrome ou chondrome) appelés « chondrosarcomes secondaires ». Le chondrosarcome survenant sur ostéochondrome est également appelé « chondrosarcome périphérique ». Les chondrosarcomes ne sont pas chimiosensibles et sont relativement résistants à la radiothérapie. Leur traitement reste actuellement fondé sur la résection chirurgicale. Des travaux de caractérisation biologiques récents font entrevoir des possibilités de traitement médical adjuvant. Note de contenu : Forme habituelle des chondrosarcomes
Définition
Épidémiologie
Clinique et biologie
Localisations
Imagerie
Anatomie pathologique
Diagnostic différentiel
Évolution et pronostic
Traitement
Traitement chirurgical
Traitements adjuvants
Formes particulières des chondrosarcomes
Chondrosarcomes secondaires
Chondrosarcome périosté
Chondrosarcome mésenchymateux
Épidémiologie
Localisation
Clinique
Imagerie
Anatomopathologie
Traitement
Évolution et pronostic
Chondrosarcomes à cellules claires
Épidémiologie
Localisation
Clinique
Imagerie
Anatomopathologie
Traitement
Évolution et pronostic
Chondrosarcomes dédifférenciés
Épidémiologie
Clinique
Imagerie
Anatomopathologie
Traitement
Biologie des chondrosarcomes et cibles thérapeutiques possibles
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44043 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Malformation de la ceinture scapulaire de l'enfant et de l'adolescent / V. Seivert in EMC : Appareil locomoteur, (Septembre 2013)
[article]
Titre : Malformation de la ceinture scapulaire de l'enfant et de l'adolescent Type de document : texte imprimé Auteurs : V. Seivert ; P. Journeau ; G. Pomares Année de publication : 2013 Article en page(s) : 15-202-A-10 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Épaule Malformations congénitales Enfant Résumé : Les malformations de la ceinture scapulaire représentent de nombreuses entités dont certaines sont peu ou mal connues. Les raisons principales en sont le modeste retentissement fonctionnel dans un grand nombre de cas responsable soit de l'absence de consultation, soit de mise en évidence tardive, une anatomie assez peu accessible à l'examen clinique car l'épaule est une articulation profonde et des associations syndromiques dont les autres anomalies sont au premier plan, faisant ainsi oublier la prise en charge de l'épaule. Toutefois, quelques pathologies méritent notre attention, essentiellement car leur traitement vise à améliorer la fonction, ou en raison d'associations malformatives qui prennent toute leur importance dans la prise en charge globale d'un enfant. Malgré leur prévalence assez peu élevée, la surélévation congénitale de la scapula, la pseudarthrose congénitale de la clavicule, le syndrome de Poland ou certaines dysplasies glénoïdiennes sont des anomalies qui doivent être analysées, tant sur leur physiopathologie que sur leur présentation clinique, afin de pouvoir définir au mieux les indications thérapeutiques. Note de contenu : Introduction
Embryologie et anatomie
Malformations osseuses
Atteinte du complexe glénohuméral
Pseudarthrose congénitale de la clavicule
Dysplasie cléidocrânienne
Surélévation congénitale de la scapula
Malformations musculaires
Syndrome de Poland
Torticolis congénital
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44079
in EMC : Appareil locomoteur > (Septembre 2013) . - 15-202-A-10 [Tome 6][article] Malformation de la ceinture scapulaire de l'enfant et de l'adolescent [texte imprimé] / V. Seivert ; P. Journeau ; G. Pomares . - 2013 . - 15-202-A-10 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Septembre 2013) . - 15-202-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : Épaule Malformations congénitales Enfant Résumé : Les malformations de la ceinture scapulaire représentent de nombreuses entités dont certaines sont peu ou mal connues. Les raisons principales en sont le modeste retentissement fonctionnel dans un grand nombre de cas responsable soit de l'absence de consultation, soit de mise en évidence tardive, une anatomie assez peu accessible à l'examen clinique car l'épaule est une articulation profonde et des associations syndromiques dont les autres anomalies sont au premier plan, faisant ainsi oublier la prise en charge de l'épaule. Toutefois, quelques pathologies méritent notre attention, essentiellement car leur traitement vise à améliorer la fonction, ou en raison d'associations malformatives qui prennent toute leur importance dans la prise en charge globale d'un enfant. Malgré leur prévalence assez peu élevée, la surélévation congénitale de la scapula, la pseudarthrose congénitale de la clavicule, le syndrome de Poland ou certaines dysplasies glénoïdiennes sont des anomalies qui doivent être analysées, tant sur leur physiopathologie que sur leur présentation clinique, afin de pouvoir définir au mieux les indications thérapeutiques. Note de contenu : Introduction
Embryologie et anatomie
Malformations osseuses
Atteinte du complexe glénohuméral
Pseudarthrose congénitale de la clavicule
Dysplasie cléidocrânienne
Surélévation congénitale de la scapula
Malformations musculaires
Syndrome de Poland
Torticolis congénital
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44079 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire