Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
HORAIRE
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Bienvenue sur le catalogue du
Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
Détail de l'auteur
Auteur Jérôme Favrod |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
Anhédonie et psychologie positive / Jérôme Favrod in Santé mentale, 221 (Octobre 2017)
[article]
Titre : Anhédonie et psychologie positive Type de document : texte imprimé Auteurs : Jérôme Favrod ; Alexandra Nguyen ; Laurent Frobert ; Joanie Pellet Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 54-59 Langues : Français (fre) Résumé : Largement inspiré de la psychologie positive, le Programme émotions positives pour la schizophrénie (PEPS) propose aux patients des stratégies qui mobilisent et augmentent les émotions positives, afin de compenser les déficits associés à l’anhédonie.
Le Programme émotions positives pour la schizophrénie, PEPS, est une intervention pour améliorer le plaisir dans la schizophrénie. Il est construit avec des méthodes provenant de la psychologie positive tout en répondant aux déficits associés à l’anhédonie. Le modèle du processus de régulation émotionnelle proposé par Gross permet de prendre en compte l’ensemble des éléments impliqués dans la genèse et la régulation des émotions. Il permet de proposer des stratégies concrètes pour augmenter les émotions positives.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54921
in Santé mentale > 221 (Octobre 2017) . - p. 54-59[article] Anhédonie et psychologie positive [texte imprimé] / Jérôme Favrod ; Alexandra Nguyen ; Laurent Frobert ; Joanie Pellet . - 2017 . - p. 54-59.
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 221 (Octobre 2017) . - p. 54-59
Résumé : Largement inspiré de la psychologie positive, le Programme émotions positives pour la schizophrénie (PEPS) propose aux patients des stratégies qui mobilisent et augmentent les émotions positives, afin de compenser les déficits associés à l’anhédonie.
Le Programme émotions positives pour la schizophrénie, PEPS, est une intervention pour améliorer le plaisir dans la schizophrénie. Il est construit avec des méthodes provenant de la psychologie positive tout en répondant aux déficits associés à l’anhédonie. Le modèle du processus de régulation émotionnelle proposé par Gross permet de prendre en compte l’ensemble des éléments impliqués dans la genèse et la régulation des émotions. Il permet de proposer des stratégies concrètes pour augmenter les émotions positives.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54921 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Auto-stigmatisation dans la schizophrénie Un frein au rétablissement psychologique / Caroline Suter in Laennec. Santé - Médecine - Éthique, 3/2019 (Juillet 2019)
[article]
Titre : Auto-stigmatisation dans la schizophrénie Un frein au rétablissement psychologique Type de document : texte imprimé Auteurs : Caroline Suter, Auteur ; Jérôme Favrod, Auteur ; Joanie Pellet, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.34-43 Langues : Français (fre) Mots-clés : Ethique Schizophrénie Stigmatisation Discrimination Psychologie Autodestruction Résumé : Les personnes atteintes de troubles psychiques connaissent souvent des difficultés dans leur vie sociale. Pour ces personnes s’ajoute à ces difficultés un processus psychique d’intégration des stéréotypes que les autres portent vis-à-vis de leur maladie, notamment chez les schizophrènes. L’attention à ces mécanismes « d’auto-stigmatisation » permet une meilleure prise en charge clinique.
Malgré les mouvements de désinstitutionalisation et d’intégration sociale, les personnes atteintes de troubles psychiques subissent toujours les conséquences négatives d’une stigmatisation active et passive, décrite comme un fardeau supplémentaire à la maladie elle-même. Les conséquences socio-économiques de la stigmatisation et de la discrimination ont été largement analysées ; obstacle au rétablissement, perte du statut social, chronicisation, isolement, diminution de l’accès aux soins, hospitalisations prolongées ou évitables, diminution de la qualité de vie, discrimination au logement et à l’embauche [1, 2]… En réaction à la stigmatisation, un nombre croissant d’études s’intéresse au processus d’auto-stigmatisation, qui décrit comment les personnes discriminées internalisent elles-mêmes les stéréotypes qui sont attribués à leur maladie. Cette seconde forme de stigmatisation se différencie de la stigmatisation publique car elle porte un préjudice majeur à l’estime de soi et à...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=64984
in Laennec. Santé - Médecine - Éthique > 3/2019 (Juillet 2019) . - p.34-43[article] Auto-stigmatisation dans la schizophrénie Un frein au rétablissement psychologique [texte imprimé] / Caroline Suter, Auteur ; Jérôme Favrod, Auteur ; Joanie Pellet, Auteur . - 2019 . - p.34-43.
Langues : Français (fre)
in Laennec. Santé - Médecine - Éthique > 3/2019 (Juillet 2019) . - p.34-43
Mots-clés : Ethique Schizophrénie Stigmatisation Discrimination Psychologie Autodestruction Résumé : Les personnes atteintes de troubles psychiques connaissent souvent des difficultés dans leur vie sociale. Pour ces personnes s’ajoute à ces difficultés un processus psychique d’intégration des stéréotypes que les autres portent vis-à-vis de leur maladie, notamment chez les schizophrènes. L’attention à ces mécanismes « d’auto-stigmatisation » permet une meilleure prise en charge clinique.
Malgré les mouvements de désinstitutionalisation et d’intégration sociale, les personnes atteintes de troubles psychiques subissent toujours les conséquences négatives d’une stigmatisation active et passive, décrite comme un fardeau supplémentaire à la maladie elle-même. Les conséquences socio-économiques de la stigmatisation et de la discrimination ont été largement analysées ; obstacle au rétablissement, perte du statut social, chronicisation, isolement, diminution de l’accès aux soins, hospitalisations prolongées ou évitables, diminution de la qualité de vie, discrimination au logement et à l’embauche [1, 2]… En réaction à la stigmatisation, un nombre croissant d’études s’intéresse au processus d’auto-stigmatisation, qui décrit comment les personnes discriminées internalisent elles-mêmes les stéréotypes qui sont attribués à leur maladie. Cette seconde forme de stigmatisation se différencie de la stigmatisation publique car elle porte un préjudice majeur à l’estime de soi et à...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=64984 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Ce que les TCC nous apprennent sur le délire / Jérôme Favrod in Santé mentale, 253 (Décembre 2020)
[article]
Titre : Ce que les TCC nous apprennent sur le délire Type de document : texte imprimé Auteurs : Jérôme Favrod ; Alexandra Nguyen ; Laurent Frobert ; Charles Bonsack Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 49-53 Note générale : Fait partie du dossier "Délire et schizophrénie". Langues : Français (fre) Mots-clés : Alliance thérapeutique Décompensation (psychiatrie) Délire Processus psychique Thérapie cognitivo-comportementale Anxiété Vécu Résumé : Les thérapies cognitives et comportementales des symptômes psychotiques (TCCp) travaillent directement sur les croyances délirantes, en les remettant en question ainsi que les preuves qui les sous-tendent.
Les idées délirantes peuvent être conçues comme un symptôme non-spécifique ou comme ayant un lien avec les entités diagnostiques et se situent à mi-chemin entre les deux positions. Il serait utile toutefois de développer de nouvelles définitions plus proches de la réalité clinique. Dans la pratique des soins, les idées délirantes constituent un problème quand elles conduisent à des conséquences fonctionnelles ou à de la souffrance pour les patients. Les résultats des recherches montrent que l’entraînement métacognitif ou les thérapies cognitives et comportementales des psychoses sont des interventions non pharmacologiques précieuses pour réduire les idées délirantes en milieu clinique pour les patients atteints de schizophrénie ou de troubles délirants.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=68901
in Santé mentale > 253 (Décembre 2020) . - p. 49-53[article] Ce que les TCC nous apprennent sur le délire [texte imprimé] / Jérôme Favrod ; Alexandra Nguyen ; Laurent Frobert ; Charles Bonsack . - 2020 . - p. 49-53.
Fait partie du dossier "Délire et schizophrénie".
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 253 (Décembre 2020) . - p. 49-53
Mots-clés : Alliance thérapeutique Décompensation (psychiatrie) Délire Processus psychique Thérapie cognitivo-comportementale Anxiété Vécu Résumé : Les thérapies cognitives et comportementales des symptômes psychotiques (TCCp) travaillent directement sur les croyances délirantes, en les remettant en question ainsi que les preuves qui les sous-tendent.
Les idées délirantes peuvent être conçues comme un symptôme non-spécifique ou comme ayant un lien avec les entités diagnostiques et se situent à mi-chemin entre les deux positions. Il serait utile toutefois de développer de nouvelles définitions plus proches de la réalité clinique. Dans la pratique des soins, les idées délirantes constituent un problème quand elles conduisent à des conséquences fonctionnelles ou à de la souffrance pour les patients. Les résultats des recherches montrent que l’entraînement métacognitif ou les thérapies cognitives et comportementales des psychoses sont des interventions non pharmacologiques précieuses pour réduire les idées délirantes en milieu clinique pour les patients atteints de schizophrénie ou de troubles délirants.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=68901 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt « Combien de temps vais-je prendre ce traitement ? » / Quentin Grunenwald in Santé mentale, 282 (Novembre 2023)
[article]
Titre : « Combien de temps vais-je prendre ce traitement ? » Type de document : document graphique à deux dimensions Auteurs : Quentin Grunenwald ; Jérôme Favrod ; Charles Bonsak ; Alexandra Nguyen Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 16-21 Note générale : Studi, un outil pédagogique innovant, permet aux soignants de vivre des expériences émotionnelles pour faire évoluer leurs représentations sociales. L'objectif est de proposer un accompagnement personnalisé adossé au vécu du patient. Illustration avec la prescription de neuroleptiques au long cours. Langues : Français (fre) Mots-clés : Enseignement Formation professionnelle Neuroleptiques Prescription médicale Réflexivité Savoir expérientiel Savoir pratique Savoir théorique Psychiatrie Effets secondaires indésirables des médicaments Bénéfice risque Cas concret Méthode pédagogique Observance Outil pédagogique Résumé : Studi est un dispositif de formation qui offre la possibilité de vivre des expériences émotionnelles, d'interagir avec les autres, de confronter les représentations initiales et d'en construire de nouvelles. Le modèle d'apprentissage expérientiel comprend un cycle en quatre étapes, allant de l'expérience concrète à l'observation réfléchie, à la conceptualisation puis à l'action. La vignette présentée vise à conduire les professionnels de la santé à réfléchir sur le traitement neuroleptique de maintien. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=80404
in Santé mentale > 282 (Novembre 2023) . - p. 16-21[article] « Combien de temps vais-je prendre ce traitement ? » [document graphique à deux dimensions] / Quentin Grunenwald ; Jérôme Favrod ; Charles Bonsak ; Alexandra Nguyen . - 2023 . - p. 16-21.
Studi, un outil pédagogique innovant, permet aux soignants de vivre des expériences émotionnelles pour faire évoluer leurs représentations sociales. L'objectif est de proposer un accompagnement personnalisé adossé au vécu du patient. Illustration avec la prescription de neuroleptiques au long cours.
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 282 (Novembre 2023) . - p. 16-21
Mots-clés : Enseignement Formation professionnelle Neuroleptiques Prescription médicale Réflexivité Savoir expérientiel Savoir pratique Savoir théorique Psychiatrie Effets secondaires indésirables des médicaments Bénéfice risque Cas concret Méthode pédagogique Observance Outil pédagogique Résumé : Studi est un dispositif de formation qui offre la possibilité de vivre des expériences émotionnelles, d'interagir avec les autres, de confronter les représentations initiales et d'en construire de nouvelles. Le modèle d'apprentissage expérientiel comprend un cycle en quatre étapes, allant de l'expérience concrète à l'observation réfléchie, à la conceptualisation puis à l'action. La vignette présentée vise à conduire les professionnels de la santé à réfléchir sur le traitement neuroleptique de maintien. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=80404 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt L'importance des premières minutes dans la création du lien / Alexandra Nguyen in Santé mentale, 278 (Mai 2023)
[article]
Titre : L'importance des premières minutes dans la création du lien Type de document : texte imprimé Auteurs : Alexandra Nguyen ; Evelyne Berger ; Anne-Sylvie Horlacher ; Jérôme Favrod Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 55-60 Note générale : Cet article fait partie du dossier " La rencontre est l'enjeu du soin ". Langues : Français (fre) Mots-clés : Analyse conversationnelle Programme émotions positives pour la schizophrénie (PEPS) Affiliation-désafiliation Alignement-désalignement Alliance thérapeutique Analyse de contenu Interaction Premier entretien Recherche Relation interpersonnelle Relation soignant soigné Relation thérapeutique Rencontre Résumé : Si la première rencontre soignant patient est déterminante pour la suite des soins, quels en sont les ingrédients? L’analyse conversationnelle met en évidence que la manière d’interagir et de se présenter à l’autre crée d’emblée les conditions favorables au lien et au travail thérapeutique.
La relation thérapeutique est le lien qui se construit entre un clinicien et un patient, afin de créer les conditions nécessaires de confiance pour résoudre les problèmes et les difficultés de ce dernier. La qualité de cette relation reste un facteur essentiel pour engager le patient dans le traitement et conduire à des résultats positifs. Au cours des échanges, patient et soignant doivent ainsi créer un contexte relationnel favorable au partage des connaissances sur l’expérience de la maladie et les traitements. Ces informations mutualisées serviront au soignant pour comprendre les difficultés du patient, prendre les décisions importantes et produire les changements nécessaires à la gestion de sa détresse et de ses difficultés.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=78240
in Santé mentale > 278 (Mai 2023) . - p. 55-60[article] L'importance des premières minutes dans la création du lien [texte imprimé] / Alexandra Nguyen ; Evelyne Berger ; Anne-Sylvie Horlacher ; Jérôme Favrod . - 2023 . - p. 55-60.
Cet article fait partie du dossier " La rencontre est l'enjeu du soin ".
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 278 (Mai 2023) . - p. 55-60
Mots-clés : Analyse conversationnelle Programme émotions positives pour la schizophrénie (PEPS) Affiliation-désafiliation Alignement-désalignement Alliance thérapeutique Analyse de contenu Interaction Premier entretien Recherche Relation interpersonnelle Relation soignant soigné Relation thérapeutique Rencontre Résumé : Si la première rencontre soignant patient est déterminante pour la suite des soins, quels en sont les ingrédients? L’analyse conversationnelle met en évidence que la manière d’interagir et de se présenter à l’autre crée d’emblée les conditions favorables au lien et au travail thérapeutique.
La relation thérapeutique est le lien qui se construit entre un clinicien et un patient, afin de créer les conditions nécessaires de confiance pour résoudre les problèmes et les difficultés de ce dernier. La qualité de cette relation reste un facteur essentiel pour engager le patient dans le traitement et conduire à des résultats positifs. Au cours des échanges, patient et soignant doivent ainsi créer un contexte relationnel favorable au partage des connaissances sur l’expérience de la maladie et les traitements. Ces informations mutualisées serviront au soignant pour comprendre les difficultés du patient, prendre les décisions importantes et produire les changements nécessaires à la gestion de sa détresse et de ses difficultés.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=78240 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt "On était scotché de voir leurs capacités" / Alexandra Nguyen in Santé mentale, 221 (Octobre 2017)
PermalinkPsychiatrie / Philippe Conus in Revue médicale suisse, 456-457 (Janvier 2015)
PermalinkPermalinkSaillance aberrante et production délirante / Charles Bonsack in Santé mentale, 253 (Décembre 2020)
PermalinkSchizophrénie : réduire l'anhédonie et l'apathie / Alexandra Nguyen in Santé mentale, 208 (mai 2016)
Permalink