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Cancer Radiothérapie . 23/1Mention de date : Février 2019Paru le : 01/02/2019 |
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Cancer Radiothérapie : Journal de la Société Française de Radiothérapie Oncologique
[n° ou bulletin] est un bulletin de Cancer Radiothérapie : Journal de la Société Française de Radiothérapie Oncologique Langues : Français (fre)
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Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |
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[article]
Titre : Coût de la radiothérapie des métastases osseuses en France : étude rétrospective monocentrique Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Le Fèvre ; I. Menoux ; Y. Pin ; et al. Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 1-9 Langues : Français (fre) Mots-clés : Coûts Métastases osseuses Radiothérapie Soins palliatifs Stéréotaxie Résumé : Introduction
Le coût de la radiothérapie est une préoccupation pour les systèmes de santé. Les schémas classiques non fractionnés ou multifractionnés ont montré la même efficacité en termes de soulagement des douleurs mais un traitement non fractionné semble moins coûteux. Cependant, en pratique courante, les traitements multifractionnés restent encore majoritaires ce qui représente un surcoût pour la société. Par ailleurs, l’utilisation de la stéréotaxie se démocratise et offre de nouvelles perspectives curatives, mais à quel prix ?
Matériel et méthodes
Une étude rétrospective monocentrique réalisée au sein d’un département de radiothérapie français a été menée afin d’évaluer et de comparer le coût des irradiations des métastases osseuses non compliquées en fonction du schéma de radiothérapie choisi : 30Gy en dix fractions, 20Gy en cinq fractions, 8Gy en une séance ou en conditions stéréotaxiques.
Résultats
Entre janvier 2014 et décembre 2015, 91 patients ayant reçu 116 traitements ont été inclus dans l’étude, dont 44 hommes (48 %) et 47 femmes (52 %), âgés de 63 ans (25–88 ans). Trente-quatre traitements (29 %) étaient 30Gy en dix fractions (groupe 30Gy), 24 (21 %) de 20Gy en cinq fractions (groupe 20Gy), 25 (22 %) par 8Gy en séance fraction (groupe 8Gy) et 33 traitements (28 %) en conditions stéréotaxiques (groupe stéréotaxie). Le coût d’une radiothérapie par stéréotaxie était significativement plus important que celui d’un traitement 3D classique (p<0,001). Si l’on ajoutait à ce montant le coût du transport, la stéréotaxie restait la plus couteuse (p<0,001). Le coût d’un traitement par 30Gy était significativement plus important que celui d’un traitement par 20Gy (p=0,006) ou 8Gy (p<0,001), cela même après avoir additionné le coût du transport (p<0,001), sans différence significative entre 20Gy et 8Gy (p=0,11). En ce qui concerne le coût global du traitement, incluant le coût total des traitements, du transport associé et des ré-irradiations, la stéréotaxie était le traitement le plus coûteux (p<0,001). Le coût global était significativement plus important dans le groupe 30Gy que dans celui Gy (p=0,012) ou 8Gy (p=0,001), sans différence significative entre 20Gy et 8Gy (p=0,38). Il n’existait pas de différence significative du coût du suivi entre les groupes 30Gy, 20Gy, 8Gy et stéréotaxie à un mois (p=0,09) mais à trois mois (p=0,01) et six mois (p=0,0001) il était significativement plus important après un traitement tridimensionnel. Il n’y avait pas de différence significative du coût global incluant la radiothérapie initiale, le transport et l’ensemble du suivi sur six mois entre les groupes (p=0,04).
Conclusion
La stéréotaxie est une technique d’irradiation efficace et curative mais plus onéreuse. Elle est à privilégier chez certains patients, ayant une espérance de vie plus longue, dans un contexte de traitement non palliatif. Le traitement non fractionné de 8Gy paraît être le plus avantageux financièrement tout en conservant une efficacité équivalente aux traitements multifractionnés et en préservant la qualité de vie des patients.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62919
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 1-9[article] Coût de la radiothérapie des métastases osseuses en France : étude rétrospective monocentrique [texte imprimé] / C. Le Fèvre ; I. Menoux ; Y. Pin ; et al. . - 2019 . - p. 1-9.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 1-9
Mots-clés : Coûts Métastases osseuses Radiothérapie Soins palliatifs Stéréotaxie Résumé : Introduction
Le coût de la radiothérapie est une préoccupation pour les systèmes de santé. Les schémas classiques non fractionnés ou multifractionnés ont montré la même efficacité en termes de soulagement des douleurs mais un traitement non fractionné semble moins coûteux. Cependant, en pratique courante, les traitements multifractionnés restent encore majoritaires ce qui représente un surcoût pour la société. Par ailleurs, l’utilisation de la stéréotaxie se démocratise et offre de nouvelles perspectives curatives, mais à quel prix ?
Matériel et méthodes
Une étude rétrospective monocentrique réalisée au sein d’un département de radiothérapie français a été menée afin d’évaluer et de comparer le coût des irradiations des métastases osseuses non compliquées en fonction du schéma de radiothérapie choisi : 30Gy en dix fractions, 20Gy en cinq fractions, 8Gy en une séance ou en conditions stéréotaxiques.
Résultats
Entre janvier 2014 et décembre 2015, 91 patients ayant reçu 116 traitements ont été inclus dans l’étude, dont 44 hommes (48 %) et 47 femmes (52 %), âgés de 63 ans (25–88 ans). Trente-quatre traitements (29 %) étaient 30Gy en dix fractions (groupe 30Gy), 24 (21 %) de 20Gy en cinq fractions (groupe 20Gy), 25 (22 %) par 8Gy en séance fraction (groupe 8Gy) et 33 traitements (28 %) en conditions stéréotaxiques (groupe stéréotaxie). Le coût d’une radiothérapie par stéréotaxie était significativement plus important que celui d’un traitement 3D classique (p<0,001). Si l’on ajoutait à ce montant le coût du transport, la stéréotaxie restait la plus couteuse (p<0,001). Le coût d’un traitement par 30Gy était significativement plus important que celui d’un traitement par 20Gy (p=0,006) ou 8Gy (p<0,001), cela même après avoir additionné le coût du transport (p<0,001), sans différence significative entre 20Gy et 8Gy (p=0,11). En ce qui concerne le coût global du traitement, incluant le coût total des traitements, du transport associé et des ré-irradiations, la stéréotaxie était le traitement le plus coûteux (p<0,001). Le coût global était significativement plus important dans le groupe 30Gy que dans celui Gy (p=0,012) ou 8Gy (p=0,001), sans différence significative entre 20Gy et 8Gy (p=0,38). Il n’existait pas de différence significative du coût du suivi entre les groupes 30Gy, 20Gy, 8Gy et stéréotaxie à un mois (p=0,09) mais à trois mois (p=0,01) et six mois (p=0,0001) il était significativement plus important après un traitement tridimensionnel. Il n’y avait pas de différence significative du coût global incluant la radiothérapie initiale, le transport et l’ensemble du suivi sur six mois entre les groupes (p=0,04).
Conclusion
La stéréotaxie est une technique d’irradiation efficace et curative mais plus onéreuse. Elle est à privilégier chez certains patients, ayant une espérance de vie plus longue, dans un contexte de traitement non palliatif. Le traitement non fractionné de 8Gy paraît être le plus avantageux financièrement tout en conservant une efficacité équivalente aux traitements multifractionnés et en préservant la qualité de vie des patients.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62919 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Harmonization of practices between radiotherapy centres in the Nord and Pas-de-Calais regions (France): A three-year evaluation / D. Pasquier in Cancer Radiothérapie, 23/1 (Février 2019)
[article]
Titre : Harmonization of practices between radiotherapy centres in the Nord and Pas-de-Calais regions (France): A three-year evaluation Titre original : Harmonisation des pratiques entre les centres de radiothérapie des départements du Nord et du Pas-de-Calais : évaluation sur 3 ans Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Pasquier ; F. Darloy ; S. Dewas ; et al. Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 10-16 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Radiothérapie Délinéation Variabilité interobservateur Résumé : Objectif de l’étude
La délinéation des volumes d’intérêt est le siège d’une variabilité entre les observateurs. L’objectif de cette étude était l’harmonisation de la délinéation de tumeurs par les oncologues radiothérapeutes des départements du Nord et du Pas-de-Calais.
Matériels et méthodes
Les onze centres du Nord et du Pas-de-Calais ont participé à ce travail. Les localisations étudiées incluaient les cancers de la prostate, de la tête et du cou, du sein et du cerveau. Les médecins en charge de la pathologie ont délinéé les tumeurs selon leurs pratiques habituelles. Des indices validés, dont le coefficient de similarité de Dice, ont été utilisés pour quantifier les différences de délinéation. Les résultats anonymes ont été présentés lors de deux ou trois réunions annuelles. Une seconde délinéation a été effectuée pour quantifier l’homogénéisation. Une évaluation des pratiques de dosimétrie a été réalisée pour le cancer de la prostate. Le test de Wilcoxon a été utilisé.
Résultats
Nos travaux ont montré soit une concordance de délinéation satisfaisante après l’évaluation initiale, soit une meilleure concordance de délinéation. Dans le cas du cancer de la prostate, les valeurs du coefficient de similarité de Dice du volume cible anatomoclinique étaient supérieures à 0,6 dans deux des trois cas cliniques. Pour les cancers de la tête et du cou, une amélioration statistiquement significative n’a été observée que pour un seul des volumes cible anatomocliniques ; plus de la moitié des valeurs du coefficient de similarité de Dice étaient supérieures à 0,6 dès la première comparaison. Cinq des six volumes cible anatomocliniques ganglionnaires mammaires ont été améliorés. L’étude dosimétrique du cancer de la prostate a permis une homogénéisation des pratiques.
Conclusion
Ce travail a permis d’harmoniser les pratiques autour de référentiels validés. Une extension à l’ensemble des Hauts-de-France est envisagée.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62920
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 10-16[article] Harmonization of practices between radiotherapy centres in the Nord and Pas-de-Calais regions (France): A three-year evaluation = Harmonisation des pratiques entre les centres de radiothérapie des départements du Nord et du Pas-de-Calais : évaluation sur 3 ans [texte imprimé] / D. Pasquier ; F. Darloy ; S. Dewas ; et al. . - 2019 . - p. 10-16.
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 10-16
Mots-clés : Radiothérapie Délinéation Variabilité interobservateur Résumé : Objectif de l’étude
La délinéation des volumes d’intérêt est le siège d’une variabilité entre les observateurs. L’objectif de cette étude était l’harmonisation de la délinéation de tumeurs par les oncologues radiothérapeutes des départements du Nord et du Pas-de-Calais.
Matériels et méthodes
Les onze centres du Nord et du Pas-de-Calais ont participé à ce travail. Les localisations étudiées incluaient les cancers de la prostate, de la tête et du cou, du sein et du cerveau. Les médecins en charge de la pathologie ont délinéé les tumeurs selon leurs pratiques habituelles. Des indices validés, dont le coefficient de similarité de Dice, ont été utilisés pour quantifier les différences de délinéation. Les résultats anonymes ont été présentés lors de deux ou trois réunions annuelles. Une seconde délinéation a été effectuée pour quantifier l’homogénéisation. Une évaluation des pratiques de dosimétrie a été réalisée pour le cancer de la prostate. Le test de Wilcoxon a été utilisé.
Résultats
Nos travaux ont montré soit une concordance de délinéation satisfaisante après l’évaluation initiale, soit une meilleure concordance de délinéation. Dans le cas du cancer de la prostate, les valeurs du coefficient de similarité de Dice du volume cible anatomoclinique étaient supérieures à 0,6 dans deux des trois cas cliniques. Pour les cancers de la tête et du cou, une amélioration statistiquement significative n’a été observée que pour un seul des volumes cible anatomocliniques ; plus de la moitié des valeurs du coefficient de similarité de Dice étaient supérieures à 0,6 dès la première comparaison. Cinq des six volumes cible anatomocliniques ganglionnaires mammaires ont été améliorés. L’étude dosimétrique du cancer de la prostate a permis une homogénéisation des pratiques.
Conclusion
Ce travail a permis d’harmoniser les pratiques autour de référentiels validés. Une extension à l’ensemble des Hauts-de-France est envisagée.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62920 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Rare histologic types of rectal cancer: A monocentric cases series report / A. Vallard in Cancer Radiothérapie, 23/1 (Février 2019)
[article]
Titre : Rare histologic types of rectal cancer: A monocentric cases series report Titre original : Histologies rares de cancer du rectum : résultats d’une cohorte monocentrique Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Vallard ; P. Diao ; M.-A. Garcia ; et al. Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 17-22 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Cancer Rectum Anatomopathologie Histologie Rare Radiothérapie Résumé : Objectif de l’étude
L’objectif de ce travail était de décrire les modalités de prise en charge et l’évolution des patients atteints de cancer du rectum d’histologie rare.
Matériel et méthodes
Nous avons rétrospectivement étudié les traitements et le devenir de tous les patients atteint d’un cancer du rectum traité dans notre service de radiothérapie.
Résultats
De 2004 à 2015, 744 patients ont été traité pour un cancer du rectum, dont dix avaient un sous-type histologique autre que l’adénocarcinome. L’âge médian de ces patients était de 60,7 ans (de 34,6–80,4 ans). Le sous-type histologique identifié était de nature neuroendocrine (quatre patients), adénosquameuse (un patient), indifférenciée à grandes cellules (un patient), carcinomateuse à cellules claires (un patient), anaplasique à petites cellules (un patient), en bague à chaton (un patient) et adénocarcinomateuse avec différenciation choriocarcinomateuse (un patient). Quatre cancers étaient d’emblée métastatiques et deux le sont finalement devenus. Six patients ont pu bénéficier d’une chirurgie rectale, précédée d’une chimioradiothérapie pour quatre d’entre eux. Aucune réponse complète n’a été mise en évidence et la résection étaient incomplète pour deux patients. La chimiothérapie concomitante ou de première ligne était toujours adaptée aux sous-types histologiques. Les durées médianes de survie sans progression et de la survie globale étaient respectivement 3,8 mois et 10,1 mois. Deux patients étaient en vie, à 22 et 54,7 mois du diagnostic. Les autres sont décédés des suites de leur cancer.
Conclusion
Les traitements des cancers rares du rectum ont été adaptés au sous-type histologique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62921
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 17-22[article] Rare histologic types of rectal cancer: A monocentric cases series report = Histologies rares de cancer du rectum : résultats d’une cohorte monocentrique [texte imprimé] / A. Vallard ; P. Diao ; M.-A. Garcia ; et al. . - 2019 . - p. 17-22.
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 17-22
Mots-clés : Cancer Rectum Anatomopathologie Histologie Rare Radiothérapie Résumé : Objectif de l’étude
L’objectif de ce travail était de décrire les modalités de prise en charge et l’évolution des patients atteints de cancer du rectum d’histologie rare.
Matériel et méthodes
Nous avons rétrospectivement étudié les traitements et le devenir de tous les patients atteint d’un cancer du rectum traité dans notre service de radiothérapie.
Résultats
De 2004 à 2015, 744 patients ont été traité pour un cancer du rectum, dont dix avaient un sous-type histologique autre que l’adénocarcinome. L’âge médian de ces patients était de 60,7 ans (de 34,6–80,4 ans). Le sous-type histologique identifié était de nature neuroendocrine (quatre patients), adénosquameuse (un patient), indifférenciée à grandes cellules (un patient), carcinomateuse à cellules claires (un patient), anaplasique à petites cellules (un patient), en bague à chaton (un patient) et adénocarcinomateuse avec différenciation choriocarcinomateuse (un patient). Quatre cancers étaient d’emblée métastatiques et deux le sont finalement devenus. Six patients ont pu bénéficier d’une chirurgie rectale, précédée d’une chimioradiothérapie pour quatre d’entre eux. Aucune réponse complète n’a été mise en évidence et la résection étaient incomplète pour deux patients. La chimiothérapie concomitante ou de première ligne était toujours adaptée aux sous-types histologiques. Les durées médianes de survie sans progression et de la survie globale étaient respectivement 3,8 mois et 10,1 mois. Deux patients étaient en vie, à 22 et 54,7 mois du diagnostic. Les autres sont décédés des suites de leur cancer.
Conclusion
Les traitements des cancers rares du rectum ont été adaptés au sous-type histologique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62921 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Radiation therapy after sentinel lymph node biopsy for early stage breast cancer using a magnetic tracer: Results of a single institutional prospective study of tolerance / L. Bazire in Cancer Radiothérapie, 23/1 (Février 2019)
[article]
Titre : Radiation therapy after sentinel lymph node biopsy for early stage breast cancer using a magnetic tracer: Results of a single institutional prospective study of tolerance Titre original : Tolérance de la radiothérapie après utilisation d’un traceur ferromagnétique pour la détection du ganglion sentinelle chez des patients opérés d’emblée pour un cancer du sein : résultats d’une étude prospective monocentrique Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Bazire ; S. Alran ; S. El Bamrani ; et al. Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 23-27 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Cancer du sein Ganglion sentinelle Radio-isotope Traceur ferromagnétique Radiothérapie Résumé : Objectif de l’étude
Évaluer la faisabilité et la tolérance de la radiothérapie après utilisation d’un traceur ferromagnétique pour la détection du ganglion sentinelle chez des patientes opérées d’emblée pour un cancer du sein.
Matériel et méthodes
Une base de données d’utilisation d’un traceur ferromagnétique a été collectée prospectivement et a identifié 520 cas d’octobre 2013 à décembre 2016 dans notre établissement. Tous les patients ont reçu une injection de traceur ferromagnétique 20minutes avant l’intervention chirurgicale et certains d’entre eux ont également reçu une injection d’isotope. Le site d’injection était périaréolaire. Parmi eux, 288 ont reçu une radiothérapie adjuvante. Dans notre étude, nous avons évalué la tolérance de la radiothérapie postopératoire.
Résultats
. L’âge médian des patients était de 64 ans. La période de suivi médian était de 16 mois (1–42). Une double détection du ganglion sentinelle a été réalisée chez les 30 premiers patients (10,4 %). Le taux d’identification du ganglion sentinelle était de 99,7 % (287/288). Il y avait 34 curages axillaires (dont 58,8 % ont été réalisés en situation peropératoire). La dose totale de radiothérapie était de 50Gy en EQD2 (équivalence 2Gy) (28,5–66). En ce qui concerne la survenue d’une radiodermite, 95,8 % des patients étaient atteints d’une radiodermite de grade 0–2 et 1 % d’une grade 3. Pendant le suivi, 19,4 % des patients ont été atteints d’une fibrose post-thérapeutique de grade 1-2 (dont 92,9 % de grade 1).
Conclusion
Cette large étude a montré que la radiothérapie après utilisation d’un traceur ferromagnétique pour détecter le ganglion sentinelle était faisable, sans augmentation de la toxicité.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62922
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 23-27[article] Radiation therapy after sentinel lymph node biopsy for early stage breast cancer using a magnetic tracer: Results of a single institutional prospective study of tolerance = Tolérance de la radiothérapie après utilisation d’un traceur ferromagnétique pour la détection du ganglion sentinelle chez des patients opérés d’emblée pour un cancer du sein : résultats d’une étude prospective monocentrique [texte imprimé] / L. Bazire ; S. Alran ; S. El Bamrani ; et al. . - 2019 . - p. 23-27.
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 23-27
Mots-clés : Cancer du sein Ganglion sentinelle Radio-isotope Traceur ferromagnétique Radiothérapie Résumé : Objectif de l’étude
Évaluer la faisabilité et la tolérance de la radiothérapie après utilisation d’un traceur ferromagnétique pour la détection du ganglion sentinelle chez des patientes opérées d’emblée pour un cancer du sein.
Matériel et méthodes
Une base de données d’utilisation d’un traceur ferromagnétique a été collectée prospectivement et a identifié 520 cas d’octobre 2013 à décembre 2016 dans notre établissement. Tous les patients ont reçu une injection de traceur ferromagnétique 20minutes avant l’intervention chirurgicale et certains d’entre eux ont également reçu une injection d’isotope. Le site d’injection était périaréolaire. Parmi eux, 288 ont reçu une radiothérapie adjuvante. Dans notre étude, nous avons évalué la tolérance de la radiothérapie postopératoire.
Résultats
. L’âge médian des patients était de 64 ans. La période de suivi médian était de 16 mois (1–42). Une double détection du ganglion sentinelle a été réalisée chez les 30 premiers patients (10,4 %). Le taux d’identification du ganglion sentinelle était de 99,7 % (287/288). Il y avait 34 curages axillaires (dont 58,8 % ont été réalisés en situation peropératoire). La dose totale de radiothérapie était de 50Gy en EQD2 (équivalence 2Gy) (28,5–66). En ce qui concerne la survenue d’une radiodermite, 95,8 % des patients étaient atteints d’une radiodermite de grade 0–2 et 1 % d’une grade 3. Pendant le suivi, 19,4 % des patients ont été atteints d’une fibrose post-thérapeutique de grade 1-2 (dont 92,9 % de grade 1).
Conclusion
Cette large étude a montré que la radiothérapie après utilisation d’un traceur ferromagnétique pour détecter le ganglion sentinelle était faisable, sans augmentation de la toxicité.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62922 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Apports et limites de la réirradiation conformationnelle avec modulation d’intensité des carcinomes nasopharyngés / L. Farhat in Cancer Radiothérapie, 23/1 (Février 2019)
[article]
Titre : Apports et limites de la réirradiation conformationnelle avec modulation d’intensité des carcinomes nasopharyngés Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Farhat ; W. Mnejja ; N. Fourati ; et al. Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 28-33 Langues : Français (fre) Mots-clés : Réirradiation RCMI Nasopharynx Résumé : Objectifs
Nous rapportons dans ce travail, les résultats dosimétriques et carcinologiques de la radiothérapie conformationelle avec modulation d’intensité pour la réirradiation des carcinomes nasopharyngés.
Patients et méthodes
Nous avons repris les dossiers de huit patients qui ont été réirradiés selon une technique conformationnelle avec modulation d’intensité entre janvier 2015 et décembre 2017. Nous avons relevé pour chaque patient : les doses minimale, maximale, moyenne et reçues par 95 % (D95 %), 98 % (D98 %) et 2 % (D2 %) du volume à irradier, les indices d’homogénéité et de conformité et les contraintes de dose au niveau des organes à risque.
Résultats
La couverture du volume cible était satisfaisante avec une médiane de D95 % supérieure à 57Gy (soit 95 % de la dose prescrite). La médiane de dose maximale reçue par la moelle épinière et le tronc cérébral étaient respectivement de 8,2Gy et 18,25Gy. Avec un recul médian de 14,5 mois [1–29 mois], cinq patients étaient en situation de rémission complète de leur maladie. Le taux de survie globale à 2 ans était de 66,7 %. Une majoration de la toxicité tardive préexistante après la première irradiation (devenue de grade 2 ou plus) a été retrouvée chez quatre patients (50 % des cas).
Conclusion
La radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité constitue une technique séduisante en cas de réirradiation du nasopharynx. Elle permet une meilleure conformité de la dose dans le volume tumoral à irradier et une réduction des doses au niveau des organes critiques déjà irradiés, ce qui offre un bon taux de contrôle de la maladie avec moins de toxicité tardive sévère.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62923
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 28-33[article] Apports et limites de la réirradiation conformationnelle avec modulation d’intensité des carcinomes nasopharyngés [texte imprimé] / L. Farhat ; W. Mnejja ; N. Fourati ; et al. . - 2019 . - p. 28-33.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 28-33
Mots-clés : Réirradiation RCMI Nasopharynx Résumé : Objectifs
Nous rapportons dans ce travail, les résultats dosimétriques et carcinologiques de la radiothérapie conformationelle avec modulation d’intensité pour la réirradiation des carcinomes nasopharyngés.
Patients et méthodes
Nous avons repris les dossiers de huit patients qui ont été réirradiés selon une technique conformationnelle avec modulation d’intensité entre janvier 2015 et décembre 2017. Nous avons relevé pour chaque patient : les doses minimale, maximale, moyenne et reçues par 95 % (D95 %), 98 % (D98 %) et 2 % (D2 %) du volume à irradier, les indices d’homogénéité et de conformité et les contraintes de dose au niveau des organes à risque.
Résultats
La couverture du volume cible était satisfaisante avec une médiane de D95 % supérieure à 57Gy (soit 95 % de la dose prescrite). La médiane de dose maximale reçue par la moelle épinière et le tronc cérébral étaient respectivement de 8,2Gy et 18,25Gy. Avec un recul médian de 14,5 mois [1–29 mois], cinq patients étaient en situation de rémission complète de leur maladie. Le taux de survie globale à 2 ans était de 66,7 %. Une majoration de la toxicité tardive préexistante après la première irradiation (devenue de grade 2 ou plus) a été retrouvée chez quatre patients (50 % des cas).
Conclusion
La radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité constitue une technique séduisante en cas de réirradiation du nasopharynx. Elle permet une meilleure conformité de la dose dans le volume tumoral à irradier et une réduction des doses au niveau des organes critiques déjà irradiés, ce qui offre un bon taux de contrôle de la maladie avec moins de toxicité tardive sévère.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62923 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Fonction thyroïdienne après une radiothérapie adjuvante hypofractionnée pour un cancer du sein localisé / Z. Dahbi in Cancer Radiothérapie, 23/1 (Février 2019)
[article]
Titre : Fonction thyroïdienne après une radiothérapie adjuvante hypofractionnée pour un cancer du sein localisé Type de document : texte imprimé Auteurs : Z. Dahbi ; A. Sbai ; L. Mezouar Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 34-37 Langues : Français (fre) Mots-clés : Radiothérapie hypofractionnée Cancer du sein Fonction thyroïdienne Résumé : Objectifs
Nous avons évalué la toxicité thyroïdienne liée à la radiothérapie adjuvante hypofractionnée d’un cancer du sein localisé.
Matériel et méthode
Il s’agit d’une étude prospective, qui a inclus 50 patientes, irradiées en situation adjuvante pour un cancer du sein, dont seulement la moitié a bénéficié d’une radiothérapie sur la région sus-claviculaire, à une dose de 42Gy, en 15 fractions et cinq séances par semaine. L’analyse a porté sur des données cliniques, dosimétriques et biologiques recueillies grâce à un dosage périodique des hormones thyroïdiennes.
Résultats
Une hypothyroïdie a été observée chez 4 % des patientes irradiées dans la région sus-claviculaire. L’analyse factorielle a montré une association significative entre le volume thyroïdien initial, les volumes recevant 50Gy, 40Gy et 30Gy et l’incidence de l’hypothyroïdie ; il n’a pas été trouvé de lien statistique entre la bilatéralité du cancer du sein, la chimiothérapie, l’hormonothérapie et le type de chirurgie et l’incidence de l’hypothyroïdie radio-induite.
Conclusion
Bien que théoriquement l’hypofractionnement expose plus la glande thyroïdienne à des complications tardives de radiothérapie, les dysthyroïdies radio-induites demeurent une complication sous-estimée par les cliniciens, et en absence de référentiels de prévention et de traitement, il convient de délinéer systématiquement la glande thyroïdienne, d’essayer de minimiser autant que possible les doses reçues à son niveau, et de surveiller la fonction thyroïdienne par des dosages sériques périodiques.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62924
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 34-37[article] Fonction thyroïdienne après une radiothérapie adjuvante hypofractionnée pour un cancer du sein localisé [texte imprimé] / Z. Dahbi ; A. Sbai ; L. Mezouar . - 2019 . - p. 34-37.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 34-37
Mots-clés : Radiothérapie hypofractionnée Cancer du sein Fonction thyroïdienne Résumé : Objectifs
Nous avons évalué la toxicité thyroïdienne liée à la radiothérapie adjuvante hypofractionnée d’un cancer du sein localisé.
Matériel et méthode
Il s’agit d’une étude prospective, qui a inclus 50 patientes, irradiées en situation adjuvante pour un cancer du sein, dont seulement la moitié a bénéficié d’une radiothérapie sur la région sus-claviculaire, à une dose de 42Gy, en 15 fractions et cinq séances par semaine. L’analyse a porté sur des données cliniques, dosimétriques et biologiques recueillies grâce à un dosage périodique des hormones thyroïdiennes.
Résultats
Une hypothyroïdie a été observée chez 4 % des patientes irradiées dans la région sus-claviculaire. L’analyse factorielle a montré une association significative entre le volume thyroïdien initial, les volumes recevant 50Gy, 40Gy et 30Gy et l’incidence de l’hypothyroïdie ; il n’a pas été trouvé de lien statistique entre la bilatéralité du cancer du sein, la chimiothérapie, l’hormonothérapie et le type de chirurgie et l’incidence de l’hypothyroïdie radio-induite.
Conclusion
Bien que théoriquement l’hypofractionnement expose plus la glande thyroïdienne à des complications tardives de radiothérapie, les dysthyroïdies radio-induites demeurent une complication sous-estimée par les cliniciens, et en absence de référentiels de prévention et de traitement, il convient de délinéer systématiquement la glande thyroïdienne, d’essayer de minimiser autant que possible les doses reçues à son niveau, et de surveiller la fonction thyroïdienne par des dosages sériques périodiques.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62924 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Caractérisation des rechutes locorégionales chez des patientes atteintes d’un cancer du sein traité par irradiation pariétale par électrons : expérience monocentrique de l’institut Curie / G. Loganadane in Cancer Radiothérapie, 23/1 (Février 2019)
[article]
Titre : Caractérisation des rechutes locorégionales chez des patientes atteintes d’un cancer du sein traité par irradiation pariétale par électrons : expérience monocentrique de l’institut Curie Type de document : texte imprimé Auteurs : G. Loganadane ; Z. Xi ; N. Fournier-Bidoz ; et al. Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 38-45 Langues : Français (fre) Mots-clés : Irradiation adjuvante pariétale Électrons Mastectomie Récidive locorégionale Résumé : Objectif
L’objectif de cette étude était d’évaluer le contrôle locorégional et établir la cartographie des rechutes locorégionales chez les femmes atteintes d'un cancer du sein, irradiées après mastectomie par une technique conformationnelle par un faisceau direct d’électrons.
Matériel et méthodes
Nous avons inclus toutes les femmes atteintes d’un cancer du sein non métastatique irradiées au niveau de la paroi par un faisceau direct d’électrons entre 2007 et 2011 dans notre département. Toutes les patientes qui ont été atteintes d’une récidive locorégionale ont fait l’objet de cette étude. Une cartographie précise des sites de rechutes a été réalisée et a été confrontée aux volumes cibles anatomocliniques des atlas de délinéation proposés par l’European Society for Radiotherapy and Oncology (ESTRO) et le Radiation Therapy Oncology Group (RTOG).
Résultats
Avec un suivi médian de 64 mois (extrêmes : 6–102 mois), les probabilités de survie sans récidive locorégionale et de survie globale à 5 ans étaient respectivement de 90 % (intervalle de confiance à 95 % [IC 95 %] : 88,1–92,4) et 90,9 % (IC 95 % : 88,9–93). Parmi les 796 patientes incluses dans l’étude, 23 patientes étaient atteintes d’une rechute locorégionale (soit 2,9 %), parmi elles juste 13 récidives locales. La majorité des tumeurs présentaient des critères d’agressivité biologique avec pour 17 d’entre elles (soit 74 %) un grade III histopronostique d’Ellston-Ellis, pour 16 un indice mitotique élevé (soit 70 %) et pour 12 une forme triple négative (soit 52 %). Une invasion lymphovasculaire a été observée chez 11 patientes (soit 48 %). Dans 14 cas, la rechute locorégionale était accompagnée de métastases à distance synchrones, tandis que quatre cas de métastases métachrones ont été rapportés. Les rechutes locales (pariétales) se sont produites chez 13 patients, avec 12 dans les volumes cibles initiaux et des volumes et doses adéquats. Les rechutes régionales (ganglionnaires) sont survenues chez 13 patientes avec 15 adénopathies identifiées. Quatre récidives ganglionnaires sont survenues en dehors du volume cible anatomoclinique de l’ESTRO et deux sont survenues en dehors du volume cible anatomoclinique de l’ESTRO et du RTOG.
Conclusion
Dans notre série, les rechutes locales étaient probablement liées à une radiorésistance tandis que les rechutes régionales résultaient d’un problème de couverture des volumes cibles. Un certain nombre de récidives ganglionnaires pourraient survenir en dehors des volumes cibles définis par l’ESTRO ou le RTOG.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62925
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 38-45[article] Caractérisation des rechutes locorégionales chez des patientes atteintes d’un cancer du sein traité par irradiation pariétale par électrons : expérience monocentrique de l’institut Curie [texte imprimé] / G. Loganadane ; Z. Xi ; N. Fournier-Bidoz ; et al. . - 2019 . - p. 38-45.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 38-45
Mots-clés : Irradiation adjuvante pariétale Électrons Mastectomie Récidive locorégionale Résumé : Objectif
L’objectif de cette étude était d’évaluer le contrôle locorégional et établir la cartographie des rechutes locorégionales chez les femmes atteintes d'un cancer du sein, irradiées après mastectomie par une technique conformationnelle par un faisceau direct d’électrons.
Matériel et méthodes
Nous avons inclus toutes les femmes atteintes d’un cancer du sein non métastatique irradiées au niveau de la paroi par un faisceau direct d’électrons entre 2007 et 2011 dans notre département. Toutes les patientes qui ont été atteintes d’une récidive locorégionale ont fait l’objet de cette étude. Une cartographie précise des sites de rechutes a été réalisée et a été confrontée aux volumes cibles anatomocliniques des atlas de délinéation proposés par l’European Society for Radiotherapy and Oncology (ESTRO) et le Radiation Therapy Oncology Group (RTOG).
Résultats
Avec un suivi médian de 64 mois (extrêmes : 6–102 mois), les probabilités de survie sans récidive locorégionale et de survie globale à 5 ans étaient respectivement de 90 % (intervalle de confiance à 95 % [IC 95 %] : 88,1–92,4) et 90,9 % (IC 95 % : 88,9–93). Parmi les 796 patientes incluses dans l’étude, 23 patientes étaient atteintes d’une rechute locorégionale (soit 2,9 %), parmi elles juste 13 récidives locales. La majorité des tumeurs présentaient des critères d’agressivité biologique avec pour 17 d’entre elles (soit 74 %) un grade III histopronostique d’Ellston-Ellis, pour 16 un indice mitotique élevé (soit 70 %) et pour 12 une forme triple négative (soit 52 %). Une invasion lymphovasculaire a été observée chez 11 patientes (soit 48 %). Dans 14 cas, la rechute locorégionale était accompagnée de métastases à distance synchrones, tandis que quatre cas de métastases métachrones ont été rapportés. Les rechutes locales (pariétales) se sont produites chez 13 patients, avec 12 dans les volumes cibles initiaux et des volumes et doses adéquats. Les rechutes régionales (ganglionnaires) sont survenues chez 13 patientes avec 15 adénopathies identifiées. Quatre récidives ganglionnaires sont survenues en dehors du volume cible anatomoclinique de l’ESTRO et deux sont survenues en dehors du volume cible anatomoclinique de l’ESTRO et du RTOG.
Conclusion
Dans notre série, les rechutes locales étaient probablement liées à une radiorésistance tandis que les rechutes régionales résultaient d’un problème de couverture des volumes cibles. Un certain nombre de récidives ganglionnaires pourraient survenir en dehors des volumes cibles définis par l’ESTRO ou le RTOG.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62925 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Multidisciplinary treatment approach for primary thyroid spindle cell sarcoma: A case report / F. Navarria in Cancer Radiothérapie, 23/1 (Février 2019)
[article]
Titre : Multidisciplinary treatment approach for primary thyroid spindle cell sarcoma: A case report Titre original : Approche multidisciplinaire de la prise en charge du sarcome à cellules fusiformes thyroïdiennes primaires : à propos d’un cas Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Navarria ; M. Gigante ; M. Mascarin ; et al. Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 46-49 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Sarcome thyroïdien Chimiothérapie Radiothérapie Peropératoire Résumé : Une femme de 25 ans atteinte d’un sarcome de haut grade à cellules fusiformes de la thyroïde persistant après une thyroïdectomie effectuée dans un autre hôpital a été référée à notre institut. Une chimiothérapie suivie d’une intervention chirurgicale et d’une radiothérapie peropératoire et une radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité ont été planifiées par le club des sarcomes. La chimiothérapie a été arrêtée après deux cycles en raison de l’extension locale de la maladie, puis la chirurgie et la radiothérapie peropératoire ont été anticipées. Le traitement a été complété par la radiothérapie postopératoire. Après 36 mois sans traitement la patiente était guérie sans séquelle tardive significative. Les sarcomes thyroïdiens sont très rares et il n’y a pas de consensus sur leur prise en charge clinique. Par conséquent, les études de cas sont utiles pour partager les options de traitement. Dans ce cas clinique, le type histologique et le haut grade ont nécessité un programme thérapeutique multidisciplinaire. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62926
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 46-49[article] Multidisciplinary treatment approach for primary thyroid spindle cell sarcoma: A case report = Approche multidisciplinaire de la prise en charge du sarcome à cellules fusiformes thyroïdiennes primaires : à propos d’un cas [texte imprimé] / F. Navarria ; M. Gigante ; M. Mascarin ; et al. . - 2019 . - p. 46-49.
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 46-49
Mots-clés : Sarcome thyroïdien Chimiothérapie Radiothérapie Peropératoire Résumé : Une femme de 25 ans atteinte d’un sarcome de haut grade à cellules fusiformes de la thyroïde persistant après une thyroïdectomie effectuée dans un autre hôpital a été référée à notre institut. Une chimiothérapie suivie d’une intervention chirurgicale et d’une radiothérapie peropératoire et une radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité ont été planifiées par le club des sarcomes. La chimiothérapie a été arrêtée après deux cycles en raison de l’extension locale de la maladie, puis la chirurgie et la radiothérapie peropératoire ont été anticipées. Le traitement a été complété par la radiothérapie postopératoire. Après 36 mois sans traitement la patiente était guérie sans séquelle tardive significative. Les sarcomes thyroïdiens sont très rares et il n’y a pas de consensus sur leur prise en charge clinique. Par conséquent, les études de cas sont utiles pour partager les options de traitement. Dans ce cas clinique, le type histologique et le haut grade ont nécessité un programme thérapeutique multidisciplinaire. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62926 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Mise en place d’une politique de qualité et de sécurité lors de l’installation d’un nouvel équipement dans un service de radiothérapie / C. Martin in Cancer Radiothérapie, 23/1 (Février 2019)
[article]
Titre : Mise en place d’une politique de qualité et de sécurité lors de l’installation d’un nouvel équipement dans un service de radiothérapie Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Martin ; R. Jumeau ; E. Blais ; et al. Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 50-57 Langues : Français (fre) Mots-clés : Radiothérapie par modulation d’intensité Arc-thérapie volumétrique modulée Stéréotaxie Accélérateurs linéaires Culture de qualité et sûreté Analyse a posteriori des risques Analyse des risques Formations Résumé : Les techniques modernes de radiothérapie (radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité [RCMI], arcthérapie volumétrique modulée, radiothérapie guidée par l’imagerie) ou la radiothérapie stéréotaxique se démocratisent dans la plupart des centres de radiothérapie en France. L’arrivée de ces nouvelles techniques passe par la mise à jour des systèmes de radiothérapie déjà en place ou par l’installation de nouveaux appareils avec des options adaptées. Avec l’arrivée de ces nouveaux appareils il devient nécessaire de développer une politique de qualité et de sûreté au sein des départements de radiothérapie. Cette politique permet de faciliter la mise en place de nouveaux appareils de l’installation du matériel jusqu’au premier patient traité. La politique de qualité et de sûreté se poursuit ensuite pour maintenir un contrôle de la qualité permanent et continu du nouvel appareil. Dans cet article, nous avons donc fait une revue de la littérature sur la politique de qualité et de sûreté dans le cadre légal français qui peut être proposée lors de l’arrivée d’un nouvel appareil de radiothérapie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62927
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 50-57[article] Mise en place d’une politique de qualité et de sécurité lors de l’installation d’un nouvel équipement dans un service de radiothérapie [texte imprimé] / C. Martin ; R. Jumeau ; E. Blais ; et al. . - 2019 . - p. 50-57.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 50-57
Mots-clés : Radiothérapie par modulation d’intensité Arc-thérapie volumétrique modulée Stéréotaxie Accélérateurs linéaires Culture de qualité et sûreté Analyse a posteriori des risques Analyse des risques Formations Résumé : Les techniques modernes de radiothérapie (radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité [RCMI], arcthérapie volumétrique modulée, radiothérapie guidée par l’imagerie) ou la radiothérapie stéréotaxique se démocratisent dans la plupart des centres de radiothérapie en France. L’arrivée de ces nouvelles techniques passe par la mise à jour des systèmes de radiothérapie déjà en place ou par l’installation de nouveaux appareils avec des options adaptées. Avec l’arrivée de ces nouveaux appareils il devient nécessaire de développer une politique de qualité et de sûreté au sein des départements de radiothérapie. Cette politique permet de faciliter la mise en place de nouveaux appareils de l’installation du matériel jusqu’au premier patient traité. La politique de qualité et de sûreté se poursuit ensuite pour maintenir un contrôle de la qualité permanent et continu du nouvel appareil. Dans cet article, nous avons donc fait une revue de la littérature sur la politique de qualité et de sûreté dans le cadre légal français qui peut être proposée lors de l’arrivée d’un nouvel appareil de radiothérapie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62927 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Quelle énergie de photons pour la modulation d’intensité et l’arcthérapie volumétrique en 2019 ? / Jean-Marc Cosset in Cancer Radiothérapie, 23/1 (Février 2019)
[article]
Titre : Quelle énergie de photons pour la modulation d’intensité et l’arcthérapie volumétrique en 2019 ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Marc Cosset ; M. Nassef ; R. Saïdi ; et al. Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 58-61 Langues : Français (fre) Mots-clés : Énergie Photons Modulation d’intensité Arcthérapie volumétrique modulée Dose intégrale Résumé : Depuis plus d’une dizaine d’années, la plupart des centres de radiothérapie ont utilisé pour la modulation d’intensité, puis pour l’arcthérapie volumétrique modulée, une énergie de photons de 6 MV. Ce qui était devenu une sorte de dogme se basait d’une part sur l’absence d’avantages significatifs à utiliser des hautes énergies (15 à 18 MV, voire plus) en termes de distribution des « fortes doses » délivrées au volume cible prévisionnel et aux organes à risque adjacents, et d’autre part sur la composante neutronique dès que l’énergie des photons dépassait 10 MV. Des données récentes ont amené à moduler quelque peu ce « dogme » de l’utilisation des photons de 6 MV pour ces techniques de radiothérapie. Tout d’abord, nous devons en 2019 prendre impérativement en compte les doses en dehors du volume traité, et donc évaluer au mieux la « dose intégrale ». De fait, cette dose intégrale est systématiquement plus élevée avec les photons de 6 MV qu’avec les plus hautes énergies. Par ailleurs, plusieurs études récentes vont dans le sens d’une surestimation, par le passé, de la composante neutronique liée aux hautes énergies. La dose neutron paraît de fait inférieure, et parfois très inférieure, à la dose que nous acceptons pour l’imagerie. Enfin, quelques études de cohortes ne montrent pas d’augmentation du risque de cancers secondaires avec les photons de hautes énergies. Dans ce contexte, le travail d’un « task group » de l’American Association of Physicists in Medicine (AAPM; TG 158), publié fin 2017, a reconnu clairement qu’un compromis devait être trouvé entre les hautes énergies génératrices de neutrons, et les basses énergies responsables d’une dose intégrale plus élevée. Pour l’AAPM, l’énergie optimale pourrait être une valeur intermédiaire telle que 10 MV. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62928
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 58-61[article] Quelle énergie de photons pour la modulation d’intensité et l’arcthérapie volumétrique en 2019 ? [texte imprimé] / Jean-Marc Cosset ; M. Nassef ; R. Saïdi ; et al. . - 2019 . - p. 58-61.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 58-61
Mots-clés : Énergie Photons Modulation d’intensité Arcthérapie volumétrique modulée Dose intégrale Résumé : Depuis plus d’une dizaine d’années, la plupart des centres de radiothérapie ont utilisé pour la modulation d’intensité, puis pour l’arcthérapie volumétrique modulée, une énergie de photons de 6 MV. Ce qui était devenu une sorte de dogme se basait d’une part sur l’absence d’avantages significatifs à utiliser des hautes énergies (15 à 18 MV, voire plus) en termes de distribution des « fortes doses » délivrées au volume cible prévisionnel et aux organes à risque adjacents, et d’autre part sur la composante neutronique dès que l’énergie des photons dépassait 10 MV. Des données récentes ont amené à moduler quelque peu ce « dogme » de l’utilisation des photons de 6 MV pour ces techniques de radiothérapie. Tout d’abord, nous devons en 2019 prendre impérativement en compte les doses en dehors du volume traité, et donc évaluer au mieux la « dose intégrale ». De fait, cette dose intégrale est systématiquement plus élevée avec les photons de 6 MV qu’avec les plus hautes énergies. Par ailleurs, plusieurs études récentes vont dans le sens d’une surestimation, par le passé, de la composante neutronique liée aux hautes énergies. La dose neutron paraît de fait inférieure, et parfois très inférieure, à la dose que nous acceptons pour l’imagerie. Enfin, quelques études de cohortes ne montrent pas d’augmentation du risque de cancers secondaires avec les photons de hautes énergies. Dans ce contexte, le travail d’un « task group » de l’American Association of Physicists in Medicine (AAPM; TG 158), publié fin 2017, a reconnu clairement qu’un compromis devait être trouvé entre les hautes énergies génératrices de neutrons, et les basses énergies responsables d’une dose intégrale plus élevée. Pour l’AAPM, l’énergie optimale pourrait être une valeur intermédiaire telle que 10 MV. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62928 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Chimioradiothérapie des cancers de l’œsophage : revue critique de la littérature / E. Blais in Cancer Radiothérapie, 23/1 (Février 2019)
[article]
Titre : Chimioradiothérapie des cancers de l’œsophage : revue critique de la littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Blais ; V. Vendrely ; P. Sargos ; et al. Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 62-72 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cancer de l’œsophage Traitement néoadjuvant Radiothérapie Chimioradiothérapie Radiochimiothérapie Chimiothérapie Résumé : Les cancers de l’œsophage localement évolués relèvent d’une prise en charge pluridisciplinaire où la chimioradiothérapie occupe une place essentielle. La chimioradiothérapie néoadjuvante permet d’améliorer les taux de contrôle locorégional et de survie globale des cancers de l’œsophage localement évolués opérés. La chimioradiothérapie exclusive a également une place pour les lésions non résécables et/ou pour les patients non opérables et est considérée comme une alternative à la chirurgie dans la prise en charge initiale des carcinomes épidermoïdes de l’œsophage localement évolués. La chimiothérapie associée consiste en une combinaison de sels de platine (cisplatine ou oxaliplatine) et de 5-fluoro-uracile le plus souvent, ou de carboplatine et de paclitaxel hebdomadaire selon le protocole CROSS en situation néoadjuvante. Les doses varient de 41,4Gy (protocole CROSS) à 45Gy en situation néoadjuvante. En traitement exclusif, une dose de 50 à 50,4Gy est préconisée selon les recommandations françaises et américaines. Les volumes cibles tiennent compte des particularités anatomiques de l’œsophage et de son drainage lymphatique. Ainsi, une irradiation ganglionnaire prophylactique intéresse classiquement les aires ganglionnaires présentant un risque d’envahissement de plus de 15 % à 20 %. L’utilisation de la radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité représente une approche prometteuse susceptible de diminuer la toxicité dans les organes à risque adjacents. Cet article décrit, à partir d’une revue critique de la littérature, la place de la chimioradiothérapie dans la stratégie thérapeutique, les volumes anatomiques d’intérêt, les doses de prescription, les contraintes de doses dans les organes à risque et les techniques de radiothérapie adaptées. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62929
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 62-72[article] Chimioradiothérapie des cancers de l’œsophage : revue critique de la littérature [texte imprimé] / E. Blais ; V. Vendrely ; P. Sargos ; et al. . - 2019 . - p. 62-72.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 62-72
Mots-clés : Cancer de l’œsophage Traitement néoadjuvant Radiothérapie Chimioradiothérapie Radiochimiothérapie Chimiothérapie Résumé : Les cancers de l’œsophage localement évolués relèvent d’une prise en charge pluridisciplinaire où la chimioradiothérapie occupe une place essentielle. La chimioradiothérapie néoadjuvante permet d’améliorer les taux de contrôle locorégional et de survie globale des cancers de l’œsophage localement évolués opérés. La chimioradiothérapie exclusive a également une place pour les lésions non résécables et/ou pour les patients non opérables et est considérée comme une alternative à la chirurgie dans la prise en charge initiale des carcinomes épidermoïdes de l’œsophage localement évolués. La chimiothérapie associée consiste en une combinaison de sels de platine (cisplatine ou oxaliplatine) et de 5-fluoro-uracile le plus souvent, ou de carboplatine et de paclitaxel hebdomadaire selon le protocole CROSS en situation néoadjuvante. Les doses varient de 41,4Gy (protocole CROSS) à 45Gy en situation néoadjuvante. En traitement exclusif, une dose de 50 à 50,4Gy est préconisée selon les recommandations françaises et américaines. Les volumes cibles tiennent compte des particularités anatomiques de l’œsophage et de son drainage lymphatique. Ainsi, une irradiation ganglionnaire prophylactique intéresse classiquement les aires ganglionnaires présentant un risque d’envahissement de plus de 15 % à 20 %. L’utilisation de la radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité représente une approche prometteuse susceptible de diminuer la toxicité dans les organes à risque adjacents. Cet article décrit, à partir d’une revue critique de la littérature, la place de la chimioradiothérapie dans la stratégie thérapeutique, les volumes anatomiques d’intérêt, les doses de prescription, les contraintes de doses dans les organes à risque et les techniques de radiothérapie adaptées. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62929 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Mise en place d’une politique de qualité et de sécurité lors de l’installation d’un nouvel équipement dans un service de radiothérapie / C. Martin in Cancer Radiothérapie, 23/1 (Février 2019)
[article]
Titre : Mise en place d’une politique de qualité et de sécurité lors de l’installation d’un nouvel équipement dans un service de radiothérapie Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Martin ; R. Jumeau ; E. Blais ; et al. Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 75-76 Langues : Français (fre) Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62930
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 75-76[article] Mise en place d’une politique de qualité et de sécurité lors de l’installation d’un nouvel équipement dans un service de radiothérapie [texte imprimé] / C. Martin ; R. Jumeau ; E. Blais ; et al. . - 2019 . - p. 75-76.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 75-76
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62930 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Quelle énergie de photons pour la modulation d’intensité et l’arcthérapie volumétrique en 2019 ? / Jean-Marc Cosset in Cancer Radiothérapie, 23/1 (Février 2019)
[article]
Titre : Quelle énergie de photons pour la modulation d’intensité et l’arcthérapie volumétrique en 2019 ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Marc Cosset ; M. Nassef ; R. Saïdi ; et al. Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 77 Langues : Français (fre) Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62931
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 77[article] Quelle énergie de photons pour la modulation d’intensité et l’arcthérapie volumétrique en 2019 ? [texte imprimé] / Jean-Marc Cosset ; M. Nassef ; R. Saïdi ; et al. . - 2019 . - p. 77.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 77
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62931 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Chimioradiothérapie des cancers de l’œsophage : revue critique de la littérature / E. Blais in Cancer Radiothérapie, 23/1 (Février 2019)
[article]
Titre : Chimioradiothérapie des cancers de l’œsophage : revue critique de la littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Blais ; V. Vendrely ; P. Sargos ; et al. Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 78-79 Langues : Français (fre) Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62932
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 78-79[article] Chimioradiothérapie des cancers de l’œsophage : revue critique de la littérature [texte imprimé] / E. Blais ; V. Vendrely ; P. Sargos ; et al. . - 2019 . - p. 78-79.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 78-79
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62932 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt