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3 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Radiothérapie hypofractionnée'
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Fonction thyroïdienne après une radiothérapie adjuvante hypofractionnée pour un cancer du sein localisé / Z. Dahbi in Cancer Radiothérapie, 23/1 (Février 2019)
[article]
Titre : Fonction thyroïdienne après une radiothérapie adjuvante hypofractionnée pour un cancer du sein localisé Type de document : texte imprimé Auteurs : Z. Dahbi ; A. Sbai ; L. Mezouar Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 34-37 Langues : Français (fre) Mots-clés : Radiothérapie hypofractionnée Cancer du sein Fonction thyroïdienne Résumé : Objectifs
Nous avons évalué la toxicité thyroïdienne liée à la radiothérapie adjuvante hypofractionnée d’un cancer du sein localisé.
Matériel et méthode
Il s’agit d’une étude prospective, qui a inclus 50 patientes, irradiées en situation adjuvante pour un cancer du sein, dont seulement la moitié a bénéficié d’une radiothérapie sur la région sus-claviculaire, à une dose de 42Gy, en 15 fractions et cinq séances par semaine. L’analyse a porté sur des données cliniques, dosimétriques et biologiques recueillies grâce à un dosage périodique des hormones thyroïdiennes.
Résultats
Une hypothyroïdie a été observée chez 4 % des patientes irradiées dans la région sus-claviculaire. L’analyse factorielle a montré une association significative entre le volume thyroïdien initial, les volumes recevant 50Gy, 40Gy et 30Gy et l’incidence de l’hypothyroïdie ; il n’a pas été trouvé de lien statistique entre la bilatéralité du cancer du sein, la chimiothérapie, l’hormonothérapie et le type de chirurgie et l’incidence de l’hypothyroïdie radio-induite.
Conclusion
Bien que théoriquement l’hypofractionnement expose plus la glande thyroïdienne à des complications tardives de radiothérapie, les dysthyroïdies radio-induites demeurent une complication sous-estimée par les cliniciens, et en absence de référentiels de prévention et de traitement, il convient de délinéer systématiquement la glande thyroïdienne, d’essayer de minimiser autant que possible les doses reçues à son niveau, et de surveiller la fonction thyroïdienne par des dosages sériques périodiques.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62924
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 34-37[article] Fonction thyroïdienne après une radiothérapie adjuvante hypofractionnée pour un cancer du sein localisé [texte imprimé] / Z. Dahbi ; A. Sbai ; L. Mezouar . - 2019 . - p. 34-37.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 34-37
Mots-clés : Radiothérapie hypofractionnée Cancer du sein Fonction thyroïdienne Résumé : Objectifs
Nous avons évalué la toxicité thyroïdienne liée à la radiothérapie adjuvante hypofractionnée d’un cancer du sein localisé.
Matériel et méthode
Il s’agit d’une étude prospective, qui a inclus 50 patientes, irradiées en situation adjuvante pour un cancer du sein, dont seulement la moitié a bénéficié d’une radiothérapie sur la région sus-claviculaire, à une dose de 42Gy, en 15 fractions et cinq séances par semaine. L’analyse a porté sur des données cliniques, dosimétriques et biologiques recueillies grâce à un dosage périodique des hormones thyroïdiennes.
Résultats
Une hypothyroïdie a été observée chez 4 % des patientes irradiées dans la région sus-claviculaire. L’analyse factorielle a montré une association significative entre le volume thyroïdien initial, les volumes recevant 50Gy, 40Gy et 30Gy et l’incidence de l’hypothyroïdie ; il n’a pas été trouvé de lien statistique entre la bilatéralité du cancer du sein, la chimiothérapie, l’hormonothérapie et le type de chirurgie et l’incidence de l’hypothyroïdie radio-induite.
Conclusion
Bien que théoriquement l’hypofractionnement expose plus la glande thyroïdienne à des complications tardives de radiothérapie, les dysthyroïdies radio-induites demeurent une complication sous-estimée par les cliniciens, et en absence de référentiels de prévention et de traitement, il convient de délinéer systématiquement la glande thyroïdienne, d’essayer de minimiser autant que possible les doses reçues à son niveau, et de surveiller la fonction thyroïdienne par des dosages sériques périodiques.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62924 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt The efficacy of hypofractionated radiotherapy (HFRT) with concurrent and adjuvant temozolomide in newly diagnosed glioblastoma: A meta-analysis / Longbin Guo in Cancer Radiothérapie, 25/2 (Avril 2021)
[article]
Titre : The efficacy of hypofractionated radiotherapy (HFRT) with concurrent and adjuvant temozolomide in newly diagnosed glioblastoma: A meta-analysis Titre original : L’efficacité de la radiothérapie hypofractionnée avec le témozolomide concomitant et adjuvant dans le glioblastome nouvellement diagnostiqué : une méta-analyse Type de document : texte imprimé Auteurs : Longbin Guo Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 182-190 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.08.049 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Radiothérapie hypofractionnée Glioblastome Survie Méta-analyse Résumé : Sommaire :
Objectif de l’étude
L’efficacité de la radiothérapie hypofractionnée dans le glioblastome sans limite d’âge reste incertaine. L’objectif de cette méta-analyse était d’accéder aux résultats de survie chez ces patients.
Méthodes
Une recherche documentaire électronique complète sur PubMed, Web of Science et Cochrane Library, a été menée jusqu’au 1er juin 2020. Les principales données d’évaluation étaient le taux de survie globale à 12 et 24 mois et ceux de survie sans progression à 6 et 12 mois. Les données d’évaluation secondaires étaient l’incidence de la radionécrose et des événements indésirables. L’étude a été réalisée à l’aide du R « meta » package.
Résultats
Onze études répondaient aux critères d’inclusion, qui incluaient au total 484 participants. Les taux de survie globale à 12 mois et à 24 mois étaient de 71,3 % et 34,8 %, ceux de survie sans progression à 6 mois et à 12 mois de 74,0 % et 40,8 %. Par rapport aux programmes à faible BED (Biology Effective Dose) (<78Gy), les fortes BED peuvent augmenter le taux de survie sans progression à 6 (p=0,003) et 12 mois (p=0,011), mais pas celui de survie globale. Différentes doses par fraction n’ont eu aucun effet significatif à la fois sur la survie globale et la survie sans progression. L’incidence de la radionécrose était de 14,2 %. Bien que l’incidence globale des effets indésirables ne puisse être quantifiée, la toxicité de la radiothérapie hypofractionnée était acceptable.
Conclusions
Comparée aux données de survie pour le traitement standard, la radiothérapie hypofractionnée semble améliorer les taux de survie globale et de survie sans progression, tandis que les BED élevés peuvent augmenter celui de survie sans progression. La toxicité de la radiothérapie hypofractionnée est tolérable. D’autres études cliniques contrôlées randomisées sont nécessaires pour confirmer ces résultats.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71495
in Cancer Radiothérapie > 25/2 (Avril 2021) . - p. 182-190[article] The efficacy of hypofractionated radiotherapy (HFRT) with concurrent and adjuvant temozolomide in newly diagnosed glioblastoma: A meta-analysis = L’efficacité de la radiothérapie hypofractionnée avec le témozolomide concomitant et adjuvant dans le glioblastome nouvellement diagnostiqué : une méta-analyse [texte imprimé] / Longbin Guo . - 2021 . - p. 182-190.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.08.049
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 25/2 (Avril 2021) . - p. 182-190
Mots-clés : Radiothérapie hypofractionnée Glioblastome Survie Méta-analyse Résumé : Sommaire :
Objectif de l’étude
L’efficacité de la radiothérapie hypofractionnée dans le glioblastome sans limite d’âge reste incertaine. L’objectif de cette méta-analyse était d’accéder aux résultats de survie chez ces patients.
Méthodes
Une recherche documentaire électronique complète sur PubMed, Web of Science et Cochrane Library, a été menée jusqu’au 1er juin 2020. Les principales données d’évaluation étaient le taux de survie globale à 12 et 24 mois et ceux de survie sans progression à 6 et 12 mois. Les données d’évaluation secondaires étaient l’incidence de la radionécrose et des événements indésirables. L’étude a été réalisée à l’aide du R « meta » package.
Résultats
Onze études répondaient aux critères d’inclusion, qui incluaient au total 484 participants. Les taux de survie globale à 12 mois et à 24 mois étaient de 71,3 % et 34,8 %, ceux de survie sans progression à 6 mois et à 12 mois de 74,0 % et 40,8 %. Par rapport aux programmes à faible BED (Biology Effective Dose) (<78Gy), les fortes BED peuvent augmenter le taux de survie sans progression à 6 (p=0,003) et 12 mois (p=0,011), mais pas celui de survie globale. Différentes doses par fraction n’ont eu aucun effet significatif à la fois sur la survie globale et la survie sans progression. L’incidence de la radionécrose était de 14,2 %. Bien que l’incidence globale des effets indésirables ne puisse être quantifiée, la toxicité de la radiothérapie hypofractionnée était acceptable.
Conclusions
Comparée aux données de survie pour le traitement standard, la radiothérapie hypofractionnée semble améliorer les taux de survie globale et de survie sans progression, tandis que les BED élevés peuvent augmenter celui de survie sans progression. La toxicité de la radiothérapie hypofractionnée est tolérable. D’autres études cliniques contrôlées randomisées sont nécessaires pour confirmer ces résultats.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71495 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Hypofractionated radiation therapy for invasive breast cancer: From moderate to extreme protocols / S. Rivera in Cancer Radiothérapie, 23/8 (Décembre 2019)
[article]
Titre : Hypofractionated radiation therapy for invasive breast cancer: From moderate to extreme protocols Titre original : Radiothérapie hypofractionnée des cancers invasifs du sein : du modéré à l'extrême Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Rivera ; J.-M. Hannoun-Lévi Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 874-882 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.09.002 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : SEIN CANCER Radiothérapie hypofractionnée IRRADIATION Résumé : La radiothérapie est le traitement standard après chirurgie conservatrice pour un cancer du sein. L’irradiation normofractionnée est considérée comme un facteur limitant d’adhésion au traitement du fait de son étalement sur cinq à six semaines. Pour réduire cette contrainte des protocoles d’irradiation hypofractionnée modérée, voir extrêmes ont été développés. Cet article a pour objectif d’en faire la synthèse. Après avoir défini l’irradiation hypofractionnée modérée et l’irradiation hypofractionnée extrême sur la base du temps total de traitement (étalement), les critères de sélection des essais ont été listés. Les résultats ont été analysés selon leur niveau de preuve. L’irradiation hypofractionnée modérée s’étale sur trois à quatre semaines alors que l’irradiation hypofractionnée extrême s’étale sur une semaine ou moins. Les volumes traités dans les essais d’irradiation hypofractionnée modérée comportent le sein ou la paroi et/ou les aires ganglionnaires. Il est démontré (niveau de preuve IA) que l’irradiation hypofractionnée modérée est aussi efficace et peu toxique que l’irradiation normofractionnée pour le sein seul. Une étude de phase III randomisée a confirmé que l’irradiation partielle accélérée (par curiethérapie multicathéters) n’est pas inférieure à l’irradiation normofractionnée (par radiothérapie externe) pour le contrôle local avec des effets secondaires aigus et tardifs similaires. L’irradiation partielle accélérée peropératoire reste débattue, mais l’irradiation partielle accélérée sur deux jours ou moins a été évaluée avec des résultats préliminaires prometteurs. L’irradiation partielle accélérée se justifie pour les schémas d’irradiation hypofractionnée extrême et est indiquée chez des patientes sélectionnées atteintes de cancer à faible risque. Les techniques d’irradiation hypofractionnée modérée et extrême sont validées dans les cancers du sein et doivent être proposées aux patientes correspondant aux critères de sélection. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66728
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 874-882[article] Hypofractionated radiation therapy for invasive breast cancer: From moderate to extreme protocols = Radiothérapie hypofractionnée des cancers invasifs du sein : du modéré à l'extrême [texte imprimé] / S. Rivera ; J.-M. Hannoun-Lévi . - 2019 . - p. 874-882.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.09.002
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 874-882
Mots-clés : SEIN CANCER Radiothérapie hypofractionnée IRRADIATION Résumé : La radiothérapie est le traitement standard après chirurgie conservatrice pour un cancer du sein. L’irradiation normofractionnée est considérée comme un facteur limitant d’adhésion au traitement du fait de son étalement sur cinq à six semaines. Pour réduire cette contrainte des protocoles d’irradiation hypofractionnée modérée, voir extrêmes ont été développés. Cet article a pour objectif d’en faire la synthèse. Après avoir défini l’irradiation hypofractionnée modérée et l’irradiation hypofractionnée extrême sur la base du temps total de traitement (étalement), les critères de sélection des essais ont été listés. Les résultats ont été analysés selon leur niveau de preuve. L’irradiation hypofractionnée modérée s’étale sur trois à quatre semaines alors que l’irradiation hypofractionnée extrême s’étale sur une semaine ou moins. Les volumes traités dans les essais d’irradiation hypofractionnée modérée comportent le sein ou la paroi et/ou les aires ganglionnaires. Il est démontré (niveau de preuve IA) que l’irradiation hypofractionnée modérée est aussi efficace et peu toxique que l’irradiation normofractionnée pour le sein seul. Une étude de phase III randomisée a confirmé que l’irradiation partielle accélérée (par curiethérapie multicathéters) n’est pas inférieure à l’irradiation normofractionnée (par radiothérapie externe) pour le contrôle local avec des effets secondaires aigus et tardifs similaires. L’irradiation partielle accélérée peropératoire reste débattue, mais l’irradiation partielle accélérée sur deux jours ou moins a été évaluée avec des résultats préliminaires prometteurs. L’irradiation partielle accélérée se justifie pour les schémas d’irradiation hypofractionnée extrême et est indiquée chez des patientes sélectionnées atteintes de cancer à faible risque. Les techniques d’irradiation hypofractionnée modérée et extrême sont validées dans les cancers du sein et doivent être proposées aux patientes correspondant aux critères de sélection. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66728 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt