Centre de Documentation Gilly
HORAIRE
Lu : 8h00 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Me : 8h00 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Je : 8h00 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Lu : 8h00 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Me : 8h00 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Je : 8h00 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation de Gilly
HELHa - Paramédical.
HELHa - Paramédical.
Détail de l'auteur
Auteur W. Mnejja |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
Apports et limites de la réirradiation conformationnelle avec modulation d’intensité des carcinomes nasopharyngés / L. Farhat in Cancer Radiothérapie, 23/1 (Février 2019)
[article]
Titre : Apports et limites de la réirradiation conformationnelle avec modulation d’intensité des carcinomes nasopharyngés Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Farhat ; W. Mnejja ; N. Fourati ; et al. Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 28-33 Langues : Français (fre) Mots-clés : Réirradiation RCMI Nasopharynx Résumé : Objectifs
Nous rapportons dans ce travail, les résultats dosimétriques et carcinologiques de la radiothérapie conformationelle avec modulation d’intensité pour la réirradiation des carcinomes nasopharyngés.
Patients et méthodes
Nous avons repris les dossiers de huit patients qui ont été réirradiés selon une technique conformationnelle avec modulation d’intensité entre janvier 2015 et décembre 2017. Nous avons relevé pour chaque patient : les doses minimale, maximale, moyenne et reçues par 95 % (D95 %), 98 % (D98 %) et 2 % (D2 %) du volume à irradier, les indices d’homogénéité et de conformité et les contraintes de dose au niveau des organes à risque.
Résultats
La couverture du volume cible était satisfaisante avec une médiane de D95 % supérieure à 57Gy (soit 95 % de la dose prescrite). La médiane de dose maximale reçue par la moelle épinière et le tronc cérébral étaient respectivement de 8,2Gy et 18,25Gy. Avec un recul médian de 14,5 mois [1–29 mois], cinq patients étaient en situation de rémission complète de leur maladie. Le taux de survie globale à 2 ans était de 66,7 %. Une majoration de la toxicité tardive préexistante après la première irradiation (devenue de grade 2 ou plus) a été retrouvée chez quatre patients (50 % des cas).
Conclusion
La radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité constitue une technique séduisante en cas de réirradiation du nasopharynx. Elle permet une meilleure conformité de la dose dans le volume tumoral à irradier et une réduction des doses au niveau des organes critiques déjà irradiés, ce qui offre un bon taux de contrôle de la maladie avec moins de toxicité tardive sévère.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62923
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 28-33[article] Apports et limites de la réirradiation conformationnelle avec modulation d’intensité des carcinomes nasopharyngés [texte imprimé] / L. Farhat ; W. Mnejja ; N. Fourati ; et al. . - 2019 . - p. 28-33.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 28-33
Mots-clés : Réirradiation RCMI Nasopharynx Résumé : Objectifs
Nous rapportons dans ce travail, les résultats dosimétriques et carcinologiques de la radiothérapie conformationelle avec modulation d’intensité pour la réirradiation des carcinomes nasopharyngés.
Patients et méthodes
Nous avons repris les dossiers de huit patients qui ont été réirradiés selon une technique conformationnelle avec modulation d’intensité entre janvier 2015 et décembre 2017. Nous avons relevé pour chaque patient : les doses minimale, maximale, moyenne et reçues par 95 % (D95 %), 98 % (D98 %) et 2 % (D2 %) du volume à irradier, les indices d’homogénéité et de conformité et les contraintes de dose au niveau des organes à risque.
Résultats
La couverture du volume cible était satisfaisante avec une médiane de D95 % supérieure à 57Gy (soit 95 % de la dose prescrite). La médiane de dose maximale reçue par la moelle épinière et le tronc cérébral étaient respectivement de 8,2Gy et 18,25Gy. Avec un recul médian de 14,5 mois [1–29 mois], cinq patients étaient en situation de rémission complète de leur maladie. Le taux de survie globale à 2 ans était de 66,7 %. Une majoration de la toxicité tardive préexistante après la première irradiation (devenue de grade 2 ou plus) a été retrouvée chez quatre patients (50 % des cas).
Conclusion
La radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité constitue une technique séduisante en cas de réirradiation du nasopharynx. Elle permet une meilleure conformité de la dose dans le volume tumoral à irradier et une réduction des doses au niveau des organes critiques déjà irradiés, ce qui offre un bon taux de contrôle de la maladie avec moins de toxicité tardive sévère.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62923 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Toxicité neurologique tardive après traitement des carcinomes nasopharyngés / W. Siala in Cancer Radiothérapie, 13/8 (Décembre 2009)
[article]
Titre : Toxicité neurologique tardive après traitement des carcinomes nasopharyngés Titre original : Late neurotoxicity after nasopharyngeal carcinoma treatment Type de document : texte imprimé Auteurs : W. Siala ; W. Mnejja ; A. Khabir ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 709-714 Langues : Français (fre) Mots-clés : FIBROME NASOPHARYNGE CARCINOME THERAPEUTIQUE COMPLICATION Résumé : Objectif :
Analyser rétrospectivement les facteurs de risque de survenue de toxicité neurologique après radiothérapie pour cancer du nasopharynx.
Patients et méthodes :
Entre 1993 et 2004, 239 patients atteints d’un carcinome nasopharyngé non métastatique ont été traités par irradiation associée ou non à une chimiothérapie. La radiothérapie a été délivrée selon une modalité classique (cinq séances de 2 Gy par semaine) pour 157 patients et hyperfractionnée pour 82 patients. Une évaluation de la toxicité neurologique tardive a été faite en fonction du stade tumoral, de l’âge, du sexe, des modalités d’irradiation et de l’association ou non de chimiothérapie.
Résultats :
Avec un recul moyen de 107 mois (35–176 mois), 21 patients (8,8 %) ont été atteints de complications neurologiques, à type de nécrose temporale dans neuf cas, nécrose du tronc dans cinq cas, myélite dans un cas et atrophie du nerf optique dans deux cas. Les taux de survie à cinq et dix ans sans complication neurologique étaient respectivement de 95 et 84 %. La jeunesse du patient a été retrouvée comme facteur de risque de nécrose temporale (p = 0,04) et l’irradiation hyperfractionnée a été associée à un risque plus élevé de complications neurologiques (14,6 % contre 5,7 %, p = 0,02). La différence n’était pas significative pour les autres facteurs. L’analyse multifactorille n’a retenu aucun facteur.
Conclusion :
La toxicité neurologique est rare et tardive. La jeunesse du patient et l’hyper fractionnement ont été retenus dans notre étude comme facteurs de risque.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40963
in Cancer Radiothérapie > 13/8 (Décembre 2009) . - p. 709-714[article] Toxicité neurologique tardive après traitement des carcinomes nasopharyngés = Late neurotoxicity after nasopharyngeal carcinoma treatment [texte imprimé] / W. Siala ; W. Mnejja ; A. Khabir ; et al. . - 2009 . - p. 709-714.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/8 (Décembre 2009) . - p. 709-714
Mots-clés : FIBROME NASOPHARYNGE CARCINOME THERAPEUTIQUE COMPLICATION Résumé : Objectif :
Analyser rétrospectivement les facteurs de risque de survenue de toxicité neurologique après radiothérapie pour cancer du nasopharynx.
Patients et méthodes :
Entre 1993 et 2004, 239 patients atteints d’un carcinome nasopharyngé non métastatique ont été traités par irradiation associée ou non à une chimiothérapie. La radiothérapie a été délivrée selon une modalité classique (cinq séances de 2 Gy par semaine) pour 157 patients et hyperfractionnée pour 82 patients. Une évaluation de la toxicité neurologique tardive a été faite en fonction du stade tumoral, de l’âge, du sexe, des modalités d’irradiation et de l’association ou non de chimiothérapie.
Résultats :
Avec un recul moyen de 107 mois (35–176 mois), 21 patients (8,8 %) ont été atteints de complications neurologiques, à type de nécrose temporale dans neuf cas, nécrose du tronc dans cinq cas, myélite dans un cas et atrophie du nerf optique dans deux cas. Les taux de survie à cinq et dix ans sans complication neurologique étaient respectivement de 95 et 84 %. La jeunesse du patient a été retrouvée comme facteur de risque de nécrose temporale (p = 0,04) et l’irradiation hyperfractionnée a été associée à un risque plus élevé de complications neurologiques (14,6 % contre 5,7 %, p = 0,02). La différence n’était pas significative pour les autres facteurs. L’analyse multifactorille n’a retenu aucun facteur.
Conclusion :
La toxicité neurologique est rare et tardive. La jeunesse du patient et l’hyper fractionnement ont été retenus dans notre étude comme facteurs de risque.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40963 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt