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HELHa - Paramédical.
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2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Réirradiation'
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Radiothérapie et toxicité médullaire : actualités et perspectives / G. Peyraga in Cancer Radiothérapie, 25/1 (Février 2021)
[article]
Titre : Radiothérapie et toxicité médullaire : actualités et perspectives Type de document : texte imprimé Auteurs : G. Peyraga ; A. Ducassou ; F.-X. Arnaud ; T. Lizée ; J. Pouédras ; É. Moyal Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 55-61 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.05.017 Langues : Français (fre) Mots-clés : Myélopathie radio-induite Myélite radique Métastase osseuse Réirradiation Toxicité médullaire Résumé : Le radiothérapeute a un cauchemar : la survenue d’une myélopathie radio-induite. Heureusement, cette complication est exceptionnelle. Son diagnostic est évoqué devant des symptômes cliniques aspécifiques, apparaissant le plus souvent dans les 6 à 24 mois après la radiothérapie, et reste un diagnostic d’exclusion. L’IRM est l’examen paraclinique le plus informatif. Sa physiopathologie reste mal connue, avec une part probable de modifications vasculaires, et une autre part probable de perte de cellules parenchymateuses. Le radiothérapeute porte une attention particulière à la moelle épinière lors de chaque radiothérapie, et plus particulièrement lors de traitements stéréotaxiques ou de réirradiations. L’incidence faible de cette complication rend difficile la prédiction de sa survenue. Classiquement, une dose maximale de 50Gy est tolérée en radiothérapie normofractionnée (1,8 à 2Gy par séance). La nécessité clinique de réirradiation dans certaines situations amène parfois le radiothérapeute à outrepasser cette recommandation, en analysant individuellement la balance bénéfice risque. Certains facteurs favorisent la survenue de cette complication et doivent être pris en compte par le radiothérapeute, tels que l’administration de chimiothérapies concomitantes radiosensibilisantes ou neurotoxiques, et certaines comorbidités (diabète). Le développement d’algorithmes prédictifs de cette complication apporte une aide à la décision lors de ces réirradiations. Cependant, le patient doit recevoir une information détaillée des risques encourus lors de ces irradiations à risque, et la prescription du radiothérapeute doit rester prudente. Grâce à l’avènement de l’immunothérapie et des thérapies ciblées, le concept de cancer oligométastatique s’installe progressivement dans la pratique quotidienne, et les traitements stéréotaxiques et les réirradiations seront donc des indications de plus en plus fréquentes. La maîtrise du risque de complications est donc un enjeu majeur dans les années à venir, et reste un défi quotidien pour les radiothérapeutes. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69256
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 55-61[article] Radiothérapie et toxicité médullaire : actualités et perspectives [texte imprimé] / G. Peyraga ; A. Ducassou ; F.-X. Arnaud ; T. Lizée ; J. Pouédras ; É. Moyal . - 2021 . - p. 55-61.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.05.017
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 55-61
Mots-clés : Myélopathie radio-induite Myélite radique Métastase osseuse Réirradiation Toxicité médullaire Résumé : Le radiothérapeute a un cauchemar : la survenue d’une myélopathie radio-induite. Heureusement, cette complication est exceptionnelle. Son diagnostic est évoqué devant des symptômes cliniques aspécifiques, apparaissant le plus souvent dans les 6 à 24 mois après la radiothérapie, et reste un diagnostic d’exclusion. L’IRM est l’examen paraclinique le plus informatif. Sa physiopathologie reste mal connue, avec une part probable de modifications vasculaires, et une autre part probable de perte de cellules parenchymateuses. Le radiothérapeute porte une attention particulière à la moelle épinière lors de chaque radiothérapie, et plus particulièrement lors de traitements stéréotaxiques ou de réirradiations. L’incidence faible de cette complication rend difficile la prédiction de sa survenue. Classiquement, une dose maximale de 50Gy est tolérée en radiothérapie normofractionnée (1,8 à 2Gy par séance). La nécessité clinique de réirradiation dans certaines situations amène parfois le radiothérapeute à outrepasser cette recommandation, en analysant individuellement la balance bénéfice risque. Certains facteurs favorisent la survenue de cette complication et doivent être pris en compte par le radiothérapeute, tels que l’administration de chimiothérapies concomitantes radiosensibilisantes ou neurotoxiques, et certaines comorbidités (diabète). Le développement d’algorithmes prédictifs de cette complication apporte une aide à la décision lors de ces réirradiations. Cependant, le patient doit recevoir une information détaillée des risques encourus lors de ces irradiations à risque, et la prescription du radiothérapeute doit rester prudente. Grâce à l’avènement de l’immunothérapie et des thérapies ciblées, le concept de cancer oligométastatique s’installe progressivement dans la pratique quotidienne, et les traitements stéréotaxiques et les réirradiations seront donc des indications de plus en plus fréquentes. La maîtrise du risque de complications est donc un enjeu majeur dans les années à venir, et reste un défi quotidien pour les radiothérapeutes. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69256 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Apports et limites de la réirradiation conformationnelle avec modulation d’intensité des carcinomes nasopharyngés / L. Farhat in Cancer Radiothérapie, 23/1 (Février 2019)
[article]
Titre : Apports et limites de la réirradiation conformationnelle avec modulation d’intensité des carcinomes nasopharyngés Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Farhat ; W. Mnejja ; N. Fourati ; et al. Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 28-33 Langues : Français (fre) Mots-clés : Réirradiation RCMI Nasopharynx Résumé : Objectifs
Nous rapportons dans ce travail, les résultats dosimétriques et carcinologiques de la radiothérapie conformationelle avec modulation d’intensité pour la réirradiation des carcinomes nasopharyngés.
Patients et méthodes
Nous avons repris les dossiers de huit patients qui ont été réirradiés selon une technique conformationnelle avec modulation d’intensité entre janvier 2015 et décembre 2017. Nous avons relevé pour chaque patient : les doses minimale, maximale, moyenne et reçues par 95 % (D95 %), 98 % (D98 %) et 2 % (D2 %) du volume à irradier, les indices d’homogénéité et de conformité et les contraintes de dose au niveau des organes à risque.
Résultats
La couverture du volume cible était satisfaisante avec une médiane de D95 % supérieure à 57Gy (soit 95 % de la dose prescrite). La médiane de dose maximale reçue par la moelle épinière et le tronc cérébral étaient respectivement de 8,2Gy et 18,25Gy. Avec un recul médian de 14,5 mois [1–29 mois], cinq patients étaient en situation de rémission complète de leur maladie. Le taux de survie globale à 2 ans était de 66,7 %. Une majoration de la toxicité tardive préexistante après la première irradiation (devenue de grade 2 ou plus) a été retrouvée chez quatre patients (50 % des cas).
Conclusion
La radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité constitue une technique séduisante en cas de réirradiation du nasopharynx. Elle permet une meilleure conformité de la dose dans le volume tumoral à irradier et une réduction des doses au niveau des organes critiques déjà irradiés, ce qui offre un bon taux de contrôle de la maladie avec moins de toxicité tardive sévère.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62923
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 28-33[article] Apports et limites de la réirradiation conformationnelle avec modulation d’intensité des carcinomes nasopharyngés [texte imprimé] / L. Farhat ; W. Mnejja ; N. Fourati ; et al. . - 2019 . - p. 28-33.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 28-33
Mots-clés : Réirradiation RCMI Nasopharynx Résumé : Objectifs
Nous rapportons dans ce travail, les résultats dosimétriques et carcinologiques de la radiothérapie conformationelle avec modulation d’intensité pour la réirradiation des carcinomes nasopharyngés.
Patients et méthodes
Nous avons repris les dossiers de huit patients qui ont été réirradiés selon une technique conformationnelle avec modulation d’intensité entre janvier 2015 et décembre 2017. Nous avons relevé pour chaque patient : les doses minimale, maximale, moyenne et reçues par 95 % (D95 %), 98 % (D98 %) et 2 % (D2 %) du volume à irradier, les indices d’homogénéité et de conformité et les contraintes de dose au niveau des organes à risque.
Résultats
La couverture du volume cible était satisfaisante avec une médiane de D95 % supérieure à 57Gy (soit 95 % de la dose prescrite). La médiane de dose maximale reçue par la moelle épinière et le tronc cérébral étaient respectivement de 8,2Gy et 18,25Gy. Avec un recul médian de 14,5 mois [1–29 mois], cinq patients étaient en situation de rémission complète de leur maladie. Le taux de survie globale à 2 ans était de 66,7 %. Une majoration de la toxicité tardive préexistante après la première irradiation (devenue de grade 2 ou plus) a été retrouvée chez quatre patients (50 % des cas).
Conclusion
La radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité constitue une technique séduisante en cas de réirradiation du nasopharynx. Elle permet une meilleure conformité de la dose dans le volume tumoral à irradier et une réduction des doses au niveau des organes critiques déjà irradiés, ce qui offre un bon taux de contrôle de la maladie avec moins de toxicité tardive sévère.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62923 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt