Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
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Semaine du 13/05 à Mouscron : Fermé le lundi toute la journée (maladie).
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La parole ne se prescrit pas ! / Servane Legrand in Spirale : La grande aventure de Monsieur bébé, n° 99 (Décembre 2021)
[article]
Titre : La parole ne se prescrit pas ! Type de document : texte imprimé Auteurs : Servane Legrand, Auteur ; Dominique Ratia-Armengol, Auteur ; Claire Vicente-Brion, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p.169-193 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Consultation ; C:Covid-19 ; D:Dépression ; E:Enfant ; E:Épidémie ; L:Littérature ; P:Parent ; P:Parole ; P:Psychologue ; R:Relation d'aide ; R:Remboursement ; S:Souffrance psychique ; S:Soutien psychologiqueRésumé : À l’heure où nous écrivons, les éditions érès s’apprêtent à republier Des psychologues auprès des tout-petits, pour quoi faire ?, ouvrage datant de 2006, fruit d’un recueil d’articles sous la direction de D. Delouvin.
Cette réédition trouve en cette période toute sa pertinence, au regard de la crise pandémique qui a fait surgir dans la conscience collective la nécessité d’une aide psychologique, voire de demandes quand elles émergent…
Devant cette nouvelle confrontation au réel de la mortalité de tout un chacun, la douce illusion de notre toute-puissance humaine à nous protéger de tous les dangers a été effractée, laissant place à de sourdes inquiétudes, des souffrances et des angoisses indicibles. Les traitements successifs de confinement de la Covid-19 et leurs conséquences ont engendré une hausse des états dépressifs, laquelle a mis le focus sur la souffrance des individus, du plus petit au plus grand, du bébé à l’adulte en passant par l’adolescent, sans oublier les « invisibles », plus que délaissés !
Le ministère de la Santé, sur la sellette de la pandémie et de ses effets désorganisateurs psycho-socio-économiques, ne pouvait pas mieux faire que de prendre en compte cet état des lieux, celui de la réalité quotidienne de ses jeunes citoyens dont la souffrance psychique peut mener entre autres à la dépression, et pour certains, jusqu’au suicide. Dans le contexte actuel, alerté par les services hospitaliers et le corps médical, l’État s’est emparé du problème, mais sans consulter les instances professionnelles ni les sociétés savantes de psychologues, en accélérant ses orientations autour de la prise en charge des consultations par des psychologues libéraux.
État « expert », il a rédigé une loi en faveur du remboursement de consultations psychologiques. Pas étonnant que, à procéder de la sorte, cette décision déclenche une levée de boucliers de la part de l’ensemble du corps des professionnels, psychologues, psychothérapeutes, et psychanalystes !
Est-ce scandaleux que de permettre à tout citoyen d’avoir accès à un traitement psychologique, dans le privé, l’accès étant facilité par un remboursement au moins partiel, et non dans le public, notamment quand l’attente y est en moyenne d’un an ? Non, bien sûr, et si les psychologues s’accordent à soutenir ce remboursement allant dans le sens d’une plus grande égalité devant l’accès aux soins psychiques, ce n’est pas au prix d’une restriction de liberté des patients, qui doivent alors en passer par tout un dispositif, dont leur médecin, pour y avoir droit. En effet, le médecin devra évaluer le bien-fondé de la consultation psychologique avant de la prescrire, le patient devant ensuite « choisir » un psychologue dans une liste préétablie ! Mais sur quels critères, et établie par qui ?
Autrement dit, les décisions thérapeutiques seront ainsi dictées à l’avance par cet arrêté gouvernemental, contrevenant à la pratique à la fois des médecins et des psychologues, ainsi qu’à leurs déontologies respectives.
Exit les connaissances et l’éthique propre au métier, le praticien n’est plus responsable de ses décisions d’orientation dans le soin et le suivi, la référence est la grille unique proposée par les services de l’État.
Adultes déboussolés, les parents, désemparés, se tournent actuellement, quand cela leur est possible financièrement, vers des psychologues en libéral pour leur enfant. Ils sont en confiance, aujourd’hui, et attentifs à son développement psychoaffectif. Et, de nos jours, s’adresser à un psychologue n’est plus (ou moins en tout cas) associé d’emblée à la maladie mentale.
Le psychologue clinicien est à juste titre celui « avec qui… », celui à qui on peut dire ce qui fait mal et qui peut l’entendre, au-delà des symptômes du corps. Mais il ne suffit pas de dire pour que « ça aille mieux » et que la souffrance se taise ! Cette « vertu » de la parole, aujourd’hui amplement relayée, n’est pas magique. La parole et son corollaire, l’écoute, relèvent d’un traitement thérapeutique dont le dispositif est de la responsabilité du clinicien. Cette possibilité de rencontre et d’écoute, si elle peut être suggérée parfois par tout professionnel, ne se prescrit pas comme un médicament.
La parole ne se prescrit pas… Elle s’invite dans l’intimité d’une rencontre à favoriser. Le cadre thérapeutique, comme tout cadre, a ses caractéristiques, il ne s’agit pas là d’un échange de comptoir.
Appel de la mère de A. : « Je voudrais avoir un rendez-vous, ce n’est pas pour moi, c’est pour ma fille, elle a 6 ans et demi, elle me dit qu’elle voudrait mourir ! Je lui ai dit qu’on pourrait en parler avec un psychologue, elle est d’accord. » Appel du père de L., qui dit que ça ne va pas, il n’arrive plus à rien avec son fils, sa femme non plus : « D’ailleurs, vous l’entendez hurler derrière moi… Au fait, il a 3 ans aujourd’hui, je crois qu’on a vraiment besoin d’aide. » Tout est alors à accueillir : l’enfant, ses parents, ce qui est en question et se formule pour chacun d’entre eux, sous des formes diverses (verbale, comportementale, ludique ou productrice de dessins). À partir de ces toutes premières rencontres, le travail se mettra en place, selon l’évolution de la situation et le dispositif proposé par le psychologue. Il concernera et sera proposé à l’enfant uniquement, se centrera sur la relation parent-enfant, ou s’engagera avec les parents.
Au symptôme, le psychologue n’oppose pas de réponse unique, préformatée, mais il est en recherche de sens, avec les patients.
Notre cri aujourd’hui, ce n’est pas celui du bébé, mais celui des psychologues qui s’opposent à ce que soit détruite leur pratique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49130
in Spirale : La grande aventure de Monsieur bébé > n° 99 (Décembre 2021) . - p.169-193[article] La parole ne se prescrit pas ! [texte imprimé] / Servane Legrand, Auteur ; Dominique Ratia-Armengol, Auteur ; Claire Vicente-Brion, Auteur . - 2021 . - p.169-193.
Langues : Français (fre)
in Spirale : La grande aventure de Monsieur bébé > n° 99 (Décembre 2021) . - p.169-193
Catégories : Alpha
C:Consultation ; C:Covid-19 ; D:Dépression ; E:Enfant ; E:Épidémie ; L:Littérature ; P:Parent ; P:Parole ; P:Psychologue ; R:Relation d'aide ; R:Remboursement ; S:Souffrance psychique ; S:Soutien psychologiqueRésumé : À l’heure où nous écrivons, les éditions érès s’apprêtent à republier Des psychologues auprès des tout-petits, pour quoi faire ?, ouvrage datant de 2006, fruit d’un recueil d’articles sous la direction de D. Delouvin.
Cette réédition trouve en cette période toute sa pertinence, au regard de la crise pandémique qui a fait surgir dans la conscience collective la nécessité d’une aide psychologique, voire de demandes quand elles émergent…
Devant cette nouvelle confrontation au réel de la mortalité de tout un chacun, la douce illusion de notre toute-puissance humaine à nous protéger de tous les dangers a été effractée, laissant place à de sourdes inquiétudes, des souffrances et des angoisses indicibles. Les traitements successifs de confinement de la Covid-19 et leurs conséquences ont engendré une hausse des états dépressifs, laquelle a mis le focus sur la souffrance des individus, du plus petit au plus grand, du bébé à l’adulte en passant par l’adolescent, sans oublier les « invisibles », plus que délaissés !
Le ministère de la Santé, sur la sellette de la pandémie et de ses effets désorganisateurs psycho-socio-économiques, ne pouvait pas mieux faire que de prendre en compte cet état des lieux, celui de la réalité quotidienne de ses jeunes citoyens dont la souffrance psychique peut mener entre autres à la dépression, et pour certains, jusqu’au suicide. Dans le contexte actuel, alerté par les services hospitaliers et le corps médical, l’État s’est emparé du problème, mais sans consulter les instances professionnelles ni les sociétés savantes de psychologues, en accélérant ses orientations autour de la prise en charge des consultations par des psychologues libéraux.
État « expert », il a rédigé une loi en faveur du remboursement de consultations psychologiques. Pas étonnant que, à procéder de la sorte, cette décision déclenche une levée de boucliers de la part de l’ensemble du corps des professionnels, psychologues, psychothérapeutes, et psychanalystes !
Est-ce scandaleux que de permettre à tout citoyen d’avoir accès à un traitement psychologique, dans le privé, l’accès étant facilité par un remboursement au moins partiel, et non dans le public, notamment quand l’attente y est en moyenne d’un an ? Non, bien sûr, et si les psychologues s’accordent à soutenir ce remboursement allant dans le sens d’une plus grande égalité devant l’accès aux soins psychiques, ce n’est pas au prix d’une restriction de liberté des patients, qui doivent alors en passer par tout un dispositif, dont leur médecin, pour y avoir droit. En effet, le médecin devra évaluer le bien-fondé de la consultation psychologique avant de la prescrire, le patient devant ensuite « choisir » un psychologue dans une liste préétablie ! Mais sur quels critères, et établie par qui ?
Autrement dit, les décisions thérapeutiques seront ainsi dictées à l’avance par cet arrêté gouvernemental, contrevenant à la pratique à la fois des médecins et des psychologues, ainsi qu’à leurs déontologies respectives.
Exit les connaissances et l’éthique propre au métier, le praticien n’est plus responsable de ses décisions d’orientation dans le soin et le suivi, la référence est la grille unique proposée par les services de l’État.
Adultes déboussolés, les parents, désemparés, se tournent actuellement, quand cela leur est possible financièrement, vers des psychologues en libéral pour leur enfant. Ils sont en confiance, aujourd’hui, et attentifs à son développement psychoaffectif. Et, de nos jours, s’adresser à un psychologue n’est plus (ou moins en tout cas) associé d’emblée à la maladie mentale.
Le psychologue clinicien est à juste titre celui « avec qui… », celui à qui on peut dire ce qui fait mal et qui peut l’entendre, au-delà des symptômes du corps. Mais il ne suffit pas de dire pour que « ça aille mieux » et que la souffrance se taise ! Cette « vertu » de la parole, aujourd’hui amplement relayée, n’est pas magique. La parole et son corollaire, l’écoute, relèvent d’un traitement thérapeutique dont le dispositif est de la responsabilité du clinicien. Cette possibilité de rencontre et d’écoute, si elle peut être suggérée parfois par tout professionnel, ne se prescrit pas comme un médicament.
La parole ne se prescrit pas… Elle s’invite dans l’intimité d’une rencontre à favoriser. Le cadre thérapeutique, comme tout cadre, a ses caractéristiques, il ne s’agit pas là d’un échange de comptoir.
Appel de la mère de A. : « Je voudrais avoir un rendez-vous, ce n’est pas pour moi, c’est pour ma fille, elle a 6 ans et demi, elle me dit qu’elle voudrait mourir ! Je lui ai dit qu’on pourrait en parler avec un psychologue, elle est d’accord. » Appel du père de L., qui dit que ça ne va pas, il n’arrive plus à rien avec son fils, sa femme non plus : « D’ailleurs, vous l’entendez hurler derrière moi… Au fait, il a 3 ans aujourd’hui, je crois qu’on a vraiment besoin d’aide. » Tout est alors à accueillir : l’enfant, ses parents, ce qui est en question et se formule pour chacun d’entre eux, sous des formes diverses (verbale, comportementale, ludique ou productrice de dessins). À partir de ces toutes premières rencontres, le travail se mettra en place, selon l’évolution de la situation et le dispositif proposé par le psychologue. Il concernera et sera proposé à l’enfant uniquement, se centrera sur la relation parent-enfant, ou s’engagera avec les parents.
Au symptôme, le psychologue n’oppose pas de réponse unique, préformatée, mais il est en recherche de sens, avec les patients.
Notre cri aujourd’hui, ce n’est pas celui du bébé, mais celui des psychologues qui s’opposent à ce que soit détruite leur pratique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49130 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T009429 SPI Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Un partenariat original entre psychologues pour le soutien des soignants en oncologie / N. Jacquot-Aug in Psycho-Oncologie, Vol. 9, 1 (Mars 2015)
[article]
Titre : Un partenariat original entre psychologues pour le soutien des soignants en oncologie Type de document : texte imprimé Auteurs : N. Jacquot-Aug, Auteur ; M.-C. Berthomier, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p. 37-39 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
E:Epuisement professionnel ; G:Groupe de parole ; O:Oncologie ; P:Partenariat ; P:Psychologue ; S:Souffrance psychique ; S:Soutien psychologiqueRésumé : Au sein de notre hôpital, nous avons initié un partenariat entre psychologues du travail et d’équipe mobile de soins palliatifs. Cet article témoigne du travail élaboré pour la prévention de l’épuisement professionnel et le soutien des soignants en oncologie. À partir de deux situations cliniques, nous abordons l’apport et les limites de ce partenariat tant dans la prise en charge individuelle que lors de groupes d’échanges. Ce travail commun de coconstruction nous permet de développer chacune nos missions spécifiques, tout en inventant de nouvelles ressources. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=28453
in Psycho-Oncologie > Vol. 9, 1 (Mars 2015) . - p. 37-39[article] Un partenariat original entre psychologues pour le soutien des soignants en oncologie [texte imprimé] / N. Jacquot-Aug, Auteur ; M.-C. Berthomier, Auteur . - 2015 . - p. 37-39.
Langues : Français (fre)
in Psycho-Oncologie > Vol. 9, 1 (Mars 2015) . - p. 37-39
Catégories : Alpha
E:Epuisement professionnel ; G:Groupe de parole ; O:Oncologie ; P:Partenariat ; P:Psychologue ; S:Souffrance psychique ; S:Soutien psychologiqueRésumé : Au sein de notre hôpital, nous avons initié un partenariat entre psychologues du travail et d’équipe mobile de soins palliatifs. Cet article témoigne du travail élaboré pour la prévention de l’épuisement professionnel et le soutien des soignants en oncologie. À partir de deux situations cliniques, nous abordons l’apport et les limites de ce partenariat tant dans la prise en charge individuelle que lors de groupes d’échanges. Ce travail commun de coconstruction nous permet de développer chacune nos missions spécifiques, tout en inventant de nouvelles ressources. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=28453 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T006087 PSY Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Particularités de l’écoute du psychologue en équipe mobile de soins palliatifs / R. Lanfroy in Médecine palliative, Vol. 16, n°6 (Décembre 2017)
[article]
Titre : Particularités de l’écoute du psychologue en équipe mobile de soins palliatifs Type de document : texte imprimé Auteurs : R. Lanfroy Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 320-324 Note générale : 10.1016/j.medpal.2017.06.002 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
E:Ecoute ; F:Formation ; M:Maladie grave ; M:Mort ; P:Psychologue ; S:Soins palliatifsRésumé : Si l’écoute reste l’outil principal du psychologue dans sa clinique quotidienne, le courant théorique auquel il se réfère ainsi que son cadre d’exercice vont néanmoins orienter sa pratique. Travailler en équipe mobile de soins palliatifs (EMSP) oblige ainsi le psychologue à repenser son action, tant ce champ d’activité est spécifique. Le cadre législatif qui concerne ces équipes a évolué progressivement et a défini de manière globale leur fonctionnement, sans véritablement imposer de règles strictes. Ainsi leur composition est variée et chaque acteur va avoir une fonction prédéfinie. Le psychologue est donc attendu à une certaine place, mais son rôle prendra véritablement sens selon des aspects à la fois personnels – obédience, formation, représentations – mais également selon des normes et modes de fonctionnement des équipes elles-mêmes, de leurs membres et ce dans un contexte de forte tension psychique imposée par la maladie létale. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36581
in Médecine palliative > Vol. 16, n°6 (Décembre 2017) . - p. 320-324[article] Particularités de l’écoute du psychologue en équipe mobile de soins palliatifs [texte imprimé] / R. Lanfroy . - 2017 . - p. 320-324.
10.1016/j.medpal.2017.06.002
Langues : Français (fre)
in Médecine palliative > Vol. 16, n°6 (Décembre 2017) . - p. 320-324
Catégories : Alpha
E:Ecoute ; F:Formation ; M:Maladie grave ; M:Mort ; P:Psychologue ; S:Soins palliatifsRésumé : Si l’écoute reste l’outil principal du psychologue dans sa clinique quotidienne, le courant théorique auquel il se réfère ainsi que son cadre d’exercice vont néanmoins orienter sa pratique. Travailler en équipe mobile de soins palliatifs (EMSP) oblige ainsi le psychologue à repenser son action, tant ce champ d’activité est spécifique. Le cadre législatif qui concerne ces équipes a évolué progressivement et a défini de manière globale leur fonctionnement, sans véritablement imposer de règles strictes. Ainsi leur composition est variée et chaque acteur va avoir une fonction prédéfinie. Le psychologue est donc attendu à une certaine place, mais son rôle prendra véritablement sens selon des aspects à la fois personnels – obédience, formation, représentations – mais également selon des normes et modes de fonctionnement des équipes elles-mêmes, de leurs membres et ce dans un contexte de forte tension psychique imposée par la maladie létale. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36581 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T007493 MED Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Peut-on changer la perception que les patients ont du psychologue afin de favoriser un soutien psychologique en oncologie ? Étude randomisée d’impact de l’entretien en psycho-oncologie / D. Ogez in Psycho-Oncologie, Vol. 13, 2 (Juin 2019)
[article]
Titre : Peut-on changer la perception que les patients ont du psychologue afin de favoriser un soutien psychologique en oncologie ? Étude randomisée d’impact de l’entretien en psycho-oncologie Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Ogez, Auteur ; P. de Timary, Auteur ; F. Maddalena, Auteur ; N. Gundermann, Auteur ; A. Van Maanen, Auteur ; E. Zech, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.136-143 Langues : Anglais (eng) Catégories : Alpha
I:Intervention ; P:Patient ; P:Perception ; P:Psycho-oncologie ; P:Psychologue ; S:Soutien psychologiqueRésumé : Objectifs : Évaluer l’intérêt et l’efficacité d’une rencontre systématique avec un psycho-oncologue sur la perception du psychologue chez les hommes et les femmes atteints de cancer.
Procédure : Les patients qui ont rencontré systématiquement le psychologue ont été comparés à un groupe témoin. Les symptômes d’anxiodépression et la perception que les patients ont du psychologue ont été évalués à deux reprises : lors du diagnostic et quatre mois plus tard, pendant le traitement.
Résultats : Dans l’ensemble du groupe, nous n’avons pas observé de différences significatives entre les conditions concernant la perception du psychologue, mais le sexe était un facteur critique associé à la fois à la perception du psychologue et à d’autres consultations psychologiques. Les hommes qui ont rencontré un psychologue peu après le diagnostic ont continué un suivi psychologique dans une bien plus grande mesure que ceux du groupe témoin. À l’inverse, les femmes ont suivi un soutien psychologique, qu’elles aient rencontré le psychologue ou non.
Conclusion : Les résultats indiquent qu’une rencontre avec le psychologue peut être utile pour susciter un intérêt pour un soutien psychologique, en particulier pour les hommes.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43243
in Psycho-Oncologie > Vol. 13, 2 (Juin 2019) . - p.136-143[article] Peut-on changer la perception que les patients ont du psychologue afin de favoriser un soutien psychologique en oncologie ? Étude randomisée d’impact de l’entretien en psycho-oncologie [texte imprimé] / D. Ogez, Auteur ; P. de Timary, Auteur ; F. Maddalena, Auteur ; N. Gundermann, Auteur ; A. Van Maanen, Auteur ; E. Zech, Auteur . - 2019 . - p.136-143.
Langues : Anglais (eng)
in Psycho-Oncologie > Vol. 13, 2 (Juin 2019) . - p.136-143
Catégories : Alpha
I:Intervention ; P:Patient ; P:Perception ; P:Psycho-oncologie ; P:Psychologue ; S:Soutien psychologiqueRésumé : Objectifs : Évaluer l’intérêt et l’efficacité d’une rencontre systématique avec un psycho-oncologue sur la perception du psychologue chez les hommes et les femmes atteints de cancer.
Procédure : Les patients qui ont rencontré systématiquement le psychologue ont été comparés à un groupe témoin. Les symptômes d’anxiodépression et la perception que les patients ont du psychologue ont été évalués à deux reprises : lors du diagnostic et quatre mois plus tard, pendant le traitement.
Résultats : Dans l’ensemble du groupe, nous n’avons pas observé de différences significatives entre les conditions concernant la perception du psychologue, mais le sexe était un facteur critique associé à la fois à la perception du psychologue et à d’autres consultations psychologiques. Les hommes qui ont rencontré un psychologue peu après le diagnostic ont continué un suivi psychologique dans une bien plus grande mesure que ceux du groupe témoin. À l’inverse, les femmes ont suivi un soutien psychologique, qu’elles aient rencontré le psychologue ou non.
Conclusion : Les résultats indiquent qu’une rencontre avec le psychologue peut être utile pour susciter un intérêt pour un soutien psychologique, en particulier pour les hommes.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43243 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008674 PSY Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Place des professionnels du soin psychique dans les formations à la communication soignant-patient : l'expérience tunisienne / S. Masmoudi in Psycho-Oncologie, Vol. 8, 4 (Décembre 2014)
[article]
Titre : Place des professionnels du soin psychique dans les formations à la communication soignant-patient : l'expérience tunisienne Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Masmoudi, Auteur ; H. Khlif, Auteur ; A. Belaid, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p.237-239 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Cancer ; C:Communication ; E:Expérience ; F:Formation continue ; P:Psychiatre ; P:Psycho-oncologie ; P:Psychologue ; T:TunisieRésumé : Pas disponible Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=28393
in Psycho-Oncologie > Vol. 8, 4 (Décembre 2014) . - p.237-239[article] Place des professionnels du soin psychique dans les formations à la communication soignant-patient : l'expérience tunisienne [texte imprimé] / S. Masmoudi, Auteur ; H. Khlif, Auteur ; A. Belaid, Auteur . - 2014 . - p.237-239.
Langues : Français (fre)
in Psycho-Oncologie > Vol. 8, 4 (Décembre 2014) . - p.237-239
Catégories : Alpha
C:Cancer ; C:Communication ; E:Expérience ; F:Formation continue ; P:Psychiatre ; P:Psycho-oncologie ; P:Psychologue ; T:TunisieRésumé : Pas disponible Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=28393 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T006077 PSY Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible La place du psychologue auprès de l'enfant ou de l'adolescent atteint de tumeur osseuse / C. Dubois in Soins Pédiatrie/Puériculture, 270 (Janvier/Février 2013)
PermalinkLa place du psychologue dans la décision médicale partagée en soins palliatifs / Axelle Van Lander in Soins, 833 (Mars 2019)
PermalinkLa place du psychologue dans le service d’orthopédie / Olga Medina in La revue de l'infirmière, Vol. 73, n°297 (Janvier 2024)
PermalinkLa place du psychologue en réanimation auprès des patients et de leurs proches / F Maltese in Soins, 766 (Juin 2012)
PermalinkPlace de la subjectivité en douleur chronique / Simon Lorriot in La revue de l'infirmière, 248 (Février 2019)
PermalinkLa pratique clinique du psychologue en réanimation / Alexandra Laurent in Soins, n°861 (Décembre 2021)
PermalinkPrendre soin de ceux qui nous soignent / Éric Galam in La revue de l'infirmière, 238 (Février 2018)
PermalinkPrise en charge en binôme infirmière/aide-soignant d'un patient opéré d'une tumeur cérébrale / A. Jacquel in Médecine palliative, 1 (février 2005)
PermalinkPrise en charge au domicile d'une patiente atteinte d'une tumeur cérébrale / S. Riou in Médecine palliative, 1 (février 2005)
PermalinkPrise en charge globale d'un patient atteint d'une tumeur cérébrale par des équipes intra et extra hospitalières / H. Brocq in Médecine palliative, 1 (février 2005)
PermalinkPrise en charge psychosexologique des auteurs de violences sexuelles en milieu carcéral / Charlotte Démonté in Soins psychiatrie, Vol. 40, n° 321 (Mars - Avril 2019)
PermalinkLes professionnels de santé libéraux au secours des étudiants / Richard Pougnet in La revue de l'infirmière, 271 (Mai 2021)
PermalinkProjet d'avenir chez les mineurs incarcérés, vers une nécessaire reconstruction de l'estime de soi. La place du psychologue de l'éducation nationale en prison. / Sabine Bakker Hernandez in Enfances & Psy, n°92 (2022)
PermalinkLe psy, sauveur ou bouc émissaire? / C. Bonnet in Ethica Clinica, 33 (mars 2004)
PermalinkLe psy et les soignants somaticiens : défausse ou collaboration? / V. Bitouze in Ethica Clinica, 33 (mars 2004)
PermalinkPsychologie et école, un couple devenu historique / Benjamin Marmonier in Enfances & Psy, n°90 (Novembre 2021)
PermalinkLe psychologue / ME Plaisant in Soins Pédiatrie/Puériculture, 241 (avril 2008)
PermalinkLe psychologue clinicien en Ehpad : pas de "Pas de mais, de si, ni de et" ! / Anne-Julie Vaillant-Ciszewicz in La revue de gériatrie, Vol. 47,07 (Septembre 2022)
PermalinkUn psychologue dans l'organisation d'une simulation de masse / Elodie Bonnetain in Objectif Soins & Management, 230 (Novembre 2014)
PermalinkUne psychologue, deux formations et une grande satisfaction / Sophie Bourcelot in Objectif Soins & Management, 222 (Janvier 2014)
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