Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
Heures d'ouverture (période scolaire)
Après identification sur connected (ID et mot de passe), les membres de la Helha ont l'accès à Cinahl et à Cairn en passant par l'onglet "Bases de données" de ce catalogue et en cliquant sur le lien d'accès.
Tournai | Mouscron |
- lundi : 9h30-12h30 et 13h00-17h00 - mardi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - mercredi: 9h00-12h30 et 13h00-17h30 - jeudi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - vendredi: 09h00-17h00 | - lundi: 9h00 à 12h30 et 13h00 à 17h15 - mardi: 13h00 à 17h15 - mercredi: 13h00 à 17h15 - jeudi : 13h00 à 17h15 - vendredi: 13h00 à 17h00 |
Semaine du 14/10 à Tournai : Horaire habituel
Semaine du 21/10 à Tournai : Fermé le lundi 21 toute la journée, le mercredi 23 après-midi, le jeudi 24 de 9h00 à 10h00 et à partir de 15h45.Fermé le vendredi 25 à partir de 13h00.
Semaine du 28/10 à Tournai : Fermé.
Semaine du 04/11 à Tournai : Fermé mardi à partir de 14h30. Fermé jeudi matin jusque 10h30. fermeture du CDD à 17h00 ce jeudi. Fermé vendredi 8/11 en matinée.
Semaine du 14/10 à Mouscron : Lundi: ouverture à 10h30.
Semaine du 21/10 à Mouscron : Ouvert le lundi uniquement. Le CDD de Tournai est plus largement ouvert et vous accueille également.
Semaine du 28/10 à Mouscron : Fermé.
Catégories
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche
La capacité des patient(e)s : réflexion juridique et pratique / C. Rommelaere in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), Vol. 23, n° 135 (Juin 2023)
[article]
Titre : La capacité des patient(e)s : réflexion juridique et pratique Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Rommelaere Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 184-197 Note générale : https://doi.org/10.1016/j.npg.2022.12.005 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Capacité décisionnelle ; C:Capacité juridiqueRésumé : En principe, les personnes majeures sont pleinement capables juridiquement. En matière de soins de santé, cette règle se traduit essentiellement par le droit de prendre ses propres décisions de soins. Souvent liée au respect de l’autonomie des patient(e)s, la reconnaissance de leur capacité décisionnelle représente aujourd’hui un enjeu légal et pratique crucial. Mais que signifie « être capable » en tant que patient(e) ? Sur quels critères les professionnel(le)s de la santé sont-elles/ils censé(e)s fonder leur évaluation ? Les définitions classiques de la capacité et les méthodologies d’évaluation qui en découlent sont des instruments de pouvoir : si tel(le) patient(e) est considéré(e) comme incapable, les décisions la/le concernant pourront être prises par quelqu’un d’autre. À l’asymétrie scientifique bien connue dans la relation de soins vient s’ajouter une asymétrie juridique. Dans ce contexte, il n’est pas étonnant que la question de la capacité captive les professionnel(le)s. Leurs questionnements sont à la mesure de leurs responsabilités : si les évaluations de la capacité se fondent sur des critères trop stricts, elles peuvent rapidement devenir des outils d’incapacitation ; si les évaluations de la capacité ne s’appuient sur aucune méthodologie, elles donneront lieu à des décisions arbitraires. Pour éviter ce double écueil, la présente contribution suggère une série de lignes directrices visant à soutenir tant la capacité des patient(e)s que celle des professionnel(le)s, lesquel(le)s ont la mission délicate, voire impossible, d’évaluer la capacité d’autrui. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=52343
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 23, n° 135 (Juin 2023) . - p. 184-197[article] La capacité des patient(e)s : réflexion juridique et pratique [texte imprimé] / C. Rommelaere . - 2023 . - p. 184-197.
https://doi.org/10.1016/j.npg.2022.12.005
Langues : Français (fre)
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 23, n° 135 (Juin 2023) . - p. 184-197
Catégories : Alpha
C:Capacité décisionnelle ; C:Capacité juridiqueRésumé : En principe, les personnes majeures sont pleinement capables juridiquement. En matière de soins de santé, cette règle se traduit essentiellement par le droit de prendre ses propres décisions de soins. Souvent liée au respect de l’autonomie des patient(e)s, la reconnaissance de leur capacité décisionnelle représente aujourd’hui un enjeu légal et pratique crucial. Mais que signifie « être capable » en tant que patient(e) ? Sur quels critères les professionnel(le)s de la santé sont-elles/ils censé(e)s fonder leur évaluation ? Les définitions classiques de la capacité et les méthodologies d’évaluation qui en découlent sont des instruments de pouvoir : si tel(le) patient(e) est considéré(e) comme incapable, les décisions la/le concernant pourront être prises par quelqu’un d’autre. À l’asymétrie scientifique bien connue dans la relation de soins vient s’ajouter une asymétrie juridique. Dans ce contexte, il n’est pas étonnant que la question de la capacité captive les professionnel(le)s. Leurs questionnements sont à la mesure de leurs responsabilités : si les évaluations de la capacité se fondent sur des critères trop stricts, elles peuvent rapidement devenir des outils d’incapacitation ; si les évaluations de la capacité ne s’appuient sur aucune méthodologie, elles donneront lieu à des décisions arbitraires. Pour éviter ce double écueil, la présente contribution suggère une série de lignes directrices visant à soutenir tant la capacité des patient(e)s que celle des professionnel(le)s, lesquel(le)s ont la mission délicate, voire impossible, d’évaluer la capacité d’autrui. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=52343 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T009938 NPG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible