Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
Heures d'ouverture (période scolaire) | Tournai | Mouscron |
- lundi : 9h30-12h30 et 13h00-17h00
- mardi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00
- mercredi: 9h00-12h30 et 13h00-17h30
- jeudi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00
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| - lundi: 9h00 à 12h30 et 13h00 à 17h15
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Semaine du 18/11 à Tournai : Fermé mardi 19/11 en après-midi et jeudi 21/11 en matinée. Fermé mercredi à 17h00. Fermé vendredi entre 12 et 13h00.
Semaine du 25/11 à Tournai : Fermé vendredi 29/11 en matinée.
Semaine du 02/12 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 18/11 à Mouscron : Horaire habituel
Semaine du 25/11 à Mouscron : Lundi: ouverture à 10h30.
Semaine du 11/11 à Mouscron : Fermé lundi (armistice)
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Exemplaires (2)
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| M006072 | AID | Revue | Mouscron | Soins Infirmiers (M) | Disponible |
| T009129 | AID | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |
Exemplaires (2)
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| M005083 | AID | Revue | Mouscron | Soins Infirmiers (M) | Disponible |
| T007622 | AID | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |
[article]
| Titre : |
La maltraitance méconnue des sourds locuteurs de la langue des signes en maison de retraite |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
B. Drion ; J. Semail |
| Année de publication : |
2016 |
| Article en page(s) : |
p. 17-23 |
| Langues : |
Français (fre) |
| Catégories : |
Alpha
L:Langue des signes ; M:Maison de repos et de soins ; M:Maltraitance ; P:Personne âgée ; S:Surdité
|
| Résumé : |
La langue des signes, reconnue en France depuis 2005, est la langue pratiquée quotidiennement, par un millième des Français. L’absence de prise en compte des spécificités de ces sourds prélinguaux conduit à des situations de maltraitance méconnue dans les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes où ils résident. La surdité ne se voit pas et bon nombre de sourds se soumettent aux règles de communication des entendants. Ils peuvent articuler de manière intelligible, mais acquiescer sans comprendre, ou en ne comprenant que très partiellement ce qui est dit. Lorsque les troubles cognitifs acquis viennent compliquer la communication, la situation devient encore plus problématique. Souvent, c’est uniquement avec l’aide de professionnels, locuteurs natifs de la langue des signes, qu’une vraie communication peut être établie. Pour éviter leur mort sociale, l’expérience montre aussi que rassembler les sourds dans un établissement permet qu’une communauté linguistique se crée entre résidents et professionnels formés à la langue des signes. |
| Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30316 |
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 91 (Février 2016) . - p. 17-23
[article] La maltraitance méconnue des sourds locuteurs de la langue des signes en maison de retraite [texte imprimé] / B. Drion ; J. Semail . - 2016 . - p. 17-23. Langues : Français ( fre) in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 91 (Février 2016) . - p. 17-23
| Catégories : |
Alpha
L:Langue des signes ; M:Maison de repos et de soins ; M:Maltraitance ; P:Personne âgée ; S:Surdité
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| Résumé : |
La langue des signes, reconnue en France depuis 2005, est la langue pratiquée quotidiennement, par un millième des Français. L’absence de prise en compte des spécificités de ces sourds prélinguaux conduit à des situations de maltraitance méconnue dans les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes où ils résident. La surdité ne se voit pas et bon nombre de sourds se soumettent aux règles de communication des entendants. Ils peuvent articuler de manière intelligible, mais acquiescer sans comprendre, ou en ne comprenant que très partiellement ce qui est dit. Lorsque les troubles cognitifs acquis viennent compliquer la communication, la situation devient encore plus problématique. Souvent, c’est uniquement avec l’aide de professionnels, locuteurs natifs de la langue des signes, qu’une vraie communication peut être établie. Pour éviter leur mort sociale, l’expérience montre aussi que rassembler les sourds dans un établissement permet qu’une communauté linguistique se crée entre résidents et professionnels formés à la langue des signes. |
| Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30316 |
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Exemplaires (1)
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| T006532 | NPG | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Perdu
Exclu du prêt |
Exemplaires (1)
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| M006318 | INF | Revue | Mouscron | Soins infirmiers (T) | Disponible |
[article]
| Titre : |
Le premier droit d’un résident sourd en maison de retraite n’est-il pas d’y parler sa langue et de s’y faire comprendre ? |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Benoît Drion, Auteur ; Jennifer Semail, Auteur |
| Année de publication : |
2015 |
| Article en page(s) : |
p. 83-84 |
| Note générale : |
Les sourds pré-linguaux, concernés aujourd’hui par une entrée en maison de retraite médicalisée, ayant vécu toute leur vie en pratiquant la langue des signes au sein de leur communauté, se retrouvent très isolés, dans des établissements où la langue des signes n’est pas présente. Dans un établissement destiné à les accueillir, la pratique de la langue des signes par le personnel n’est pas suffisante. La condition essentielle, qui permet un accueil correct de cette population, est l’intégration aux équipes, de personnel lui-même sourd et locuteur de la langue des signes. |
| Langues : |
Français (fre) |
| Catégories : |
Alpha
I:Institution ; L:Langue des signes ; M:Maison de repos et de soins ; S:Surdité
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| Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=28260 |
in La revue de gériatrie > Tome 40, 2 (Février 2015) . - p. 83-84
[article] Le premier droit d’un résident sourd en maison de retraite n’est-il pas d’y parler sa langue et de s’y faire comprendre ? [texte imprimé] / Benoît Drion, Auteur ; Jennifer Semail, Auteur . - 2015 . - p. 83-84. Les sourds pré-linguaux, concernés aujourd’hui par une entrée en maison de retraite médicalisée, ayant vécu toute leur vie en pratiquant la langue des signes au sein de leur communauté, se retrouvent très isolés, dans des établissements où la langue des signes n’est pas présente. Dans un établissement destiné à les accueillir, la pratique de la langue des signes par le personnel n’est pas suffisante. La condition essentielle, qui permet un accueil correct de cette population, est l’intégration aux équipes, de personnel lui-même sourd et locuteur de la langue des signes. Langues : Français ( fre) in La revue de gériatrie > Tome 40, 2 (Février 2015) . - p. 83-84 |
Exemplaires (1)
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| T006065 | REV | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |
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(impr. 2013)
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