Groupes Balint de Formation à la Relation Thérapeutique chez les étudiants en 4e année de médecine. Effets sur l’empathie clinique par un essai randomisé multicentrique contrôlé / P. Jaury in Psycho-Oncologie, Vol. 12, 1 (Mars 2018)

Public ISBD [article]  inPsycho-Oncologie > Vol. 12, 1 (Mars 2018) . - p.8-12 Titre : Groupes Balint de Formation à la Relation Thérapeutique chez les étudiants en 4e année de médecine. Effets sur l’empathie clinique par un essai randomisé multicentrique contrôlé Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Jaury, Auteur ; C. Buffel du Vaure, Auteur ; L. Bunge, Auteur ; E. Galam, Auteur ; M.-E. Vincens, Auteur ; A. Catu-Pinault, Auteur ; C. Ghasarossian, Auteur ; C. Lemogne, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p.8-12 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha B:Balint groupe ; C:Cancer ; C:Communication ; E:Empathie ; E:Etudiant ; F:Formation initiale ; M:Médecine ; P:Psycho-oncologie ; R:Relation médecin-patient Résumé : L’empathie, qui est au cœur de la relation médecin-patient, déclinerait pendant les études médicales. En France, les étudiants de 4ème année, sont pour la première fois en responsabilité avec des patients. Une étude contrôlée randomisée multisite a évalué les effets sur l’empathie d’un groupe de Formation à la Relation Thérapeutique (FRT) type groupe Balint. L’empathie évaluée par la JSPE-MS© (Jefferson’s School Empathy Scale - Medical Student) a été significativement supérieure dans le groupe FRT. L’utilisation de la FRT peut améliorer l’empathie des étudiants en médecine. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=38295 [article] Groupes Balint de Formation à la Relation Thérapeutique chez les étudiants en 4e année de médecine. Effets sur l’empathie clinique par un essai randomisé multicentrique contrôlé [texte imprimé] / P. Jaury, Auteur ; C. Buffel du Vaure, Auteur ; L. Bunge, Auteur ; E. Galam, Auteur ; M.-E. Vincens, Auteur ; A. Catu-Pinault, Auteur ; C. Ghasarossian, Auteur ; C. Lemogne, Auteur . - 2018 . - p.8-12. Langues : Français (fre) in Psycho-Oncologie > Vol. 12, 1 (Mars 2018) . - p.8-12 Catégories : Alpha B:Balint groupe ; C:Cancer ; C:Communication ; E:Empathie ; E:Etudiant ; F:Formation initiale ; M:Médecine ; P:Psycho-oncologie ; R:Relation médecin-patient Résumé : L’empathie, qui est au cœur de la relation médecin-patient, déclinerait pendant les études médicales. En France, les étudiants de 4ème année, sont pour la première fois en responsabilité avec des patients. Une étude contrôlée randomisée multisite a évalué les effets sur l’empathie d’un groupe de Formation à la Relation Thérapeutique (FRT) type groupe Balint. L’empathie évaluée par la JSPE-MS© (Jefferson’s School Empathy Scale - Medical Student) a été significativement supérieure dans le groupe FRT. L’utilisation de la FRT peut améliorer l’empathie des étudiants en médecine. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=38295

Exemplaires (1)

Code-barres	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
T007843	PSY	Revue	Tournai	Soins infirmiers (T)	Disponible

Stress et cancer : mythes et réalités / M. Reich in Psycho-Oncologie, Vol. 13, 3-4 (Décembre 2019)

Public ISBD [article]  inPsycho-Oncologie > Vol. 13, 3-4 (Décembre 2019) . - p.156-163 Titre : Stress et cancer : mythes et réalités Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Reich, Auteur ; C. Lemogne, Auteur ; S. Dauchy, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.156-163 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha C:Cancer ; C:Cancérogénèse ; E:Epidémiologie ; F:Facteur de risque ; M:Mythe ; P:Psycho-oncologie ; R:Réalité ; S:Stress Résumé : Les théories profanes émises par les patients et certains ouvrages destinés au grand public alimentent l’idée que le stress psychologique peut influencer le risque de survenue de cancer. Les études consultées sur cette question semblent donner des résultats contradictoires. D’un côté, ces théories peuvent sembler étayées par les résultats d’études expérimentales portant sur les corrélats physiologiques du stress sur des voies neuro-immunoendocrinologiques (perturbations immunitaires, altération de l’axe hypothalamohypophyso- surrénalien), métaboliques et cellulaires (stress oxydatif, dégénérescence cellulaire) pouvant être impliquées dans la tumorigenèse. De l’autre, les études épidémiologiques prospectives fondées sur une méthodologie robuste ne trouvent généralement pas d’association entre exposition au stress et développement ultérieur d’un cancer. Par ailleurs, les méta-analyses suggèrent l’existence de biais de publication pouvant surestimer le poids des études « positives ». Quand bien même une association est retrouvée, le caractère observationnel des études épidémiologiques et donc la possibilité de facteurs de confusion empêchent d’établir un lien de causalité entre l’exposition au stress et un risque majoré de cancer. En ce qui concerne les mécanismes d’une éventuelle relation causale directe, il faut souligner la difficulté d’extrapoler à l’être humain des résultats obtenus chez d’autres animaux, et s’assurer de bien prendre en compte la présence de facteurs comportementaux confondants ou médiateurs comme une mauvaise hygiène de vie alimentaire, la consommation de tabac et d’alcool, les expositions professionnelles, etc. Selon les recommandations du National Cancer Institute (NCI, 2012), les connaissances actuellement disponibles ne permettent pas d’établir un lien de causalité entre stress et augmentation du risque de cancer. Si le professionnel de soin psychique ne doit donc pas cautionner ce lien hypothétique au risque de culpabiliser le patient, il gardera à l’esprit, d’une part, que le cancer peut en revanche générer un stress bien réel au quotidien chez les patients atteints par cette maladie et, d’autre part, que ces théories « profanes » peuvent parfois témoigner d’un mécanisme de défense contre ce stress. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43227 [article] Stress et cancer : mythes et réalités [texte imprimé] / M. Reich, Auteur ; C. Lemogne, Auteur ; S. Dauchy, Auteur . - 2019 . - p.156-163. Langues : Français (fre) in Psycho-Oncologie > Vol. 13, 3-4 (Décembre 2019) . - p.156-163 Catégories : Alpha C:Cancer ; C:Cancérogénèse ; E:Epidémiologie ; F:Facteur de risque ; M:Mythe ; P:Psycho-oncologie ; R:Réalité ; S:Stress Résumé : Les théories profanes émises par les patients et certains ouvrages destinés au grand public alimentent l’idée que le stress psychologique peut influencer le risque de survenue de cancer. Les études consultées sur cette question semblent donner des résultats contradictoires. D’un côté, ces théories peuvent sembler étayées par les résultats d’études expérimentales portant sur les corrélats physiologiques du stress sur des voies neuro-immunoendocrinologiques (perturbations immunitaires, altération de l’axe hypothalamohypophyso- surrénalien), métaboliques et cellulaires (stress oxydatif, dégénérescence cellulaire) pouvant être impliquées dans la tumorigenèse. De l’autre, les études épidémiologiques prospectives fondées sur une méthodologie robuste ne trouvent généralement pas d’association entre exposition au stress et développement ultérieur d’un cancer. Par ailleurs, les méta-analyses suggèrent l’existence de biais de publication pouvant surestimer le poids des études « positives ». Quand bien même une association est retrouvée, le caractère observationnel des études épidémiologiques et donc la possibilité de facteurs de confusion empêchent d’établir un lien de causalité entre l’exposition au stress et un risque majoré de cancer. En ce qui concerne les mécanismes d’une éventuelle relation causale directe, il faut souligner la difficulté d’extrapoler à l’être humain des résultats obtenus chez d’autres animaux, et s’assurer de bien prendre en compte la présence de facteurs comportementaux confondants ou médiateurs comme une mauvaise hygiène de vie alimentaire, la consommation de tabac et d’alcool, les expositions professionnelles, etc. Selon les recommandations du National Cancer Institute (NCI, 2012), les connaissances actuellement disponibles ne permettent pas d’établir un lien de causalité entre stress et augmentation du risque de cancer. Si le professionnel de soin psychique ne doit donc pas cautionner ce lien hypothétique au risque de culpabiliser le patient, il gardera à l’esprit, d’une part, que le cancer peut en revanche générer un stress bien réel au quotidien chez les patients atteints par cette maladie et, d’autre part, que ces théories « profanes » peuvent parfois témoigner d’un mécanisme de défense contre ce stress. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43227

Exemplaires (1)

Code-barres	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
T008675	PSY	Revue	Tournai	Soins infirmiers (T)	Disponible

Troubles mentaux sévères et qualité des soins en oncologie / C. Lemogne in Psycho-Oncologie, Vol. 12, 2 (Juin 2018)

Public ISBD [article]  inPsycho-Oncologie > Vol. 12, 2 (Juin 2018) . - p. 93-98 Titre : Troubles mentaux sévères et qualité des soins en oncologie Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Lemogne, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 93-98 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha C:Cancer ; D:Diagnostic ; F:Facteur de risque ; M:Maladie mentale ; M:Mortalité ; P:Psychiatrie ; P:Psycho-oncologie ; P:Psychose ; Q:Qualité des soins ; R:Risque ; S:Schizophrénie Résumé : Les personnes atteintes de troubles mentaux sévères— schizophrénie en particulier—présentent une surmortalité de cause naturelle incluant la mortalité par cancer. En dépit d’une exposition plus importante à certains facteurs de risque de cancers, comme le tabagisme, ces personnes bénéficient moins souvent de mesures de prévention et de dépistage. Les cancers diagnostiqués le sont à un stade plus tardif, et la prise en charge thérapeutique est de moindre qualité qu’en population générale. Les causes de cette perte de chances sont multiples et accessibles à des mesures correctives. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39273 [article] Troubles mentaux sévères et qualité des soins en oncologie [texte imprimé] / C. Lemogne, Auteur . - 2018 . - p. 93-98. Langues : Français (fre) in Psycho-Oncologie > Vol. 12, 2 (Juin 2018) . - p. 93-98 Catégories : Alpha C:Cancer ; D:Diagnostic ; F:Facteur de risque ; M:Maladie mentale ; M:Mortalité ; P:Psychiatrie ; P:Psycho-oncologie ; P:Psychose ; Q:Qualité des soins ; R:Risque ; S:Schizophrénie Résumé : Les personnes atteintes de troubles mentaux sévères— schizophrénie en particulier—présentent une surmortalité de cause naturelle incluant la mortalité par cancer. En dépit d’une exposition plus importante à certains facteurs de risque de cancers, comme le tabagisme, ces personnes bénéficient moins souvent de mesures de prévention et de dépistage. Les cancers diagnostiqués le sont à un stade plus tardif, et la prise en charge thérapeutique est de moindre qualité qu’en population générale. Les causes de cette perte de chances sont multiples et accessibles à des mesures correctives. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39273

Exemplaires (1)

Code-barres	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
T008039	PSY	Revue	Tournai	Soins infirmiers (T)	Disponible

---

1 (1 - 3 / 3)