Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
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Semaine du 18/11 à Tournai : Fermé mardi 19/11 en après-midi et jeudi 21/11 en matinée. Fermé mercredi à 17h00. Fermé vendredi entre 12 et 13h00.
Semaine du 25/11 à Tournai : Fermé vendredi 29/11 en matinée.
Semaine du 02/12 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 18/11 à Mouscron : Horaire habituel
Semaine du 25/11 à Mouscron : Lundi: ouverture à 10h30.
Semaine du 11/11 à Mouscron : Fermé lundi (armistice)
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Auteur Thérèse Rivasseau-jonveaux |
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Les directives anticipées en situation palliative : un outil pour l’autonomie ? / Catherine Lamouille-Chevalier ; L. Demarche ; Thérèse Rivasseau-jonveaux ; Gaëlle Guyon ; Agata Zielinski ; N. Thilly ; Frédérique Claudot in Ethique & Santé, Vol. 18, N°4 (Décembre 2021)
[article]
Titre : Les directives anticipées en situation palliative : un outil pour l’autonomie ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Catherine Lamouille-Chevalier ; L. Demarche ; Thérèse Rivasseau-jonveaux ; Gaëlle Guyon ; Agata Zielinski ; N. Thilly ; Frédérique Claudot Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 202-208 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Autonomie ; D:Directive anticipée ; F:Fin de vie ; P:Prise de décision ; S:Soins palliatifsRésumé : Les directives anticipées sont encore peu utilisées en l’état actuel des choses. Très peu de recherches ont été entreprises à ce jour pour identifier les raisons pour lesquelles la rédaction de directives anticipées est si peu fréquente en France. L’objectif de la présente étude est d’identifier les freins et les leviers à la rédaction de directives anticipées par les patients en soins palliatifs et par les proches. Des entretiens individuels semi-structurés ont été réalisés auprès de patients en soins palliatifs hospitalisés en unité de soins palliatifs ou suivis en consultation de médecine palliative et auprès de leurs proches. Douze patients et dix proches ont été interrogés. Leurs points de vue étaient similaires. Notre étude a révélé que le modèle de directives écrites ne répondait pas aux attentes des personnes interrogées et que la rédaction des DA n’était pas un objectif prioritaire chez nos interviewés. Les participants ont privilégié les aspects relationnels avec les équipes soignantes et les proches, dans une approche dynamique qui respecte leur temporalité et leur capacité d’adaptation aux différents événements de vie. Si les discussions anticipées et répétées sont privilégiées, il reste à construire un modèle d’entretiens afin de pouvoir recueillir des informations qui représentent réellement les souhaits des patients et qui soient utiles à la pratique médicale. Les discussions anticipées s’inscrivent dans une approche plus systémique des personnes en situation palliative et constituent un outil relationnel pertinent pour la pratique des soins. Note de contenu : Doi : 10.1016/j.etiqe.2021.09.003
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=48208
in Ethique & Santé > Vol. 18, N°4 (Décembre 2021) . - p. 202-208[article] Les directives anticipées en situation palliative : un outil pour l’autonomie ? [texte imprimé] / Catherine Lamouille-Chevalier ; L. Demarche ; Thérèse Rivasseau-jonveaux ; Gaëlle Guyon ; Agata Zielinski ; N. Thilly ; Frédérique Claudot . - 2021 . - p. 202-208.
Langues : Français (fre)
in Ethique & Santé > Vol. 18, N°4 (Décembre 2021) . - p. 202-208
Catégories : Alpha
A:Autonomie ; D:Directive anticipée ; F:Fin de vie ; P:Prise de décision ; S:Soins palliatifsRésumé : Les directives anticipées sont encore peu utilisées en l’état actuel des choses. Très peu de recherches ont été entreprises à ce jour pour identifier les raisons pour lesquelles la rédaction de directives anticipées est si peu fréquente en France. L’objectif de la présente étude est d’identifier les freins et les leviers à la rédaction de directives anticipées par les patients en soins palliatifs et par les proches. Des entretiens individuels semi-structurés ont été réalisés auprès de patients en soins palliatifs hospitalisés en unité de soins palliatifs ou suivis en consultation de médecine palliative et auprès de leurs proches. Douze patients et dix proches ont été interrogés. Leurs points de vue étaient similaires. Notre étude a révélé que le modèle de directives écrites ne répondait pas aux attentes des personnes interrogées et que la rédaction des DA n’était pas un objectif prioritaire chez nos interviewés. Les participants ont privilégié les aspects relationnels avec les équipes soignantes et les proches, dans une approche dynamique qui respecte leur temporalité et leur capacité d’adaptation aux différents événements de vie. Si les discussions anticipées et répétées sont privilégiées, il reste à construire un modèle d’entretiens afin de pouvoir recueillir des informations qui représentent réellement les souhaits des patients et qui soient utiles à la pratique médicale. Les discussions anticipées s’inscrivent dans une approche plus systémique des personnes en situation palliative et constituent un outil relationnel pertinent pour la pratique des soins. Note de contenu : Doi : 10.1016/j.etiqe.2021.09.003
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=48208 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T009292 ETH Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Le jardin thérapeutique comme médiateur des relations sociales et familiales en UCC / A.-B. Simzac in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), Vol. 24, n° 140 (Avril 2024)
[article]
Titre : Le jardin thérapeutique comme médiateur des relations sociales et familiales en UCC Type de document : texte imprimé Auteurs : A.-B. Simzac ; C. Jacob ; E. Nassau ; M. Surmely ; R. Fescharek ; Thérèse Rivasseau-jonveaux Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 81-88 Note générale : Cet article fait partie du dossier "Interventions non médicamenteuses".
https://doi.org/10.1016/j.npg.2023.11.004Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Activité thérapeutique ; A:Alzheimer (maladie) ; C:Communication ; F:Famille ; J:Jardin ; M:Milieu de vie ; P:Personne âgée ; R:Relation interpersonnelle ; T:Trouble cognitif ; T:Trouble du comportementRésumé : Un environnement familier, accueillant et soutenant permet aux personnes présentant des troubles cognitifs d’accroître leur bien-être. De ce fait les jardins à but thérapeutique sont préconisés dans les établissements de santé et peuvent s’intégrer au projet de soin. L’entourage des personnes malades est directement confronté à des situations complexes liées aux soins de leur proche. Cette étude vise à présenter l’usage et l’impact d’un jardin à but thérapeutique auprès des proches de patients d’une Unité cognitivo-comportementale (ucc) et à recueillir leurs éventuelles suggestions pour améliorer l’aménagement du jardin. Dix entretiens semi-directifs ont été réalisés auprès de proches visiteurs. Les résultats montrent que l’utilisation du jardin par les proches est partagée avec le patient. La présence de ce jardin est unanimement appréciée. Le jardin apparaît comme un support aux relations et à la communication entre les patients et leurs proches tout en leur apportant un sentiment d’apaisement et de bien-être. Les proches remarquent également ces mêmes effets sur le patient, ce qui rend leurs visites plus agréables. Cependant, pour obtenir des effets positifs, la conception et l’aménagement du jardin doivent être réfléchis. Un suivi régulier avec une évaluation structurée et standardisée de son utilisation et de ses bénéfices permet d’améliorer ses impacts. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54578
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 24, n° 140 (Avril 2024) . - p. 81-88[article] Le jardin thérapeutique comme médiateur des relations sociales et familiales en UCC [texte imprimé] / A.-B. Simzac ; C. Jacob ; E. Nassau ; M. Surmely ; R. Fescharek ; Thérèse Rivasseau-jonveaux . - 2024 . - p. 81-88.
Cet article fait partie du dossier "Interventions non médicamenteuses".
https://doi.org/10.1016/j.npg.2023.11.004
Langues : Français (fre)
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 24, n° 140 (Avril 2024) . - p. 81-88
Catégories : Alpha
A:Activité thérapeutique ; A:Alzheimer (maladie) ; C:Communication ; F:Famille ; J:Jardin ; M:Milieu de vie ; P:Personne âgée ; R:Relation interpersonnelle ; T:Trouble cognitif ; T:Trouble du comportementRésumé : Un environnement familier, accueillant et soutenant permet aux personnes présentant des troubles cognitifs d’accroître leur bien-être. De ce fait les jardins à but thérapeutique sont préconisés dans les établissements de santé et peuvent s’intégrer au projet de soin. L’entourage des personnes malades est directement confronté à des situations complexes liées aux soins de leur proche. Cette étude vise à présenter l’usage et l’impact d’un jardin à but thérapeutique auprès des proches de patients d’une Unité cognitivo-comportementale (ucc) et à recueillir leurs éventuelles suggestions pour améliorer l’aménagement du jardin. Dix entretiens semi-directifs ont été réalisés auprès de proches visiteurs. Les résultats montrent que l’utilisation du jardin par les proches est partagée avec le patient. La présence de ce jardin est unanimement appréciée. Le jardin apparaît comme un support aux relations et à la communication entre les patients et leurs proches tout en leur apportant un sentiment d’apaisement et de bien-être. Les proches remarquent également ces mêmes effets sur le patient, ce qui rend leurs visites plus agréables. Cependant, pour obtenir des effets positifs, la conception et l’aménagement du jardin doivent être réfléchis. Un suivi régulier avec une évaluation structurée et standardisée de son utilisation et de ses bénéfices permet d’améliorer ses impacts. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54578 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T010185 NPG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Pratique d’une sédation proportionnée réversible à durée indéterminée. Étude rétrospective de 9 cas à l’USP du CHU de Bordeaux / Marjory Olivier in Médecine palliative, vol. 21, n°3 (Mai 2022)
[article]
Titre : Pratique d’une sédation proportionnée réversible à durée indéterminée. Étude rétrospective de 9 cas à l’USP du CHU de Bordeaux Type de document : texte imprimé Auteurs : Marjory Olivier ; Amandine Mathe ; Thérèse Rivasseau-jonveaux ; Camille Saussac ; Bernard Paternostre ; Guillaume Frasca ; Benoît Burucoa Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 115-125 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
D:Douleur rebelle ; P:Phase terminale ; S:Sédation ; S:Soins palliatifsRésumé : En phase palliative terminale, différentes sédations peuvent être indiquées face à une situation dite réfractaire. Les sédations proportionnées, souvent peu profondes, réversibles et de durée indéterminée, se distinguent ainsi des sédations profondes et continues jusqu’au décès (SPMJD) instaurées par la Loi de Claeys-Leonetti. Cette étude rétrospective décrit les sédations proportionnées réalisées à l’unité de soins palliatifs du CHU de Bordeaux entre 2012 et 2017. Sur 850 dossiers aucune SPMJD n’est relevée et 9 cas de sédations réversibles et de durées indéterminées ont été identifiés. Les principaux symptômes réfractaires en cause étaient l’agitation (8 cas sur 9), l’épilepsie (souvent partielle), l’hypercalcémie maligne, l’embolie pulmonaire et les troubles psychiatriques. Les sédations par midazolam intra veineux ont été initiées en moyenne 7 heures après la reconnaissance du caractère réfractaire des symptômes. Associées à un ajustement du traitement de fond dès la première heure, ces sédations ont permis le soulagement des 9 patients. Six récidives du symptôme initial sont survenues, entre 6 et 24heures après le début de la sédation. Toutes ont été soulagées par des prescriptions anticipées non sédatives ou une sédation complémentaire transitoire et proportionnée, dans 2 cas il n’a pas été nécessaire de la poursuivre. Tous les patients sont décédés, en moyenne 4jours après la sédation. Les éléments de procédures collégiales, d’évaluation de la vigilance et de modalités d’accompagnement de l’équipe étaient peu tracés dans les dossiers. La sédation proportionnée réversible lorsqu’elle est associée à une adaptation concomitante du traitement de fond est pertinente en cas de symptômes réfractaires en phase terminale. Elle favorise le maintien d’une communication avec l’entourage familial et les soignants ainsi que l’évaluation de la souffrance, notamment psychique et existentielle. Note de contenu : Doi : 10.1016/j.medpal.2021.06.003 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49764
in Médecine palliative > vol. 21, n°3 (Mai 2022) . - p. 115-125[article] Pratique d’une sédation proportionnée réversible à durée indéterminée. Étude rétrospective de 9 cas à l’USP du CHU de Bordeaux [texte imprimé] / Marjory Olivier ; Amandine Mathe ; Thérèse Rivasseau-jonveaux ; Camille Saussac ; Bernard Paternostre ; Guillaume Frasca ; Benoît Burucoa . - 2022 . - p. 115-125.
Langues : Français (fre)
in Médecine palliative > vol. 21, n°3 (Mai 2022) . - p. 115-125
Catégories : Alpha
D:Douleur rebelle ; P:Phase terminale ; S:Sédation ; S:Soins palliatifsRésumé : En phase palliative terminale, différentes sédations peuvent être indiquées face à une situation dite réfractaire. Les sédations proportionnées, souvent peu profondes, réversibles et de durée indéterminée, se distinguent ainsi des sédations profondes et continues jusqu’au décès (SPMJD) instaurées par la Loi de Claeys-Leonetti. Cette étude rétrospective décrit les sédations proportionnées réalisées à l’unité de soins palliatifs du CHU de Bordeaux entre 2012 et 2017. Sur 850 dossiers aucune SPMJD n’est relevée et 9 cas de sédations réversibles et de durées indéterminées ont été identifiés. Les principaux symptômes réfractaires en cause étaient l’agitation (8 cas sur 9), l’épilepsie (souvent partielle), l’hypercalcémie maligne, l’embolie pulmonaire et les troubles psychiatriques. Les sédations par midazolam intra veineux ont été initiées en moyenne 7 heures après la reconnaissance du caractère réfractaire des symptômes. Associées à un ajustement du traitement de fond dès la première heure, ces sédations ont permis le soulagement des 9 patients. Six récidives du symptôme initial sont survenues, entre 6 et 24heures après le début de la sédation. Toutes ont été soulagées par des prescriptions anticipées non sédatives ou une sédation complémentaire transitoire et proportionnée, dans 2 cas il n’a pas été nécessaire de la poursuivre. Tous les patients sont décédés, en moyenne 4jours après la sédation. Les éléments de procédures collégiales, d’évaluation de la vigilance et de modalités d’accompagnement de l’équipe étaient peu tracés dans les dossiers. La sédation proportionnée réversible lorsqu’elle est associée à une adaptation concomitante du traitement de fond est pertinente en cas de symptômes réfractaires en phase terminale. Elle favorise le maintien d’une communication avec l’entourage familial et les soignants ainsi que l’évaluation de la souffrance, notamment psychique et existentielle. Note de contenu : Doi : 10.1016/j.medpal.2021.06.003 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49764 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T009104 MED Livre Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Quelle détermination du caractère réfractaire d’une souffrance terminale par des médecins d’unité de soins palliatifs ? / Baptiste Suzzoni in Médecine palliative, vol. 21, n°4 (août 2022)
[article]
Titre : Quelle détermination du caractère réfractaire d’une souffrance terminale par des médecins d’unité de soins palliatifs ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Baptiste Suzzoni ; Camille Saussac ; Adeline Lejeune ; Matthieu Frasca ; Bernard Paternostre ; Thérèse Rivasseau-jonveaux ; Benoît Burucoa Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 181-192 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Attitude du personnel soignant ; D:Diagnostic ; D:Douleur rebelle ; E:Evaluation ; P:Phase terminale ; P:Pratique clinique ; S:Sédation profonde et continue jusqu'au décèsRésumé : Un acte de sédation peut être indiqué en cas de souffrance réfractaire en situation palliative. Il est défini comme la recherche par des moyens médicamenteux d’une diminution de la vigilance pouvant aller jusqu’à la perte de conscience. Les pratiques sédatives sont proportionnées ou profondes, à durée déterminée ou continue maintenue jusqu’au décès tel qu’encadrées par la loi Claeys-Leonetti. L’outil SEDAPALL établit une typologie de l’intention de ces sédations à leur initiation. La démarche clinique pour déterminer le caractère réfractaire d’une souffrance qui peut conduire à retenir une indication à une sédation profonde a été étudiée auprès de 16 médecins exerçant dans différentes Unités de Soins Palliatifs de Nouvelle Aquitaine à partir d’entretiens semi directifs. En résultats, le caractère réfractaire est relié à un vécu insupportable par le patient, et à l’absence de soulagement. Cette souffrance est dite multidimensionnelle, physique, psychologique, existentielle et socio familiale. Parmi ces différentes composantes, la souffrance existentielle est estimée la plus difficile à évaluer et la souffrance socio-familiale est la moins bien caractérisée. Le caractère réfractaire est dit déterminé par des évaluations répétées, en pluridisciplinarité. La procédure collégiale est utilisée par onze médecins. Les médecins exerçant depuis longtemps en USP et ceux formés à l’éthique semblent adopter une démarche plus formalisée. Les pratiques des médecins ne déclarant aucune démarche systématisée témoignent néanmoins de l’appropriation des recommandations de l’HAS. Note de contenu : Doi : 10.1016/j.medpal.2021.11.002 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=50178
in Médecine palliative > vol. 21, n°4 (août 2022) . - p. 181-192[article] Quelle détermination du caractère réfractaire d’une souffrance terminale par des médecins d’unité de soins palliatifs ? [texte imprimé] / Baptiste Suzzoni ; Camille Saussac ; Adeline Lejeune ; Matthieu Frasca ; Bernard Paternostre ; Thérèse Rivasseau-jonveaux ; Benoît Burucoa . - 2022 . - p. 181-192.
Langues : Français (fre)
in Médecine palliative > vol. 21, n°4 (août 2022) . - p. 181-192
Catégories : Alpha
A:Attitude du personnel soignant ; D:Diagnostic ; D:Douleur rebelle ; E:Evaluation ; P:Phase terminale ; P:Pratique clinique ; S:Sédation profonde et continue jusqu'au décèsRésumé : Un acte de sédation peut être indiqué en cas de souffrance réfractaire en situation palliative. Il est défini comme la recherche par des moyens médicamenteux d’une diminution de la vigilance pouvant aller jusqu’à la perte de conscience. Les pratiques sédatives sont proportionnées ou profondes, à durée déterminée ou continue maintenue jusqu’au décès tel qu’encadrées par la loi Claeys-Leonetti. L’outil SEDAPALL établit une typologie de l’intention de ces sédations à leur initiation. La démarche clinique pour déterminer le caractère réfractaire d’une souffrance qui peut conduire à retenir une indication à une sédation profonde a été étudiée auprès de 16 médecins exerçant dans différentes Unités de Soins Palliatifs de Nouvelle Aquitaine à partir d’entretiens semi directifs. En résultats, le caractère réfractaire est relié à un vécu insupportable par le patient, et à l’absence de soulagement. Cette souffrance est dite multidimensionnelle, physique, psychologique, existentielle et socio familiale. Parmi ces différentes composantes, la souffrance existentielle est estimée la plus difficile à évaluer et la souffrance socio-familiale est la moins bien caractérisée. Le caractère réfractaire est dit déterminé par des évaluations répétées, en pluridisciplinarité. La procédure collégiale est utilisée par onze médecins. Les médecins exerçant depuis longtemps en USP et ceux formés à l’éthique semblent adopter une démarche plus formalisée. Les pratiques des médecins ne déclarant aucune démarche systématisée témoignent néanmoins de l’appropriation des recommandations de l’HAS. Note de contenu : Doi : 10.1016/j.medpal.2021.11.002 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=50178 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T009592 MED Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Résistance et leviers dans l’évaluation des pratiques professionnelles : enquête menée dans le service de soins palliatifs du CHU de Bordeaux / Fanny Lafaye in Revue internationale de soins palliatifs, vol.35, 04 (décembre 2021-février 2022)
[article]
Titre : Résistance et leviers dans l’évaluation des pratiques professionnelles : enquête menée dans le service de soins palliatifs du CHU de Bordeaux Type de document : texte imprimé Auteurs : Fanny Lafaye ; Thérèse Rivasseau-jonveaux ; Camille Saussac ; Bernard Paternostre ; Matthieu Frasca ; Benoît Burucoa ; Danielle Lafay ; Sylvie Marty Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 163-179 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Amélioration ; E:Évaluation des pratiques professionnelles ; E:Expertise ; F:Formation ; R:Relation interprofessionnelle ; S:Soins palliatifsRésumé : Une enquête auprès de professionnels d’équipe mobile et d’unité de soins palliatifs a identifié des résistances à la démarche d’Evaluation des Pratiques Professionnelles (EPP). Des convergences avec l’appropriation de la démarche EPP d’autres disciplines émergent : nécessité d’une formation, d’un soutien de l’encadrement, d’une collaboration avec des experts et d’une reconnaissance institutionnelle. Il importe de désamorcer les résistances identifiées, de choisir un thème consensuel. Cependant, les soignants témoignent aussi de réelles attentes et la mise en œuvre réussie d’une EPP peut conforter leur motivation pour poursuivre et revisiter leurs métiers afin d’améliorer leurs pratiques. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=48484
in Revue internationale de soins palliatifs > vol.35, 04 (décembre 2021-février 2022) . - p. 163-179[article] Résistance et leviers dans l’évaluation des pratiques professionnelles : enquête menée dans le service de soins palliatifs du CHU de Bordeaux [texte imprimé] / Fanny Lafaye ; Thérèse Rivasseau-jonveaux ; Camille Saussac ; Bernard Paternostre ; Matthieu Frasca ; Benoît Burucoa ; Danielle Lafay ; Sylvie Marty . - 2021 . - p. 163-179.
Langues : Français (fre)
in Revue internationale de soins palliatifs > vol.35, 04 (décembre 2021-février 2022) . - p. 163-179
Catégories : Alpha
A:Amélioration ; E:Évaluation des pratiques professionnelles ; E:Expertise ; F:Formation ; R:Relation interprofessionnelle ; S:Soins palliatifsRésumé : Une enquête auprès de professionnels d’équipe mobile et d’unité de soins palliatifs a identifié des résistances à la démarche d’Evaluation des Pratiques Professionnelles (EPP). Des convergences avec l’appropriation de la démarche EPP d’autres disciplines émergent : nécessité d’une formation, d’un soutien de l’encadrement, d’une collaboration avec des experts et d’une reconnaissance institutionnelle. Il importe de désamorcer les résistances identifiées, de choisir un thème consensuel. Cependant, les soignants témoignent aussi de réelles attentes et la mise en œuvre réussie d’une EPP peut conforter leur motivation pour poursuivre et revisiter leurs métiers afin d’améliorer leurs pratiques. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=48484 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M006174 REV Revue Mouscron Soins Infirmiers (M) Disponible T009360 REV Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Les résultats à moyen terme de l'unité Cognitive-Comportementale du CHU de Nancy dans la prise en charge des troubles du comportement chez les personnes âgées atteintes de troubles cognitifs / Florence Cayre in La revue de gériatrie, Tome 41, 2 (Février 2016)
PermalinkRetour au paradis Les jardins thérapeutiques : constats et pistes de développement / Thérèse Rivasseau-jonveaux in L'observatoire, 90 (Mars 2017)
PermalinkSclérose latérale amyotropique ou comment penser et dire l'impossible / Catherine Lamouille-Chevalier in Revue internationale de soins palliatifs, Vol.33, n°4 (Décembre 2018)
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