Centre de Documentation Campus Montignies
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Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
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Effet d'une courte sieste sur les performances maximales aérobies de jeunes adultes sains / Augustin Lengronne
Titre : Effet d'une courte sieste sur les performances maximales aérobies de jeunes adultes sains Type de document : TFE / Mémoire Auteurs : Augustin Lengronne, Auteur ; Mikael Scohier, Promoteur du mémoire Editeur : Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut Année de publication : 2022 Importance : 46p. Note générale : Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut. Veuillez vous connecter pour accéder à votre compte lecteur. Langues : Français (fre) Mots-clés : sieste Performance maximale Course à pied VMA Temps limite Index. décimale : MK Mémoire kinésithérapie Résumé : Contexte et objectif Dans la vie quotidienne, la sieste est reconnue comme un moyen efficace de lutter contre un état de fatigue ou une diminution de la vigilance. Il semblerait que certaines plages horaires soient tout de même à proscrire pour la réalisation d’une sieste et que la durée optimale est différente selon les objectifs recherchés. Ainsi une courte sieste est conseillée pour être efficace dès la fin de ce temps de repos alors qu’elle devra être plus longue pour la mémorisation. La littérature scientifique s’est aussi intéressée à l’effet potentiellement bénéfique de la sieste sur la pratique sportive. D’une durée de 25 à 90 minutes, réalisée 1h30 à 3 heures avant l’exercice induirait une amélioration de la performance maximale de courte durée et une diminution de la sensation de l’effort perçu à même intensité. Cependant, l’effet potentiellement bénéfique d’une brève sieste réalisée peu de temps avant un test d’effort (moins de 30 minutes) n’a pas encore été investigué. L’objectif de cette étude est ainsi d’observer l’effet d’une courte sieste réalisée moins de 30 minutes avant l’exercice sur une performance maximale déterminée lors d’un test de vitesse maximale aérobie -VMA- et d’un test Temps limite.
Méthodes Sur les 28 sujets qui se sont présentés, 22 sujets ont pu réaliser le test VMA et 21 le test Temps limite. Une répartition aléatoire a été faite et a permis la constitution de deux groupes dont le premier a réalisé la sieste lors des premiers tests et l’autre groupe la sieste avant les test de la deuxième semaine. Un premier test par incrémentation a été réalisé sur tapis de course dont l’objectif était de déterminer la vitesse maximale aérobie (VMA). Ce test permettait alors de déterminer la vitesse pour les deux tests temps limite à suivre, fixée à 90% de la VMA. Entre deux tests d’une même semaine une période de 48 heures était demandée pour que le sujet élimine la fatigue qui aurait pu être occasionnée lors du premier test. Les sujets étaient amenés à revenir la semaine suivante afin de réaliser ces mêmes tests mais selon la condition manquante.
Résultats Il y a une amélioration significative de la performance dans la condition sieste pour les deux tests. L’amélioration du test VMA (p=0,004) s’explique principalement par une augmentation significative de la fréquence cardiaque maximale (p=0,04). Le test temps limite est lui aussi amélioré grâce à la sieste (p=0,028) mais aucun paramètre n’évolue de façon significative pour justifier cette meilleure performance.
Conclusion Une courte sieste de 20 minutes réalisée moins de 30 minutes avant le début d’un test permet une amélioration de la performance maximale en course à pied.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105925 Effet d'une courte sieste sur les performances maximales aérobies de jeunes adultes sains [TFE / Mémoire] / Augustin Lengronne, Auteur ; Mikael Scohier, Promoteur du mémoire . - Montignies-sur-Sambre : Haute Ecole Louvain en Hainaut, 2022 . - 46p.
Le fichier numérique de ce document est disponible uniquement pour les membres de la Haute Ecole Louvain-en-Hainaut. Veuillez vous connecter pour accéder à votre compte lecteur.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : sieste Performance maximale Course à pied VMA Temps limite Index. décimale : MK Mémoire kinésithérapie Résumé : Contexte et objectif Dans la vie quotidienne, la sieste est reconnue comme un moyen efficace de lutter contre un état de fatigue ou une diminution de la vigilance. Il semblerait que certaines plages horaires soient tout de même à proscrire pour la réalisation d’une sieste et que la durée optimale est différente selon les objectifs recherchés. Ainsi une courte sieste est conseillée pour être efficace dès la fin de ce temps de repos alors qu’elle devra être plus longue pour la mémorisation. La littérature scientifique s’est aussi intéressée à l’effet potentiellement bénéfique de la sieste sur la pratique sportive. D’une durée de 25 à 90 minutes, réalisée 1h30 à 3 heures avant l’exercice induirait une amélioration de la performance maximale de courte durée et une diminution de la sensation de l’effort perçu à même intensité. Cependant, l’effet potentiellement bénéfique d’une brève sieste réalisée peu de temps avant un test d’effort (moins de 30 minutes) n’a pas encore été investigué. L’objectif de cette étude est ainsi d’observer l’effet d’une courte sieste réalisée moins de 30 minutes avant l’exercice sur une performance maximale déterminée lors d’un test de vitesse maximale aérobie -VMA- et d’un test Temps limite.
Méthodes Sur les 28 sujets qui se sont présentés, 22 sujets ont pu réaliser le test VMA et 21 le test Temps limite. Une répartition aléatoire a été faite et a permis la constitution de deux groupes dont le premier a réalisé la sieste lors des premiers tests et l’autre groupe la sieste avant les test de la deuxième semaine. Un premier test par incrémentation a été réalisé sur tapis de course dont l’objectif était de déterminer la vitesse maximale aérobie (VMA). Ce test permettait alors de déterminer la vitesse pour les deux tests temps limite à suivre, fixée à 90% de la VMA. Entre deux tests d’une même semaine une période de 48 heures était demandée pour que le sujet élimine la fatigue qui aurait pu être occasionnée lors du premier test. Les sujets étaient amenés à revenir la semaine suivante afin de réaliser ces mêmes tests mais selon la condition manquante.
Résultats Il y a une amélioration significative de la performance dans la condition sieste pour les deux tests. L’amélioration du test VMA (p=0,004) s’explique principalement par une augmentation significative de la fréquence cardiaque maximale (p=0,04). Le test temps limite est lui aussi amélioré grâce à la sieste (p=0,028) mais aucun paramètre n’évolue de façon significative pour justifier cette meilleure performance.
Conclusion Une courte sieste de 20 minutes réalisée moins de 30 minutes avant le début d’un test permet une amélioration de la performance maximale en course à pied.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=105925 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Methodological approach for determining optimal active warm-up intensity: predictive equations in Science & sports, Volume 24 numéro 1 (01/02/2009)
[article]
Titre : Methodological approach for determining optimal active warm-up intensity: predictive equations Type de document : texte imprimé Année de publication : 2009 Article en page(s) : pp.9-14 Langues : Français (fre) Mots-clés : échauffements actifs approche méthodologique équations prédictives temps limite Résumé : Objectif
L’objectif de ce travail est de trouver des modèles permettant de prédire les effets d’échauffements actifs sur la performance.
Méthodes
Deux expérimentations ont été menées dans deux pays. L’approche méthodologique dans les deux pays était basée sur un échauffement sur le terrain librement déterminé en intensité, durée et gestes par le sujet. La durée et l’intensité de cet échauffement étaient répliquées au laboratoire sur ergocycle et constituaient l’échauffement de référence à partir duquel deux autres échauffements d’intensité augmentée de 10 % (RWU + 10 %) pour l’un et diminuée de 10 % (RWU − 10 %) pour l’autre étaient définis. Leurs effets étaient évalués sur le temps limite (Tlim) d’un exercice maximal. Neuf sujets ont participé à la première expérimentation et 20 à la seconde.
Résultats
L’échauffement de référence s’est trouvé être optimal et correspondait à 62 ± 10 % de la puissance maximale aérobie ; induisant une consommation d’oxygène correspondant à 75,6 ± 10,4 % View the MathML source et une élévation de la fréquence cardiaque de 78 ± 7 % HRmax. Le Tlim était corrélé à l’intensité de l’échauffement par deux régressions linéaires comme suit :
View the MathML source
Turn MathJax on
Conclusion
Les résultats de cette étude permettent d’établir des modèles mathématiques prédictifs des effets d’échauffements actifs sur la performance.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21503
in Science & sports > Volume 24 numéro 1 (01/02/2009) . - pp.9-14[article] Methodological approach for determining optimal active warm-up intensity: predictive equations [texte imprimé] . - 2009 . - pp.9-14.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 24 numéro 1 (01/02/2009) . - pp.9-14
Mots-clés : échauffements actifs approche méthodologique équations prédictives temps limite Résumé : Objectif
L’objectif de ce travail est de trouver des modèles permettant de prédire les effets d’échauffements actifs sur la performance.
Méthodes
Deux expérimentations ont été menées dans deux pays. L’approche méthodologique dans les deux pays était basée sur un échauffement sur le terrain librement déterminé en intensité, durée et gestes par le sujet. La durée et l’intensité de cet échauffement étaient répliquées au laboratoire sur ergocycle et constituaient l’échauffement de référence à partir duquel deux autres échauffements d’intensité augmentée de 10 % (RWU + 10 %) pour l’un et diminuée de 10 % (RWU − 10 %) pour l’autre étaient définis. Leurs effets étaient évalués sur le temps limite (Tlim) d’un exercice maximal. Neuf sujets ont participé à la première expérimentation et 20 à la seconde.
Résultats
L’échauffement de référence s’est trouvé être optimal et correspondait à 62 ± 10 % de la puissance maximale aérobie ; induisant une consommation d’oxygène correspondant à 75,6 ± 10,4 % View the MathML source et une élévation de la fréquence cardiaque de 78 ± 7 % HRmax. Le Tlim était corrélé à l’intensité de l’échauffement par deux régressions linéaires comme suit :
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Conclusion
Les résultats de cette étude permettent d’établir des modèles mathématiques prédictifs des effets d’échauffements actifs sur la performance.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21503 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtPuissance critique de l’enfant prépubère et de l’adulte in Science & sports, Volume 23 numéro 5 (01/10/2008)
[article]
Titre : Puissance critique de l’enfant prépubère et de l’adulte Type de document : texte imprimé Année de publication : 2008 Article en page(s) : pp.252-254 Langues : Français (fre) Mots-clés : temps limite capacité de travail anaérobie croissance Résumé : Objectif
L’objectif de cette étude était de comparer, à l’aide du concept de puissance critique, les qualités aérobie et anaérobie d’enfants prépubères et d’adultes.
Méthode
Seize enfants (10,3 ± 0,9 ans) et 15 adultes (23,5 ± 3,6 ans) ont réalisé cinq tests : un exercice maximal à puissance croissante et quatre exercices à puissance constante jusqu’à épuisement. La puissance critique (PC) et la capacité de travail anaérobie (CTA) ont été déterminées à partir de la relation linéaire puissance-1/temps (P-t).
Résultats
Des coefficients de détermination élevés ont été obtenus pour la relation P-t chez l’enfant (0,94 ± 0,05) et chez l’adulte (0,96 ± 0,04). Les valeurs de PC étaient significativement inférieures (p < 0,01) chez l’enfant (2,7 ± 0,4 W/kg) en comparaison de l’adulte (3,1 ± 0,3 W/kg). Les valeurs de CTA étaient significativement inférieures (p < 0,001) chez l’enfant (136,4 ± 50,8 J/kg) en comparaison de l’adulte (247,1 ± 45,7 J/kg).
Conclusion
Le concept de puissance critique s’avère applicable aux performances des enfants. Il donne des informations cohérentes avec les caractéristiques des enfants habituellement reportées dans le littérature concernant leurs qualités aérobies et anaérobies.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21569
in Science & sports > Volume 23 numéro 5 (01/10/2008) . - pp.252-254[article] Puissance critique de l’enfant prépubère et de l’adulte [texte imprimé] . - 2008 . - pp.252-254.
Langues : Français (fre)
in Science & sports > Volume 23 numéro 5 (01/10/2008) . - pp.252-254
Mots-clés : temps limite capacité de travail anaérobie croissance Résumé : Objectif
L’objectif de cette étude était de comparer, à l’aide du concept de puissance critique, les qualités aérobie et anaérobie d’enfants prépubères et d’adultes.
Méthode
Seize enfants (10,3 ± 0,9 ans) et 15 adultes (23,5 ± 3,6 ans) ont réalisé cinq tests : un exercice maximal à puissance croissante et quatre exercices à puissance constante jusqu’à épuisement. La puissance critique (PC) et la capacité de travail anaérobie (CTA) ont été déterminées à partir de la relation linéaire puissance-1/temps (P-t).
Résultats
Des coefficients de détermination élevés ont été obtenus pour la relation P-t chez l’enfant (0,94 ± 0,05) et chez l’adulte (0,96 ± 0,04). Les valeurs de PC étaient significativement inférieures (p < 0,01) chez l’enfant (2,7 ± 0,4 W/kg) en comparaison de l’adulte (3,1 ± 0,3 W/kg). Les valeurs de CTA étaient significativement inférieures (p < 0,001) chez l’enfant (136,4 ± 50,8 J/kg) en comparaison de l’adulte (247,1 ± 45,7 J/kg).
Conclusion
Le concept de puissance critique s’avère applicable aux performances des enfants. Il donne des informations cohérentes avec les caractéristiques des enfants habituellement reportées dans le littérature concernant leurs qualités aérobies et anaérobies.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=21569 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêt