Centre de Documentation Campus Montignies
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Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
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2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Radiculalgie'
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Diagnostic différentiel dans le cadre des lombalgies / C. Demoulin in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, Vol.36 N°4 (octobre 2023)
[article]
Titre : Diagnostic différentiel dans le cadre des lombalgies Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Demoulin ; M. Tomasella ; P. Pesesse ; M. Vanderthommen ; S. Genevay ; S. Grosdent Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 26-272-A-10 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : Lombalgie Douleur Radiculopathie Drapeau rouge Radiculalgie Résumé : La lombalgie constitue une des affections musculosquelettiques les plus fréquentes au monde. Ses étiologies pouvant être multiples, un diagnostic différentiel et un bilan approfondi sont nécessaires afin de pouvoir proposer une prise en charge adaptée. Face à une lombalgie, la priorité consiste à exclure une suspicion de lombalgie « spécifique », en vérifiant l'absence de drapeaux rouges (signes d'alerte), car ce type de lombalgie nécessite une prise en charge médicale spécifique. Certaines lombalgies sont associées à une radiculopathie et/ou une radiculalgie ; elles doivent être identifiées et suivies, car nécessitant également une approche spécifique. Néanmoins, le diagnostic de lombalgie commune (ou non spécifique), envisagé après l'exclusion des diagnostics mentionnés ci-dessus, est le plus fréquent (> 80-90 %). Il nécessite une approche biopsychosociale. L'origine nociceptive spécifique des lombalgies communes peut provenir de nombreuses structures de la région lombaire (ex. : disque intervertébral, facette articulaire, ligaments, structures myofasciales), de structures rachidiennes extralombaires (ex. : articulation sacro-iliaque), mais aussi extrarachidiennes (ex. : viscérales). Si des tests/signes ont été décrits, l'absence de gold standard et la faible sensibilité/spécificité de la majorité d'entre eux empêchent de déterminer avec certitude la structure spécifique à l'origine des douleurs, surtout lorsque la douleur devient persistante. Il est dès lors nécessaire d'évaluer les nombreux autres facteurs pouvant contribuer à la présence/persistance des douleurs (ex. : certains facteurs psychosociaux, un phénomène de sensibilisation centrale), car ils doivent conditionner le traitement. L'objectif de cet article consiste à décrire les éléments permettant de distinguer les différentes étiologies des lombalgies de l'adulte afin de pouvoir proposer une prise en charge adéquate. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113788
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.36 N°4 (octobre 2023) . - p. 26-272-A-10 [Tome 3][article] Diagnostic différentiel dans le cadre des lombalgies [texte imprimé] / C. Demoulin ; M. Tomasella ; P. Pesesse ; M. Vanderthommen ; S. Genevay ; S. Grosdent . - 2023 . - p. 26-272-A-10 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.36 N°4 (octobre 2023) . - p. 26-272-A-10 [Tome 3]
Mots-clés : Lombalgie Douleur Radiculopathie Drapeau rouge Radiculalgie Résumé : La lombalgie constitue une des affections musculosquelettiques les plus fréquentes au monde. Ses étiologies pouvant être multiples, un diagnostic différentiel et un bilan approfondi sont nécessaires afin de pouvoir proposer une prise en charge adaptée. Face à une lombalgie, la priorité consiste à exclure une suspicion de lombalgie « spécifique », en vérifiant l'absence de drapeaux rouges (signes d'alerte), car ce type de lombalgie nécessite une prise en charge médicale spécifique. Certaines lombalgies sont associées à une radiculopathie et/ou une radiculalgie ; elles doivent être identifiées et suivies, car nécessitant également une approche spécifique. Néanmoins, le diagnostic de lombalgie commune (ou non spécifique), envisagé après l'exclusion des diagnostics mentionnés ci-dessus, est le plus fréquent (> 80-90 %). Il nécessite une approche biopsychosociale. L'origine nociceptive spécifique des lombalgies communes peut provenir de nombreuses structures de la région lombaire (ex. : disque intervertébral, facette articulaire, ligaments, structures myofasciales), de structures rachidiennes extralombaires (ex. : articulation sacro-iliaque), mais aussi extrarachidiennes (ex. : viscérales). Si des tests/signes ont été décrits, l'absence de gold standard et la faible sensibilité/spécificité de la majorité d'entre eux empêchent de déterminer avec certitude la structure spécifique à l'origine des douleurs, surtout lorsque la douleur devient persistante. Il est dès lors nécessaire d'évaluer les nombreux autres facteurs pouvant contribuer à la présence/persistance des douleurs (ex. : certains facteurs psychosociaux, un phénomène de sensibilisation centrale), car ils doivent conditionner le traitement. L'objectif de cet article consiste à décrire les éléments permettant de distinguer les différentes étiologies des lombalgies de l'adulte afin de pouvoir proposer une prise en charge adéquate. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113788 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Bilan et traitement des conflits discoradiculaires avec l'approche MDT (Mechanical Diagnosis and Therapy) ou méthode McKenzie / Jean-Philippe Deneuville in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, Vol.36 n°3 (Juillet 2023)
[article]
Titre : Bilan et traitement des conflits discoradiculaires avec l'approche MDT (Mechanical Diagnosis and Therapy) ou méthode McKenzie Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Philippe Deneuville ; M. Guiraud ; F. Steimer ; B. Mabeau ; V. Lebrault ; T. Vendeuvre ; Gabor Sagi Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 26-275-A-10 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : Méthode McKenzie Hernie discale Lombalgie Radiculalgie Radiculopathie Douleur neuropathique Chirurgie du rachis Kinésithérapie musculosquelettique Résumé : Les affections de la colonne vertébrale sont l'une des principales sources mondiales de handicap. Parmi ces affections, les conflits discoradiculaires semblent impacter profondément et durablement la qualité de vie des patients. Le mécanisme lésionnel est occasionné par l'effet compressif d'un fragment de disque sur une racine nerveuse. Cette compression provoque une cascade de conséquences, impliquant ischémie et inflammation. Il en résulte des présentations cliniques complexes (avec des douleurs nociceptives, neuropathiques et diverses pertes de fonctions de la racine). Le fait que cette pathologie soit initiée par une compression laisse une place de choix aux approches mécanistes dans leur traitement conservateur. Le système de Mechanical Diagnosis and Therapy (MDT) est une approche mécanique qui repose sur une évaluation solide. Le processus de classification clinique des patients dont dépendra le traitement repose, d'une part, sur les données de l'entretien-anamnèse, et, d'autre part, sur des tests cliniques fondés sur la répétition de mouvements, sur des postures et sur des techniques manuelles. Il s'agit dans un premier temps de déterminer si le patient présente une direction de mouvement spécifique induisant une amélioration rapide, durable et reproductible de la douleur du patient (une préférence directionnelle [PD]). Cette amélioration peut prendre la forme d'une diminution de l'intensité douloureuse ou d'une centralisation de la douleur (abolition distoproximale). Si une PD est présente, elle guidera toutes les étapes du traitement. Si cette dernière est absente, le thérapeute devra utiliser d'autres stratégies, incluant des positions antalgiques, un travail aérobique et un potentielle réadressage pour une infiltration de corticoïdes. Le traitement MDT ne s'affranchit pas d'une prise en charge holistique en accord avec le modèle bio-psycho-social, de même qu'il s'associe, le cas échéant, à une prise en charge médicamenteuse en accord avec les recommandations nationales. Enfin, certaines présentations cliniques nécessitent un réadressage vers un chirurgien, avec plus ou moins d'urgence. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=112579
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.36 n°3 (Juillet 2023) . - p. 26-275-A-10 [Tome 3][article] Bilan et traitement des conflits discoradiculaires avec l'approche MDT (Mechanical Diagnosis and Therapy) ou méthode McKenzie [texte imprimé] / Jean-Philippe Deneuville ; M. Guiraud ; F. Steimer ; B. Mabeau ; V. Lebrault ; T. Vendeuvre ; Gabor Sagi . - 2023 . - p. 26-275-A-10 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.36 n°3 (Juillet 2023) . - p. 26-275-A-10 [Tome 3]
Mots-clés : Méthode McKenzie Hernie discale Lombalgie Radiculalgie Radiculopathie Douleur neuropathique Chirurgie du rachis Kinésithérapie musculosquelettique Résumé : Les affections de la colonne vertébrale sont l'une des principales sources mondiales de handicap. Parmi ces affections, les conflits discoradiculaires semblent impacter profondément et durablement la qualité de vie des patients. Le mécanisme lésionnel est occasionné par l'effet compressif d'un fragment de disque sur une racine nerveuse. Cette compression provoque une cascade de conséquences, impliquant ischémie et inflammation. Il en résulte des présentations cliniques complexes (avec des douleurs nociceptives, neuropathiques et diverses pertes de fonctions de la racine). Le fait que cette pathologie soit initiée par une compression laisse une place de choix aux approches mécanistes dans leur traitement conservateur. Le système de Mechanical Diagnosis and Therapy (MDT) est une approche mécanique qui repose sur une évaluation solide. Le processus de classification clinique des patients dont dépendra le traitement repose, d'une part, sur les données de l'entretien-anamnèse, et, d'autre part, sur des tests cliniques fondés sur la répétition de mouvements, sur des postures et sur des techniques manuelles. Il s'agit dans un premier temps de déterminer si le patient présente une direction de mouvement spécifique induisant une amélioration rapide, durable et reproductible de la douleur du patient (une préférence directionnelle [PD]). Cette amélioration peut prendre la forme d'une diminution de l'intensité douloureuse ou d'une centralisation de la douleur (abolition distoproximale). Si une PD est présente, elle guidera toutes les étapes du traitement. Si cette dernière est absente, le thérapeute devra utiliser d'autres stratégies, incluant des positions antalgiques, un travail aérobique et un potentielle réadressage pour une infiltration de corticoïdes. Le traitement MDT ne s'affranchit pas d'une prise en charge holistique en accord avec le modèle bio-psycho-social, de même qu'il s'associe, le cas échéant, à une prise en charge médicamenteuse en accord avec les recommandations nationales. Enfin, certaines présentations cliniques nécessitent un réadressage vers un chirurgien, avec plus ou moins d'urgence. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=112579 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire