Centre de Documentation Campus Montignies
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2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Chirurgie du rachis'
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Lomboradiculalgies persistantes ou récidivantes après traitement chirurgical / P. Vergne-Salle in EMC : Appareil locomoteur, Volume 11 numéro 2 (Avril 2016)
[article]
Titre : Lomboradiculalgies persistantes ou récidivantes après traitement chirurgical Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Vergne-Salle Année de publication : 2016 Article en page(s) : 15-840-G-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Lomboradiculalgie postopératoire Douleur postopératoire Douleur chronique Douleur neuropathique Chirurgie du rachis Résumé : Les douleurs lombaires et/ou radiculaires après chirurgie du rachis, nommées sous le terme anglo-saxon de failed back surgery syndrome, regroupent une constellation d'états pathologiques complexes multifactoriels où la douleur persiste au-delà de 3 mois après une chirurgie du rachis. Sa prise en charge repose sur une enquête minutieuse des caractéristiques de la douleur, du mode de survenue, des éléments cliniques et paracliniques préopératoires, des facteurs de chronicisation et des comorbidités associées. L'imagerie par résonance magnétique est l'examen d'imagerie de choix qui permet d'explorer tout d'abord une complication précoce infectieuse ou hémorragique, puis ensuite permet de faire un bilan lésionnel, notamment rechercher une récidive d'hernie discale, une absence de fusion vertébrale, des discopathies dégénératives, une sténose canalaire foraminale ou centrale, etc. Fréquemment, les lésions sont minimes et la discordance entre douleur, incapacité et imagerie peu parlante doit faire rechercher une douleur neuropathique. Quels que soient les facteurs étiologiques, l'évaluation et la prise en charge sont le plus souvent multidisciplinaires, favorisant le traitement médical en première intention. Celui-ci associe une réadaptation fonctionnelle, un traitement médicamenteux antalgique, antiépileptique ou antidépresseur en cas de douleur neuropathique, de la neurostimulation transcutanée, une prise en charge des troubles cognitifs, psychologiques ou des facteurs socioprofessionnels. Les indications d'une reprise chirurgicale sont peu fréquentes et doivent être discutées avec un chirurgien après évaluation complète clinique et paraclinique. Note de contenu : Introduction
Étiologies
Douleurs postopératoires d'apparition immédiate ou à court terme
Douleurs postopératoires à moyen et long terme
Évaluation
Caractéristiques de la douleur et histoire de la maladie
Évaluation clinique
Évaluation paraclinique
Prise en charge des douleurs du rachis opéré
Traitement conservateur
Traitement chirurgical
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43462
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 2 (Avril 2016) . - 15-840-G-10 [Tome 7][article] Lomboradiculalgies persistantes ou récidivantes après traitement chirurgical [texte imprimé] / P. Vergne-Salle . - 2016 . - 15-840-G-10 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 11 numéro 2 (Avril 2016) . - 15-840-G-10 [Tome 7]
Mots-clés : Lomboradiculalgie postopératoire Douleur postopératoire Douleur chronique Douleur neuropathique Chirurgie du rachis Résumé : Les douleurs lombaires et/ou radiculaires après chirurgie du rachis, nommées sous le terme anglo-saxon de failed back surgery syndrome, regroupent une constellation d'états pathologiques complexes multifactoriels où la douleur persiste au-delà de 3 mois après une chirurgie du rachis. Sa prise en charge repose sur une enquête minutieuse des caractéristiques de la douleur, du mode de survenue, des éléments cliniques et paracliniques préopératoires, des facteurs de chronicisation et des comorbidités associées. L'imagerie par résonance magnétique est l'examen d'imagerie de choix qui permet d'explorer tout d'abord une complication précoce infectieuse ou hémorragique, puis ensuite permet de faire un bilan lésionnel, notamment rechercher une récidive d'hernie discale, une absence de fusion vertébrale, des discopathies dégénératives, une sténose canalaire foraminale ou centrale, etc. Fréquemment, les lésions sont minimes et la discordance entre douleur, incapacité et imagerie peu parlante doit faire rechercher une douleur neuropathique. Quels que soient les facteurs étiologiques, l'évaluation et la prise en charge sont le plus souvent multidisciplinaires, favorisant le traitement médical en première intention. Celui-ci associe une réadaptation fonctionnelle, un traitement médicamenteux antalgique, antiépileptique ou antidépresseur en cas de douleur neuropathique, de la neurostimulation transcutanée, une prise en charge des troubles cognitifs, psychologiques ou des facteurs socioprofessionnels. Les indications d'une reprise chirurgicale sont peu fréquentes et doivent être discutées avec un chirurgien après évaluation complète clinique et paraclinique. Note de contenu : Introduction
Étiologies
Douleurs postopératoires d'apparition immédiate ou à court terme
Douleurs postopératoires à moyen et long terme
Évaluation
Caractéristiques de la douleur et histoire de la maladie
Évaluation clinique
Évaluation paraclinique
Prise en charge des douleurs du rachis opéré
Traitement conservateur
Traitement chirurgical
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43462 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Bilan et traitement des conflits discoradiculaires avec l'approche MDT (Mechanical Diagnosis and Therapy) ou méthode McKenzie / Jean-Philippe Deneuville in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, Vol.36 n°3 (Juillet 2023)
[article]
Titre : Bilan et traitement des conflits discoradiculaires avec l'approche MDT (Mechanical Diagnosis and Therapy) ou méthode McKenzie Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Philippe Deneuville ; M. Guiraud ; F. Steimer ; B. Mabeau ; V. Lebrault ; T. Vendeuvre ; Gabor Sagi Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 26-275-A-10 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : Méthode McKenzie Hernie discale Lombalgie Radiculalgie Radiculopathie Douleur neuropathique Chirurgie du rachis Kinésithérapie musculosquelettique Résumé : Les affections de la colonne vertébrale sont l'une des principales sources mondiales de handicap. Parmi ces affections, les conflits discoradiculaires semblent impacter profondément et durablement la qualité de vie des patients. Le mécanisme lésionnel est occasionné par l'effet compressif d'un fragment de disque sur une racine nerveuse. Cette compression provoque une cascade de conséquences, impliquant ischémie et inflammation. Il en résulte des présentations cliniques complexes (avec des douleurs nociceptives, neuropathiques et diverses pertes de fonctions de la racine). Le fait que cette pathologie soit initiée par une compression laisse une place de choix aux approches mécanistes dans leur traitement conservateur. Le système de Mechanical Diagnosis and Therapy (MDT) est une approche mécanique qui repose sur une évaluation solide. Le processus de classification clinique des patients dont dépendra le traitement repose, d'une part, sur les données de l'entretien-anamnèse, et, d'autre part, sur des tests cliniques fondés sur la répétition de mouvements, sur des postures et sur des techniques manuelles. Il s'agit dans un premier temps de déterminer si le patient présente une direction de mouvement spécifique induisant une amélioration rapide, durable et reproductible de la douleur du patient (une préférence directionnelle [PD]). Cette amélioration peut prendre la forme d'une diminution de l'intensité douloureuse ou d'une centralisation de la douleur (abolition distoproximale). Si une PD est présente, elle guidera toutes les étapes du traitement. Si cette dernière est absente, le thérapeute devra utiliser d'autres stratégies, incluant des positions antalgiques, un travail aérobique et un potentielle réadressage pour une infiltration de corticoïdes. Le traitement MDT ne s'affranchit pas d'une prise en charge holistique en accord avec le modèle bio-psycho-social, de même qu'il s'associe, le cas échéant, à une prise en charge médicamenteuse en accord avec les recommandations nationales. Enfin, certaines présentations cliniques nécessitent un réadressage vers un chirurgien, avec plus ou moins d'urgence. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=112579
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.36 n°3 (Juillet 2023) . - p. 26-275-A-10 [Tome 3][article] Bilan et traitement des conflits discoradiculaires avec l'approche MDT (Mechanical Diagnosis and Therapy) ou méthode McKenzie [texte imprimé] / Jean-Philippe Deneuville ; M. Guiraud ; F. Steimer ; B. Mabeau ; V. Lebrault ; T. Vendeuvre ; Gabor Sagi . - 2023 . - p. 26-275-A-10 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > Vol.36 n°3 (Juillet 2023) . - p. 26-275-A-10 [Tome 3]
Mots-clés : Méthode McKenzie Hernie discale Lombalgie Radiculalgie Radiculopathie Douleur neuropathique Chirurgie du rachis Kinésithérapie musculosquelettique Résumé : Les affections de la colonne vertébrale sont l'une des principales sources mondiales de handicap. Parmi ces affections, les conflits discoradiculaires semblent impacter profondément et durablement la qualité de vie des patients. Le mécanisme lésionnel est occasionné par l'effet compressif d'un fragment de disque sur une racine nerveuse. Cette compression provoque une cascade de conséquences, impliquant ischémie et inflammation. Il en résulte des présentations cliniques complexes (avec des douleurs nociceptives, neuropathiques et diverses pertes de fonctions de la racine). Le fait que cette pathologie soit initiée par une compression laisse une place de choix aux approches mécanistes dans leur traitement conservateur. Le système de Mechanical Diagnosis and Therapy (MDT) est une approche mécanique qui repose sur une évaluation solide. Le processus de classification clinique des patients dont dépendra le traitement repose, d'une part, sur les données de l'entretien-anamnèse, et, d'autre part, sur des tests cliniques fondés sur la répétition de mouvements, sur des postures et sur des techniques manuelles. Il s'agit dans un premier temps de déterminer si le patient présente une direction de mouvement spécifique induisant une amélioration rapide, durable et reproductible de la douleur du patient (une préférence directionnelle [PD]). Cette amélioration peut prendre la forme d'une diminution de l'intensité douloureuse ou d'une centralisation de la douleur (abolition distoproximale). Si une PD est présente, elle guidera toutes les étapes du traitement. Si cette dernière est absente, le thérapeute devra utiliser d'autres stratégies, incluant des positions antalgiques, un travail aérobique et un potentielle réadressage pour une infiltration de corticoïdes. Le traitement MDT ne s'affranchit pas d'une prise en charge holistique en accord avec le modèle bio-psycho-social, de même qu'il s'associe, le cas échéant, à une prise en charge médicamenteuse en accord avec les recommandations nationales. Enfin, certaines présentations cliniques nécessitent un réadressage vers un chirurgien, avec plus ou moins d'urgence. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=112579 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire