Centre de Documentation Campus Montignies
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8 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Hormones corticosurrénaliennes'
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Quelle dose minimale de corticoïdes est nécessaire dans la pseudo-polyarthrite rhizomélique (PPR) pour espérer obtenir une rémission : résumé des travaux de l’EULAR / Bernard Verlhac in La revue de gériatrie, vol. 48, 03 (Mars 2023)
[article]
Titre : Quelle dose minimale de corticoïdes est nécessaire dans la pseudo-polyarthrite rhizomélique (PPR) pour espérer obtenir une rémission : résumé des travaux de l’EULAR Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard Verlhac ; Christian Cadet ; Jean-Laurent Le Quintrec ; Emmanuel Maheu ; Claude Jeandel ; Philippe Breville ; Odile Reynaud-Levy ; Jean-Marie Vetel ; Pierre-Emmanuel Cailleaux Année de publication : 2023 Langues : Français (fre) Mots-clés : Sujet âgé Effets indésirables des médicaments Rhumatisme inflammatoire des ceintures Hormones corticosurrénaliennes Pseudo-polyarthrite rhizomélique Rhumatisme inflammatoire des ceintures sujet âgé Effets indésirables des médicaments Hormones corticosurrénaliennes Résumé : La pseudo-polyarthrite rhizomélique (PPR) est une maladie des personnes âgées présentant une douleur et une raideur de la ceinture scapulaire et pelvienne, une altération de l’état général, associées à une vitesse de sédimentation (VS) et une C-réactive protéine (CRP) considérablement augmentées. Les glucocorticoïdes (GC) per os restent la base de son traitement, mais avec un risque d’effets secondaires nombreux, et il faut donc l’initier à des doses minimales… tout en restant efficace. La dose de 0,2 mg/kg/j de prednisone est à recommander en se basant sur les travaux de l’EULAR. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=110723
in La revue de gériatrie > vol. 48, 03 (Mars 2023)[article] Quelle dose minimale de corticoïdes est nécessaire dans la pseudo-polyarthrite rhizomélique (PPR) pour espérer obtenir une rémission : résumé des travaux de l’EULAR [texte imprimé] / Bernard Verlhac ; Christian Cadet ; Jean-Laurent Le Quintrec ; Emmanuel Maheu ; Claude Jeandel ; Philippe Breville ; Odile Reynaud-Levy ; Jean-Marie Vetel ; Pierre-Emmanuel Cailleaux . - 2023.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > vol. 48, 03 (Mars 2023)
Mots-clés : Sujet âgé Effets indésirables des médicaments Rhumatisme inflammatoire des ceintures Hormones corticosurrénaliennes Pseudo-polyarthrite rhizomélique Rhumatisme inflammatoire des ceintures sujet âgé Effets indésirables des médicaments Hormones corticosurrénaliennes Résumé : La pseudo-polyarthrite rhizomélique (PPR) est une maladie des personnes âgées présentant une douleur et une raideur de la ceinture scapulaire et pelvienne, une altération de l’état général, associées à une vitesse de sédimentation (VS) et une C-réactive protéine (CRP) considérablement augmentées. Les glucocorticoïdes (GC) per os restent la base de son traitement, mais avec un risque d’effets secondaires nombreux, et il faut donc l’initier à des doses minimales… tout en restant efficace. La dose de 0,2 mg/kg/j de prednisone est à recommander en se basant sur les travaux de l’EULAR. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=110723 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtApport réel de la triple association (béclométasone (CSI) - formotérol (LABA) - glycopyrronium (LAMA)) pour les patients BPCO sévère ? / A. Van Meerhaeghe in Minerva [périodique éléctronique], Vol. 16, n° 5 (Juin 2017)
[article]
Titre : Apport réel de la triple association (béclométasone (CSI) - formotérol (LABA) - glycopyrronium (LAMA)) pour les patients BPCO sévère ? Type de document : document électronique Auteurs : A. Van Meerhaeghe Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 128-132 Langues : Français (fre) Mots-clés : Bronchopneumopathie chronique obstructive Dyspnee Effets secondaires indésirables des médicaments Hormones corticosurrénaliennes Infection Pneumonie Anticholinergique à longue durée d'action Béclométasone Bêta2-mimétique à longue durée d’action Corticostéroïde inhalé, Exacerbation Formotérol Glycopyrronium Volume expiratoire forcé Résumé : Les buts des traitements pharmacologiques de la BPCO sont de réduire à la fois les symptômes et les risques d’exacerbations. La nouvelle édition du guide de pratique clinique GOLD 2017 (1) propose, pour les patients du groupe D qui continuent de présenter des exacerbations sous LABA-LAMA (premier choix) ou LABA-CSI, une escalade thérapeutique avec une triple association CSI-LABA-LAMA. Si les patients continuent à présenter des exacerbations, GOLD recommande alors soit l’ajout de roflumilast ou d’un macrolide (azithromycine) et de stopper les CSI afin d’éviter les effets indésirables du type pneumonie (2). De plus l’arrêt des CSI produit des résultats équivoques et peu significatifs sur les symptômes, les exacerbations et la fonction pulmonaire (3-5). Il est donc important d’évaluer de manière factuelle l’intérêt de la triple association dans la prise en charge de la BPCO sévère. En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2115 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86371
in Minerva [périodique éléctronique] > Vol. 16, n° 5 (Juin 2017) . - p. 128-132[article] Apport réel de la triple association (béclométasone (CSI) - formotérol (LABA) - glycopyrronium (LAMA)) pour les patients BPCO sévère ? [document électronique] / A. Van Meerhaeghe . - 2017 . - p. 128-132.
Langues : Français (fre)
in Minerva [périodique éléctronique] > Vol. 16, n° 5 (Juin 2017) . - p. 128-132
Mots-clés : Bronchopneumopathie chronique obstructive Dyspnee Effets secondaires indésirables des médicaments Hormones corticosurrénaliennes Infection Pneumonie Anticholinergique à longue durée d'action Béclométasone Bêta2-mimétique à longue durée d’action Corticostéroïde inhalé, Exacerbation Formotérol Glycopyrronium Volume expiratoire forcé Résumé : Les buts des traitements pharmacologiques de la BPCO sont de réduire à la fois les symptômes et les risques d’exacerbations. La nouvelle édition du guide de pratique clinique GOLD 2017 (1) propose, pour les patients du groupe D qui continuent de présenter des exacerbations sous LABA-LAMA (premier choix) ou LABA-CSI, une escalade thérapeutique avec une triple association CSI-LABA-LAMA. Si les patients continuent à présenter des exacerbations, GOLD recommande alors soit l’ajout de roflumilast ou d’un macrolide (azithromycine) et de stopper les CSI afin d’éviter les effets indésirables du type pneumonie (2). De plus l’arrêt des CSI produit des résultats équivoques et peu significatifs sur les symptômes, les exacerbations et la fonction pulmonaire (3-5). Il est donc important d’évaluer de manière factuelle l’intérêt de la triple association dans la prise en charge de la BPCO sévère. En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2115 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86371 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Bien communiquer sur la poussée et ses traitements / Marie Guillet in Soins, 873 (Mars 2023)
[article]
Titre : Bien communiquer sur la poussée et ses traitements Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie Guillet Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 32-34 Langues : Français (fre) Mots-clés : Sclérose en plaques Sclérose en plaques / thérapie Signes et symptômes Hormones corticosurrénaliennes poussée pseudo-poussée Prise en charge de la maladie Résumé : La sclérose en plaques de forme rémittente récurrente évolue par poussée. Il est donc nécessaire de savoir repérer ce phénomène, afin d’être en mesure d’accompagner au mieux les patients. Le terme “poussée” est utilisé pour caractériser la période de quelques jours à quelques semaines au cours de laquelle survient une attaque d’inflammation de la myéline. En fonction de la zone touchée, les symptômes seront différents. Pour parler de poussée, le patient doit présenter des symptômes nouveaux permanents depuis au moins vingt-quatre heures en l’absence de fièvre ou de signe d’infection et dans un délai de moins de trente jours après la dernière poussée. Note de contenu : Cet article fait partie du dossier "Mieux prendre en charge la sclérose en plaques" Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=110563
in Soins > 873 (Mars 2023) . - p. 32-34[article] Bien communiquer sur la poussée et ses traitements [texte imprimé] / Marie Guillet . - 2023 . - p. 32-34.
Langues : Français (fre)
in Soins > 873 (Mars 2023) . - p. 32-34
Mots-clés : Sclérose en plaques Sclérose en plaques / thérapie Signes et symptômes Hormones corticosurrénaliennes poussée pseudo-poussée Prise en charge de la maladie Résumé : La sclérose en plaques de forme rémittente récurrente évolue par poussée. Il est donc nécessaire de savoir repérer ce phénomène, afin d’être en mesure d’accompagner au mieux les patients. Le terme “poussée” est utilisé pour caractériser la période de quelques jours à quelques semaines au cours de laquelle survient une attaque d’inflammation de la myéline. En fonction de la zone touchée, les symptômes seront différents. Pour parler de poussée, le patient doit présenter des symptômes nouveaux permanents depuis au moins vingt-quatre heures en l’absence de fièvre ou de signe d’infection et dans un délai de moins de trente jours après la dernière poussée. Note de contenu : Cet article fait partie du dossier "Mieux prendre en charge la sclérose en plaques" Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=110563 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtDextrose 5%, une alternative à l’injection de corticostéroïdes dans le traitement du syndrome du canal carpien ? / O. Van Overschelde in Minerva [périodique éléctronique], Vol. 19, n° 3 (Avril 2020)
[article]
Titre : Dextrose 5%, une alternative à l’injection de corticostéroïdes dans le traitement du syndrome du canal carpien ? Type de document : document électronique Auteurs : O. Van Overschelde ; M. De Jonghe Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 31-34 Note générale : DOI: 10.1002/ana.25332 Langues : Français (fre) Mots-clés : Hormones corticosurrénaliennes Infiltration Mesure de la douleur Syndrome du canal carpien Thérapeutique Résumé : Question clinique :
Pour le traitement non chirurgical d’un syndrome du canal carpien d’intensité moyenne, est-il plus efficace de procéder à une injection péri-neurale de corticostéroïdes ou de dextrose 5% ?En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2204 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86395
in Minerva [périodique éléctronique] > Vol. 19, n° 3 (Avril 2020) . - p. 31-34[article] Dextrose 5%, une alternative à l’injection de corticostéroïdes dans le traitement du syndrome du canal carpien ? [document électronique] / O. Van Overschelde ; M. De Jonghe . - 2020 . - p. 31-34.
DOI: 10.1002/ana.25332
Langues : Français (fre)
in Minerva [périodique éléctronique] > Vol. 19, n° 3 (Avril 2020) . - p. 31-34
Mots-clés : Hormones corticosurrénaliennes Infiltration Mesure de la douleur Syndrome du canal carpien Thérapeutique Résumé : Question clinique :
Pour le traitement non chirurgical d’un syndrome du canal carpien d’intensité moyenne, est-il plus efficace de procéder à une injection péri-neurale de corticostéroïdes ou de dextrose 5% ?En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2204 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86395 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Les interventions préventives réduisent-elles le nombre d’exacerbations d’asthme chez les enfants durant l’automne ? / Frans De Baets in Minerva [périodique éléctronique], Vol. 18, n° 2 (Mars 2019)
[article]
Titre : Les interventions préventives réduisent-elles le nombre d’exacerbations d’asthme chez les enfants durant l’automne ? Type de document : document électronique Auteurs : Frans De Baets Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 14-17 Note générale : DOI: 10.1002/14651858.CD012393.pub2 Langues : Français (fre) Mots-clés : Antagonistes des leucotriènes Bronchodilatateur Asthme Hormones corticosurrénaliennes Évolution de la maladie Hospitalisation Observance par le patient Thérapie comportementale Résumé : Méthodologie
Synthèse méthodique et méta-analyse
Sources consultées
Cochrane Airways Group’s Trials Register (avec enregistrement hebdomadaire ou mensuel de la littérature via CENTRAL, MEDLINE Ovid, Embase Ovid, PsycINFO Ovid, CINAHL EBSCO, AMED EBSCO, rapports des congrès), ClinicalTrials.gov, la plate-forme internationale d’enregistrement des essais cliniques de l’Organisation mondiale de la santé ; jusqu’au 1er décembre 2017
listes de références des études primaires et des revues, sites Internet des firmes Merck, Novartis et Ono Pharmaceutical
pas de restriction quant à la langue de publication.
Études sélectionnées
études randomisées contrôlées comparant la prise en charge standard et des interventions préventives visant à réduire le nombre d’exacerbations d’asthme pendant l’automne
parmi les 546 études identifiées, 5 ont finalement été sélectionnées : 3 études examinant l’effet des antagonistes des récepteurs aux leucotriènes, une étude examinant l’influence d’une lettre pour encourager l’observance, et une dernière étude examinant l’effet de l’omalizumab ou d’une augmentation de la dose de corticoïdes inhalés.
Population étudiée
au total, 14252 enfants de moins de 18 ans (1 an à 17 ans selon l’étude) atteints d’asthme ; le VEMS était en moyenne de 90% dans deux études (4,5) ; l’utilisation de corticoïdes inhalés allait de 90% dans une étude (6) à ≤ 50% dans deux autres études (4,7) ; la seule étude de première ligne incluait des patients ayant un asthme léger (8).
Mesure des résultats
critère d’évaluation primaire : nombre d’enfants avec au moins une exacerbation d’asthme pendant l’automne, définie comme une aggravation des symptômes de l’asthme ayant nécessité un traitement avec des corticoïdes administrés par voie orale ou une hospitalisation.
critères d’évaluation secondaires : nombre d’enfants avec exacerbations d’asthme ayant nécessité une hospitalisation ou l’admission en soins intensifs pédiatriques, nombre de décès liés à l’asthme, degré de contrôle de l’asthme, qualité de vie liée à l’asthme, nombre de jours d’école manqués, effets indésirables
méta-analyse suivant le modèle à effets aléatoires.
Résultats
critère d’évaluation primaire : le nombre d’enfants avec, pendant l’automne, au moins une exacerbation de l’asthme ayant nécessité un traitement avec des corticoïdes par voie orale ou une hospitalisation, était plus petit, et ce de manière statistiquement significative chez les enfants qui, durant 90 jours après le début de l’année scolaire, recevaient de l’omalizumab au lieu du placebo (11,3% versus 21,0% ; rapport de cotes (RC) 0,48 avec IC à 95% de 0,25 à 0,92 ; N = 1 étude (5) ; n = 513 enfants)
sur la base des critères d’évaluation primaires définis par les différentes études incluses, on a observé :
une diminution de 53% du nombre de jours avec aggravation des symptômes de l’asthme (plus sévère que d’habitude, visite imprévue chez le médecin, besoin d’un supplément de médicaments contre l’asthme, traitement avec des corticoïdes par voie orale) durant un traitement par montélukast, par rapport au placebo, pendant 45 jours (3,9% contre 8,3% ; p = 0,02 ; N = 1 étude (6) ; n = 194 enfants)
pas de différence quant à l’aggravation des symptômes de l’asthme (symptômes accrus pendant la journée et pendant la nuit, augmentation de l’utilisation de bêta2-mimétiques et de corticoïdes inhalés, traitement avec corticoïdes par voie orale, visite imprévue chez le médecin, admission aux urgences ou hospitalisation pour asthme) au cours d’un traitement par montélukast par rapport au placebo pendant 8 semaines (N = 1 étude (4) ; n = 998 enfants)
pas de différence quant au score total de l’asthme (sur la base des symptômes de l’asthme, de l’augmentation de l’utilisation des médicaments contre l’asthme, de l’utilisation de corticoïdes par voie orale, des visites imprévues chez le médecin) au cours d’un traitement par pranlukast, par rapport au placebo, pendant 60 jours (N = 1 étude (7) ; n = 121 enfants)
pas de différence quant au nombre de visites imprévues chez le médecin (pour affection des voies respiratoires) de septembre à décembre après un courrier du médecin généraliste envoyé aux parents le 29 juillet pour les encourager à prévoir suffisamment de traitement d’entretien par inhalation contre l’asthme avant la reprise de l’année scolaire, par comparaison avec le groupe témoin (N = 1 étude (8) ; n = 10481 enfants)
critères d’évaluation secondaires : pas de résultats séparés pour l’hospitalisation, l’admission en soins intensifs pédiatriques, les décès dus à l’asthme, le contrôle standard des symptômes de l’asthme, la qualité de vie, les jours d’école manqués
effets indésirables : pas de différence quant aux effets indésirables (graves) entre le groupe intervention et le groupe témoin (N = 4 études pharmacologiques).
Conclusion des auteurs
La conclusion des auteurs est qu’un traitement par omalizumab durant quatre à six semaines après le début de l’année scolaire peut limiter le nombre d’exacerbations d’asthme pendant l’automne. Mis à part de la douleur au niveau du site d’injection, il n’y a pas de preuve qu’un plus grand nombre d’effets indésirables soient associés à cette stratégie coûteuse. Il n’y a pas de données concernant l’effet de ces interventions saisonnières et d’autres interventions sur le contrôle de l’asthme, la qualité de vie et la mortalité liée à l’asthme. Les études futures devraient utiliser une unique définition des exacerbations d’asthme, et si possible une définition qui soit uniformisée. Pour pouvoir examiner les éventuelles différences entre les sous-groupes quant à l’effet, il faudra que les participants des études futures soient bien caractérisés en termes d’âge, de sexe, de sévérité de l’asthme et d’antécédents d’exacerbations d’asthme.
Financement de l’étude
Financement interne par le National Institute for Health Research (NIHR), par le biais du Comprehensive Clinical Research Network et du centre de recherche biomédicale NIHR à l’hôpital pédiatrique Great Ormond Street Hospital for Children NHS Foundation Trust et University College Londres, Royaume-Uni et un emploi (Katharine Pike). Katherine Harris a reçu un financement pour son doctorat du NIHR Collaboration for Leadership in Applied Health Research and Care (CLAHRC) North Thames au Bart’s Health NHS Trust. Les avis exprimés sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement ceux du NHS, du NIHR ou du Département de la Santé.
Conflits d’intérêt des auteurs
Il n’y a pas de conflits d’intérêt connus.En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2181 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86454
in Minerva [périodique éléctronique] > Vol. 18, n° 2 (Mars 2019) . - p. 14-17[article] Les interventions préventives réduisent-elles le nombre d’exacerbations d’asthme chez les enfants durant l’automne ? [document électronique] / Frans De Baets . - 2019 . - p. 14-17.
DOI: 10.1002/14651858.CD012393.pub2
Langues : Français (fre)
in Minerva [périodique éléctronique] > Vol. 18, n° 2 (Mars 2019) . - p. 14-17
Mots-clés : Antagonistes des leucotriènes Bronchodilatateur Asthme Hormones corticosurrénaliennes Évolution de la maladie Hospitalisation Observance par le patient Thérapie comportementale Résumé : Méthodologie
Synthèse méthodique et méta-analyse
Sources consultées
Cochrane Airways Group’s Trials Register (avec enregistrement hebdomadaire ou mensuel de la littérature via CENTRAL, MEDLINE Ovid, Embase Ovid, PsycINFO Ovid, CINAHL EBSCO, AMED EBSCO, rapports des congrès), ClinicalTrials.gov, la plate-forme internationale d’enregistrement des essais cliniques de l’Organisation mondiale de la santé ; jusqu’au 1er décembre 2017
listes de références des études primaires et des revues, sites Internet des firmes Merck, Novartis et Ono Pharmaceutical
pas de restriction quant à la langue de publication.
Études sélectionnées
études randomisées contrôlées comparant la prise en charge standard et des interventions préventives visant à réduire le nombre d’exacerbations d’asthme pendant l’automne
parmi les 546 études identifiées, 5 ont finalement été sélectionnées : 3 études examinant l’effet des antagonistes des récepteurs aux leucotriènes, une étude examinant l’influence d’une lettre pour encourager l’observance, et une dernière étude examinant l’effet de l’omalizumab ou d’une augmentation de la dose de corticoïdes inhalés.
Population étudiée
au total, 14252 enfants de moins de 18 ans (1 an à 17 ans selon l’étude) atteints d’asthme ; le VEMS était en moyenne de 90% dans deux études (4,5) ; l’utilisation de corticoïdes inhalés allait de 90% dans une étude (6) à ≤ 50% dans deux autres études (4,7) ; la seule étude de première ligne incluait des patients ayant un asthme léger (8).
Mesure des résultats
critère d’évaluation primaire : nombre d’enfants avec au moins une exacerbation d’asthme pendant l’automne, définie comme une aggravation des symptômes de l’asthme ayant nécessité un traitement avec des corticoïdes administrés par voie orale ou une hospitalisation.
critères d’évaluation secondaires : nombre d’enfants avec exacerbations d’asthme ayant nécessité une hospitalisation ou l’admission en soins intensifs pédiatriques, nombre de décès liés à l’asthme, degré de contrôle de l’asthme, qualité de vie liée à l’asthme, nombre de jours d’école manqués, effets indésirables
méta-analyse suivant le modèle à effets aléatoires.
Résultats
critère d’évaluation primaire : le nombre d’enfants avec, pendant l’automne, au moins une exacerbation de l’asthme ayant nécessité un traitement avec des corticoïdes par voie orale ou une hospitalisation, était plus petit, et ce de manière statistiquement significative chez les enfants qui, durant 90 jours après le début de l’année scolaire, recevaient de l’omalizumab au lieu du placebo (11,3% versus 21,0% ; rapport de cotes (RC) 0,48 avec IC à 95% de 0,25 à 0,92 ; N = 1 étude (5) ; n = 513 enfants)
sur la base des critères d’évaluation primaires définis par les différentes études incluses, on a observé :
une diminution de 53% du nombre de jours avec aggravation des symptômes de l’asthme (plus sévère que d’habitude, visite imprévue chez le médecin, besoin d’un supplément de médicaments contre l’asthme, traitement avec des corticoïdes par voie orale) durant un traitement par montélukast, par rapport au placebo, pendant 45 jours (3,9% contre 8,3% ; p = 0,02 ; N = 1 étude (6) ; n = 194 enfants)
pas de différence quant à l’aggravation des symptômes de l’asthme (symptômes accrus pendant la journée et pendant la nuit, augmentation de l’utilisation de bêta2-mimétiques et de corticoïdes inhalés, traitement avec corticoïdes par voie orale, visite imprévue chez le médecin, admission aux urgences ou hospitalisation pour asthme) au cours d’un traitement par montélukast par rapport au placebo pendant 8 semaines (N = 1 étude (4) ; n = 998 enfants)
pas de différence quant au score total de l’asthme (sur la base des symptômes de l’asthme, de l’augmentation de l’utilisation des médicaments contre l’asthme, de l’utilisation de corticoïdes par voie orale, des visites imprévues chez le médecin) au cours d’un traitement par pranlukast, par rapport au placebo, pendant 60 jours (N = 1 étude (7) ; n = 121 enfants)
pas de différence quant au nombre de visites imprévues chez le médecin (pour affection des voies respiratoires) de septembre à décembre après un courrier du médecin généraliste envoyé aux parents le 29 juillet pour les encourager à prévoir suffisamment de traitement d’entretien par inhalation contre l’asthme avant la reprise de l’année scolaire, par comparaison avec le groupe témoin (N = 1 étude (8) ; n = 10481 enfants)
critères d’évaluation secondaires : pas de résultats séparés pour l’hospitalisation, l’admission en soins intensifs pédiatriques, les décès dus à l’asthme, le contrôle standard des symptômes de l’asthme, la qualité de vie, les jours d’école manqués
effets indésirables : pas de différence quant aux effets indésirables (graves) entre le groupe intervention et le groupe témoin (N = 4 études pharmacologiques).
Conclusion des auteurs
La conclusion des auteurs est qu’un traitement par omalizumab durant quatre à six semaines après le début de l’année scolaire peut limiter le nombre d’exacerbations d’asthme pendant l’automne. Mis à part de la douleur au niveau du site d’injection, il n’y a pas de preuve qu’un plus grand nombre d’effets indésirables soient associés à cette stratégie coûteuse. Il n’y a pas de données concernant l’effet de ces interventions saisonnières et d’autres interventions sur le contrôle de l’asthme, la qualité de vie et la mortalité liée à l’asthme. Les études futures devraient utiliser une unique définition des exacerbations d’asthme, et si possible une définition qui soit uniformisée. Pour pouvoir examiner les éventuelles différences entre les sous-groupes quant à l’effet, il faudra que les participants des études futures soient bien caractérisés en termes d’âge, de sexe, de sévérité de l’asthme et d’antécédents d’exacerbations d’asthme.
Financement de l’étude
Financement interne par le National Institute for Health Research (NIHR), par le biais du Comprehensive Clinical Research Network et du centre de recherche biomédicale NIHR à l’hôpital pédiatrique Great Ormond Street Hospital for Children NHS Foundation Trust et University College Londres, Royaume-Uni et un emploi (Katharine Pike). Katherine Harris a reçu un financement pour son doctorat du NIHR Collaboration for Leadership in Applied Health Research and Care (CLAHRC) North Thames au Bart’s Health NHS Trust. Les avis exprimés sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement ceux du NHS, du NIHR ou du Département de la Santé.
Conflits d’intérêt des auteurs
Il n’y a pas de conflits d’intérêt connus.En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2181 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86454 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Troubles associés aux variations pathologiques du cortisol / A. Radu in Biologiste et praticien, 143 (2005)
PermalinkUrticaire aiguë : corticostéroïdes utiles ? / E. Coussens in Minerva [périodique éléctronique], Vol. 17, n° 8 (Octobre 2018)
PermalinkL'usage de médicaments psychostimulants à des fins de stimulation cognitive : effets, risques, facteurs de risques et enjeux socio-sanitaires / Mickaël Hogge in Ethica Clinica, 109 (Mars 2023)
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