Centre de Documentation Campus Montignies
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4 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Bronchodilatateur'
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Asthme de l’adulte : un diagnostic et un traitement pour la vie ? / P. Chevalier in Minerva [périodique éléctronique], Vol. 16, n° 9 (Novembre 2017)
[article]
Titre : Asthme de l’adulte : un diagnostic et un traitement pour la vie ? Type de document : document électronique Auteurs : P. Chevalier Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 218-221 Langues : Français (fre) Mots-clés : Abstention thérapeutique Adulte Asthme Bronchodilatateur Diagnostic Spirometrie Test de provocation bronchique Résumé : Les manifestations cliniques de l’asthme peuvent être variables, épisodiques ou récidivantes plus ou moins fréquemment, plus ou moins sévères. Comme pour la BPCO, des tests respiratoires sont requis pour poser le diagnostic. Il semble que ce ne soit pas le cas, chez la moitié au moins des patients avec un diagnostic récent d’asthme : une étude d’une vaste cohorte canadienne (province de l’Ontario (1)) a montré en 2012 que seuls 42,7% (avec IC à 95% de 42,6% à 42,9%) des 465866 sujets ayant été diagnostiqués asthmatiques récemment avaient bénéficié de tests respiratoires dans la période d’un an avant et de 2,5 ans après avoir reçu ce diagnostic. Le taux de rémission spontanée d’un asthme chez l’adulte n’est également pas connu. Il était donc intéressant d’estimer, dans une population générale, le pourcentage de patients « étiquetés » asthmatiques sans traitement actuel (ou sevrés d’un tel traitement) chez lesquels un diagnostic d’asthme ne pouvait être documenté, pour éviter des traitements inutiles. En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2140 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86375
in Minerva [périodique éléctronique] > Vol. 16, n° 9 (Novembre 2017) . - p. 218-221[article] Asthme de l’adulte : un diagnostic et un traitement pour la vie ? [document électronique] / P. Chevalier . - 2017 . - p. 218-221.
Langues : Français (fre)
in Minerva [périodique éléctronique] > Vol. 16, n° 9 (Novembre 2017) . - p. 218-221
Mots-clés : Abstention thérapeutique Adulte Asthme Bronchodilatateur Diagnostic Spirometrie Test de provocation bronchique Résumé : Les manifestations cliniques de l’asthme peuvent être variables, épisodiques ou récidivantes plus ou moins fréquemment, plus ou moins sévères. Comme pour la BPCO, des tests respiratoires sont requis pour poser le diagnostic. Il semble que ce ne soit pas le cas, chez la moitié au moins des patients avec un diagnostic récent d’asthme : une étude d’une vaste cohorte canadienne (province de l’Ontario (1)) a montré en 2012 que seuls 42,7% (avec IC à 95% de 42,6% à 42,9%) des 465866 sujets ayant été diagnostiqués asthmatiques récemment avaient bénéficié de tests respiratoires dans la période d’un an avant et de 2,5 ans après avoir reçu ce diagnostic. Le taux de rémission spontanée d’un asthme chez l’adulte n’est également pas connu. Il était donc intéressant d’estimer, dans une population générale, le pourcentage de patients « étiquetés » asthmatiques sans traitement actuel (ou sevrés d’un tel traitement) chez lesquels un diagnostic d’asthme ne pouvait être documenté, pour éviter des traitements inutiles. En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2140 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86375 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire DÉMARCHE DIAGNOSTIQUE ET THÉRAPEUTIQUE / Morgane Canonne-Guibert in Le Point vétérinaire, Vol.54 N°443/444 (Juillet-Août 2023)
[article]
Titre : DÉMARCHE DIAGNOSTIQUE ET THÉRAPEUTIQUE Type de document : texte imprimé Auteurs : Morgane Canonne-Guibert Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 24-32 Langues : Français (fre) Mots-clés : bronchoscopie radiographie scanner corticoïde bronchodilatateur Résumé : Lors de toux chez le chat, la démarche diagnostique s’articule autour d’examens complémentaires adaptés, notamment sanguins et coproscopiques, mais aussi de radiographies thoraciques et parfois d’autres modalités d’exploration dont les risques doivent être pris en compte (scanner, trachéo-bronchoscopie). Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=112378
in Le Point vétérinaire > Vol.54 N°443/444 (Juillet-Août 2023) . - p. 24-32[article] DÉMARCHE DIAGNOSTIQUE ET THÉRAPEUTIQUE [texte imprimé] / Morgane Canonne-Guibert . - 2023 . - p. 24-32.
Langues : Français (fre)
in Le Point vétérinaire > Vol.54 N°443/444 (Juillet-Août 2023) . - p. 24-32
Mots-clés : bronchoscopie radiographie scanner corticoïde bronchodilatateur Résumé : Lors de toux chez le chat, la démarche diagnostique s’articule autour d’examens complémentaires adaptés, notamment sanguins et coproscopiques, mais aussi de radiographies thoraciques et parfois d’autres modalités d’exploration dont les risques doivent être pris en compte (scanner, trachéo-bronchoscopie). Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=112378 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleLes interventions préventives réduisent-elles le nombre d’exacerbations d’asthme chez les enfants durant l’automne ? / Frans De Baets in Minerva [périodique éléctronique], Vol. 18, n° 2 (Mars 2019)
[article]
Titre : Les interventions préventives réduisent-elles le nombre d’exacerbations d’asthme chez les enfants durant l’automne ? Type de document : document électronique Auteurs : Frans De Baets Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 14-17 Note générale : DOI: 10.1002/14651858.CD012393.pub2 Langues : Français (fre) Mots-clés : Antagonistes des leucotriènes Bronchodilatateur Asthme Hormones corticosurrénaliennes Évolution de la maladie Hospitalisation Observance par le patient Thérapie comportementale Résumé : Méthodologie
Synthèse méthodique et méta-analyse
Sources consultées
Cochrane Airways Group’s Trials Register (avec enregistrement hebdomadaire ou mensuel de la littérature via CENTRAL, MEDLINE Ovid, Embase Ovid, PsycINFO Ovid, CINAHL EBSCO, AMED EBSCO, rapports des congrès), ClinicalTrials.gov, la plate-forme internationale d’enregistrement des essais cliniques de l’Organisation mondiale de la santé ; jusqu’au 1er décembre 2017
listes de références des études primaires et des revues, sites Internet des firmes Merck, Novartis et Ono Pharmaceutical
pas de restriction quant à la langue de publication.
Études sélectionnées
études randomisées contrôlées comparant la prise en charge standard et des interventions préventives visant à réduire le nombre d’exacerbations d’asthme pendant l’automne
parmi les 546 études identifiées, 5 ont finalement été sélectionnées : 3 études examinant l’effet des antagonistes des récepteurs aux leucotriènes, une étude examinant l’influence d’une lettre pour encourager l’observance, et une dernière étude examinant l’effet de l’omalizumab ou d’une augmentation de la dose de corticoïdes inhalés.
Population étudiée
au total, 14252 enfants de moins de 18 ans (1 an à 17 ans selon l’étude) atteints d’asthme ; le VEMS était en moyenne de 90% dans deux études (4,5) ; l’utilisation de corticoïdes inhalés allait de 90% dans une étude (6) à ≤ 50% dans deux autres études (4,7) ; la seule étude de première ligne incluait des patients ayant un asthme léger (8).
Mesure des résultats
critère d’évaluation primaire : nombre d’enfants avec au moins une exacerbation d’asthme pendant l’automne, définie comme une aggravation des symptômes de l’asthme ayant nécessité un traitement avec des corticoïdes administrés par voie orale ou une hospitalisation.
critères d’évaluation secondaires : nombre d’enfants avec exacerbations d’asthme ayant nécessité une hospitalisation ou l’admission en soins intensifs pédiatriques, nombre de décès liés à l’asthme, degré de contrôle de l’asthme, qualité de vie liée à l’asthme, nombre de jours d’école manqués, effets indésirables
méta-analyse suivant le modèle à effets aléatoires.
Résultats
critère d’évaluation primaire : le nombre d’enfants avec, pendant l’automne, au moins une exacerbation de l’asthme ayant nécessité un traitement avec des corticoïdes par voie orale ou une hospitalisation, était plus petit, et ce de manière statistiquement significative chez les enfants qui, durant 90 jours après le début de l’année scolaire, recevaient de l’omalizumab au lieu du placebo (11,3% versus 21,0% ; rapport de cotes (RC) 0,48 avec IC à 95% de 0,25 à 0,92 ; N = 1 étude (5) ; n = 513 enfants)
sur la base des critères d’évaluation primaires définis par les différentes études incluses, on a observé :
une diminution de 53% du nombre de jours avec aggravation des symptômes de l’asthme (plus sévère que d’habitude, visite imprévue chez le médecin, besoin d’un supplément de médicaments contre l’asthme, traitement avec des corticoïdes par voie orale) durant un traitement par montélukast, par rapport au placebo, pendant 45 jours (3,9% contre 8,3% ; p = 0,02 ; N = 1 étude (6) ; n = 194 enfants)
pas de différence quant à l’aggravation des symptômes de l’asthme (symptômes accrus pendant la journée et pendant la nuit, augmentation de l’utilisation de bêta2-mimétiques et de corticoïdes inhalés, traitement avec corticoïdes par voie orale, visite imprévue chez le médecin, admission aux urgences ou hospitalisation pour asthme) au cours d’un traitement par montélukast par rapport au placebo pendant 8 semaines (N = 1 étude (4) ; n = 998 enfants)
pas de différence quant au score total de l’asthme (sur la base des symptômes de l’asthme, de l’augmentation de l’utilisation des médicaments contre l’asthme, de l’utilisation de corticoïdes par voie orale, des visites imprévues chez le médecin) au cours d’un traitement par pranlukast, par rapport au placebo, pendant 60 jours (N = 1 étude (7) ; n = 121 enfants)
pas de différence quant au nombre de visites imprévues chez le médecin (pour affection des voies respiratoires) de septembre à décembre après un courrier du médecin généraliste envoyé aux parents le 29 juillet pour les encourager à prévoir suffisamment de traitement d’entretien par inhalation contre l’asthme avant la reprise de l’année scolaire, par comparaison avec le groupe témoin (N = 1 étude (8) ; n = 10481 enfants)
critères d’évaluation secondaires : pas de résultats séparés pour l’hospitalisation, l’admission en soins intensifs pédiatriques, les décès dus à l’asthme, le contrôle standard des symptômes de l’asthme, la qualité de vie, les jours d’école manqués
effets indésirables : pas de différence quant aux effets indésirables (graves) entre le groupe intervention et le groupe témoin (N = 4 études pharmacologiques).
Conclusion des auteurs
La conclusion des auteurs est qu’un traitement par omalizumab durant quatre à six semaines après le début de l’année scolaire peut limiter le nombre d’exacerbations d’asthme pendant l’automne. Mis à part de la douleur au niveau du site d’injection, il n’y a pas de preuve qu’un plus grand nombre d’effets indésirables soient associés à cette stratégie coûteuse. Il n’y a pas de données concernant l’effet de ces interventions saisonnières et d’autres interventions sur le contrôle de l’asthme, la qualité de vie et la mortalité liée à l’asthme. Les études futures devraient utiliser une unique définition des exacerbations d’asthme, et si possible une définition qui soit uniformisée. Pour pouvoir examiner les éventuelles différences entre les sous-groupes quant à l’effet, il faudra que les participants des études futures soient bien caractérisés en termes d’âge, de sexe, de sévérité de l’asthme et d’antécédents d’exacerbations d’asthme.
Financement de l’étude
Financement interne par le National Institute for Health Research (NIHR), par le biais du Comprehensive Clinical Research Network et du centre de recherche biomédicale NIHR à l’hôpital pédiatrique Great Ormond Street Hospital for Children NHS Foundation Trust et University College Londres, Royaume-Uni et un emploi (Katharine Pike). Katherine Harris a reçu un financement pour son doctorat du NIHR Collaboration for Leadership in Applied Health Research and Care (CLAHRC) North Thames au Bart’s Health NHS Trust. Les avis exprimés sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement ceux du NHS, du NIHR ou du Département de la Santé.
Conflits d’intérêt des auteurs
Il n’y a pas de conflits d’intérêt connus.En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2181 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86454
in Minerva [périodique éléctronique] > Vol. 18, n° 2 (Mars 2019) . - p. 14-17[article] Les interventions préventives réduisent-elles le nombre d’exacerbations d’asthme chez les enfants durant l’automne ? [document électronique] / Frans De Baets . - 2019 . - p. 14-17.
DOI: 10.1002/14651858.CD012393.pub2
Langues : Français (fre)
in Minerva [périodique éléctronique] > Vol. 18, n° 2 (Mars 2019) . - p. 14-17
Mots-clés : Antagonistes des leucotriènes Bronchodilatateur Asthme Hormones corticosurrénaliennes Évolution de la maladie Hospitalisation Observance par le patient Thérapie comportementale Résumé : Méthodologie
Synthèse méthodique et méta-analyse
Sources consultées
Cochrane Airways Group’s Trials Register (avec enregistrement hebdomadaire ou mensuel de la littérature via CENTRAL, MEDLINE Ovid, Embase Ovid, PsycINFO Ovid, CINAHL EBSCO, AMED EBSCO, rapports des congrès), ClinicalTrials.gov, la plate-forme internationale d’enregistrement des essais cliniques de l’Organisation mondiale de la santé ; jusqu’au 1er décembre 2017
listes de références des études primaires et des revues, sites Internet des firmes Merck, Novartis et Ono Pharmaceutical
pas de restriction quant à la langue de publication.
Études sélectionnées
études randomisées contrôlées comparant la prise en charge standard et des interventions préventives visant à réduire le nombre d’exacerbations d’asthme pendant l’automne
parmi les 546 études identifiées, 5 ont finalement été sélectionnées : 3 études examinant l’effet des antagonistes des récepteurs aux leucotriènes, une étude examinant l’influence d’une lettre pour encourager l’observance, et une dernière étude examinant l’effet de l’omalizumab ou d’une augmentation de la dose de corticoïdes inhalés.
Population étudiée
au total, 14252 enfants de moins de 18 ans (1 an à 17 ans selon l’étude) atteints d’asthme ; le VEMS était en moyenne de 90% dans deux études (4,5) ; l’utilisation de corticoïdes inhalés allait de 90% dans une étude (6) à ≤ 50% dans deux autres études (4,7) ; la seule étude de première ligne incluait des patients ayant un asthme léger (8).
Mesure des résultats
critère d’évaluation primaire : nombre d’enfants avec au moins une exacerbation d’asthme pendant l’automne, définie comme une aggravation des symptômes de l’asthme ayant nécessité un traitement avec des corticoïdes administrés par voie orale ou une hospitalisation.
critères d’évaluation secondaires : nombre d’enfants avec exacerbations d’asthme ayant nécessité une hospitalisation ou l’admission en soins intensifs pédiatriques, nombre de décès liés à l’asthme, degré de contrôle de l’asthme, qualité de vie liée à l’asthme, nombre de jours d’école manqués, effets indésirables
méta-analyse suivant le modèle à effets aléatoires.
Résultats
critère d’évaluation primaire : le nombre d’enfants avec, pendant l’automne, au moins une exacerbation de l’asthme ayant nécessité un traitement avec des corticoïdes par voie orale ou une hospitalisation, était plus petit, et ce de manière statistiquement significative chez les enfants qui, durant 90 jours après le début de l’année scolaire, recevaient de l’omalizumab au lieu du placebo (11,3% versus 21,0% ; rapport de cotes (RC) 0,48 avec IC à 95% de 0,25 à 0,92 ; N = 1 étude (5) ; n = 513 enfants)
sur la base des critères d’évaluation primaires définis par les différentes études incluses, on a observé :
une diminution de 53% du nombre de jours avec aggravation des symptômes de l’asthme (plus sévère que d’habitude, visite imprévue chez le médecin, besoin d’un supplément de médicaments contre l’asthme, traitement avec des corticoïdes par voie orale) durant un traitement par montélukast, par rapport au placebo, pendant 45 jours (3,9% contre 8,3% ; p = 0,02 ; N = 1 étude (6) ; n = 194 enfants)
pas de différence quant à l’aggravation des symptômes de l’asthme (symptômes accrus pendant la journée et pendant la nuit, augmentation de l’utilisation de bêta2-mimétiques et de corticoïdes inhalés, traitement avec corticoïdes par voie orale, visite imprévue chez le médecin, admission aux urgences ou hospitalisation pour asthme) au cours d’un traitement par montélukast par rapport au placebo pendant 8 semaines (N = 1 étude (4) ; n = 998 enfants)
pas de différence quant au score total de l’asthme (sur la base des symptômes de l’asthme, de l’augmentation de l’utilisation des médicaments contre l’asthme, de l’utilisation de corticoïdes par voie orale, des visites imprévues chez le médecin) au cours d’un traitement par pranlukast, par rapport au placebo, pendant 60 jours (N = 1 étude (7) ; n = 121 enfants)
pas de différence quant au nombre de visites imprévues chez le médecin (pour affection des voies respiratoires) de septembre à décembre après un courrier du médecin généraliste envoyé aux parents le 29 juillet pour les encourager à prévoir suffisamment de traitement d’entretien par inhalation contre l’asthme avant la reprise de l’année scolaire, par comparaison avec le groupe témoin (N = 1 étude (8) ; n = 10481 enfants)
critères d’évaluation secondaires : pas de résultats séparés pour l’hospitalisation, l’admission en soins intensifs pédiatriques, les décès dus à l’asthme, le contrôle standard des symptômes de l’asthme, la qualité de vie, les jours d’école manqués
effets indésirables : pas de différence quant aux effets indésirables (graves) entre le groupe intervention et le groupe témoin (N = 4 études pharmacologiques).
Conclusion des auteurs
La conclusion des auteurs est qu’un traitement par omalizumab durant quatre à six semaines après le début de l’année scolaire peut limiter le nombre d’exacerbations d’asthme pendant l’automne. Mis à part de la douleur au niveau du site d’injection, il n’y a pas de preuve qu’un plus grand nombre d’effets indésirables soient associés à cette stratégie coûteuse. Il n’y a pas de données concernant l’effet de ces interventions saisonnières et d’autres interventions sur le contrôle de l’asthme, la qualité de vie et la mortalité liée à l’asthme. Les études futures devraient utiliser une unique définition des exacerbations d’asthme, et si possible une définition qui soit uniformisée. Pour pouvoir examiner les éventuelles différences entre les sous-groupes quant à l’effet, il faudra que les participants des études futures soient bien caractérisés en termes d’âge, de sexe, de sévérité de l’asthme et d’antécédents d’exacerbations d’asthme.
Financement de l’étude
Financement interne par le National Institute for Health Research (NIHR), par le biais du Comprehensive Clinical Research Network et du centre de recherche biomédicale NIHR à l’hôpital pédiatrique Great Ormond Street Hospital for Children NHS Foundation Trust et University College Londres, Royaume-Uni et un emploi (Katharine Pike). Katherine Harris a reçu un financement pour son doctorat du NIHR Collaboration for Leadership in Applied Health Research and Care (CLAHRC) North Thames au Bart’s Health NHS Trust. Les avis exprimés sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement ceux du NHS, du NIHR ou du Département de la Santé.
Conflits d’intérêt des auteurs
Il n’y a pas de conflits d’intérêt connus.En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2181 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86454 Exemplaires
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