Centre de Documentation Campus Montignies
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Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h30-16h30
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Auteur Livia Velpry |
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Faire barrage au virus et s’en arranger. Des personnes en situation de handicap à l’épreuve de la COVID-19 / Aude Béliard in Alter, Vol. 15, n°1 (Janvier 2021)
[article]
Titre : Faire barrage au virus et s’en arranger. Des personnes en situation de handicap à l’épreuve de la COVID-19 Type de document : texte imprimé Auteurs : Aude Béliard ; Maina Le Helley ; Noémie Rapegno ; Livia Velpry ; Pierre Vidal-Naquet Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 99-106 Note générale : doi.org/10.1016/j.alter.2020.10.003 Langues : Français (fre) Mots-clés : COVID-19 Personnes handicapées Santé publique Résumé : Les mesures qui ont été prises pour répondre à la pandémie de COVID-19 ont fortement mis en avant les impératifs de sécurité individuelle et collective et de santé publique, faisant passer au second plan un certain nombre de principes et de droits qui guident aujourd’hui les politiques publiques. L’impératif d’autonomie et d’accessibilité qui structure les politiques sociales, mais aussi la participation et l’adhésion des usagers qui sont aujourd’hui promues, ont de ce fait été mis — provisoirement — de côté. Cette réorganisation des priorités a eu des incidences très concrètes pour l’ensemble de la population. Le calfeutrage dans les lieux de vie de chacun, la restriction des déplacements, l’invitation à limiter au maximum les contacts physiques interindividuels et à la conditionner par des gestes barrières comme le masque, sont autant de dispositions qui se sont imposées à tous, quoique de façon très différentes selon les situations sociales. Nombre d’observateurs ont rappelé, en effet, les extrêmes inégalités renforcées par le confinement, entre ceux qui ont pu se replier dans des maisons de campagne et ceux qui ont traversé l’épreuve dans des logements sur-occupés, à la rue ou en prison ou encore ceux qui ont continué à travailler et à circuler et être exposés aux risques de contamination. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90967
in Alter > Vol. 15, n°1 (Janvier 2021) . - p. 99-106[article] Faire barrage au virus et s’en arranger. Des personnes en situation de handicap à l’épreuve de la COVID-19 [texte imprimé] / Aude Béliard ; Maina Le Helley ; Noémie Rapegno ; Livia Velpry ; Pierre Vidal-Naquet . - 2021 . - p. 99-106.
doi.org/10.1016/j.alter.2020.10.003
Langues : Français (fre)
in Alter > Vol. 15, n°1 (Janvier 2021) . - p. 99-106
Mots-clés : COVID-19 Personnes handicapées Santé publique Résumé : Les mesures qui ont été prises pour répondre à la pandémie de COVID-19 ont fortement mis en avant les impératifs de sécurité individuelle et collective et de santé publique, faisant passer au second plan un certain nombre de principes et de droits qui guident aujourd’hui les politiques publiques. L’impératif d’autonomie et d’accessibilité qui structure les politiques sociales, mais aussi la participation et l’adhésion des usagers qui sont aujourd’hui promues, ont de ce fait été mis — provisoirement — de côté. Cette réorganisation des priorités a eu des incidences très concrètes pour l’ensemble de la population. Le calfeutrage dans les lieux de vie de chacun, la restriction des déplacements, l’invitation à limiter au maximum les contacts physiques interindividuels et à la conditionner par des gestes barrières comme le masque, sont autant de dispositions qui se sont imposées à tous, quoique de façon très différentes selon les situations sociales. Nombre d’observateurs ont rappelé, en effet, les extrêmes inégalités renforcées par le confinement, entre ceux qui ont pu se replier dans des maisons de campagne et ceux qui ont traversé l’épreuve dans des logements sur-occupés, à la rue ou en prison ou encore ceux qui ont continué à travailler et à circuler et être exposés aux risques de contamination. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90967 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtPartenariats en santé mentale à partir de l’école / Sandrine Bonneton in Rhizome, 78 (Novembre 2020)
[article]
Titre : Partenariats en santé mentale à partir de l’école Type de document : texte imprimé Auteurs : Sandrine Bonneton ; Isabelle Maillard ; Thibaud Pombet ; Livia Velpry Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 12-13 Note générale : Issu du dossier : "L'école prend-elle soin ?" Langues : Français (fre) Mots-clés : Enfants -- Santé mentale Adolescents -- Santé mentale PMS / CPMS - Centre psycho-médico-social En ligne : https://www.cairn.info/revue-rhizome-2020-4-page-12.htm Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91488
in Rhizome > 78 (Novembre 2020) . - p. 12-13[article] Partenariats en santé mentale à partir de l’école [texte imprimé] / Sandrine Bonneton ; Isabelle Maillard ; Thibaud Pombet ; Livia Velpry . - 2020 . - p. 12-13.
Issu du dossier : "L'école prend-elle soin ?"
Langues : Français (fre)
in Rhizome > 78 (Novembre 2020) . - p. 12-13Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtRencontres avec l’enfermement. Une réflexion sur le soin en psychiatrie / Livia Velpry in Empan, 114 (Juin 2019)
[article]
Titre : Rencontres avec l’enfermement. Une réflexion sur le soin en psychiatrie Titre original : L’enfermement en questions Type de document : texte imprimé Auteurs : Livia Velpry Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 44-50 Note générale : De la violence à l’enfermement
Dans les services de psychiatrie publique où je me rends, au milieu des années 2000, pour y réaliser observations et entretiens, la violence préoccupe. Entre deux faits divers, les témoignages des soignants affluent. Beaucoup éprouvent le sentiment que la violence fait partie de leur quotidien. Ils y voient plusieurs explications. Certains rappellent que la maladie mentale peut produire des états qui sont intrinsèquement violents, mais également que l’environnement institutionnel génère, lui aussi, sa propre violence. Ces effets se cumulent. Autrement dit, la violence fait partie de l’ordinaire quand on s’occupe de troubles mentaux. Pour ces professionnels, si l’on en parle de plus en plus, c’est parce que la société d’aujourd’hui tolère moins cette violence, dans son effort de lisser les rapports sociaux. Les soignants des plus jeunes générations, qui n’ont pas été formés aux spécificités de la psychiatrie, sont régulièrement cités en exemple. D’autres – ou parfois les mêmes – mettent en cause la disparition de l’asile. Son caractère contenant assurait une fonction de sécurisation ; en outre, il avait un effet apaisant sur certaines pathologies. L’enfermement, en d’autres termes, avait ses vertus. Certes, les rapports entre soignants et patients y étaient plus musclés, mais on y était protégé. C’est au nom de cette protection que des services sont dits « ouverts » alors même que la porte d’entrée y est fermée. Elle est ouverte, mais sur demande.Langues : Français (fre) Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=80980
in Empan > 114 (Juin 2019) . - p. 44-50[article] Rencontres avec l’enfermement. Une réflexion sur le soin en psychiatrie = L’enfermement en questions [texte imprimé] / Livia Velpry . - 2019 . - p. 44-50.
De la violence à l’enfermement
Dans les services de psychiatrie publique où je me rends, au milieu des années 2000, pour y réaliser observations et entretiens, la violence préoccupe. Entre deux faits divers, les témoignages des soignants affluent. Beaucoup éprouvent le sentiment que la violence fait partie de leur quotidien. Ils y voient plusieurs explications. Certains rappellent que la maladie mentale peut produire des états qui sont intrinsèquement violents, mais également que l’environnement institutionnel génère, lui aussi, sa propre violence. Ces effets se cumulent. Autrement dit, la violence fait partie de l’ordinaire quand on s’occupe de troubles mentaux. Pour ces professionnels, si l’on en parle de plus en plus, c’est parce que la société d’aujourd’hui tolère moins cette violence, dans son effort de lisser les rapports sociaux. Les soignants des plus jeunes générations, qui n’ont pas été formés aux spécificités de la psychiatrie, sont régulièrement cités en exemple. D’autres – ou parfois les mêmes – mettent en cause la disparition de l’asile. Son caractère contenant assurait une fonction de sécurisation ; en outre, il avait un effet apaisant sur certaines pathologies. L’enfermement, en d’autres termes, avait ses vertus. Certes, les rapports entre soignants et patients y étaient plus musclés, mais on y était protégé. C’est au nom de cette protection que des services sont dits « ouverts » alors même que la porte d’entrée y est fermée. Elle est ouverte, mais sur demande.
Langues : Français (fre)
in Empan > 114 (Juin 2019) . - p. 44-50
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=80980 Réservation
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