Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur Françoise Fortenfant |
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Avancées dans le diagnostic biologique des maladies inflammatoires chroniques de l’intestin / Caroline Carlé in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 562 (mai 2024)
[article]
Titre : Avancées dans le diagnostic biologique des maladies inflammatoires chroniques de l’intestin Type de document : texte imprimé Auteurs : Caroline Carlé ; Chloé Bost ; Guillaume Le Cosquer ; Françoise Fortenfant Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 58-64 Note générale : https://doi.org/10.1016/S1773-035X(24)00176-X Langues : Français (fre) Mots-clés : anti-intégrine α vβ 6 auto-anticorps biomarqueurs maladies inflammatoires chroniques de l’intestin médecine prédictive Résumé : Les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI), comprenant la maladie de Crohn (MC) et la rectocolite hémorragique (RCH), sont des affections inflammatoires digestives complexes qui impactent la qualité de vie de plus de 250 000 individus en France, dont 20 % des cas concernent des enfants. Le diagnostic repose sur un faisceau d’arguments cliniques, radiologiques, endoscopiques, histologiques et biologiques. La recherche de marqueurs d’inflammation intestinale, tels que la calprotectine fécale, constitue un outil utile pour orienter le diagnostic et surveiller l’activité de la maladie. L’identification de biomarqueurs sériques a également suscité un intérêt pour différencier la MC de la RCH et améliorer la stratification des patients. Les anticorps anti-Saccharomyces cerevisiæ (ASCA pour Anti–Saccharomyces cerevisiae antibodies) et les anticorps anti-cytoplasme des polynucléaires neutrophiles (ANCA pour anti-neutrophil cytoplasmic antibodies) ont été les plus étudiés dans le diagnostic et la classification des MICI. D’autres biomarqueurs, tels que les anticorps anti-GM-CSF et plus récemment les anti-intégrine αvβ6, ont émergé comme des indicateurs potentiels de prédisposition aux MICI, avec des études suggérant leur présence jusqu’à plusieurs années avant le diagnostic. Les approches de médecine prédictive et personnalisée, combinant différents types de paramètres biologiques, offrent des perspectives prometteuses dans la détection précoce de la maladie, la compréhension de la pathogenèse, la caractérisation clinique, la prédiction de l’évolution de la maladie ou encore la réponse aux traitements. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117334
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 562 (mai 2024) . - p. 58-64[article] Avancées dans le diagnostic biologique des maladies inflammatoires chroniques de l’intestin [texte imprimé] / Caroline Carlé ; Chloé Bost ; Guillaume Le Cosquer ; Françoise Fortenfant . - 2024 . - p. 58-64.
https://doi.org/10.1016/S1773-035X(24)00176-X
Langues : Français (fre)
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 562 (mai 2024) . - p. 58-64
Mots-clés : anti-intégrine α vβ 6 auto-anticorps biomarqueurs maladies inflammatoires chroniques de l’intestin médecine prédictive Résumé : Les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI), comprenant la maladie de Crohn (MC) et la rectocolite hémorragique (RCH), sont des affections inflammatoires digestives complexes qui impactent la qualité de vie de plus de 250 000 individus en France, dont 20 % des cas concernent des enfants. Le diagnostic repose sur un faisceau d’arguments cliniques, radiologiques, endoscopiques, histologiques et biologiques. La recherche de marqueurs d’inflammation intestinale, tels que la calprotectine fécale, constitue un outil utile pour orienter le diagnostic et surveiller l’activité de la maladie. L’identification de biomarqueurs sériques a également suscité un intérêt pour différencier la MC de la RCH et améliorer la stratification des patients. Les anticorps anti-Saccharomyces cerevisiæ (ASCA pour Anti–Saccharomyces cerevisiae antibodies) et les anticorps anti-cytoplasme des polynucléaires neutrophiles (ANCA pour anti-neutrophil cytoplasmic antibodies) ont été les plus étudiés dans le diagnostic et la classification des MICI. D’autres biomarqueurs, tels que les anticorps anti-GM-CSF et plus récemment les anti-intégrine αvβ6, ont émergé comme des indicateurs potentiels de prédisposition aux MICI, avec des études suggérant leur présence jusqu’à plusieurs années avant le diagnostic. Les approches de médecine prédictive et personnalisée, combinant différents types de paramètres biologiques, offrent des perspectives prometteuses dans la détection précoce de la maladie, la compréhension de la pathogenèse, la caractérisation clinique, la prédiction de l’évolution de la maladie ou encore la réponse aux traitements. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=117334 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleLe diagnostic des encéphalites auto-immunes / Françoise Fortenfant in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 542 (mai 2022)
[article]
Titre : Le diagnostic des encéphalites auto-immunes Type de document : texte imprimé Auteurs : Françoise Fortenfant ; P. Chrétien ; Chloé Bost Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 40-47 Note générale : https://Doi:10.1016/S1773-035X(22)00176-9 Langues : Français (fre) Mots-clés : auto-anticorps auto-immunité encéphalite Résumé : Les encéphalites auto-immunes (EAI) sont difficiles à diagnostiquer en raison de la diversité et du manque de spécificité des manifestations cliniques et radiologiques alors que la rapidité du diagnostic peut conditionner la récupération. La caractérisation d’auto-anticorps est prépondérante dans la démarche diagnostique. Il est recommandé d’associer un test sur tissus et un test d’identification pour les caractériser. Leur grande diversité associée à la variété des profils cliniques incite à les rechercher dans le liquide céphalo-rachidien (LCR) et le sérum sur différents substrats. Nous présentons l’expérience de deux laboratoires de CHU explorant ces pathologies en routine sur une durée de sept ans (Toulouse) et de huit ans (Bicêtre). Le diagnostic, complexe, d’EAI nécessite la confrontation de résultats de différents professionnels. La recherche de marqueurs de suivi et d’aide à la décision d’arrêt du traitement sont encore à découvrir. Note de contenu : Issu du dossier "Actualités en auto-immunité" Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=103611
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 542 (mai 2022) . - p. 40-47[article] Le diagnostic des encéphalites auto-immunes [texte imprimé] / Françoise Fortenfant ; P. Chrétien ; Chloé Bost . - 2022 . - p. 40-47.
https://Doi:10.1016/S1773-035X(22)00176-9
Langues : Français (fre)
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 542 (mai 2022) . - p. 40-47
Mots-clés : auto-anticorps auto-immunité encéphalite Résumé : Les encéphalites auto-immunes (EAI) sont difficiles à diagnostiquer en raison de la diversité et du manque de spécificité des manifestations cliniques et radiologiques alors que la rapidité du diagnostic peut conditionner la récupération. La caractérisation d’auto-anticorps est prépondérante dans la démarche diagnostique. Il est recommandé d’associer un test sur tissus et un test d’identification pour les caractériser. Leur grande diversité associée à la variété des profils cliniques incite à les rechercher dans le liquide céphalo-rachidien (LCR) et le sérum sur différents substrats. Nous présentons l’expérience de deux laboratoires de CHU explorant ces pathologies en routine sur une durée de sept ans (Toulouse) et de huit ans (Bicêtre). Le diagnostic, complexe, d’EAI nécessite la confrontation de résultats de différents professionnels. La recherche de marqueurs de suivi et d’aide à la décision d’arrêt du traitement sont encore à découvrir. Note de contenu : Issu du dossier "Actualités en auto-immunité" Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=103611 Réservation
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DisponibleInterprétation des immunodots, myosite et sclérodermie systémique / Bryan Zamorano in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 545 (septembre 2022)
[article]
Titre : Interprétation des immunodots, myosite et sclérodermie systémique Type de document : texte imprimé Auteurs : Bryan Zamorano ; Houda Atik ; Yves Renaudineau ; Françoise Fortenfant ; Chloé Bost Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 49-58 Note générale : https://doi.org/10.1016/S1773-035X(22)00283-0 Langues : Français (fre) Mots-clés : autoanticorps immunodot myosite recommandation sclérodermie systémique Résumé : L’identification des autoanticorps associés aux maladies auto-immunes est un challenge croissant en termes de diagnostic ou de pronostic. En effet, ces anticorps font partie des critères et score de diagnostic et certains sont associés à des formes cliniques particulières impactant le pronostic.
Compte tenu du nombre d’autoanticorps qui peuvent être associés à une maladie auto-immune, des techniques multiparamétriques permettant d’identifier un panel d’autoanticorps ont été développées. Parmi ces techniques, l’immunodot a permis de répondre en partie à cette demande mais plusieurs études ont pointé son manque de spécificité dans les diagnostics de myosite et de sclérodermie systémique.
Deux études rétrospectives menées au centre hospitalier universitaire de Toulouse portant sur les autoanticorps des myosites et des sclérodermies illustrent parfaitement le manque de spécificité de ces techniques et proposent des solutions pour y remédier, dont la confrontation avec l’aspect en immunofluorescence indirecte ou par l’établissement de nouveaux seuils de positivité.
Au final, par leur simplicité de mise en place et leur coût, les techniques d’immunodot occupent une place de choix dans l’identification des autoanticorps. Leur interprétation biologique doit cependant prendre en compte leur manque de spécificité.Note de contenu : Issu du dossier "Difficultés techniques et d'interprétation en biologie" Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106203
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 545 (septembre 2022) . - p. 49-58[article] Interprétation des immunodots, myosite et sclérodermie systémique [texte imprimé] / Bryan Zamorano ; Houda Atik ; Yves Renaudineau ; Françoise Fortenfant ; Chloé Bost . - 2022 . - p. 49-58.
https://doi.org/10.1016/S1773-035X(22)00283-0
Langues : Français (fre)
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 545 (septembre 2022) . - p. 49-58
Mots-clés : autoanticorps immunodot myosite recommandation sclérodermie systémique Résumé : L’identification des autoanticorps associés aux maladies auto-immunes est un challenge croissant en termes de diagnostic ou de pronostic. En effet, ces anticorps font partie des critères et score de diagnostic et certains sont associés à des formes cliniques particulières impactant le pronostic.
Compte tenu du nombre d’autoanticorps qui peuvent être associés à une maladie auto-immune, des techniques multiparamétriques permettant d’identifier un panel d’autoanticorps ont été développées. Parmi ces techniques, l’immunodot a permis de répondre en partie à cette demande mais plusieurs études ont pointé son manque de spécificité dans les diagnostics de myosite et de sclérodermie systémique.
Deux études rétrospectives menées au centre hospitalier universitaire de Toulouse portant sur les autoanticorps des myosites et des sclérodermies illustrent parfaitement le manque de spécificité de ces techniques et proposent des solutions pour y remédier, dont la confrontation avec l’aspect en immunofluorescence indirecte ou par l’établissement de nouveaux seuils de positivité.
Au final, par leur simplicité de mise en place et leur coût, les techniques d’immunodot occupent une place de choix dans l’identification des autoanticorps. Leur interprétation biologique doit cependant prendre en compte leur manque de spécificité.Note de contenu : Issu du dossier "Difficultés techniques et d'interprétation en biologie" Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=106203 Réservation
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