Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Auteur Nathalie Guffon |
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Aspects cliniques des mucopolysaccharidoses et oligosaccharidoses / Nathalie Guffon in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 536 (novembre 2021)
[article]
Titre : Aspects cliniques des mucopolysaccharidoses et oligosaccharidoses Type de document : texte imprimé Auteurs : Nathalie Guffon Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 20-29 Note générale : Issu du dossier : "De réelles avancées thérapeutiques"
https:// Doi : 10.1016/S1773-035X(21)00220-3Langues : Français (fre) Mots-clés : maladie de surcharge lysosomale mucolipidose mucopolysaccharidose oligosaccharidose phénotype très variable Résumé : Les mucopolysaccharidoses sont des maladies héréditaires de surcharge lysosomale secondaires au déficit d’enzymes impliquées dans le catabolisme des glycosaminoglycanes (GAG) : chondroïtines sulfates, dermatane sulfate, héparane sulfate, kératane sulfate. L’accumulation intralysosomale de glycosaminoglycanes entraîne des dysfonctionnements cellulaires progressifs dans différents organes. Ce sont des maladies multisystémiques, évolutives entrainant une réduction de l’espérance de vie. Elles se transmettent sur le mode récessif autosomique sauf la MPS II qui est récessive liée à l’X. Il existe sept types de MPS en fonction du déficit enzymatique et des glycosaminoglycanes accumulés. Pour chaque type, il existe un continuum de présentation clinique allant des formes très sévères à des formes atténuées. Les signes cliniques peuvent être dysmorphie, dysostose multiple, raideurs articulaires, déficit de la croissance staturale, hépato-splénomégalie, atteinte cognitive plus ou moins marqué voire absente, hypoacousie, atteinte ophtalmologique (opacités cornéennes, rétinite pigmentaire, atrophie optique), atteinte cardiaque et respiratoire. Deux approches thérapeutiques sont possibles : la transplantation de cellules souches hématopoïétiques pour certains patients et l’enzymothérapie substitutive pour les MPS I, I, IV, VI et VII. Il est extrêmement important d’évoquer le diagnostic rapidement car les possibilités thérapeutiques et leur efficacité dépendent de la précocité du diagnostic.
Les oligosaccharidoses sont des maladies de surcharges lysosomales plus rares de transmission autosomique récessive qui affectent la dégradation des oligosaccharides (= glycoprotéines). Certaines ont des signes cliniques communs avec les mucopolysaccharidoses.
Plan
Introduction
Mucopolysaccharidose de type I : maladies de Hurler, Hurler-Scheie, Scheie
Mucopolysaccharidose de type II : maladie de Hunter
Mucopolysaccharidose de type III : maladie de San Filippo
Mucopolysaccharidose de type IV : maladie de Morquio
Mucopolysaccharidose de type VI : maladie de Maroteaux-Lamy
Mucopolysaccharidose de type VII : maladie de Sly
Maladies apparentées : oligosaccharidoses
Sialidose
Galactosialidose
Mucolipidose de type IV
Alpha-mannosidose
Bêta-mannosidose
Aspartylglucosaminurie
FucosidosePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97170
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 536 (novembre 2021) . - p. 20-29[article] Aspects cliniques des mucopolysaccharidoses et oligosaccharidoses [texte imprimé] / Nathalie Guffon . - 2021 . - p. 20-29.
Issu du dossier : "De réelles avancées thérapeutiques"
https:// Doi : 10.1016/S1773-035X(21)00220-3
Langues : Français (fre)
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 536 (novembre 2021) . - p. 20-29
Mots-clés : maladie de surcharge lysosomale mucolipidose mucopolysaccharidose oligosaccharidose phénotype très variable Résumé : Les mucopolysaccharidoses sont des maladies héréditaires de surcharge lysosomale secondaires au déficit d’enzymes impliquées dans le catabolisme des glycosaminoglycanes (GAG) : chondroïtines sulfates, dermatane sulfate, héparane sulfate, kératane sulfate. L’accumulation intralysosomale de glycosaminoglycanes entraîne des dysfonctionnements cellulaires progressifs dans différents organes. Ce sont des maladies multisystémiques, évolutives entrainant une réduction de l’espérance de vie. Elles se transmettent sur le mode récessif autosomique sauf la MPS II qui est récessive liée à l’X. Il existe sept types de MPS en fonction du déficit enzymatique et des glycosaminoglycanes accumulés. Pour chaque type, il existe un continuum de présentation clinique allant des formes très sévères à des formes atténuées. Les signes cliniques peuvent être dysmorphie, dysostose multiple, raideurs articulaires, déficit de la croissance staturale, hépato-splénomégalie, atteinte cognitive plus ou moins marqué voire absente, hypoacousie, atteinte ophtalmologique (opacités cornéennes, rétinite pigmentaire, atrophie optique), atteinte cardiaque et respiratoire. Deux approches thérapeutiques sont possibles : la transplantation de cellules souches hématopoïétiques pour certains patients et l’enzymothérapie substitutive pour les MPS I, I, IV, VI et VII. Il est extrêmement important d’évoquer le diagnostic rapidement car les possibilités thérapeutiques et leur efficacité dépendent de la précocité du diagnostic.
Les oligosaccharidoses sont des maladies de surcharges lysosomales plus rares de transmission autosomique récessive qui affectent la dégradation des oligosaccharides (= glycoprotéines). Certaines ont des signes cliniques communs avec les mucopolysaccharidoses.
Plan
Introduction
Mucopolysaccharidose de type I : maladies de Hurler, Hurler-Scheie, Scheie
Mucopolysaccharidose de type II : maladie de Hunter
Mucopolysaccharidose de type III : maladie de San Filippo
Mucopolysaccharidose de type IV : maladie de Morquio
Mucopolysaccharidose de type VI : maladie de Maroteaux-Lamy
Mucopolysaccharidose de type VII : maladie de Sly
Maladies apparentées : oligosaccharidoses
Sialidose
Galactosialidose
Mucolipidose de type IV
Alpha-mannosidose
Bêta-mannosidose
Aspartylglucosaminurie
FucosidosePermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97170 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleMaladies de Gaucher, de Niemann-Pick par déficit en sphingomyélinase acide et de Niemann-Pick type C / Nathalie Guffon in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 536 (novembre 2021)
[article]
Titre : Maladies de Gaucher, de Niemann-Pick par déficit en sphingomyélinase acide et de Niemann-Pick type C Type de document : texte imprimé Auteurs : Nathalie Guffon Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 30-34 Note générale : Issu du dossier : "De réelles avancées thérapeutiques"
https:// Doi : 10.1016/S1773-035X(21)00221-5Langues : Français (fre) Mots-clés : déficit en sphingomyélinase acide maladie de Gaucher maladie de Niemann-Pick de type A B et A/B maladie de Niemann Pick type C Résumé : La maladie de Gaucher est une maladie de surcharge lysosomale de transmission récessive autosomique due au déficit en glucocérébrosidase. Son expression clinique est extrêmement variable allant de formes léthales in utero à des formes asymptomatiques. On distingue trois phénotypes cliniques principaux. La maladie de Gaucher de type 1 (95 % des cas) est la forme viscérale, non neurologique. Son expression clinique est très hétérogène avec des formes très sévères dans l’enfance et des formes quasi-asymptomatiques. La maladie de Gaucher de type 2 (moins de 1 % des cas) aigu neurologique aboutit au décès avant l’âge de 2 ans. La maladie de Gaucher de type 3 (5 % des cas) neurologique subaigu associe une encéphalopathie progressive de sévérité variable et des manifestations cliniques du type 1.
La maladie de Niemann-Pick de type A, B et A/B est une maladie de surcharge lysosomale rare due au déficit en sphingomyélinase acide : on l’appelle de plus en plus déficit en sphingomyélinase acide (ASMD). La maladie de Niemann-Pick de type A, également appelé ASMD neuroviscérale infantile, est la forme la plus sévère avec un décès avant l’âge de 3 ans. À l’extrémité la moins sévère du spectre, la maladie de Niemann-Pick de type B, aussi appelée ASMD viscérale chronique, débute à un âge variable allant de la petite enfance à l’âge adulte, est lentement progressive sans neurodégénérescence. La maladie de Niemann-Pick de type C est une maladie de surcharge lysosomale neuro-viscérale de transmission récessive autosomique, due à un trouble du trafic intracellulaire des lipides avec accumulation de cholestérol non estérifié et de glycosphingolipides. Le spectre clinique va de formes néonatales rapidement mortelles à des formes neurodégénératives chroniques de l’adulte.
Plan
Maladie de Gaucher
La maladie de Gaucher de type 1
La maladie de Gaucher de type 2 aiguë neurologique
La maladie de Gaucher de type 3 neuroviscérale
Maladie de Niemann-Pick type A, A/B ou B
La maladie de Niemann type A ou ASMD infantile neuro-viscérale
La maladie de Niemann-Pick type B ou ASMD viscéral chronique
La maladie de Niemann-Pick type A/B ou ASMD neuro-viscérale chronique
Maladie de Niemann-Pick type CPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97172
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 536 (novembre 2021) . - p. 30-34[article] Maladies de Gaucher, de Niemann-Pick par déficit en sphingomyélinase acide et de Niemann-Pick type C [texte imprimé] / Nathalie Guffon . - 2021 . - p. 30-34.
Issu du dossier : "De réelles avancées thérapeutiques"
https:// Doi : 10.1016/S1773-035X(21)00221-5
Langues : Français (fre)
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 536 (novembre 2021) . - p. 30-34
Mots-clés : déficit en sphingomyélinase acide maladie de Gaucher maladie de Niemann-Pick de type A B et A/B maladie de Niemann Pick type C Résumé : La maladie de Gaucher est une maladie de surcharge lysosomale de transmission récessive autosomique due au déficit en glucocérébrosidase. Son expression clinique est extrêmement variable allant de formes léthales in utero à des formes asymptomatiques. On distingue trois phénotypes cliniques principaux. La maladie de Gaucher de type 1 (95 % des cas) est la forme viscérale, non neurologique. Son expression clinique est très hétérogène avec des formes très sévères dans l’enfance et des formes quasi-asymptomatiques. La maladie de Gaucher de type 2 (moins de 1 % des cas) aigu neurologique aboutit au décès avant l’âge de 2 ans. La maladie de Gaucher de type 3 (5 % des cas) neurologique subaigu associe une encéphalopathie progressive de sévérité variable et des manifestations cliniques du type 1.
La maladie de Niemann-Pick de type A, B et A/B est une maladie de surcharge lysosomale rare due au déficit en sphingomyélinase acide : on l’appelle de plus en plus déficit en sphingomyélinase acide (ASMD). La maladie de Niemann-Pick de type A, également appelé ASMD neuroviscérale infantile, est la forme la plus sévère avec un décès avant l’âge de 3 ans. À l’extrémité la moins sévère du spectre, la maladie de Niemann-Pick de type B, aussi appelée ASMD viscérale chronique, débute à un âge variable allant de la petite enfance à l’âge adulte, est lentement progressive sans neurodégénérescence. La maladie de Niemann-Pick de type C est une maladie de surcharge lysosomale neuro-viscérale de transmission récessive autosomique, due à un trouble du trafic intracellulaire des lipides avec accumulation de cholestérol non estérifié et de glycosphingolipides. Le spectre clinique va de formes néonatales rapidement mortelles à des formes neurodégénératives chroniques de l’adulte.
Plan
Maladie de Gaucher
La maladie de Gaucher de type 1
La maladie de Gaucher de type 2 aiguë neurologique
La maladie de Gaucher de type 3 neuroviscérale
Maladie de Niemann-Pick type A, A/B ou B
La maladie de Niemann type A ou ASMD infantile neuro-viscérale
La maladie de Niemann-Pick type B ou ASMD viscéral chronique
La maladie de Niemann-Pick type A/B ou ASMD neuro-viscérale chronique
Maladie de Niemann-Pick type CPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97172 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleThérapeutiques actuelles et perspectives / Nathalie Guffon in RFL : Revue Francophone des Laboratoires, 536 (novembre 2021)
[article]
Titre : Thérapeutiques actuelles et perspectives Type de document : texte imprimé Auteurs : Nathalie Guffon Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 67-70 Note générale : Issu du dossier : "De réelles avancées thérapeutiques"
https:// Doi : 10.1016/S1773-035X(21)00227-6Langues : Français (fre) Mots-clés : ARN anti-sens chaperonne pharmacologique réduction de substrat traitement enzymatique substitutif translecture transplantation de cellule souche hématopoïétique Résumé : Malgré leur rareté, les maladies de surcharges lysosomales ont bénéficié de nombreuses avancées thérapeutiques. Plusieurs approches existent. La première vise à apporter l’enzyme manquante par thérapie cellulaire (transplantation de cellules souches hématopoïétiques), ou par l’apport hebdomadaire ou tous les quinze jours, par voie intraveineuse, de l’enzyme déficitaire sous la forme d’une protéine recombinante parfois modifiée (traitement enzymatique substitutif) ou encore en agissant directement sur le gène pour corriger des anomalies délétères (translecture de codons stop, modulation de l’épissage…), ou enfin par thérapie génique soit in vivo par transfert direct de gène à l’aide de vecteurs viraux recombinants soit ex vivo avec réinjection de cellules du malade génétiquement modifiées. La deuxième approche consiste à empêcher l’accumulation des composés non dégradés : il s’agit de la thérapie par réduction de substrat. La troisième approche est d’agir sur les conséquences physiopatho-logiques de l’accumulation excessive de substrat : inflammation, stress oxydatif, auto-immunité, autophagie, apoptose. Les limitations actuelles des différentes thérapeutiques sont les difficultés de ciblage de certains tissus ainsi qu’au rôle du système immunitaire qui peut restreindre l’efficacité de certains traitements et nécessiter des traitements adjuvants.
Plan
Introduction
Restaurer une activité enzymatique
Transplantation de cellules souches hématopoïétiques
Traitement enzymatique substitutif
Chaperonnes pharmacologiques
Correction de mutations spécifiques
Thérapie génique
Réduire la synthèse des substrats en amont du déficit enzymatique
Agir sur les conséquences physiopathologiquesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97184
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 536 (novembre 2021) . - p. 67-70[article] Thérapeutiques actuelles et perspectives [texte imprimé] / Nathalie Guffon . - 2021 . - p. 67-70.
Issu du dossier : "De réelles avancées thérapeutiques"
https:// Doi : 10.1016/S1773-035X(21)00227-6
Langues : Français (fre)
in RFL : Revue Francophone des Laboratoires > 536 (novembre 2021) . - p. 67-70
Mots-clés : ARN anti-sens chaperonne pharmacologique réduction de substrat traitement enzymatique substitutif translecture transplantation de cellule souche hématopoïétique Résumé : Malgré leur rareté, les maladies de surcharges lysosomales ont bénéficié de nombreuses avancées thérapeutiques. Plusieurs approches existent. La première vise à apporter l’enzyme manquante par thérapie cellulaire (transplantation de cellules souches hématopoïétiques), ou par l’apport hebdomadaire ou tous les quinze jours, par voie intraveineuse, de l’enzyme déficitaire sous la forme d’une protéine recombinante parfois modifiée (traitement enzymatique substitutif) ou encore en agissant directement sur le gène pour corriger des anomalies délétères (translecture de codons stop, modulation de l’épissage…), ou enfin par thérapie génique soit in vivo par transfert direct de gène à l’aide de vecteurs viraux recombinants soit ex vivo avec réinjection de cellules du malade génétiquement modifiées. La deuxième approche consiste à empêcher l’accumulation des composés non dégradés : il s’agit de la thérapie par réduction de substrat. La troisième approche est d’agir sur les conséquences physiopatho-logiques de l’accumulation excessive de substrat : inflammation, stress oxydatif, auto-immunité, autophagie, apoptose. Les limitations actuelles des différentes thérapeutiques sont les difficultés de ciblage de certains tissus ainsi qu’au rôle du système immunitaire qui peut restreindre l’efficacité de certains traitements et nécessiter des traitements adjuvants.
Plan
Introduction
Restaurer une activité enzymatique
Transplantation de cellules souches hématopoïétiques
Traitement enzymatique substitutif
Chaperonnes pharmacologiques
Correction de mutations spécifiques
Thérapie génique
Réduire la synthèse des substrats en amont du déficit enzymatique
Agir sur les conséquences physiopathologiquesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=97184 Réservation
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