Centre de Documentation Campus Montignies
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Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Santé mentale . 258Mention de date : Mai 2021 Paru le : 01/05/2021 |
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258 - Mai 2021 - Approche familiale des troubles bipolaires [texte imprimé] . - 2021. Langues : Français (fre)
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Ajouter le résultat dans votre panier« À l’Espace enfants, je passe du temps avec maman » / Frédérique Van Leuven in Santé mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : « À l’Espace enfants, je passe du temps avec maman » Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédérique Van Leuven ; Stéphanie Tanghe Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 58-63 Langues : Français (fre) Mots-clés : Trouble bipolaire Famille Relations interpersonnelles Hôpitaux Relations parent-enfant Résumé : Dans cet hôpital belge, l’Espace enfants accueille tous les patients-parents qui le souhaitent, avec leurs enfants et familles, pour un temps informel et chaleureux. Un moment «?hors de la maladie?», adossé à des groupes de soutien et une consultation familiale.
Les patients hospitalisés dans notre établissement (1) souffrent des multiples troubles que l’on peut rencontrer en psychiatrie générale adulte et en hospitalisation sous contrainte?: troubles de l’humeur, épisodes psychotiques, dépendance à l’alcool et aux substances, tableaux plus complexes liés aux conséquences de carences et maltraitances infantiles et autres symptômes post-traumatiques. Nous estimons que plus de deux-tiers d’entre eux sont aussi parents, voire grands-parents. Quel que soit l’âge de leurs enfants, les usagers s’interrogent souvent sur les conséquences potentielles de leurs troubles sur ces derniers. Cette question les préoccupe mais ils n’osent pas toujours l’aborder avec les soignants, pour des raisons diverses?: culpabilité, peur qu’on s’intéresse de trop près à leurs enfants quand ils sont jeunes avec, souvent, la crainte d’un placement à l’arrière-plan, souci de les protéger d’une réalité trop dure, peur de peser. Fréquemment ils évoquent l’angoisse d’avoir transmis génétiquement leur maladie.
Note de contenu : Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires" Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94206
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 58-63[article] « À l’Espace enfants, je passe du temps avec maman » [texte imprimé] / Frédérique Van Leuven ; Stéphanie Tanghe . - 2021 . - p. 58-63.
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 58-63
Mots-clés : Trouble bipolaire Famille Relations interpersonnelles Hôpitaux Relations parent-enfant Résumé : Dans cet hôpital belge, l’Espace enfants accueille tous les patients-parents qui le souhaitent, avec leurs enfants et familles, pour un temps informel et chaleureux. Un moment «?hors de la maladie?», adossé à des groupes de soutien et une consultation familiale.
Les patients hospitalisés dans notre établissement (1) souffrent des multiples troubles que l’on peut rencontrer en psychiatrie générale adulte et en hospitalisation sous contrainte?: troubles de l’humeur, épisodes psychotiques, dépendance à l’alcool et aux substances, tableaux plus complexes liés aux conséquences de carences et maltraitances infantiles et autres symptômes post-traumatiques. Nous estimons que plus de deux-tiers d’entre eux sont aussi parents, voire grands-parents. Quel que soit l’âge de leurs enfants, les usagers s’interrogent souvent sur les conséquences potentielles de leurs troubles sur ces derniers. Cette question les préoccupe mais ils n’osent pas toujours l’aborder avec les soignants, pour des raisons diverses?: culpabilité, peur qu’on s’intéresse de trop près à leurs enfants quand ils sont jeunes avec, souvent, la crainte d’un placement à l’arrière-plan, souci de les protéger d’une réalité trop dure, peur de peser. Fréquemment ils évoquent l’angoisse d’avoir transmis génétiquement leur maladie.
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Exclu du prêt« Je ne peux plus faire comme si je n’étais pas malade… » / Charlotte Yonga in Santé mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : « Je ne peux plus faire comme si je n’étais pas malade… » Type de document : texte imprimé Auteurs : Charlotte Yonga Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 50-53 Langues : Français (fre) Mots-clés : Trouble bipolaire Famille Relations interpersonnelles Maternité (état) Résumé : La photographe Charlotte Yonga, qui illustre ce numéro, souffre d’un trouble bipolaire, « une maladie qui affecte les relations, et précisément celles qui sauvent ». Elle revient sur son parcours, l’importance du soutien de ses proches, et sa récente maternité.
Note de contenu : Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94207
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 50-53[article] « Je ne peux plus faire comme si je n’étais pas malade… » [texte imprimé] / Charlotte Yonga . - 2021 . - p. 50-53.
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 50-53
Mots-clés : Trouble bipolaire Famille Relations interpersonnelles Maternité (état) Résumé : La photographe Charlotte Yonga, qui illustre ce numéro, souffre d’un trouble bipolaire, « une maladie qui affecte les relations, et précisément celles qui sauvent ». Elle revient sur son parcours, l’importance du soutien de ses proches, et sa récente maternité.
Note de contenu : Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94207 Exemplaires (1)
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Exclu du prêt« Je ne sais plus quoi faire pour mon fils » / Anne-Laure Drainville in Santé mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : « Je ne sais plus quoi faire pour mon fils » Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne-Laure Drainville ; Shyhrete REXHAJ ; Shadya Monteiro Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 68-73 Langues : Français (fre) Mots-clés : Trouble bipolaire Famille Aidants Relations interpersonnelles Résumé : Xavier, retraité, se sent dans une impasse?: il voudrait aider son fils Martin dans la gestion de sa maladie bipolaire mais ce dernier refuse tout ce qu’il lui propose. En cinq séances étayées sur des outils très pertinents, le programme Ensemble l’aide à exprimer ses émotions, à lâcher-prise et à respecter l’autonomie de son fils.
Le programme Ensemble propose une intervention précoce, individuelle et brève, permettant aux proches de prendre en compte leurs besoins pour exercer leur rôle d’aidant. Développé en collaboration avec des proches aidants, il est conçu pour promouvoir leur bien-être ou améliorer leur état de santé à la suite des conséquences négatives des troubles psychiatriques des proches qu’ils soutiennent au quotidien.
Note de contenu : Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires" Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94208
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 68-73[article] « Je ne sais plus quoi faire pour mon fils » [texte imprimé] / Anne-Laure Drainville ; Shyhrete REXHAJ ; Shadya Monteiro . - 2021 . - p. 68-73.
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 68-73
Mots-clés : Trouble bipolaire Famille Aidants Relations interpersonnelles Résumé : Xavier, retraité, se sent dans une impasse?: il voudrait aider son fils Martin dans la gestion de sa maladie bipolaire mais ce dernier refuse tout ce qu’il lui propose. En cinq séances étayées sur des outils très pertinents, le programme Ensemble l’aide à exprimer ses émotions, à lâcher-prise et à respecter l’autonomie de son fils.
Le programme Ensemble propose une intervention précoce, individuelle et brève, permettant aux proches de prendre en compte leurs besoins pour exercer leur rôle d’aidant. Développé en collaboration avec des proches aidants, il est conçu pour promouvoir leur bien-être ou améliorer leur état de santé à la suite des conséquences négatives des troubles psychiatriques des proches qu’ils soutiennent au quotidien.
Note de contenu : Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires" Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94208 Exemplaires (1)
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Exclu du prêt« La maladie de papa, elle m’éclabousse » / Hélène Davtian-Valcke in Santé mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : « La maladie de papa, elle m’éclabousse » Type de document : texte imprimé Auteurs : Hélène Davtian-Valcke ; Kadija Maach ; Felisa Blancon ; Éliane Collombet Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 54-57 Langues : Français (fre) Mots-clés : Trouble bipolaire Famille Souffrance psychique association Soins à domicile Résumé : Longtemps considérée comme un «?angle mort?» de la psychiatrie, la question des fratries qui partagent le quotidien d’une personne souffrant de troubles psychiques est au cœur de l’activité des Funambules. Rencontre avec une équipe pionnière.
Vous avez créé en 2018 les Funambules, un espace dédié aux jeunes dont un proche souffre d’une pathologie psychiatrique. Comment est né ce projet et pourquoi??
Bien que l’on se soit attaché à ne pas les voir, il y a toujours eu des enfants auprès des personnes malades. Cependant, si aujourd’hui il devient urgent de tenir compte de leur présence, c’est que l’organisation des soins a énormément évolué. Nous nous appuyons sur les travaux du sociologue N. Carpentier qui analyse les évolutions de la place accordée à la famille du patient depuis les débuts de la désinstitutionalisation jusqu’à nos jours. Il évoque un véritable changement de paradigme qui a fait passer la famille de «?cause?» du problème de santé à «?solution?» pour maintenir la personne dans son domicile.Note de contenu : Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94209
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 54-57[article] « La maladie de papa, elle m’éclabousse » [texte imprimé] / Hélène Davtian-Valcke ; Kadija Maach ; Felisa Blancon ; Éliane Collombet . - 2021 . - p. 54-57.
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 54-57
Mots-clés : Trouble bipolaire Famille Souffrance psychique association Soins à domicile Résumé : Longtemps considérée comme un «?angle mort?» de la psychiatrie, la question des fratries qui partagent le quotidien d’une personne souffrant de troubles psychiques est au cœur de l’activité des Funambules. Rencontre avec une équipe pionnière.
Vous avez créé en 2018 les Funambules, un espace dédié aux jeunes dont un proche souffre d’une pathologie psychiatrique. Comment est né ce projet et pourquoi??
Bien que l’on se soit attaché à ne pas les voir, il y a toujours eu des enfants auprès des personnes malades. Cependant, si aujourd’hui il devient urgent de tenir compte de leur présence, c’est que l’organisation des soins a énormément évolué. Nous nous appuyons sur les travaux du sociologue N. Carpentier qui analyse les évolutions de la place accordée à la famille du patient depuis les débuts de la désinstitutionalisation jusqu’à nos jours. Il évoque un véritable changement de paradigme qui a fait passer la famille de «?cause?» du problème de santé à «?solution?» pour maintenir la personne dans son domicile.Note de contenu : Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94209 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtAddiction aux écrans, où en est-on ? / Jean-Marc Alexandre in Santé mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : Addiction aux écrans, où en est-on ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Marc Alexandre ; Mathieu Boudard ; Christophe Rassis ; Fuschia Serre ; Marc Auriacombe Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 16-19 Langues : Français (fre) Mots-clés : Adolescent Addiction écrans numériques Résumé : "Mon ado est addict aux jeux vidéo !", s'inqiètent régulièment parents et enseignants. Qu'en est-il réellement de l'addiction aux écrans? Le point sur la recherche dans ce domaine ? Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94210
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 16-19[article] Addiction aux écrans, où en est-on ? [texte imprimé] / Jean-Marc Alexandre ; Mathieu Boudard ; Christophe Rassis ; Fuschia Serre ; Marc Auriacombe . - 2021 . - p. 16-19.
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Mots-clés : Adolescent Addiction écrans numériques Résumé : "Mon ado est addict aux jeux vidéo !", s'inqiètent régulièment parents et enseignants. Qu'en est-il réellement de l'addiction aux écrans? Le point sur la recherche dans ce domaine ? Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94210 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtLes bizarreries de maman / Nathalie Bonnouvrier in Santé mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : Les bizarreries de maman Type de document : texte imprimé Auteurs : Nathalie Bonnouvrier ; Marina Stéphanoff Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 64-67 Langues : Français (fre) Mots-clés : Trouble bipolaire Famille Relations parent-enfant Placement en famille d'accueil Institutionnalisation Résumé : ?Mais enfin, c’est quoi, le problème avec maman???» Instituées pour protéger les enfants d’un parent défaillant, les visites médiatisées proposent un espace pour maintenir et restaurer le lien de filiation dans ces situations complexes.
«?Aujourd’hui, nous allons parler de maman?», annonce Aurélia…
Aurélia, 13 ans, son frère Augustin, 14 ans, et ses deux petites sœurs Alma, 7 ans, et Alice, 2 ans et demi sont placés en famille d’accueil. Ils viennent rencontrer leur mère dans un service de visites médiatisées. Ce sont des temps cliniques familiaux, «?en présence d’un tiers?» (à CAP Alésia, ces tiers sont des psychologues cliniciens), pour des enfants et des parents qui ne vivent pas ensemble, mais se retrouvent pour «?maintenir le lien?». Le rythme des rencontres est défini par l’aide sociale à l’enfance ou le juge des enfants. Chaque rencontre dure 1 heure. Dans ce dispositif contraint et restrictif, que ni les enfants ni les parents n’ont choisi, les psychologues s’efforcent qu’un processus thérapeutique soutienne la restauration du lien de filiation, lien blessé, douloureux, mis à mal par les histoires chaotiques de ces familles, faites de carences, de violences, de précarités, de pathologies mentales…
Note de contenu : Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires" Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94211
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 64-67[article] Les bizarreries de maman [texte imprimé] / Nathalie Bonnouvrier ; Marina Stéphanoff . - 2021 . - p. 64-67.
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 64-67
Mots-clés : Trouble bipolaire Famille Relations parent-enfant Placement en famille d'accueil Institutionnalisation Résumé : ?Mais enfin, c’est quoi, le problème avec maman???» Instituées pour protéger les enfants d’un parent défaillant, les visites médiatisées proposent un espace pour maintenir et restaurer le lien de filiation dans ces situations complexes.
«?Aujourd’hui, nous allons parler de maman?», annonce Aurélia…
Aurélia, 13 ans, son frère Augustin, 14 ans, et ses deux petites sœurs Alma, 7 ans, et Alice, 2 ans et demi sont placés en famille d’accueil. Ils viennent rencontrer leur mère dans un service de visites médiatisées. Ce sont des temps cliniques familiaux, «?en présence d’un tiers?» (à CAP Alésia, ces tiers sont des psychologues cliniciens), pour des enfants et des parents qui ne vivent pas ensemble, mais se retrouvent pour «?maintenir le lien?». Le rythme des rencontres est défini par l’aide sociale à l’enfance ou le juge des enfants. Chaque rencontre dure 1 heure. Dans ce dispositif contraint et restrictif, que ni les enfants ni les parents n’ont choisi, les psychologues s’efforcent qu’un processus thérapeutique soutienne la restauration du lien de filiation, lien blessé, douloureux, mis à mal par les histoires chaotiques de ces familles, faites de carences, de violences, de précarités, de pathologies mentales…
Note de contenu : Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires" Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94211 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtPatrimoine génétique et troubles bipolaires / Stéphane Jamain in Santé mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : Patrimoine génétique et troubles bipolaires Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Jamain Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 26-29 Langues : Français (fre) Mots-clés : Trouble bipolaire Famille Génétique Trouble bipolaire / épidémiologie Prédisposition génétique à une maladie Résumé : Si la génétique explique fortement la prévalence accrue de troubles bipolaires dans certaines familles, il n’y a pourtant pas de fatalité. Des personnes peuvent avoir un risque génétique important sans toutefois déclencher la maladie. Focus sur la recherche.
Depuis de nombreuses années, l’exploration du caractère familial des troubles bipolaires (TB) fait partie des pratiques cliniques de routine. Nous savons en effet que le risque de développer un TB augmente significativement dans les familles où cette pathologie a déjà été diagnostiquée et que ce risque est d’autant plus important que le degré de parenté avec la personne malade ou que le nombre de personnes atteintes dans une famille est élevé. Les grandes études épidémiologiques récentes sur des populations entières par exemple estiment un risque multiplié par 10 de développer un tel trouble lorsqu’un parent ou un frère ou une sœur en sont atteints par rapport au risque de la population générale (Lichtenstein et al., 2009). Ce risque de récurrence atteint les 50?% dans le cas de couples de jumeaux monozygotes (Kieseppä et al., 2004). Ces données nous permettent d’estimer une héritabilité pour les troubles bipolaires, c’est-à-dire la part de la maladie expliquée par le patrimoine génétique, entre 60?% et 80?% selon les études. Un taux supérieur à celui observé dans d’autres maladies à hérédité complexe comme la maladie de Crohn ou le diabète de type 2.
Note de contenu : Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires" Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94212
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 26-29[article] Patrimoine génétique et troubles bipolaires [texte imprimé] / Stéphane Jamain . - 2021 . - p. 26-29.
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 26-29
Mots-clés : Trouble bipolaire Famille Génétique Trouble bipolaire / épidémiologie Prédisposition génétique à une maladie Résumé : Si la génétique explique fortement la prévalence accrue de troubles bipolaires dans certaines familles, il n’y a pourtant pas de fatalité. Des personnes peuvent avoir un risque génétique important sans toutefois déclencher la maladie. Focus sur la recherche.
Depuis de nombreuses années, l’exploration du caractère familial des troubles bipolaires (TB) fait partie des pratiques cliniques de routine. Nous savons en effet que le risque de développer un TB augmente significativement dans les familles où cette pathologie a déjà été diagnostiquée et que ce risque est d’autant plus important que le degré de parenté avec la personne malade ou que le nombre de personnes atteintes dans une famille est élevé. Les grandes études épidémiologiques récentes sur des populations entières par exemple estiment un risque multiplié par 10 de développer un tel trouble lorsqu’un parent ou un frère ou une sœur en sont atteints par rapport au risque de la population générale (Lichtenstein et al., 2009). Ce risque de récurrence atteint les 50?% dans le cas de couples de jumeaux monozygotes (Kieseppä et al., 2004). Ces données nous permettent d’estimer une héritabilité pour les troubles bipolaires, c’est-à-dire la part de la maladie expliquée par le patrimoine génétique, entre 60?% et 80?% selon les études. Un taux supérieur à celui observé dans d’autres maladies à hérédité complexe comme la maladie de Crohn ou le diabète de type 2.
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Exclu du prêtTraumatismes précoces et troubles bipolaires / Bruno Étain in Santé mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : Traumatismes précoces et troubles bipolaires Type de document : texte imprimé Auteurs : Bruno Étain Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 30-35 Langues : Français (fre) Mots-clés : Trouble bipolaire Traumatisme psychologique Enfance Trouble bipolaire / épidémiologie Trouble bipolaire / étiologie Résumé : Les évènements traumatiques vécus dans l’enfance constituent un facteur de risque de développer des troubles bipolaires et d’en augmenter la sévérité. Cette dimension doit être prise en compte dans le projet de soin. Le point sur la recherche.
Les études d’épidémiologie génétique montrent l’implication de facteurs de risque génétiques dans les troubles bipolaires, comme en témoigne la forte héritabilité de ces troubles (de l’ordre de 65?%, 1) (voir aussi l’article de S. Jamain, p. 26). L’héritabilité correspond à la proportion de la maladie expliquée par la somme des facteurs génétiques. Néanmoins, les études de jumeaux montrent que la concordance observée pour le trouble bipolaire entre jumeaux monozygotes n’est jamais de 100?%. Ceci témoigne donc que des facteurs de risque non génétiques et partagés par les individus (d’une même fratrie par exemple) sont également à l’œuvre.
Dans les troubles bipolaires, on estime que 20 à 40?% de la maladie seraient expliqués des facteurs non génétiques, partagés ou non entre les individus atteints. Ces facteurs environnementaux qui augmentent le risque de développer un trouble bipolaire restent globalement méconnus.
Note de contenu : Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94213
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 30-35[article] Traumatismes précoces et troubles bipolaires [texte imprimé] / Bruno Étain . - 2021 . - p. 30-35.
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 30-35
Mots-clés : Trouble bipolaire Traumatisme psychologique Enfance Trouble bipolaire / épidémiologie Trouble bipolaire / étiologie Résumé : Les évènements traumatiques vécus dans l’enfance constituent un facteur de risque de développer des troubles bipolaires et d’en augmenter la sévérité. Cette dimension doit être prise en compte dans le projet de soin. Le point sur la recherche.
Les études d’épidémiologie génétique montrent l’implication de facteurs de risque génétiques dans les troubles bipolaires, comme en témoigne la forte héritabilité de ces troubles (de l’ordre de 65?%, 1) (voir aussi l’article de S. Jamain, p. 26). L’héritabilité correspond à la proportion de la maladie expliquée par la somme des facteurs génétiques. Néanmoins, les études de jumeaux montrent que la concordance observée pour le trouble bipolaire entre jumeaux monozygotes n’est jamais de 100?%. Ceci témoigne donc que des facteurs de risque non génétiques et partagés par les individus (d’une même fratrie par exemple) sont également à l’œuvre.
Dans les troubles bipolaires, on estime que 20 à 40?% de la maladie seraient expliqués des facteurs non génétiques, partagés ou non entre les individus atteints. Ces facteurs environnementaux qui augmentent le risque de développer un trouble bipolaire restent globalement méconnus.
Note de contenu : Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94213 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtTrouble bipolaire : la perception des familles / Katia M'Bailara in Santé mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : Trouble bipolaire : la perception des familles Type de document : texte imprimé Auteurs : Katia M'Bailara ; Caroline Munuera Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 36-42 Langues : Français (fre) Mots-clés : Trouble bipolaire Perception Famille Patients Éducation du patient comme sujet Qualité de vie Projet de vie Résumé : Les perceptions du patient mais aussi de sa famille sur le trouble bipolaire impactent l’évolution de la maladie et, plus globalement, la qualité de vie de chacun. Des groupes multifamiliaux d’éducation thérapeutique permettent aux uns et aux autres de modifier leurs représentations.
Des envies plein la tête, Tom, 26 ans, rêve de liberté. Il a terminé ses études de commerce, et, avant de devenir «?un vrai adulte?», il entend profiter de la vie et voyager. Mais une crise maniaque le conduit à être hospitalisé en psychiatrie, dans un service fermé. Depuis, Tom a le sentiment que le cours de sa vie lui échappe. Selon les médecins, il devra prendre un traitement toute sa vie, éviter tout facteur de risque, avoir une vie la plus régulière et la plus équilibrée possible… Ses parents lui disent qu’il doit vite «?se ranger?», pour se mettre à l’abri socialement et professionnellement. À l’inverse, les amis de Tom lui conseillent de prendre du bon temps, car « avec une maladie grave, on ne sait jamais trop ce qui peut arriver ». Quant au jeune homme lui-même, il hésite, il est un peu perdu, il a l’impression de n’avoir jamais eu si peu de libre arbitre, il ne sait plus s’il doit se faire confiance.
Note de contenu : Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94214
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 36-42[article] Trouble bipolaire : la perception des familles [texte imprimé] / Katia M'Bailara ; Caroline Munuera . - 2021 . - p. 36-42.
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 36-42
Mots-clés : Trouble bipolaire Perception Famille Patients Éducation du patient comme sujet Qualité de vie Projet de vie Résumé : Les perceptions du patient mais aussi de sa famille sur le trouble bipolaire impactent l’évolution de la maladie et, plus globalement, la qualité de vie de chacun. Des groupes multifamiliaux d’éducation thérapeutique permettent aux uns et aux autres de modifier leurs représentations.
Des envies plein la tête, Tom, 26 ans, rêve de liberté. Il a terminé ses études de commerce, et, avant de devenir «?un vrai adulte?», il entend profiter de la vie et voyager. Mais une crise maniaque le conduit à être hospitalisé en psychiatrie, dans un service fermé. Depuis, Tom a le sentiment que le cours de sa vie lui échappe. Selon les médecins, il devra prendre un traitement toute sa vie, éviter tout facteur de risque, avoir une vie la plus régulière et la plus équilibrée possible… Ses parents lui disent qu’il doit vite «?se ranger?», pour se mettre à l’abri socialement et professionnellement. À l’inverse, les amis de Tom lui conseillent de prendre du bon temps, car « avec une maladie grave, on ne sait jamais trop ce qui peut arriver ». Quant au jeune homme lui-même, il hésite, il est un peu perdu, il a l’impression de n’avoir jamais eu si peu de libre arbitre, il ne sait plus s’il doit se faire confiance.
Note de contenu : Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94214 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtTroubles bipolaires et famille / Sébastien Gard in Santé mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : Troubles bipolaires et famille Type de document : texte imprimé Auteurs : Sébastien Gard Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 22-25 Langues : Français (fre) Mots-clés : Émotions Trouble bipolaire Famille Désaccords et litiges Relations interpersonnelles Résumé : Caractérisé par ses fluctuations émotionnelles, le trouble bipolaire impacte d’une façon particulière le fonctionnement familial, alors que la mobilisation des proches reste un levier thérapeutique essentiel.
L’actualité people nous l’a récemment démontré, à travers le différend opposant le couple formé par Meghan et Harry au reste de la famille royale britannique?: les soubresauts familiaux peuvent être violents?! La lecture des tabloïds nous informe ainsi des affres de la vie de la famille la plus célèbre au monde, entre fils «?félon?» et bru contestée. Mais il s’agit avant tout d’une démonstration que le milieu familial est dynamique, mouvant, oscillant entre les unions et les ruptures, les éloignements et les rapprochements, tout comme les éléments composant la matière vivante.Note de contenu : Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires" Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94215
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 22-25[article] Troubles bipolaires et famille [texte imprimé] / Sébastien Gard . - 2021 . - p. 22-25.
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 22-25
Mots-clés : Émotions Trouble bipolaire Famille Désaccords et litiges Relations interpersonnelles Résumé : Caractérisé par ses fluctuations émotionnelles, le trouble bipolaire impacte d’une façon particulière le fonctionnement familial, alors que la mobilisation des proches reste un levier thérapeutique essentiel.
L’actualité people nous l’a récemment démontré, à travers le différend opposant le couple formé par Meghan et Harry au reste de la famille royale britannique?: les soubresauts familiaux peuvent être violents?! La lecture des tabloïds nous informe ainsi des affres de la vie de la famille la plus célèbre au monde, entre fils «?félon?» et bru contestée. Mais il s’agit avant tout d’une démonstration que le milieu familial est dynamique, mouvant, oscillant entre les unions et les ruptures, les éloignements et les rapprochements, tout comme les éléments composant la matière vivante.Note de contenu : Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires" Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94215 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtTroubles bipolaires et maternité : quel suivi ? / Sabine Caminade in Santé mentale, 258 (Mai 2021)
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Titre : Troubles bipolaires et maternité : quel suivi ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Sabine Caminade ; Romain Guilhaumou ; Raoul Belzeaux ; Elsa Moreau ; François Poinso ; Michel Dugnat ; Hugo Pergeline Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 44-49 Langues : Français (fre) Mots-clés : Trouble bipolaire Grossesse Hormones Parentalité Troubles de l'humeur Suicide Résumé : Maéva, qui souffre d’un trouble bipolaire, a été suivie tout au long de sa grossesse puis au cours des premiers mois de vie de sa fille par un dispositif d’accompagnement périnatal. Durant cette période, les décompensations liées au trouble sont en effet fréquentes et souvent sévères.
La période allant de la grossesse aux deux ans de l’enfant est une fenêtre sensible pour le développement du sujet (Nugent, 2007). Or, durant cette période périnatale, le risque de rechute d’un trouble bipolaire maternel est majeur. Il est en effet estimé à 66?% en cas d’arrêt du traitement de fond (régulateur de l’humeur) contre 25?% en cas de poursuite (Wesseloo et al., 2016). La chute du taux hormonal après la naissance est par ailleurs un puissant déclencheur de troubles thymiques et l’arrivée d’un bébé bouleverse la vie des nouveaux parents, modifiant le cycle nycthéméral, ce qui risque aussi de déséquilibrer l’humeur (Lewis, 2018?; Krawczak et al., 2016). Les décompensations thymiques en post-partum peuvent entraîner une hospitalisation en psychiatrie et donc une séparation mère-enfant. En effet, ces épisodes, souvent sévères, sont associés à un risque suicidaire élevé (le suicide est l’une des premières causes de mortalité maternelle en France) (Santé publique France, 2013).
Note de contenu : Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94216
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 44-49[article] Troubles bipolaires et maternité : quel suivi ? [texte imprimé] / Sabine Caminade ; Romain Guilhaumou ; Raoul Belzeaux ; Elsa Moreau ; François Poinso ; Michel Dugnat ; Hugo Pergeline . - 2021 . - p. 44-49.
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 44-49
Mots-clés : Trouble bipolaire Grossesse Hormones Parentalité Troubles de l'humeur Suicide Résumé : Maéva, qui souffre d’un trouble bipolaire, a été suivie tout au long de sa grossesse puis au cours des premiers mois de vie de sa fille par un dispositif d’accompagnement périnatal. Durant cette période, les décompensations liées au trouble sont en effet fréquentes et souvent sévères.
La période allant de la grossesse aux deux ans de l’enfant est une fenêtre sensible pour le développement du sujet (Nugent, 2007). Or, durant cette période périnatale, le risque de rechute d’un trouble bipolaire maternel est majeur. Il est en effet estimé à 66?% en cas d’arrêt du traitement de fond (régulateur de l’humeur) contre 25?% en cas de poursuite (Wesseloo et al., 2016). La chute du taux hormonal après la naissance est par ailleurs un puissant déclencheur de troubles thymiques et l’arrivée d’un bébé bouleverse la vie des nouveaux parents, modifiant le cycle nycthéméral, ce qui risque aussi de déséquilibrer l’humeur (Lewis, 2018?; Krawczak et al., 2016). Les décompensations thymiques en post-partum peuvent entraîner une hospitalisation en psychiatrie et donc une séparation mère-enfant. En effet, ces épisodes, souvent sévères, sont associés à un risque suicidaire élevé (le suicide est l’une des premières causes de mortalité maternelle en France) (Santé publique France, 2013).
Note de contenu : Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=94216 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
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