Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
Lundi : 8h-18h30
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Mention de date : Mars 2021 Paru le : 01/03/2021 |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierAvez-vous été confronté au syndrome de renutrition inapproprié (SRI) ? / Aude Quesnot in Kinésithérapie scientifique, 629 (Mars 2021)
[article]
Titre : Avez-vous été confronté au syndrome de renutrition inapproprié (SRI) ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Aude Quesnot, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 1 Langues : Français (fre) Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92595
in Kinésithérapie scientifique > 629 (Mars 2021) . - p. 1[article] Avez-vous été confronté au syndrome de renutrition inapproprié (SRI) ? [texte imprimé] / Aude Quesnot, Auteur . - 2021 . - p. 1.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 629 (Mars 2021) . - p. 1
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92595 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtDésordres temporo-mandibulaires : intérêts du diagnostic différentiel pour le kinésithérapeute / L. Lefevre in Kinésithérapie scientifique, 629 (Mars 2021)
[article]
Titre : Désordres temporo-mandibulaires : intérêts du diagnostic différentiel pour le kinésithérapeute Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Lefevre, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 13-19 Langues : Français (fre) Mots-clés : Diagnostic différentiel Mandibule Résumé : Les désordres temporo-mandibulaires (DTM) sont une des causes de douleurs oro-faciales les plus répandues, elle n’est pas une pathologie à proprement parlé mais un ensemble de symptômes [1, 2]. Ils peuvent être définis par des douleurs, des atteintes fonctionnelles impliquant l’articulation temporo-mandibulaire et les muscles masticateurs.
L’appareil manducateur fait partie intégrante de la région anatomique cranio-faciale qui comporte de nombreuses structures pouvant être à l’origine de messages nociceptifs. Du fait de la proximité et de la complexité de l’innervation de celles-ci, une atteinte dentaire, neurologique ou encore de certains sinus peut entraîner une symptomatologie proche de celle des DTM [3-7]. Son diagnostic représente donc une réelle difficulté pour le thérapeute.
Les DTM, comme les lombalgies, ont une forte tendance à devenir chroniques et récidivantes, impactant ainsi fortement la qualité de vie des personnes atteintes [2]. Leur détection précoce représente donc un enjeu essentiel.
L’évaluation étant complexe, il arrive souvent que le bon diagnostic ne soit pas posé dès le début, ce qui entraîne un retard de la prise en charge adéquate et donc un risque d’aggravation des symptômes. De plus, il est reconnu que les DTM sont souvent associés à des facteurs psychosociaux et de comorbidités qui sont à prendre en compte lors de l’examen clinique [1, 2].
Du fait de la multitude de causes de douleurs faciales (fig. 1), la manifestation des symptômes est variée [5-7]. Un patient peut donc se présenter pour un tout autre motif de consultation, comme des maux de tête par exemple. Il est donc important que le kinésithérapique possède les outils de bilan adaptés, d’autant plus que la prise en charge de première intention se développe actuellement en France. Il convient donc d’écarter d’autres causes lors du bilan ; c'est le diagnostic différentiel.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92607
in Kinésithérapie scientifique > 629 (Mars 2021) . - p. 13-19[article] Désordres temporo-mandibulaires : intérêts du diagnostic différentiel pour le kinésithérapeute [texte imprimé] / L. Lefevre, Auteur . - 2021 . - p. 13-19.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 629 (Mars 2021) . - p. 13-19
Mots-clés : Diagnostic différentiel Mandibule Résumé : Les désordres temporo-mandibulaires (DTM) sont une des causes de douleurs oro-faciales les plus répandues, elle n’est pas une pathologie à proprement parlé mais un ensemble de symptômes [1, 2]. Ils peuvent être définis par des douleurs, des atteintes fonctionnelles impliquant l’articulation temporo-mandibulaire et les muscles masticateurs.
L’appareil manducateur fait partie intégrante de la région anatomique cranio-faciale qui comporte de nombreuses structures pouvant être à l’origine de messages nociceptifs. Du fait de la proximité et de la complexité de l’innervation de celles-ci, une atteinte dentaire, neurologique ou encore de certains sinus peut entraîner une symptomatologie proche de celle des DTM [3-7]. Son diagnostic représente donc une réelle difficulté pour le thérapeute.
Les DTM, comme les lombalgies, ont une forte tendance à devenir chroniques et récidivantes, impactant ainsi fortement la qualité de vie des personnes atteintes [2]. Leur détection précoce représente donc un enjeu essentiel.
L’évaluation étant complexe, il arrive souvent que le bon diagnostic ne soit pas posé dès le début, ce qui entraîne un retard de la prise en charge adéquate et donc un risque d’aggravation des symptômes. De plus, il est reconnu que les DTM sont souvent associés à des facteurs psychosociaux et de comorbidités qui sont à prendre en compte lors de l’examen clinique [1, 2].
Du fait de la multitude de causes de douleurs faciales (fig. 1), la manifestation des symptômes est variée [5-7]. Un patient peut donc se présenter pour un tout autre motif de consultation, comme des maux de tête par exemple. Il est donc important que le kinésithérapique possède les outils de bilan adaptés, d’autant plus que la prise en charge de première intention se développe actuellement en France. Il convient donc d’écarter d’autres causes lors du bilan ; c'est le diagnostic différentiel.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92607 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtÉchographie de la fonction musculaire périphérique chez le patient atteint d'obésité in Kinésithérapie scientifique, 629 (Mars 2021)
[article]
Titre : Échographie de la fonction musculaire périphérique chez le patient atteint d'obésité Type de document : texte imprimé Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 35-38 Langues : Français (fre) Mots-clés : Obésité Échographie Résumé : L'atteinte du muscle périphérique chez le patient obèse
Au-delà de 80 ans, les personnes en bonne santé ont perdu environ 30 à 40 % de leur masse musculaire et présentent une diminution de 20 % de la surface transversale du muscle squelettique. Les maladies chroniques, telles que l’obésité peuvent encore augmenter cette perte musculaire [1].
Concernant le muscle périphérique, notamment le quadriceps, la réduction de la masse musculaire par rapport à la masse grasse entraîne une perte relative de la force musculaire disponible pour soutenir et déplacer tout le poids corporel [2]. Cette situation qui est typique chez les personnes atteintes d’obésité a un impact négatif sur la capacité physique et fonctionnelle [3].
La perte de force musculaire combinée à un poids corporel excessif entrave considérablement la capacité à effectuer les activités nécessaires pour assurer l’indépendance dans la vie quotidienne et une bonne fonctionnalité du corps humain [2]. En général, les personnes obèses présentent une masse musculaire plus importante et une force musculaire plus élevée [4]. Cependant, l’augmentation de la force musculaire n’est pas proportionnelle à l’augmentation de la masse corporelle, de sorte que la force ajustée au poids corporel est plus faible chez les personnes atteinte d’obésité que chez les adultes avec un indice de masse corporel (IMC) normal. De plus, l’augmentation de la taille des muscles affecte l’architecture musculaire en augmentant l’angle de pennation des faisceauxPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92613
in Kinésithérapie scientifique > 629 (Mars 2021) . - p. 35-38[article] Échographie de la fonction musculaire périphérique chez le patient atteint d'obésité [texte imprimé] . - 2021 . - p. 35-38.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 629 (Mars 2021) . - p. 35-38
Mots-clés : Obésité Échographie Résumé : L'atteinte du muscle périphérique chez le patient obèse
Au-delà de 80 ans, les personnes en bonne santé ont perdu environ 30 à 40 % de leur masse musculaire et présentent une diminution de 20 % de la surface transversale du muscle squelettique. Les maladies chroniques, telles que l’obésité peuvent encore augmenter cette perte musculaire [1].
Concernant le muscle périphérique, notamment le quadriceps, la réduction de la masse musculaire par rapport à la masse grasse entraîne une perte relative de la force musculaire disponible pour soutenir et déplacer tout le poids corporel [2]. Cette situation qui est typique chez les personnes atteintes d’obésité a un impact négatif sur la capacité physique et fonctionnelle [3].
La perte de force musculaire combinée à un poids corporel excessif entrave considérablement la capacité à effectuer les activités nécessaires pour assurer l’indépendance dans la vie quotidienne et une bonne fonctionnalité du corps humain [2]. En général, les personnes obèses présentent une masse musculaire plus importante et une force musculaire plus élevée [4]. Cependant, l’augmentation de la force musculaire n’est pas proportionnelle à l’augmentation de la masse corporelle, de sorte que la force ajustée au poids corporel est plus faible chez les personnes atteinte d’obésité que chez les adultes avec un indice de masse corporel (IMC) normal. De plus, l’augmentation de la taille des muscles affecte l’architecture musculaire en augmentant l’angle de pennation des faisceauxPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92613 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtExiste-t-il un lien entre le syndrome fémoro-patellaire et le déficit de flexion dorsale de la cheville ? / Oria Bismuth-Krief in Kinésithérapie scientifique, 629 (Mars 2021)
[article]
Titre : Existe-t-il un lien entre le syndrome fémoro-patellaire et le déficit de flexion dorsale de la cheville ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Oria Bismuth-Krief, Auteur ; Julien Plauchut, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 4-11 Langues : Français (fre) Mots-clés : Syndrome fémoropatellaire Cheville Résumé : Le syndrome fémoro-patellaire latéral (SFP) se définit le plus souvent « par des douleurs antérieures du genou » qui sont d’origine tendineuse, ligamentaire mais sans lésion anatomique de ces tissus, et peuvent être déclenchées par l’accroupissement, la montée et/ou la descente des escaliers et/ou lors de la position assise prolongée. On rappelle que le terme de syndrome est un groupe de signes cliniques communs à plusieurs étiologies. Il constitue un des diagnostics les plus fréquemment posés en présence d’une douleur antérieure de genou chez l’adolescent et l’adulte.
D’après l’étude de Wood et al. [3], la prévalence du syndrome serait de 53 pour 10 000 personnes, apparaissant comme l’une des pathologies les plus fréquentes du membre inférieur. Il s’agit du diagnostic le plus couramment établi chez les coureurs à pied, il représente 16 à 25 % des blessures répertoriées chez ces sportifs, même si on peut le retrouver également chez les personnes sédentaires.
L’articulation fémoro-patellaire est de type ginglyme. Elle est stabilisée par des facteurs dynamiques (tendon patellaire, tendon quadricipital, bandelette ilio-tibiale) ; notamment le muscle quadriceps qui, par l’orientation de ses fibres, joue un rôle dans l’équilibre de l’articulation. Les fibres charnues du vaste médial descendent plus bas que celles du vaste latéral de l’autre côté, et ses fibres plus basses sont plus inclinées sur l’horizontale, ce qui en fait un rappel patellaire face à la tendance de dérivation latérale due à l’angulation du quadriceps et du tendon patellaire.
On retrouve également des stabilisateurs passifs capsulo-ligamentaires (plus forts et plus importants du côté médial) et osseux notamment par la parade osseuse formée par la joue latérale de la trochlée fémorale.La cinésiologie du genou favorise la stabilisation de la patella par l’alignement de l’appareil extenseur. En effet, la flexion de genou provoque mécaniquement une rotation médiale du tibia qui déporte la tubérosité tibiale en dedans réduisant ainsi le valgus physiologique. Certaines études trouvent une exagération des mouvements de la patella chez les patients présentant un syndrome fémoro-patellaire latéral. Draper et al. [7] ont, par exemple, démontré par IRM que des patients avec un syndrome fémoro-patellaire présentaient une inclinaison et une translation latérale majorées de la patella lors d’un squat.Witvrouw et al.ont montré qu'une hypermobilité de la patella avait une corrélation significative sur l'incidence de douleur fémoro-patellaire.De nombreuses études ont identifié des facteurs de risque responsables de l’altération de la cinématique patellaire.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92622
in Kinésithérapie scientifique > 629 (Mars 2021) . - p. 4-11[article] Existe-t-il un lien entre le syndrome fémoro-patellaire et le déficit de flexion dorsale de la cheville ? [texte imprimé] / Oria Bismuth-Krief, Auteur ; Julien Plauchut, Auteur . - 2021 . - p. 4-11.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 629 (Mars 2021) . - p. 4-11
Mots-clés : Syndrome fémoropatellaire Cheville Résumé : Le syndrome fémoro-patellaire latéral (SFP) se définit le plus souvent « par des douleurs antérieures du genou » qui sont d’origine tendineuse, ligamentaire mais sans lésion anatomique de ces tissus, et peuvent être déclenchées par l’accroupissement, la montée et/ou la descente des escaliers et/ou lors de la position assise prolongée. On rappelle que le terme de syndrome est un groupe de signes cliniques communs à plusieurs étiologies. Il constitue un des diagnostics les plus fréquemment posés en présence d’une douleur antérieure de genou chez l’adolescent et l’adulte.
D’après l’étude de Wood et al. [3], la prévalence du syndrome serait de 53 pour 10 000 personnes, apparaissant comme l’une des pathologies les plus fréquentes du membre inférieur. Il s’agit du diagnostic le plus couramment établi chez les coureurs à pied, il représente 16 à 25 % des blessures répertoriées chez ces sportifs, même si on peut le retrouver également chez les personnes sédentaires.
L’articulation fémoro-patellaire est de type ginglyme. Elle est stabilisée par des facteurs dynamiques (tendon patellaire, tendon quadricipital, bandelette ilio-tibiale) ; notamment le muscle quadriceps qui, par l’orientation de ses fibres, joue un rôle dans l’équilibre de l’articulation. Les fibres charnues du vaste médial descendent plus bas que celles du vaste latéral de l’autre côté, et ses fibres plus basses sont plus inclinées sur l’horizontale, ce qui en fait un rappel patellaire face à la tendance de dérivation latérale due à l’angulation du quadriceps et du tendon patellaire.
On retrouve également des stabilisateurs passifs capsulo-ligamentaires (plus forts et plus importants du côté médial) et osseux notamment par la parade osseuse formée par la joue latérale de la trochlée fémorale.La cinésiologie du genou favorise la stabilisation de la patella par l’alignement de l’appareil extenseur. En effet, la flexion de genou provoque mécaniquement une rotation médiale du tibia qui déporte la tubérosité tibiale en dedans réduisant ainsi le valgus physiologique. Certaines études trouvent une exagération des mouvements de la patella chez les patients présentant un syndrome fémoro-patellaire latéral. Draper et al. [7] ont, par exemple, démontré par IRM que des patients avec un syndrome fémoro-patellaire présentaient une inclinaison et une translation latérale majorées de la patella lors d’un squat.Witvrouw et al.ont montré qu'une hypermobilité de la patella avait une corrélation significative sur l'incidence de douleur fémoro-patellaire.De nombreuses études ont identifié des facteurs de risque responsables de l’altération de la cinématique patellaire.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92622 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtLa capnographie / Bertrand Selleron in Kinésithérapie scientifique, 629 (Mars 2021)
[article]
Titre : La capnographie Type de document : texte imprimé Auteurs : Bertrand Selleron, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 39-41 Langues : Français (fre) Mots-clés : kinésithérapie respiratoire Résumé : La mesure de la saturation artérielle en oxygène (SpO2) s’est largement diffusée grâce à la technologie des oxymètres qui sont désormais aussi compacts que bons marchés. Ils rendent le dépistage de l’hypoxémie à la portée de tous les professionnels de santé. Néanmoins, cette technique a ses limites en particulier par le retard entre la modification de la ventilation ou de la perfusion pulmonaire et son retentissement sur la SpO2.
La capnographie est la mesure en continu du taux de CO2 sanguin. Elle s’est développée depuis de nombreuses années, d’abord dans les services de réanimation, puis dans les soins d’urgence pré-hospitaliers et s’étend désormais à tous les modes d’exercice, y compris à domicile. Elle est en effet un moyen plus spécifique que la SpO2 pour évaluer la ventilation et la perfusion alvéolaire.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92648
in Kinésithérapie scientifique > 629 (Mars 2021) . - p. 39-41[article] La capnographie [texte imprimé] / Bertrand Selleron, Auteur . - 2021 . - p. 39-41.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 629 (Mars 2021) . - p. 39-41
Mots-clés : kinésithérapie respiratoire Résumé : La mesure de la saturation artérielle en oxygène (SpO2) s’est largement diffusée grâce à la technologie des oxymètres qui sont désormais aussi compacts que bons marchés. Ils rendent le dépistage de l’hypoxémie à la portée de tous les professionnels de santé. Néanmoins, cette technique a ses limites en particulier par le retard entre la modification de la ventilation ou de la perfusion pulmonaire et son retentissement sur la SpO2.
La capnographie est la mesure en continu du taux de CO2 sanguin. Elle s’est développée depuis de nombreuses années, d’abord dans les services de réanimation, puis dans les soins d’urgence pré-hospitaliers et s’étend désormais à tous les modes d’exercice, y compris à domicile. Elle est en effet un moyen plus spécifique que la SpO2 pour évaluer la ventilation et la perfusion alvéolaire.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92648 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLes applications mobiles dans la prise en charge de l'incontinence urinaire d'effort / Sandrine Balisson in Kinésithérapie scientifique, 629 (Mars 2021)
[article]
Titre : Les applications mobiles dans la prise en charge de l'incontinence urinaire d'effort Type de document : texte imprimé Auteurs : Sandrine Balisson, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 53-54 Langues : Français (fre) Mots-clés : Incontinence urinaire Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92671
in Kinésithérapie scientifique > 629 (Mars 2021) . - p. 53-54[article] Les applications mobiles dans la prise en charge de l'incontinence urinaire d'effort [texte imprimé] / Sandrine Balisson, Auteur ; et al., Auteur . - 2021 . - p. 53-54.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 629 (Mars 2021) . - p. 53-54
Mots-clés : Incontinence urinaire Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92671 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtPrévention des déformations crâniennes positionnelles et mort inattendue du nourrisson (février 2020) / Haute Autorité de Santé (HAS) in Kinésithérapie scientifique, 629 (Mars 2021)
[article]
Titre : Prévention des déformations crâniennes positionnelles et mort inattendue du nourrisson (février 2020) Type de document : texte imprimé Auteurs : Haute Autorité de Santé (HAS), Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 47-51 Langues : Français (fre) Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92698
in Kinésithérapie scientifique > 629 (Mars 2021) . - p. 47-51[article] Prévention des déformations crâniennes positionnelles et mort inattendue du nourrisson (février 2020) [texte imprimé] / Haute Autorité de Santé (HAS), Auteur . - 2021 . - p. 47-51.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 629 (Mars 2021) . - p. 47-51
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92698 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtRééducation après fracture du premier métacarpien (bennett, rolando) : quel protocole aujourd’hui ? / Denis Gerlac in Kinésithérapie scientifique, 629 (Mars 2021)
[article]
Titre : Rééducation après fracture du premier métacarpien (bennett, rolando) : quel protocole aujourd’hui ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Denis Gerlac, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 27-34 Langues : Français (fre) Mots-clés : Attelles FRACTURE Orthèses Métacarpe Résumé : L’objectif de la rééducation après fracture de premier métacarpien (M1) est de restaurer la fonctionnalité du pouce. Cela passe avant tout par la récupération de l’opposition et de l’ouverture de la première commissure [1]. Ces deux mouvements sont indispensables pour la réalisation des gestes de préhension (de finesse ou de force). L’articulation trapézo-métacarpienne (TM), pièce maîtresse de cette mobilité, est au centre de cette rééducation, autant sa mobilité que sa stabilité, doivent être recouvrées.
Sur le premier métacarpien, les fractures de la base sont les plus fréquentes. Elles ont comme caractéristique d’être particulièrement instables et souvent déplacées. Dans ce contexte, le traitement chirurgical est indiqué, il permet de réduire au plus près ces fractures et de les stabiliser correctement. La finalité étant d’autoriser la mobilisation précoce, afin d’éviter les écueils liés à l’immobilisation prolongée [2-12].
Après ces fractures, « la rééducation est l’outil le plus efficace » [13] pour retrouver la fonction. Cette rééducation a pour mission la lutte contre les adhérences tendino-périostées et les rétractions capsulo-ligamentaires, sources de raideur et causes réelles d’échecs [3, 14].
Cette rééducation doit être précoce. Néanmoins, la réalisation des mobilisations précoces n’est pas aisée au premier abord. La difficulté est d’arriver à mobiliser une chaine polyarticulaire constituée de plusieurs maillons osseux, alors que justement un de ces maillons est fragilisé...
Comment procéder ?Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92702
in Kinésithérapie scientifique > 629 (Mars 2021) . - p. 27-34[article] Rééducation après fracture du premier métacarpien (bennett, rolando) : quel protocole aujourd’hui ? [texte imprimé] / Denis Gerlac, Auteur ; et al., Auteur . - 2021 . - p. 27-34.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 629 (Mars 2021) . - p. 27-34
Mots-clés : Attelles FRACTURE Orthèses Métacarpe Résumé : L’objectif de la rééducation après fracture de premier métacarpien (M1) est de restaurer la fonctionnalité du pouce. Cela passe avant tout par la récupération de l’opposition et de l’ouverture de la première commissure [1]. Ces deux mouvements sont indispensables pour la réalisation des gestes de préhension (de finesse ou de force). L’articulation trapézo-métacarpienne (TM), pièce maîtresse de cette mobilité, est au centre de cette rééducation, autant sa mobilité que sa stabilité, doivent être recouvrées.
Sur le premier métacarpien, les fractures de la base sont les plus fréquentes. Elles ont comme caractéristique d’être particulièrement instables et souvent déplacées. Dans ce contexte, le traitement chirurgical est indiqué, il permet de réduire au plus près ces fractures et de les stabiliser correctement. La finalité étant d’autoriser la mobilisation précoce, afin d’éviter les écueils liés à l’immobilisation prolongée [2-12].
Après ces fractures, « la rééducation est l’outil le plus efficace » [13] pour retrouver la fonction. Cette rééducation a pour mission la lutte contre les adhérences tendino-périostées et les rétractions capsulo-ligamentaires, sources de raideur et causes réelles d’échecs [3, 14].
Cette rééducation doit être précoce. Néanmoins, la réalisation des mobilisations précoces n’est pas aisée au premier abord. La difficulté est d’arriver à mobiliser une chaine polyarticulaire constituée de plusieurs maillons osseux, alors que justement un de ces maillons est fragilisé...
Comment procéder ?Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92702 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtThe effectiveness of long-term rehabilitation treatment after stroke / Shirmamen Batchimeg in Kinésithérapie scientifique, 629 (Mars 2021)
[article]
Titre : The effectiveness of long-term rehabilitation treatment after stroke Type de document : texte imprimé Auteurs : Shirmamen Batchimeg, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 21-26 Langues : Français (fre) Mots-clés : Activités de la vie quotidienne Accident vasculaire cérébral Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92712
in Kinésithérapie scientifique > 629 (Mars 2021) . - p. 21-26[article] The effectiveness of long-term rehabilitation treatment after stroke [texte imprimé] / Shirmamen Batchimeg, Auteur ; et al., Auteur . - 2021 . - p. 21-26.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 629 (Mars 2021) . - p. 21-26
Mots-clés : Activités de la vie quotidienne Accident vasculaire cérébral Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92712 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtTroubles musculo-squelettiques chez le pianiste / Céleste Rousseau in Kinésithérapie scientifique, 629 (Mars 2021)
[article]
Titre : Troubles musculo-squelettiques chez le pianiste Type de document : texte imprimé Auteurs : Céleste Rousseau, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 43-46 Langues : Français (fre) Mots-clés : troubles musculo-squelettiques musicien Résumé : Pratiquer régulièrement un instrument de musique, que l’on soit amateur ou professionnel, contraint le corps de façon relativement importante, tant par la répétitivité des gestes que par les postures peu physiologiques que certains musiciens sont tenus d’adopter.
Les troubles musculo-squelettiques liés à la pratique instrumentale sont définis par tout/toute « douleur, faiblesse, perte de contrôle, engourdissement, fourmillement ou tout autre symptôme qui interagirait avec la capacité [du musicien] à jouer au niveau auquel il est habitué », en excluant les symptômes légers et transitoires qui n’affecteraient pas le jeu instrumental [1].
Les facteurs de risque de développement de ces troubles ont été beaucoup investigués ces dernières années et se révèlent être assez nombreux, comme cela a pu être observé dans une revue narrative qui décrit 9 catégories de facteurs de risque et plus de 50 sous-catégories, à la fois communes aux musiciens et à la population générale mais parfois très spécifiques à cette activité [2].Quelques études se sont spécifiquement intéressées aux pianistes qui, malgré une posture instrumentale relativement physiologique, peuvent présenter différents TMS liés à leur pratique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92713
in Kinésithérapie scientifique > 629 (Mars 2021) . - p. 43-46[article] Troubles musculo-squelettiques chez le pianiste [texte imprimé] / Céleste Rousseau, Auteur . - 2021 . - p. 43-46.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 629 (Mars 2021) . - p. 43-46
Mots-clés : troubles musculo-squelettiques musicien Résumé : Pratiquer régulièrement un instrument de musique, que l’on soit amateur ou professionnel, contraint le corps de façon relativement importante, tant par la répétitivité des gestes que par les postures peu physiologiques que certains musiciens sont tenus d’adopter.
Les troubles musculo-squelettiques liés à la pratique instrumentale sont définis par tout/toute « douleur, faiblesse, perte de contrôle, engourdissement, fourmillement ou tout autre symptôme qui interagirait avec la capacité [du musicien] à jouer au niveau auquel il est habitué », en excluant les symptômes légers et transitoires qui n’affecteraient pas le jeu instrumental [1].
Les facteurs de risque de développement de ces troubles ont été beaucoup investigués ces dernières années et se révèlent être assez nombreux, comme cela a pu être observé dans une revue narrative qui décrit 9 catégories de facteurs de risque et plus de 50 sous-catégories, à la fois communes aux musiciens et à la population générale mais parfois très spécifiques à cette activité [2].Quelques études se sont spécifiquement intéressées aux pianistes qui, malgré une posture instrumentale relativement physiologique, peuvent présenter différents TMS liés à leur pratique.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92713 Exemplaires (1)
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