Centre de Documentation Campus Montignies
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Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
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4 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Syndrome fémoropatellaire'
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Actualités dans le traitement du syndrome fémoro-patellaire chez l’adolescent : une revue systématique / Yann Verecchia in Kinésithérapie, la revue, 238 (Octobre 2021)
[article]
Titre : Actualités dans le traitement du syndrome fémoro-patellaire chez l’adolescent : une revue systématique Type de document : texte imprimé Auteurs : Yann Verecchia ; Séverine Buatois ; Bernard Petitdant Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 11-20 Langues : Français (fre) Mots-clés : Syndrome fémoropatellaire Adolescent Revue de la littérature Syndrome fémoro-patellaire Traitement Résumé : Le syndrome fémoro-patellaire est une atteinte du genou caractérisée par des douleurs rétro et/ou péri-patellaires. Il est observé chez le sujet jeune dès 11/12 ans et chez l’adulte jusqu’à 35/40 ans. Cette revue s’intéressait à une possible spécificité de la rééducation chez l’adolescent.
Matériel et méthode
Les publications abordant le traitement chez des sujets de 10 à 19 ans atteints de syndrome fémoro-patellaire ont été incluses. La recherche bibliographique a été effectuée dans les bases de données Cochrane Library, PEDro, PubMed et Science Direct. L’évaluation des publications a été effectuée au moyen des lignes directrices CONSORT et STROBE, de l’échelle PEDro, et du Risk of Bias tool de Cochrane.
Résultats
Six articles ont été retenus. La qualité des parutions était hétérogène : score PEDro allant de 4 à 8, risque de biais allant de moyen à élevé, score méthodologique de 55 à 88 %.
Discussion et conclusion
Il n’y a pas de certitudes concernant une spécificité chez l’adolescent. L’exercice est supérieur à un module de 30 minutes de formation/information seule chez ces sujets jeunes. Il est important de prendre en compte l’adhésion du patient et les contraintes préexistantes appliquées au genou lors de la rééducation.
Niveau de preuve 1.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96477
in Kinésithérapie, la revue > 238 (Octobre 2021) . - p. 11-20[article] Actualités dans le traitement du syndrome fémoro-patellaire chez l’adolescent : une revue systématique [texte imprimé] / Yann Verecchia ; Séverine Buatois ; Bernard Petitdant . - 2021 . - p. 11-20.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 238 (Octobre 2021) . - p. 11-20
Mots-clés : Syndrome fémoropatellaire Adolescent Revue de la littérature Syndrome fémoro-patellaire Traitement Résumé : Le syndrome fémoro-patellaire est une atteinte du genou caractérisée par des douleurs rétro et/ou péri-patellaires. Il est observé chez le sujet jeune dès 11/12 ans et chez l’adulte jusqu’à 35/40 ans. Cette revue s’intéressait à une possible spécificité de la rééducation chez l’adolescent.
Matériel et méthode
Les publications abordant le traitement chez des sujets de 10 à 19 ans atteints de syndrome fémoro-patellaire ont été incluses. La recherche bibliographique a été effectuée dans les bases de données Cochrane Library, PEDro, PubMed et Science Direct. L’évaluation des publications a été effectuée au moyen des lignes directrices CONSORT et STROBE, de l’échelle PEDro, et du Risk of Bias tool de Cochrane.
Résultats
Six articles ont été retenus. La qualité des parutions était hétérogène : score PEDro allant de 4 à 8, risque de biais allant de moyen à élevé, score méthodologique de 55 à 88 %.
Discussion et conclusion
Il n’y a pas de certitudes concernant une spécificité chez l’adolescent. L’exercice est supérieur à un module de 30 minutes de formation/information seule chez ces sujets jeunes. Il est important de prendre en compte l’adhésion du patient et les contraintes préexistantes appliquées au genou lors de la rééducation.
Niveau de preuve 1.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96477 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtExiste-t-il un lien entre le syndrome fémoro-patellaire et le déficit de flexion dorsale de la cheville ? / Oria Bismuth-Krief in Kinésithérapie scientifique, 629 (Mars 2021)
[article]
Titre : Existe-t-il un lien entre le syndrome fémoro-patellaire et le déficit de flexion dorsale de la cheville ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Oria Bismuth-Krief, Auteur ; Julien Plauchut, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 4-11 Langues : Français (fre) Mots-clés : Syndrome fémoropatellaire Cheville Résumé : Le syndrome fémoro-patellaire latéral (SFP) se définit le plus souvent « par des douleurs antérieures du genou » qui sont d’origine tendineuse, ligamentaire mais sans lésion anatomique de ces tissus, et peuvent être déclenchées par l’accroupissement, la montée et/ou la descente des escaliers et/ou lors de la position assise prolongée. On rappelle que le terme de syndrome est un groupe de signes cliniques communs à plusieurs étiologies. Il constitue un des diagnostics les plus fréquemment posés en présence d’une douleur antérieure de genou chez l’adolescent et l’adulte.
D’après l’étude de Wood et al. [3], la prévalence du syndrome serait de 53 pour 10 000 personnes, apparaissant comme l’une des pathologies les plus fréquentes du membre inférieur. Il s’agit du diagnostic le plus couramment établi chez les coureurs à pied, il représente 16 à 25 % des blessures répertoriées chez ces sportifs, même si on peut le retrouver également chez les personnes sédentaires.
L’articulation fémoro-patellaire est de type ginglyme. Elle est stabilisée par des facteurs dynamiques (tendon patellaire, tendon quadricipital, bandelette ilio-tibiale) ; notamment le muscle quadriceps qui, par l’orientation de ses fibres, joue un rôle dans l’équilibre de l’articulation. Les fibres charnues du vaste médial descendent plus bas que celles du vaste latéral de l’autre côté, et ses fibres plus basses sont plus inclinées sur l’horizontale, ce qui en fait un rappel patellaire face à la tendance de dérivation latérale due à l’angulation du quadriceps et du tendon patellaire.
On retrouve également des stabilisateurs passifs capsulo-ligamentaires (plus forts et plus importants du côté médial) et osseux notamment par la parade osseuse formée par la joue latérale de la trochlée fémorale.La cinésiologie du genou favorise la stabilisation de la patella par l’alignement de l’appareil extenseur. En effet, la flexion de genou provoque mécaniquement une rotation médiale du tibia qui déporte la tubérosité tibiale en dedans réduisant ainsi le valgus physiologique. Certaines études trouvent une exagération des mouvements de la patella chez les patients présentant un syndrome fémoro-patellaire latéral. Draper et al. [7] ont, par exemple, démontré par IRM que des patients avec un syndrome fémoro-patellaire présentaient une inclinaison et une translation latérale majorées de la patella lors d’un squat.Witvrouw et al.ont montré qu'une hypermobilité de la patella avait une corrélation significative sur l'incidence de douleur fémoro-patellaire.De nombreuses études ont identifié des facteurs de risque responsables de l’altération de la cinématique patellaire.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92622
in Kinésithérapie scientifique > 629 (Mars 2021) . - p. 4-11[article] Existe-t-il un lien entre le syndrome fémoro-patellaire et le déficit de flexion dorsale de la cheville ? [texte imprimé] / Oria Bismuth-Krief, Auteur ; Julien Plauchut, Auteur . - 2021 . - p. 4-11.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 629 (Mars 2021) . - p. 4-11
Mots-clés : Syndrome fémoropatellaire Cheville Résumé : Le syndrome fémoro-patellaire latéral (SFP) se définit le plus souvent « par des douleurs antérieures du genou » qui sont d’origine tendineuse, ligamentaire mais sans lésion anatomique de ces tissus, et peuvent être déclenchées par l’accroupissement, la montée et/ou la descente des escaliers et/ou lors de la position assise prolongée. On rappelle que le terme de syndrome est un groupe de signes cliniques communs à plusieurs étiologies. Il constitue un des diagnostics les plus fréquemment posés en présence d’une douleur antérieure de genou chez l’adolescent et l’adulte.
D’après l’étude de Wood et al. [3], la prévalence du syndrome serait de 53 pour 10 000 personnes, apparaissant comme l’une des pathologies les plus fréquentes du membre inférieur. Il s’agit du diagnostic le plus couramment établi chez les coureurs à pied, il représente 16 à 25 % des blessures répertoriées chez ces sportifs, même si on peut le retrouver également chez les personnes sédentaires.
L’articulation fémoro-patellaire est de type ginglyme. Elle est stabilisée par des facteurs dynamiques (tendon patellaire, tendon quadricipital, bandelette ilio-tibiale) ; notamment le muscle quadriceps qui, par l’orientation de ses fibres, joue un rôle dans l’équilibre de l’articulation. Les fibres charnues du vaste médial descendent plus bas que celles du vaste latéral de l’autre côté, et ses fibres plus basses sont plus inclinées sur l’horizontale, ce qui en fait un rappel patellaire face à la tendance de dérivation latérale due à l’angulation du quadriceps et du tendon patellaire.
On retrouve également des stabilisateurs passifs capsulo-ligamentaires (plus forts et plus importants du côté médial) et osseux notamment par la parade osseuse formée par la joue latérale de la trochlée fémorale.La cinésiologie du genou favorise la stabilisation de la patella par l’alignement de l’appareil extenseur. En effet, la flexion de genou provoque mécaniquement une rotation médiale du tibia qui déporte la tubérosité tibiale en dedans réduisant ainsi le valgus physiologique. Certaines études trouvent une exagération des mouvements de la patella chez les patients présentant un syndrome fémoro-patellaire latéral. Draper et al. [7] ont, par exemple, démontré par IRM que des patients avec un syndrome fémoro-patellaire présentaient une inclinaison et une translation latérale majorées de la patella lors d’un squat.Witvrouw et al.ont montré qu'une hypermobilité de la patella avait une corrélation significative sur l'incidence de douleur fémoro-patellaire.De nombreuses études ont identifié des facteurs de risque responsables de l’altération de la cinématique patellaire.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92622 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtGonalgies et analyse du mouvement en pratique libérale : place des nouvelles technologies / Romain Dolin in Kinésithérapie scientifique, 584 (Février 2017)
[article]
Titre : Gonalgies et analyse du mouvement en pratique libérale : place des nouvelles technologies Type de document : texte imprimé Auteurs : Romain Dolin ; Valentin Massé ; Johanna Balducci Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 5-11 Langues : Français (fre) Mots-clés : Ligament croisé antérieur Syndrome de la bandelette iliotibiale Syndrome fémoropatellaire Valgus dynamique Résumé : Dans certains sports comme le triathlon, la course à pied ou chez les militaires [1-3], les lésions du genou font partie des premières causes de blessures. Chez la jeune fille pratiquant des sports pivot-contacts (basket-ball, rugby, handball, football, etc.) les douleurs fémoro-patellaires [4, 5] et les lésions fémoro-tibiales [6, 7] ont également une très forte incidence.
Le terme de syndrome fémoro-patellaire (Patellofemoral pain syndrome - PFPS) est caractérisé par une douleur péripatellaire (Anterior knee pain) exacerbée par l?activité physique, en particulier la montée/descente d?escaliers, les squatts, les sauts, la course à pied, et parfois même par le maintien prolongé de la position assise [8-10].
Les étiologies des PFPS et des lésions ligamentaires du genou sont multifactorielles. Certains facteurs de risque (hormonaux, anatomiques, etc.) ne sont pas modifiables contrairement aux facteurs neuromusculaires qui peuvent être corrigés.Myer et al. [11] ont fait un résumé des différents facteurs de risques retrouvés dans la littérature à la fois pour les lésions du ligament croisé antérieur (LCA) et pour les PFPS. Dans les études publiées très récemment, ils retrouvent un facteur neuro-musculaire commun pour ces deux pathologies : le moment d?abduction dans le genou (Knee abduction moment ? KAM) à la réception de saut. Il établit même chez la basketteuse adolescente des valeurs seuil :
? chez la jeune fille d?environ 13 ans avec un KAM supérieur à 15 N.m, il existe un fort potentiel de développer un SPFPS ;
? chez l?adolescente d?environ 16 ans avec un KAM supérieur à 25 N.m, il existe un fort potentiel de développer un SPFPS et un risque de rupture du LCA important.Plusieurs études prospectives [12] et rétrospectives [13] montrent qu?il existe aussi un lien entre le contrôle neuromusculaire de la hanche et du tronc, dans la survenue de blessures aux membres inférieurs [14-16].Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47577
in Kinésithérapie scientifique > 584 (Février 2017) . - p. 5-11[article] Gonalgies et analyse du mouvement en pratique libérale : place des nouvelles technologies [texte imprimé] / Romain Dolin ; Valentin Massé ; Johanna Balducci . - 2017 . - p. 5-11.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 584 (Février 2017) . - p. 5-11
Mots-clés : Ligament croisé antérieur Syndrome de la bandelette iliotibiale Syndrome fémoropatellaire Valgus dynamique Résumé : Dans certains sports comme le triathlon, la course à pied ou chez les militaires [1-3], les lésions du genou font partie des premières causes de blessures. Chez la jeune fille pratiquant des sports pivot-contacts (basket-ball, rugby, handball, football, etc.) les douleurs fémoro-patellaires [4, 5] et les lésions fémoro-tibiales [6, 7] ont également une très forte incidence.
Le terme de syndrome fémoro-patellaire (Patellofemoral pain syndrome - PFPS) est caractérisé par une douleur péripatellaire (Anterior knee pain) exacerbée par l?activité physique, en particulier la montée/descente d?escaliers, les squatts, les sauts, la course à pied, et parfois même par le maintien prolongé de la position assise [8-10].
Les étiologies des PFPS et des lésions ligamentaires du genou sont multifactorielles. Certains facteurs de risque (hormonaux, anatomiques, etc.) ne sont pas modifiables contrairement aux facteurs neuromusculaires qui peuvent être corrigés.Myer et al. [11] ont fait un résumé des différents facteurs de risques retrouvés dans la littérature à la fois pour les lésions du ligament croisé antérieur (LCA) et pour les PFPS. Dans les études publiées très récemment, ils retrouvent un facteur neuro-musculaire commun pour ces deux pathologies : le moment d?abduction dans le genou (Knee abduction moment ? KAM) à la réception de saut. Il établit même chez la basketteuse adolescente des valeurs seuil :
? chez la jeune fille d?environ 13 ans avec un KAM supérieur à 15 N.m, il existe un fort potentiel de développer un SPFPS ;
? chez l?adolescente d?environ 16 ans avec un KAM supérieur à 25 N.m, il existe un fort potentiel de développer un SPFPS et un risque de rupture du LCA important.Plusieurs études prospectives [12] et rétrospectives [13] montrent qu?il existe aussi un lien entre le contrôle neuromusculaire de la hanche et du tronc, dans la survenue de blessures aux membres inférieurs [14-16].Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=47577 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtSyndromes fémoro-patellaires : à propos des étirements de la loge antéro-latérale de la cuisse / Franck Germain in Kinésithérapie scientifique, 578 (Juillet 2016)
[article]
Titre : Syndromes fémoro-patellaires : à propos des étirements de la loge antéro-latérale de la cuisse Type de document : texte imprimé Auteurs : Franck Germain Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.5-11 Langues : Français (fre) Mots-clés : Syndrome de la loge tibiale antérieure Syndrome fémoropatellaire Exercices d'étirement musculaire Résumé : Les muscles et les aponévroses de la loge antérieure de la cuisse semblent être beaucoup plus intriqués in vivo que ce que laissent penser les manuels d'anatomie.
Pour étirer ces structures, il faut parfois utiliser, sur un temps long, des forces importantes (plus de 800 N pendant 10 mn chez certains sujets). Il faut aussi contrer une abduction de hanche très marquée. Celle-ci, concomitante de la mise en flexion du genou et de l'extension de hanche, nous semble être le fait du tenseur du fascia lata ainsi que des aponévroses latérales de la loge antérieure.
La stratégie utilisée par le kinésithérapeute, qui consiste à étirer la loge antéro-externe, semble agir favorablement pour traiter les syndromes fémoro-patellaires. On constate une augmentation objective de la longueur de la loge antéro-latérale.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=45021
in Kinésithérapie scientifique > 578 (Juillet 2016) . - p.5-11[article] Syndromes fémoro-patellaires : à propos des étirements de la loge antéro-latérale de la cuisse [texte imprimé] / Franck Germain . - 2016 . - p.5-11.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 578 (Juillet 2016) . - p.5-11
Mots-clés : Syndrome de la loge tibiale antérieure Syndrome fémoropatellaire Exercices d'étirement musculaire Résumé : Les muscles et les aponévroses de la loge antérieure de la cuisse semblent être beaucoup plus intriqués in vivo que ce que laissent penser les manuels d'anatomie.
Pour étirer ces structures, il faut parfois utiliser, sur un temps long, des forces importantes (plus de 800 N pendant 10 mn chez certains sujets). Il faut aussi contrer une abduction de hanche très marquée. Celle-ci, concomitante de la mise en flexion du genou et de l'extension de hanche, nous semble être le fait du tenseur du fascia lata ainsi que des aponévroses latérales de la loge antérieure.
La stratégie utilisée par le kinésithérapeute, qui consiste à étirer la loge antéro-externe, semble agir favorablement pour traiter les syndromes fémoro-patellaires. On constate une augmentation objective de la longueur de la loge antéro-latérale.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=45021 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêt