Centre de Documentation Campus Montignies
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Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
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18 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Diagnostic différentiel'
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Diagnostic différentiel en kinésithérapie vestibulaire / Emmanuelle Chouin in Kinésithérapie, la revue, 260-261 (Aout-septembre 2023)
[article]
Titre : Diagnostic différentiel en kinésithérapie vestibulaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Emmanuelle Chouin ; Frédéric Xavier ; F. Courcoux ; Loic vest ; Hélène Vitaux Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 16-36 Langues : Français (fre) Mots-clés : Diagnostic différentiel Vertigo = Sueurs Froides (Alfred Hitchcock, Etats-Unis, 1958) Bilan instrumental, Conduite à tenir, Diagnostic différentiel, Évaluation clinique, Kinésithérapie vestibulaire Résumé : Le diagnostic différentiel en kinésithérapie vestibulaire est une nécessité professionnelle. Il intervient dans une démarche clinique rééducationnelle. L’application des algorithmes décisionnels aux signes cliniques récoltés de l’évaluation clinique et instrumentale argumente ce diagnostic différentiel. Il est important de préciser que la variété du champ d’intervention en kinésithérapie vestibulaire va de pair avec l’hétérogénéité de l’adressage médical débordant sur d’autres disciplines que l’otoneurologie. Ainsi, il est indispensable de maîtriser les diagnostics différentiels les plus couramment rencontrés en kinésithérapie vestibulaire. Les connaissances en sémiologie traumatologique, cardiovasculaire, et neurologique sont essentielles pour aboutir à une inclusion sécure du patient vertigineux. Les marqueurs instrumentaux sont des informations spécifiques à la kinésithérapie vestibulaire empruntée à la vestibulométrie otoneurologique. Ils apportent des arguments essentiels et spécifiques à l’analyse de la fonction vestibulaire permettant d’enrichir les argumentaires en faveur d’un diagnostic différentiel, d’une part, en faveur d’une indication rééducationnelle, d’autre part. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113065
in Kinésithérapie, la revue > 260-261 (Aout-septembre 2023) . - p. 16-36[article] Diagnostic différentiel en kinésithérapie vestibulaire [texte imprimé] / Emmanuelle Chouin ; Frédéric Xavier ; F. Courcoux ; Loic vest ; Hélène Vitaux . - 2023 . - p. 16-36.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 260-261 (Aout-septembre 2023) . - p. 16-36
Mots-clés : Diagnostic différentiel Vertigo = Sueurs Froides (Alfred Hitchcock, Etats-Unis, 1958) Bilan instrumental, Conduite à tenir, Diagnostic différentiel, Évaluation clinique, Kinésithérapie vestibulaire Résumé : Le diagnostic différentiel en kinésithérapie vestibulaire est une nécessité professionnelle. Il intervient dans une démarche clinique rééducationnelle. L’application des algorithmes décisionnels aux signes cliniques récoltés de l’évaluation clinique et instrumentale argumente ce diagnostic différentiel. Il est important de préciser que la variété du champ d’intervention en kinésithérapie vestibulaire va de pair avec l’hétérogénéité de l’adressage médical débordant sur d’autres disciplines que l’otoneurologie. Ainsi, il est indispensable de maîtriser les diagnostics différentiels les plus couramment rencontrés en kinésithérapie vestibulaire. Les connaissances en sémiologie traumatologique, cardiovasculaire, et neurologique sont essentielles pour aboutir à une inclusion sécure du patient vertigineux. Les marqueurs instrumentaux sont des informations spécifiques à la kinésithérapie vestibulaire empruntée à la vestibulométrie otoneurologique. Ils apportent des arguments essentiels et spécifiques à l’analyse de la fonction vestibulaire permettant d’enrichir les argumentaires en faveur d’un diagnostic différentiel, d’une part, en faveur d’une indication rééducationnelle, d’autre part. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=113065 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtDésordres temporo-mandibulaires : intérêts du diagnostic différentiel pour le kinésithérapeute / L. Lefevre in Kinésithérapie scientifique, 629 (Mars 2021)
[article]
Titre : Désordres temporo-mandibulaires : intérêts du diagnostic différentiel pour le kinésithérapeute Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Lefevre, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 13-19 Langues : Français (fre) Mots-clés : Diagnostic différentiel Mandibule Résumé : Les désordres temporo-mandibulaires (DTM) sont une des causes de douleurs oro-faciales les plus répandues, elle n’est pas une pathologie à proprement parlé mais un ensemble de symptômes [1, 2]. Ils peuvent être définis par des douleurs, des atteintes fonctionnelles impliquant l’articulation temporo-mandibulaire et les muscles masticateurs.
L’appareil manducateur fait partie intégrante de la région anatomique cranio-faciale qui comporte de nombreuses structures pouvant être à l’origine de messages nociceptifs. Du fait de la proximité et de la complexité de l’innervation de celles-ci, une atteinte dentaire, neurologique ou encore de certains sinus peut entraîner une symptomatologie proche de celle des DTM [3-7]. Son diagnostic représente donc une réelle difficulté pour le thérapeute.
Les DTM, comme les lombalgies, ont une forte tendance à devenir chroniques et récidivantes, impactant ainsi fortement la qualité de vie des personnes atteintes [2]. Leur détection précoce représente donc un enjeu essentiel.
L’évaluation étant complexe, il arrive souvent que le bon diagnostic ne soit pas posé dès le début, ce qui entraîne un retard de la prise en charge adéquate et donc un risque d’aggravation des symptômes. De plus, il est reconnu que les DTM sont souvent associés à des facteurs psychosociaux et de comorbidités qui sont à prendre en compte lors de l’examen clinique [1, 2].
Du fait de la multitude de causes de douleurs faciales (fig. 1), la manifestation des symptômes est variée [5-7]. Un patient peut donc se présenter pour un tout autre motif de consultation, comme des maux de tête par exemple. Il est donc important que le kinésithérapique possède les outils de bilan adaptés, d’autant plus que la prise en charge de première intention se développe actuellement en France. Il convient donc d’écarter d’autres causes lors du bilan ; c'est le diagnostic différentiel.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92607
in Kinésithérapie scientifique > 629 (Mars 2021) . - p. 13-19[article] Désordres temporo-mandibulaires : intérêts du diagnostic différentiel pour le kinésithérapeute [texte imprimé] / L. Lefevre, Auteur . - 2021 . - p. 13-19.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie scientifique > 629 (Mars 2021) . - p. 13-19
Mots-clés : Diagnostic différentiel Mandibule Résumé : Les désordres temporo-mandibulaires (DTM) sont une des causes de douleurs oro-faciales les plus répandues, elle n’est pas une pathologie à proprement parlé mais un ensemble de symptômes [1, 2]. Ils peuvent être définis par des douleurs, des atteintes fonctionnelles impliquant l’articulation temporo-mandibulaire et les muscles masticateurs.
L’appareil manducateur fait partie intégrante de la région anatomique cranio-faciale qui comporte de nombreuses structures pouvant être à l’origine de messages nociceptifs. Du fait de la proximité et de la complexité de l’innervation de celles-ci, une atteinte dentaire, neurologique ou encore de certains sinus peut entraîner une symptomatologie proche de celle des DTM [3-7]. Son diagnostic représente donc une réelle difficulté pour le thérapeute.
Les DTM, comme les lombalgies, ont une forte tendance à devenir chroniques et récidivantes, impactant ainsi fortement la qualité de vie des personnes atteintes [2]. Leur détection précoce représente donc un enjeu essentiel.
L’évaluation étant complexe, il arrive souvent que le bon diagnostic ne soit pas posé dès le début, ce qui entraîne un retard de la prise en charge adéquate et donc un risque d’aggravation des symptômes. De plus, il est reconnu que les DTM sont souvent associés à des facteurs psychosociaux et de comorbidités qui sont à prendre en compte lors de l’examen clinique [1, 2].
Du fait de la multitude de causes de douleurs faciales (fig. 1), la manifestation des symptômes est variée [5-7]. Un patient peut donc se présenter pour un tout autre motif de consultation, comme des maux de tête par exemple. Il est donc important que le kinésithérapique possède les outils de bilan adaptés, d’autant plus que la prise en charge de première intention se développe actuellement en France. Il convient donc d’écarter d’autres causes lors du bilan ; c'est le diagnostic différentiel.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=92607 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtSciatiques d'origine non discale et diagnostic différentiel des sciatiques / Jean-Michel Berthelot in EMC : Appareil locomoteur, Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014)
[article]
Titre : Sciatiques d'origine non discale et diagnostic différentiel des sciatiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Michel Berthelot (1945-....), Auteur ; J. Delecrin, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : 15-840-E-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Sciatique Sciatalgies Tronculaire Diagnostic différentiel Douleurs projetées Résumé : Ce chapitre traite des sciatiques non discales, et des pathologies pouvant simuler une sciatique. Une mise au point sur la micro-anatomie des racines et les mécanismes de la souffrance radiculaire rappelle l'importance des phénomènes de traction et de congestion veineuse dans la pathogénie de certaines sciatiques, tant discales que non discales. Un préambule plaide pour un examen clinique rigoureux, afin de différencier une sciatique discale d'une autre étiologie de sciatalgie, sans tout attendre de l'imagerie. Celle-ci n'objective en effet ni les micro-inflammations, ni les tractions excessives sur les nerfs, ni l'hyperpression, ni la congestion veineuse autour de ceux-ci. Les autres causes de souffrance radiculaire sont le plus souvent cherchées d'abord: gaz et kystes épiduraux, hernie de la racine à travers la dure-mère; sténoses lombaires et leur perte de réserve péridurale; spondylolisthésis; adhérences du tissu péridural et arachnoïdites; varices péridurales et fistules artérioveineuses méningées; atrésie de la veine cave; claudications artérielles et anévrismes aortiques; méningoradiculites; épidurites; tumeurs intradurales et extradurales. Il faut ensuite considérer la possibilité de douleurs projetées à partir des disques ou des constituants de l'arc postérieur du rachis, puis des sacro-iliaques, tendons pelvitrochantériens et ischio-jambiers, ainsi que les sciatalgies projetées de certaines pathologies viscérales. Si aucun de ces diagnostics ne s'impose, l'éventualité de sciatiques cordonnales, plexulaires, et tronculaires doit être évoquée: syndrome du tunnel lombosacré et de la traversée fessière; endométriose; vascularites, et tumeurs variées, dont celles siégeant au sein du nerf lui-même. Note de contenu : Introduction
Éléments sémiologiques pouvant orienter vers une sciatique non discale ou discale
Caractéristiques de la douleur
Reproduction de la douleur par les manœuvres de mise en tension radiculaire
Recherche de signes neurologiques subjectifs ou objectifs
Éléments pouvant orienter d'emblée vers une sciatique non discale
Diagnostic différentiel d'une sciatique discale
Douleurs projetées simulant une radiculalgie
Sciatiques radiculaires mais non discales
Sciatiques non radiculairesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41031
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014) . - 15-840-E-10 [Tome 7][article] Sciatiques d'origine non discale et diagnostic différentiel des sciatiques [texte imprimé] / Jean-Michel Berthelot (1945-....), Auteur ; J. Delecrin, Auteur . - 2014 . - 15-840-E-10 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 9 numéro 4 (Octobre 2014) . - 15-840-E-10 [Tome 7]
Mots-clés : Sciatique Sciatalgies Tronculaire Diagnostic différentiel Douleurs projetées Résumé : Ce chapitre traite des sciatiques non discales, et des pathologies pouvant simuler une sciatique. Une mise au point sur la micro-anatomie des racines et les mécanismes de la souffrance radiculaire rappelle l'importance des phénomènes de traction et de congestion veineuse dans la pathogénie de certaines sciatiques, tant discales que non discales. Un préambule plaide pour un examen clinique rigoureux, afin de différencier une sciatique discale d'une autre étiologie de sciatalgie, sans tout attendre de l'imagerie. Celle-ci n'objective en effet ni les micro-inflammations, ni les tractions excessives sur les nerfs, ni l'hyperpression, ni la congestion veineuse autour de ceux-ci. Les autres causes de souffrance radiculaire sont le plus souvent cherchées d'abord: gaz et kystes épiduraux, hernie de la racine à travers la dure-mère; sténoses lombaires et leur perte de réserve péridurale; spondylolisthésis; adhérences du tissu péridural et arachnoïdites; varices péridurales et fistules artérioveineuses méningées; atrésie de la veine cave; claudications artérielles et anévrismes aortiques; méningoradiculites; épidurites; tumeurs intradurales et extradurales. Il faut ensuite considérer la possibilité de douleurs projetées à partir des disques ou des constituants de l'arc postérieur du rachis, puis des sacro-iliaques, tendons pelvitrochantériens et ischio-jambiers, ainsi que les sciatalgies projetées de certaines pathologies viscérales. Si aucun de ces diagnostics ne s'impose, l'éventualité de sciatiques cordonnales, plexulaires, et tronculaires doit être évoquée: syndrome du tunnel lombosacré et de la traversée fessière; endométriose; vascularites, et tumeurs variées, dont celles siégeant au sein du nerf lui-même. Note de contenu : Introduction
Éléments sémiologiques pouvant orienter vers une sciatique non discale ou discale
Caractéristiques de la douleur
Reproduction de la douleur par les manœuvres de mise en tension radiculaire
Recherche de signes neurologiques subjectifs ou objectifs
Éléments pouvant orienter d'emblée vers une sciatique non discale
Diagnostic différentiel d'une sciatique discale
Douleurs projetées simulant une radiculalgie
Sciatiques radiculaires mais non discales
Sciatiques non radiculairesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=41031 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Le TDA/H et les troubles anxieux chez les jeunes : une comorbidité fréquente mais un défi pour le diagnostic différentiel et les interventions à prioriser / M;-C. Guay in ANAE : Approche neuropsychologique des apprentissages chez l'enfant, vol. 31, 158 (Février 2019)
[article]
Titre : Le TDA/H et les troubles anxieux chez les jeunes : une comorbidité fréquente mais un défi pour le diagnostic différentiel et les interventions à prioriser Type de document : texte imprimé Auteurs : M;-C. Guay Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 27-36 Langues : Français (fre) Mots-clés : Agitation psychomotrice Déficit de l'attention avec hyperactivité Anxiété Diagnostic différentiel Déficit de l'attention avec hyperactivité , Agitation psychomotrice, Anxiété, Diagnostic différentiel Résumé : L’anxiété est, par ailleurs, l’un des symptômes associés le plus souvent rapporté par les parents d’enfants porteurs d’un syndrome neurologique : entre autres, le trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDA/H) Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98365
in ANAE : Approche neuropsychologique des apprentissages chez l'enfant > vol. 31, 158 (Février 2019) . - p. 27-36[article] Le TDA/H et les troubles anxieux chez les jeunes : une comorbidité fréquente mais un défi pour le diagnostic différentiel et les interventions à prioriser [texte imprimé] / M;-C. Guay . - 2019 . - p. 27-36.
Langues : Français (fre)
in ANAE : Approche neuropsychologique des apprentissages chez l'enfant > vol. 31, 158 (Février 2019) . - p. 27-36
Mots-clés : Agitation psychomotrice Déficit de l'attention avec hyperactivité Anxiété Diagnostic différentiel Déficit de l'attention avec hyperactivité , Agitation psychomotrice, Anxiété, Diagnostic différentiel Résumé : L’anxiété est, par ailleurs, l’un des symptômes associés le plus souvent rapporté par les parents d’enfants porteurs d’un syndrome neurologique : entre autres, le trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDA/H) Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98365 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue CESA - Roux CESA - Roux Disponible
DisponibleDyspraxie ou immaturité praxique ? La thérapie psychomotrice comme outil diagnostic / Jean-Marc Sartori in Thérapie psychomotrice et recherches, 165 (2011)
[article]
Titre : Dyspraxie ou immaturité praxique ? La thérapie psychomotrice comme outil diagnostic Auteurs : Jean-Marc Sartori Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 112-121 Langues : Français (fre) Mots-clés : Dyspraxie Immaturite Diagnostic différentiel Thérapie psychomotrice Autonomie Bilan psychomoteur Résumé : La dyspraxie est une pathologie altérant la capacité d’organisation des gestes. Comme toute pathologie, elle exige de répondre à un cadre nosologique, tant sur le plan qualitatif que quantitatif. L’auteur rappelle que les bilans chargés d’évaluer les fonctions praxiques doivent être suffisamment précis et standardisés pour s’assurer que les difficultés soient bien dans le secteur pathologique et non dans le secteur du retard d’acquisition. Il propose également une réflexion sur l’interprétation des résultats obtenus au cours de ces bilans en invitant à replacer l’immaturité de la fonction praxique comme diagnostic différentiel de la dyspraxie et à utiliser la thérapie psychomotrice comme outil diagnostique. Des études de cas illustrent les données théoriques en montrant notamment que l’immaturité praxique est parfois suffisamment grave pour laisser croire à la dyspraxie, et que le travail psychomoteur est alors nécessaire pour permettre à l’enfant de développer ses ressources et ainsi mettre en place une véritable et légitime autonomie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98455
in Thérapie psychomotrice et recherches > 165 (2011) . - p. 112-121[article] Dyspraxie ou immaturité praxique ? La thérapie psychomotrice comme outil diagnostic [] / Jean-Marc Sartori . - 2011 . - p. 112-121.
Langues : Français (fre)
in Thérapie psychomotrice et recherches > 165 (2011) . - p. 112-121
Mots-clés : Dyspraxie Immaturite Diagnostic différentiel Thérapie psychomotrice Autonomie Bilan psychomoteur Résumé : La dyspraxie est une pathologie altérant la capacité d’organisation des gestes. Comme toute pathologie, elle exige de répondre à un cadre nosologique, tant sur le plan qualitatif que quantitatif. L’auteur rappelle que les bilans chargés d’évaluer les fonctions praxiques doivent être suffisamment précis et standardisés pour s’assurer que les difficultés soient bien dans le secteur pathologique et non dans le secteur du retard d’acquisition. Il propose également une réflexion sur l’interprétation des résultats obtenus au cours de ces bilans en invitant à replacer l’immaturité de la fonction praxique comme diagnostic différentiel de la dyspraxie et à utiliser la thérapie psychomotrice comme outil diagnostique. Des études de cas illustrent les données théoriques en montrant notamment que l’immaturité praxique est parfois suffisamment grave pour laisser croire à la dyspraxie, et que le travail psychomoteur est alors nécessaire pour permettre à l’enfant de développer ses ressources et ainsi mettre en place une véritable et légitime autonomie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98455 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue CESA - Roux CESA - Roux Disponible
DisponibleCarcinomes épidermoïdes cutanés au cours de l’EBDR : comment les dépister ? / Rose Boudan in Soins, 880 (Novembre 2023)
PermalinkCliniques de la paranoïa / Anne-Hélène Moncany in Santé mentale, 243 (Décembre 2019)
PermalinkDiagnostics difficiles en médecine interne
PermalinkApproche transdiagnostique des ruminations / Céline Baeyens in Santé mentale, 252 (Novembre 2020)
PermalinkDécision kinésithérapique : Carl P. Taekwondoïste de 19 ans et lombalgique chronique. / Rita Kassis in Kinésithérapie, la revue, 216 (Décembre 2019)
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