Dépouillements

Corps et genre des jeunes en retrait / Cristina Figueiredo in Santé mentale, 250 (Septembre 2020)

Public ISBD [article]  inSanté mentale > 250 (Septembre 2020) . - p. 62-67 Titre : Corps et genre des jeunes en retrait Type de document : texte imprimé Auteurs : Cristina Figueiredo Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 62-67 Note générale : Cet article fait partie du dossier "Ados et jeunes adultes reclus à domicile". Langues : Français (fre) Mots-clés : Retrait relationnel  Adolescent  Anthropologie  Corps  Identité sexuelle  Relation parent-enfant  Retrait social  Jeune adulte  Métaphore  Trouble du comportement alimentaire  Individuation  Séparation  Cinéma Résumé : Réflexion anthropologique sur la quête de soi des jeunes garçons en retrait social, qui vivraient une forme inversée de l’anorexie, dans leur rapport au corps, à leur identité sexuelle et leur sexualité, ainsi qu’à l’alimentation. L’observation de cas de jeunes entre 13 et 25 ans en retrait donne lieu à une réflexion anthropologique sur plusieurs plans : physique, social, symbolique. L’auteur témoigne d’observations réalisées auprès de jeunes hikikomori au Japon, de jeunes Touaregs au Sahara, de jeunes en retrait en France. Elle émet l’hypothèse selon laquelle les jeunes garçons en retrait vivent un rapport au corps, à leur identité sexuelle et à leur sexualité, ainsi qu’à l’alimentation, comparable (inversé), à bien des égards, à celui des jeunes filles anorexiques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90980 [article] Corps et genre des jeunes en retrait [texte imprimé] / Cristina Figueiredo . - 2020 . - p. 62-67. Cet article fait partie du dossier "Ados et jeunes adultes reclus à domicile". Langues : Français (fre) in Santé mentale > 250 (Septembre 2020) . - p. 62-67 Mots-clés : Retrait relationnel  Adolescent  Anthropologie  Corps  Identité sexuelle  Relation parent-enfant  Retrait social  Jeune adulte  Métaphore  Trouble du comportement alimentaire  Individuation  Séparation  Cinéma Résumé : Réflexion anthropologique sur la quête de soi des jeunes garçons en retrait social, qui vivraient une forme inversée de l’anorexie, dans leur rapport au corps, à leur identité sexuelle et leur sexualité, ainsi qu’à l’alimentation. L’observation de cas de jeunes entre 13 et 25 ans en retrait donne lieu à une réflexion anthropologique sur plusieurs plans : physique, social, symbolique. L’auteur témoigne d’observations réalisées auprès de jeunes hikikomori au Japon, de jeunes Touaregs au Sahara, de jeunes en retrait en France. Elle émet l’hypothèse selon laquelle les jeunes garçons en retrait vivent un rapport au corps, à leur identité sexuelle et à leur sexualité, ainsi qu’à l’alimentation, comparable (inversé), à bien des égards, à celui des jeunes filles anorexiques. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90980

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Hikikomori : l'hôpital en dernier recours / Mathias Moreno in Santé mentale, 250 (Septembre 2020)

Public ISBD [article]  inSanté mentale > 250 (Septembre 2020) . - p. 40-44 Titre : Hikikomori : l'hôpital en dernier recours Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathias Moreno Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 40-44 Note générale : Cet article fait partie du dossier "Ados et jeunes adultes reclus à domicile". Langues : Français (fre) Mots-clés : Déni  Hospitalisation sous contrainte  Souffrance psychique  Retrait relationnel  Refus de soins  Prise en charge  Cas clinique  Visite à domicile  Soins ambulatoires Résumé : En un peu plus de deux ans, Étienne, 19 ans, s’est coupé de toute vie sociale et familiale. Face à des menaces suicidaires et une forte agressivité, sa mère accepte une hospitalisation sous contrainte. Retour sur les spécificités de cette prise en charge institutionnelle, globale et variée. Face à une situation de repli et de claustration pérennisée, lorsque les visites à domicile ou les soins ambulatoires ont échoué, la modalité d’hospitalisation sous contrainte peut constituer une alternative. À travers la situation clinique d’Étienne, 19 ans, hospitalisé sans son consentement à temps plein durant 5 mois, l’auteur décrit les soins mis en place (entretiens individuels, activités thérapeutiques, psychomotricité notamment) et le fort investissement soignant qu’ils nécessitent. À l’opposé de l’expérience commune actuelle, cette prise en charge nécessite une psychiatrie interventionniste, qui n’attende pas une demande de soins. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90991 [article] Hikikomori : l'hôpital en dernier recours [texte imprimé] / Mathias Moreno . - 2020 . - p. 40-44. Cet article fait partie du dossier "Ados et jeunes adultes reclus à domicile". Langues : Français (fre) in Santé mentale > 250 (Septembre 2020) . - p. 40-44 Mots-clés : Déni  Hospitalisation sous contrainte  Souffrance psychique  Retrait relationnel  Refus de soins  Prise en charge  Cas clinique  Visite à domicile  Soins ambulatoires Résumé : En un peu plus de deux ans, Étienne, 19 ans, s’est coupé de toute vie sociale et familiale. Face à des menaces suicidaires et une forte agressivité, sa mère accepte une hospitalisation sous contrainte. Retour sur les spécificités de cette prise en charge institutionnelle, globale et variée. Face à une situation de repli et de claustration pérennisée, lorsque les visites à domicile ou les soins ambulatoires ont échoué, la modalité d’hospitalisation sous contrainte peut constituer une alternative. À travers la situation clinique d’Étienne, 19 ans, hospitalisé sans son consentement à temps plein durant 5 mois, l’auteur décrit les soins mis en place (entretiens individuels, activités thérapeutiques, psychomotricité notamment) et le fort investissement soignant qu’ils nécessitent. À l’opposé de l’expérience commune actuelle, cette prise en charge nécessite une psychiatrie interventionniste, qui n’attende pas une demande de soins. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90991

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Hikikomori : quelles prises en charge ? / Marie-Jeanne Guedj Bourdiau in Santé mentale, 250 (Septembre 2020)

Public ISBD [article]  inSanté mentale > 250 (Septembre 2020) . - p. 34-39 Titre : Hikikomori : quelles prises en charge ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie-Jeanne Guedj Bourdiau Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 34-39 Note générale : Cet article fait partie du dossier "Ados et jeunes adultes reclus à domicile". Langues : Français (fre) Mots-clés : Claustromanie  Patient expert  Retrait relationnel  Prise en charge  Thérapie  Suivi Résumé : Face au retrait social de l’adolescent ou du jeune adulte et à la souffrance qu’il engendre, les approches thérapeutiques doivent porter en priorité sur la résolution de la claustration. De la guidance familiale au soutien individuel, perspectives et expériences de prises en charge. Associé ou non à un diagnostic psychiatrique, l’enfermement à domicile du jeune est un problème mondial, qui semble particulièrement important en France. Cet article aborde les perspectives de prises en charge, en adaptant certains modèles venus du Japon. Le suivi repose essentiellement sur des entretiens de guidance familiale et un suivi psychothérapeutique du jeune. Une hospitalisation est parfois indiquée, avec ou non un appoint médicamenteux selon les dimensions pathologiques retrouvées, en prévoyant une postcure où seront mis en place des outils de socialisation. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90992 [article] Hikikomori : quelles prises en charge ? [texte imprimé] / Marie-Jeanne Guedj Bourdiau . - 2020 . - p. 34-39. Cet article fait partie du dossier "Ados et jeunes adultes reclus à domicile". Langues : Français (fre) in Santé mentale > 250 (Septembre 2020) . - p. 34-39 Mots-clés : Claustromanie  Patient expert  Retrait relationnel  Prise en charge  Thérapie  Suivi Résumé : Face au retrait social de l’adolescent ou du jeune adulte et à la souffrance qu’il engendre, les approches thérapeutiques doivent porter en priorité sur la résolution de la claustration. De la guidance familiale au soutien individuel, perspectives et expériences de prises en charge. Associé ou non à un diagnostic psychiatrique, l’enfermement à domicile du jeune est un problème mondial, qui semble particulièrement important en France. Cet article aborde les perspectives de prises en charge, en adaptant certains modèles venus du Japon. Le suivi repose essentiellement sur des entretiens de guidance familiale et un suivi psychothérapeutique du jeune. Une hospitalisation est parfois indiquée, avec ou non un appoint médicamenteux selon les dimensions pathologiques retrouvées, en prévoyant une postcure où seront mis en place des outils de socialisation. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90992

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Hikikomori, un phénomène polymorphe / Manuella De Luca in Santé mentale, 250 (Septembre 2020)

Public ISBD [article]  inSanté mentale > 250 (Septembre 2020) . - p. 54-60 Titre : Hikikomori, un phénomène polymorphe Type de document : texte imprimé Auteurs : Manuella De Luca Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 54-60 Note générale : Cet article fait partie du dossier "Ados et jeunes adultes reclus à domicile". Langues : Français (fre) Mots-clés : Adolescent  Claustromanie  Comorbidité  Hospitalisation  Jeune adulte  Retrait relationnel  Psychanalyse  Psychopathologie Résumé : Le phénomène hikikomori met en travail la question du normal et du pathologique. L’approche psychanalytique permet d’appréhender les dynamiques psychiques mobilisées et de décrypter des situations familiales toujours complexes. Illustration avec les cas d’Isaac et de Ben. Le hikikomori est un phénomène polymorphe. Ce comportement de retrait sévère qui touche préférentiellement les adolescents et les jeunes adultes masculins se rencontre dans des organisations psychopathologiques diverses et vient mettre au travail la question du normal et du pathologique. L’approche psychanalytique permet notamment d’analyser les dynamiques psychiques mobilisées et de décrypter des situations familiales toujours complexes. L’auteur identifie deux grands types de configurations psychopathologiques: premièrement une mise en retrait de la vie psychique transitoire et défensive, protégeant d’un excès d’excitation induit notamment par la puberté et ses enjeux ; deuxièmement un gel de la dynamique psychique entravant et figeant le processus adolescent, dans une logique mélancolique proche de la néantisation. Deux cas cliniques illustrent ces deux configurations. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90993 [article] Hikikomori, un phénomène polymorphe [texte imprimé] / Manuella De Luca . - 2020 . - p. 54-60. Cet article fait partie du dossier "Ados et jeunes adultes reclus à domicile". Langues : Français (fre) in Santé mentale > 250 (Septembre 2020) . - p. 54-60 Mots-clés : Adolescent  Claustromanie  Comorbidité  Hospitalisation  Jeune adulte  Retrait relationnel  Psychanalyse  Psychopathologie Résumé : Le phénomène hikikomori met en travail la question du normal et du pathologique. L’approche psychanalytique permet d’appréhender les dynamiques psychiques mobilisées et de décrypter des situations familiales toujours complexes. Illustration avec les cas d’Isaac et de Ben. Le hikikomori est un phénomène polymorphe. Ce comportement de retrait sévère qui touche préférentiellement les adolescents et les jeunes adultes masculins se rencontre dans des organisations psychopathologiques diverses et vient mettre au travail la question du normal et du pathologique. L’approche psychanalytique permet notamment d’analyser les dynamiques psychiques mobilisées et de décrypter des situations familiales toujours complexes. L’auteur identifie deux grands types de configurations psychopathologiques: premièrement une mise en retrait de la vie psychique transitoire et défensive, protégeant d’un excès d’excitation induit notamment par la puberté et ses enjeux ; deuxièmement un gel de la dynamique psychique entravant et figeant le processus adolescent, dans une logique mélancolique proche de la néantisation. Deux cas cliniques illustrent ces deux configurations. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90993

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Les réalités d'Adèle / Audrey Loustaunau in Santé mentale, 250 (Septembre 2020)

Public ISBD [article]  inSanté mentale > 250 (Septembre 2020) . - p. 18-22 Titre : Les réalités d'Adèle Type de document : texte imprimé Auteurs : Audrey Loustaunau ; Thierry Darnaud ; Emmanuelle Ballarin Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 18-22 Note générale : Cet article fait partie du dossier "Ados et jeunes adultes reclus à domicile". Langues : Français (fre) Mots-clés : Trouble cognitif  Subjectivité  Cas clinique  Ecoute  Réalité  Relation parent-enfant  Souffrance psychique  Solitude  Personne âgée  Maison de repos et de soins Résumé : Adèle, 80 ans, est persuadée que ses parents sont vivants ou que sa fille Sophie, qui lui rend visite chaque semaine, ne vient jamais la voir… Faut-il chercher la vérité dans son discours ou l’accompagner dans ses déréalisations pour tisser un lien et alléger sa souffrance ? Pour le psychologue, suivre des patients souffrant de troubles de la mémoire, délires… pose la question de la réalité des faits. Doit-on « croire » les propos de la personne ? Et qu’est que la réalité ? Il coexiste toujours plus points de vue sur une situation et notre subjectivité intervient dans nos perceptions. L’approche constructionniste donne un cadre théorico-clinique pour accepter la réalité de l’autre et lui donner une place légitime. En coconstruisant avec autrui, nous pouvons faire émerger un monde commun, le temps de la rencontre. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91007 [article] Les réalités d'Adèle [texte imprimé] / Audrey Loustaunau ; Thierry Darnaud ; Emmanuelle Ballarin . - 2020 . - p. 18-22. Cet article fait partie du dossier "Ados et jeunes adultes reclus à domicile". Langues : Français (fre) in Santé mentale > 250 (Septembre 2020) . - p. 18-22 Mots-clés : Trouble cognitif  Subjectivité  Cas clinique  Ecoute  Réalité  Relation parent-enfant  Souffrance psychique  Solitude  Personne âgée  Maison de repos et de soins Résumé : Adèle, 80 ans, est persuadée que ses parents sont vivants ou que sa fille Sophie, qui lui rend visite chaque semaine, ne vient jamais la voir… Faut-il chercher la vérité dans son discours ou l’accompagner dans ses déréalisations pour tisser un lien et alléger sa souffrance ? Pour le psychologue, suivre des patients souffrant de troubles de la mémoire, délires… pose la question de la réalité des faits. Doit-on « croire » les propos de la personne ? Et qu’est que la réalité ? Il coexiste toujours plus points de vue sur une situation et notre subjectivité intervient dans nos perceptions. L’approche constructionniste donne un cadre théorico-clinique pour accepter la réalité de l’autre et lui donner une place légitime. En coconstruisant avec autrui, nous pouvons faire émerger un monde commun, le temps de la rencontre. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91007

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Retrait pathologique à l'adolescence / Xavier Benarous in Santé mentale, 250 (Septembre 2020)

Public ISBD [article]  inSanté mentale > 250 (Septembre 2020) . - p. 46-51 Titre : Retrait pathologique à l'adolescence Type de document : texte imprimé Auteurs : Xavier Benarous ; Sébastien Garny de la Rivière ; Jean-Marc Guilé ; David Cohen ; Marie-Jeanne Guedj Bourdiau Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 46-51 Note générale : Cet article fait partie du dossier "Ados et jeunes adultes reclus à domicile". Langues : Français (fre) Mots-clés : Claustromanie  Adolescent  Emotion  Psychopathologie  Régulation des émotions  Attachement  Trouble du comportement  Retrait relationnel Résumé : La recherche met en évidence des facteurs déterminants sur le plan psychopathologique et développemental dans les conduites de retrait pathologique de l’adolescent. Aspects cliniques et repères. Malgré la diversité des contextes cliniques associés aux conduites de retrait pathologique à l’adolescence, il existe des facteurs déterminants communs sur le plan psychopathologique et développemental. Les mécanismes d’auto-entretien de l’enfermement, les modalités de réaction de l’entourage et l’association d’un trouble psychiatrique catégoriel sont déterminants dans l’évolution des conduites de retrait. Faire cesser ce repli représente la seule possibilité pour permettre une amélioration clinique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91013 [article] Retrait pathologique à l'adolescence [texte imprimé] / Xavier Benarous ; Sébastien Garny de la Rivière ; Jean-Marc Guilé ; David Cohen ; Marie-Jeanne Guedj Bourdiau . - 2020 . - p. 46-51. Cet article fait partie du dossier "Ados et jeunes adultes reclus à domicile". Langues : Français (fre) in Santé mentale > 250 (Septembre 2020) . - p. 46-51 Mots-clés : Claustromanie  Adolescent  Emotion  Psychopathologie  Régulation des émotions  Attachement  Trouble du comportement  Retrait relationnel Résumé : La recherche met en évidence des facteurs déterminants sur le plan psychopathologique et développemental dans les conduites de retrait pathologique de l’adolescent. Aspects cliniques et repères. Malgré la diversité des contextes cliniques associés aux conduites de retrait pathologique à l’adolescence, il existe des facteurs déterminants communs sur le plan psychopathologique et développemental. Les mécanismes d’auto-entretien de l’enfermement, les modalités de réaction de l’entourage et l’association d’un trouble psychiatrique catégoriel sont déterminants dans l’évolution des conduites de retrait. Faire cesser ce repli représente la seule possibilité pour permettre une amélioration clinique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91013

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Retrait social, claustration, hikikomori, de quoi parle-t-on ? / Marie-Jeanne Guedj Bourdiau in Santé mentale, 250 (Septembre 2020)

Public ISBD [article]  inSanté mentale > 250 (Septembre 2020) . - p. 26-33 Titre : Retrait social, claustration, hikikomori, de quoi parle-t-on ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie-Jeanne Guedj Bourdiau Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 26-33 Note générale : Cet article fait partie du dossier "Ados et jeunes adultes reclus à domicile". Langues : Français (fre) Mots-clés : Retrait social  Isolement social  Retrait relationnel  Décrochage scolaire  Comorbidité  Attachement  Psychopathologie  Relation parent-enfant  Transgénérationnel  Enveloppe psychique  Adolescent  Jeu vidéo Résumé : Comment un adolescent ou un jeune adulte passe-t-il de l’enfermement « salutaire » à la claustration dans sa chambre ? Synonyme d’une souffrance et d’un tabou qui contaminent peu à peu toute la famille, la conduite hikikomori, gangue d’enfermement et/ou de protection, interroge la psychiatrie. À travers la médiatisation des conduites de retrait des jeunes japonais appelées hikikomori, qui se situent au carrefour du psychologique, du social et du comportemental, la question se pose mondialement : nouvelle forme de transition à l’âge adulte, poids de la psychopathologie ou refus d’un diagnostic psychiatrique ? Quelles que soient les considérations sociologiques, que cette conduite fasse partie de stratégies de refuge ou de révolte, le dessaisissement des moyens développementaux et l’autosabotage sont au premier plan. Poser une question diagnostique, considérer que le retrait peut être annonciateur/prodromique d’autres troubles, ne peut être la seule démarche. Il serait préférable d’entraîner des mesures de vigilance. Quand elle n’est pas concluante, il n’y a pas lieu de laisser la situation hikikomori à l’abandon. À côté du diagnostic, se trouve l’enfermement, qui doit retenir toute notre attention. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91014 [article] Retrait social, claustration, hikikomori, de quoi parle-t-on ? [texte imprimé] / Marie-Jeanne Guedj Bourdiau . - 2020 . - p. 26-33. Cet article fait partie du dossier "Ados et jeunes adultes reclus à domicile". Langues : Français (fre) in Santé mentale > 250 (Septembre 2020) . - p. 26-33 Mots-clés : Retrait social  Isolement social  Retrait relationnel  Décrochage scolaire  Comorbidité  Attachement  Psychopathologie  Relation parent-enfant  Transgénérationnel  Enveloppe psychique  Adolescent  Jeu vidéo Résumé : Comment un adolescent ou un jeune adulte passe-t-il de l’enfermement « salutaire » à la claustration dans sa chambre ? Synonyme d’une souffrance et d’un tabou qui contaminent peu à peu toute la famille, la conduite hikikomori, gangue d’enfermement et/ou de protection, interroge la psychiatrie. À travers la médiatisation des conduites de retrait des jeunes japonais appelées hikikomori, qui se situent au carrefour du psychologique, du social et du comportemental, la question se pose mondialement : nouvelle forme de transition à l’âge adulte, poids de la psychopathologie ou refus d’un diagnostic psychiatrique ? Quelles que soient les considérations sociologiques, que cette conduite fasse partie de stratégies de refuge ou de révolte, le dessaisissement des moyens développementaux et l’autosabotage sont au premier plan. Poser une question diagnostique, considérer que le retrait peut être annonciateur/prodromique d’autres troubles, ne peut être la seule démarche. Il serait préférable d’entraîner des mesures de vigilance. Quand elle n’est pas concluante, il n’y a pas lieu de laisser la situation hikikomori à l’abandon. À côté du diagnostic, se trouve l’enfermement, qui doit retenir toute notre attention. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91014

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« Pas de case, pas de soin » / Virginie Ponsot in Santé mentale, 250 (Septembre 2020)

Public ISBD [article]  inSanté mentale > 250 (Septembre 2020) . - p. 52-53 Titre : « Pas de case, pas de soin » Type de document : texte imprimé Auteurs : Virginie Ponsot, Personne interviewée ; Cédric Ponsot, Personne interviewée Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 52-53 Note générale : Cet article fait partie du dossier "Ados et jeunes adultes reclus à domicile". Langues : Français (fre) Mots-clés : Adolescent  Claustromanie  Famille  Groupe de parole  Relation soignant-famille  Retrait relationnel  Témoignage Résumé : Parents d’un jeune hikikomori qui a vécu reclus dans sa chambre pendant plusieurs années, Virginie et Cédric Ponsot se sont investis dans un groupe de parole pour les familles. Retour sur une expérience salvatrice. Cet article retrace la mise en place d’un groupe de parole de parents d’enfants d’hikikomori. Après trois années d’expérience, plusieurs enseignements peuvent être tirés sur les difficultés des familles. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91027 [article] « Pas de case, pas de soin » [texte imprimé] / Virginie Ponsot, Personne interviewée ; Cédric Ponsot, Personne interviewée . - 2020 . - p. 52-53. Cet article fait partie du dossier "Ados et jeunes adultes reclus à domicile". Langues : Français (fre) in Santé mentale > 250 (Septembre 2020) . - p. 52-53 Mots-clés : Adolescent  Claustromanie  Famille  Groupe de parole  Relation soignant-famille  Retrait relationnel  Témoignage Résumé : Parents d’un jeune hikikomori qui a vécu reclus dans sa chambre pendant plusieurs années, Virginie et Cédric Ponsot se sont investis dans un groupe de parole pour les familles. Retour sur une expérience salvatrice. Cet article retrace la mise en place d’un groupe de parole de parents d’enfants d’hikikomori. Après trois années d’expérience, plusieurs enseignements peuvent être tirés sur les difficultés des familles. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=91027

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