Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Journal de traumatologie du sport . Vol.37, n°1Paru le : 01/03/2020 |
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Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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Revue | Revue | Centre de Documentation HELHa Campus Montignies | Armoires à volets | Document exclu du prêt - à consulter sur place Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panier2020, une nouvelle année, un nouvel élan pour le Journal de Traumatologie du Sport / Sylvie Besch in Journal de traumatologie du sport, Vol.37, n°1 (Mars 2020)
[article]
Titre : 2020, une nouvelle année, un nouvel élan pour le Journal de Traumatologie du Sport Type de document : texte imprimé Auteurs : Sylvie Besch Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 1 Langues : Français (fre) Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86090
in Journal de traumatologie du sport > Vol.37, n°1 (Mars 2020) . - p. 1[article] 2020, une nouvelle année, un nouvel élan pour le Journal de Traumatologie du Sport [texte imprimé] / Sylvie Besch . - 2020 . - p. 1.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol.37, n°1 (Mars 2020) . - p. 1
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86090 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtAssociation entre les fonctions sensorimotrices et les blessures de l’épaule : étude pilote sur une cohorte prospective de handballeurs - / T. Mussigmann in Journal de traumatologie du sport, Vol.37, n°1 (Mars 2020)
[article]
Titre : Association entre les fonctions sensorimotrices et les blessures de l’épaule : étude pilote sur une cohorte prospective de handballeurs - Type de document : texte imprimé Auteurs : T. Mussigmann Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 10-19 Langues : Français (fre) Mots-clés : Épaule Isocinetisme HANDBALL Résumé : Introduction
Les blessures de l’épaule au handball sont fréquentes. La proposition des stratégies de prévention passe par l’identification des facteurs de risque modifiables. Dans ce contexte, les fonctions sensorimotrices de l’épaule devraient être investiguées.
Objectif
Évaluer les liens éventuels entre la survenue des blessures de l’épaule et les résultats de trois tests : le CKCUEST (Closed Kinetic Chain Upper Extremity Chain), le UQYBT (Upper Quarter Y-Balance Test) et l’évaluation isocinétique des muscles rotateurs de l’épaule.
Méthode
Nous avons conduit une étude de cohorte prospective sur l’année 2018–2019. En début de saison, les joueurs étaient évalués via les trois tests. Le suivi des blessures était ensuite réalisé par l’autoquestionnaire OSTRC (Oslo Sport Trauma Research Center).
Résultats
Nous avons inclus dans l’analyse 20 joueurs mixtes (14 femmes et 6 hommes). Il y a eu 6 blessés durant la saison. La conduite d’analyse par régression logistique n’a pas mis en évidence de lien significatif entre le risque de blessure et les résultats de chacun des tests.
Conclusion
Nous n’avons pas rapporté d’association significative entre les variables mesurées en début de saison et la survenue d’une blessure de l’épaule durant la saison. Cependant, notre étude pilote apporte des éléments permettant de réaliser une étude de plus grande envergure pour analyser les hypothèses rapportées.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86091
in Journal de traumatologie du sport > Vol.37, n°1 (Mars 2020) . - p. 10-19[article] Association entre les fonctions sensorimotrices et les blessures de l’épaule : étude pilote sur une cohorte prospective de handballeurs - [texte imprimé] / T. Mussigmann . - 2020 . - p. 10-19.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol.37, n°1 (Mars 2020) . - p. 10-19
Mots-clés : Épaule Isocinetisme HANDBALL Résumé : Introduction
Les blessures de l’épaule au handball sont fréquentes. La proposition des stratégies de prévention passe par l’identification des facteurs de risque modifiables. Dans ce contexte, les fonctions sensorimotrices de l’épaule devraient être investiguées.
Objectif
Évaluer les liens éventuels entre la survenue des blessures de l’épaule et les résultats de trois tests : le CKCUEST (Closed Kinetic Chain Upper Extremity Chain), le UQYBT (Upper Quarter Y-Balance Test) et l’évaluation isocinétique des muscles rotateurs de l’épaule.
Méthode
Nous avons conduit une étude de cohorte prospective sur l’année 2018–2019. En début de saison, les joueurs étaient évalués via les trois tests. Le suivi des blessures était ensuite réalisé par l’autoquestionnaire OSTRC (Oslo Sport Trauma Research Center).
Résultats
Nous avons inclus dans l’analyse 20 joueurs mixtes (14 femmes et 6 hommes). Il y a eu 6 blessés durant la saison. La conduite d’analyse par régression logistique n’a pas mis en évidence de lien significatif entre le risque de blessure et les résultats de chacun des tests.
Conclusion
Nous n’avons pas rapporté d’association significative entre les variables mesurées en début de saison et la survenue d’une blessure de l’épaule durant la saison. Cependant, notre étude pilote apporte des éléments permettant de réaliser une étude de plus grande envergure pour analyser les hypothèses rapportées.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86091 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtÉvaluation du taux de blessures chez les pratiquants de CrossFit en France / M. Gile in Journal de traumatologie du sport, Vol.37, n°1 (Mars 2020)
[article]
Titre : Évaluation du taux de blessures chez les pratiquants de CrossFit en France Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Gile ; J. Petit ; V. Germeaux Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 2-9 Langues : Français (fre) Mots-clés : Traumatismes sportifs Paramédical Cross-fit Résumé : Le CrossFit est une discipline sportive de développement récent en France et dans le monde. C’est un sport à part entière visant à optimiser toutes les composantes de la condition physique, mais est aussi utilisé comme méthode de préparation physique pour d’autres sports. Malgré l’engouement croissant de la population, il a la réputation d’être pourvoyeur de traumatismes. Le but de cette étude était donc de déterminer objectivement le taux de blessures pour 1000heures d’entraînement en France et de le comparer à ceux d’autres sports.
Méthode
Toutes les salles affiliées CrossFit de France métropolitaine ouvertes depuis au moins un mois au 1er octobre 2015 ont été contactées. Parmi celles qui ont accepté de participer, un tirage au sort de 25 % des adhérents a été effectué. Ceux-ci devaient répondre à un questionnaire visant à évaluer : leur pratique du CrossFit, les blessures lors de la pratique du CrossFit et plus anciennes, leur mode de vie et les modifications de leurs caractéristiques physiques.
Résultats
Au total, 21 salles affiliées réparties en France ont participé, 664 questionnaires ont été remplis et analysés (taux de participation=87,6 %) : 167 participants ont déclaré au moins une blessure au cours de la pratique du CrossFit lors des 12 mois précédents. Le taux de blessures était en moyenne de 2,3/1000h d’entraînement. Les traumatismes étaient significativement plus fréquents chez les hommes (p<0,05) et les consommateurs d’alcool (p<0,05). Le risque de blessure augmentait avec le nombre d’heures d’entraînement par semaine (p<0,001), la pratique de la compétition (p<0,05), en cas de modification de l’alimentation (p<0,05), avec l’ancienneté de pratique (p<0,001) et/ou un antécédent de blessure (p<0,001).
Conclusion
À notre connaissance, cette étude est la première à s’intéresser à l’épidémiologie des blessures lors de la pratique du CrossFit en France. Du fait de sa méthodologie et de son bon taux de participation, elle constitue une base solide pour évaluer le taux de blessures de ce sport qui apparaît faible comparativement à d’autres sports répandus. La majorité des pratiquants ont déclaré ressentir une amélioration de leur condition physique. Il apparaît ainsi possible de conseiller ce sport sans craindre à court terme de « sur-risque » de blessure chez les sujets souhaitant améliorer leur condition physique, dans un objectif de performance ou de santé, sous réserve d’une pratique adaptée et progressive.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86092
in Journal de traumatologie du sport > Vol.37, n°1 (Mars 2020) . - p. 2-9[article] Évaluation du taux de blessures chez les pratiquants de CrossFit en France [texte imprimé] / M. Gile ; J. Petit ; V. Germeaux . - 2020 . - p. 2-9.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol.37, n°1 (Mars 2020) . - p. 2-9
Mots-clés : Traumatismes sportifs Paramédical Cross-fit Résumé : Le CrossFit est une discipline sportive de développement récent en France et dans le monde. C’est un sport à part entière visant à optimiser toutes les composantes de la condition physique, mais est aussi utilisé comme méthode de préparation physique pour d’autres sports. Malgré l’engouement croissant de la population, il a la réputation d’être pourvoyeur de traumatismes. Le but de cette étude était donc de déterminer objectivement le taux de blessures pour 1000heures d’entraînement en France et de le comparer à ceux d’autres sports.
Méthode
Toutes les salles affiliées CrossFit de France métropolitaine ouvertes depuis au moins un mois au 1er octobre 2015 ont été contactées. Parmi celles qui ont accepté de participer, un tirage au sort de 25 % des adhérents a été effectué. Ceux-ci devaient répondre à un questionnaire visant à évaluer : leur pratique du CrossFit, les blessures lors de la pratique du CrossFit et plus anciennes, leur mode de vie et les modifications de leurs caractéristiques physiques.
Résultats
Au total, 21 salles affiliées réparties en France ont participé, 664 questionnaires ont été remplis et analysés (taux de participation=87,6 %) : 167 participants ont déclaré au moins une blessure au cours de la pratique du CrossFit lors des 12 mois précédents. Le taux de blessures était en moyenne de 2,3/1000h d’entraînement. Les traumatismes étaient significativement plus fréquents chez les hommes (p<0,05) et les consommateurs d’alcool (p<0,05). Le risque de blessure augmentait avec le nombre d’heures d’entraînement par semaine (p<0,001), la pratique de la compétition (p<0,05), en cas de modification de l’alimentation (p<0,05), avec l’ancienneté de pratique (p<0,001) et/ou un antécédent de blessure (p<0,001).
Conclusion
À notre connaissance, cette étude est la première à s’intéresser à l’épidémiologie des blessures lors de la pratique du CrossFit en France. Du fait de sa méthodologie et de son bon taux de participation, elle constitue une base solide pour évaluer le taux de blessures de ce sport qui apparaît faible comparativement à d’autres sports répandus. La majorité des pratiquants ont déclaré ressentir une amélioration de leur condition physique. Il apparaît ainsi possible de conseiller ce sport sans craindre à court terme de « sur-risque » de blessure chez les sujets souhaitant améliorer leur condition physique, dans un objectif de performance ou de santé, sous réserve d’une pratique adaptée et progressive.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86092 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtLes plasmas riches en plaquettes dans les lésions myo-aponévrotiques / E. Dalmais in Journal de traumatologie du sport, Vol.37, n°1 (Mars 2020)
[article]
Titre : Les plasmas riches en plaquettes dans les lésions myo-aponévrotiques Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Dalmais Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 36-41 Langues : Français (fre) Mots-clés : Muscles Sports lésions Plasma sanguin Plaquettes Résumé : Les lésions myo-aponévrotiques traumatiques (LMA) sont les blessures les plus fréquentes dans de nombreux sports, notamment le football et l’athlétisme (respectivement 38 à 40,9 %). La reprise des activités est très variable allant de 21,1 à 42,5jours pour des LMA des ischiojambiers de grade II. Les récidives peuvent atteindre jusqu’à 30 % dans certaines séries pour les ischiojambiers. Le traitement actuel repose sur l’application du protocole POLICE (Protection, Optimal Loading, Ice, Compression et Elevation), une évacuation de l’hématome si nécessaire, puis une rééducation bien conduite jusqu’au retour sur le terrain. De nombreux protocoles de prévention permettent de réduire l’incidence de ces blessures de 50 % pour certains mais ils restent imparfaits. Dans ce contexte, les plasmas riches en plaquettes (PRP) paraissent une piste intéressante dont l’objectif attendu serait de diminuer le délai d’indisponibilité sportive et l’incidence des récidives. Bien que les études sur des animaux soient prometteuses, celles concernant l’homme sont rares — seulement 7 essais contrôlés randomisés sur les 10 dernières années — et souffrent d’un manque d’homogénéité dans leur protocole (contenu du PRP, nombre d’injections…). Les résultats sont contrastés et si certaines études démontreraient un intérêt des PRP en termes de retour au sport, d’autres ne le retrouvent pas. Concernant le taux de récidive, il n’existe pas d’apport significatif du PRP. À l’heure actuelle, il est difficile de recommander ou de ne pas recommander l’utilisation des PRP dans les LMA. On ne peut que souhaiter de nouveaux essais qui permettraient de combler cette carence de données concernant des blessures dont la fréquence et les récurrences continuent de poser des problèmes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86093
in Journal de traumatologie du sport > Vol.37, n°1 (Mars 2020) . - p. 36-41[article] Les plasmas riches en plaquettes dans les lésions myo-aponévrotiques [texte imprimé] / E. Dalmais . - 2020 . - p. 36-41.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol.37, n°1 (Mars 2020) . - p. 36-41
Mots-clés : Muscles Sports lésions Plasma sanguin Plaquettes Résumé : Les lésions myo-aponévrotiques traumatiques (LMA) sont les blessures les plus fréquentes dans de nombreux sports, notamment le football et l’athlétisme (respectivement 38 à 40,9 %). La reprise des activités est très variable allant de 21,1 à 42,5jours pour des LMA des ischiojambiers de grade II. Les récidives peuvent atteindre jusqu’à 30 % dans certaines séries pour les ischiojambiers. Le traitement actuel repose sur l’application du protocole POLICE (Protection, Optimal Loading, Ice, Compression et Elevation), une évacuation de l’hématome si nécessaire, puis une rééducation bien conduite jusqu’au retour sur le terrain. De nombreux protocoles de prévention permettent de réduire l’incidence de ces blessures de 50 % pour certains mais ils restent imparfaits. Dans ce contexte, les plasmas riches en plaquettes (PRP) paraissent une piste intéressante dont l’objectif attendu serait de diminuer le délai d’indisponibilité sportive et l’incidence des récidives. Bien que les études sur des animaux soient prometteuses, celles concernant l’homme sont rares — seulement 7 essais contrôlés randomisés sur les 10 dernières années — et souffrent d’un manque d’homogénéité dans leur protocole (contenu du PRP, nombre d’injections…). Les résultats sont contrastés et si certaines études démontreraient un intérêt des PRP en termes de retour au sport, d’autres ne le retrouvent pas. Concernant le taux de récidive, il n’existe pas d’apport significatif du PRP. À l’heure actuelle, il est difficile de recommander ou de ne pas recommander l’utilisation des PRP dans les LMA. On ne peut que souhaiter de nouveaux essais qui permettraient de combler cette carence de données concernant des blessures dont la fréquence et les récurrences continuent de poser des problèmes. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86093 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLésions méniscales et PRP / Sylvie Besch in Journal de traumatologie du sport, Vol.37, n°1 (Mars 2020)
[article]
Titre : Lésions méniscales et PRP Type de document : texte imprimé Auteurs : Sylvie Besch Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 58-61 Langues : Français (fre) Mots-clés : Plasma sanguin Plaquettes Ménisques de l'articulation du genou Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86094
in Journal de traumatologie du sport > Vol.37, n°1 (Mars 2020) . - p. 58-61[article] Lésions méniscales et PRP [texte imprimé] / Sylvie Besch . - 2020 . - p. 58-61.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol.37, n°1 (Mars 2020) . - p. 58-61
Mots-clés : Plasma sanguin Plaquettes Ménisques de l'articulation du genou Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86094 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtPrédictivité du score « sport concussion assessment tool 5 » dans la prise en charge des commotions cérébrales - / Y. Berthaud in Journal de traumatologie du sport, Vol.37, n°1 (Mars 2020)
[article]
Titre : Prédictivité du score « sport concussion assessment tool 5 » dans la prise en charge des commotions cérébrales - Type de document : texte imprimé Auteurs : Y. Berthaud ; C. De Tymowski ; A. Radafy Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 20-25 Langues : Français (fre) Mots-clés : Syndrome post-traumatique Commotion de l'encéphale Résumé : Introduction
Le « Sport Concussion Assessment Tool 5 » (SCAT5) est actuellement le score de référence dans la prise en charge des commotions cérébrales et fait l’objet d’une actualisation régulière par un comité d’experts ; la dernière en date s’est faite en 2016. Cliniquement, le syndrome post-commotionnel est le principal élément permettant le suivi. L’objectif de notre étude était d’évaluer si le score SCAT5 est prédictif de la durée du syndrome post-commotionnel.
Méthodes
Les sportifs victimes d’une commotion cérébrale étaient vus en consultation à 48–72h post-traumatisme, consultation au cours de laquelle était établi le score SCAT5. Le suivi de ces sportifs se faisait jusqu’à disparition des symptômes. Puis, nous avons étudié la corrélation entre ce score SCAT5 à 48h et la durée du syndrome post-commotionnel.
Résultats
Trente-quatre patients ont été inclus. Le score SCAT5 est corrélé (R=?0,38) significativement (p=0,026) à la durée du syndrome post-commotionnel. Les deux seuls items corrélés de façon significative avec la durée du syndrome post-commotionnel sont : la sévérité des symptômes et la concentration (respectivement R=0,37 et R=?0,5).
Conclusion
Le score SCAT5 s’avère prédictif de la durée du syndrome post-commotionnel. Cette corrélation est cependant modérée. Nous observons que la corrélation la plus importante concerne l’item concentration, ce qui pousserait à davantage développer cette évaluation.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86095
in Journal de traumatologie du sport > Vol.37, n°1 (Mars 2020) . - p. 20-25[article] Prédictivité du score « sport concussion assessment tool 5 » dans la prise en charge des commotions cérébrales - [texte imprimé] / Y. Berthaud ; C. De Tymowski ; A. Radafy . - 2020 . - p. 20-25.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol.37, n°1 (Mars 2020) . - p. 20-25
Mots-clés : Syndrome post-traumatique Commotion de l'encéphale Résumé : Introduction
Le « Sport Concussion Assessment Tool 5 » (SCAT5) est actuellement le score de référence dans la prise en charge des commotions cérébrales et fait l’objet d’une actualisation régulière par un comité d’experts ; la dernière en date s’est faite en 2016. Cliniquement, le syndrome post-commotionnel est le principal élément permettant le suivi. L’objectif de notre étude était d’évaluer si le score SCAT5 est prédictif de la durée du syndrome post-commotionnel.
Méthodes
Les sportifs victimes d’une commotion cérébrale étaient vus en consultation à 48–72h post-traumatisme, consultation au cours de laquelle était établi le score SCAT5. Le suivi de ces sportifs se faisait jusqu’à disparition des symptômes. Puis, nous avons étudié la corrélation entre ce score SCAT5 à 48h et la durée du syndrome post-commotionnel.
Résultats
Trente-quatre patients ont été inclus. Le score SCAT5 est corrélé (R=?0,38) significativement (p=0,026) à la durée du syndrome post-commotionnel. Les deux seuls items corrélés de façon significative avec la durée du syndrome post-commotionnel sont : la sévérité des symptômes et la concentration (respectivement R=0,37 et R=?0,5).
Conclusion
Le score SCAT5 s’avère prédictif de la durée du syndrome post-commotionnel. Cette corrélation est cependant modérée. Nous observons que la corrélation la plus importante concerne l’item concentration, ce qui pousserait à davantage développer cette évaluation.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86095 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtUsage du plasma riche en plaquettes (PRP) pour traiter les tendinopathies / P.-Y. Guillaume in Journal de traumatologie du sport, Vol.37, n°1 (Mars 2020)
[article]
Titre : Usage du plasma riche en plaquettes (PRP) pour traiter les tendinopathies Type de document : texte imprimé Auteurs : P.-Y. Guillaume ; Jean-François Kaux Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 42-57 Langues : Français (fre) Mots-clés : Tendinopathie Plasma sanguin Plaquettes Épicondylite Coiffe des rotateurs Fasciite plantaire ischio-jambier Patella Résumé : Le plasma riche en plaquettes (PRP) est une alternative de plus en plus employée dans le traitement de certaines tendinopathies. Malgré l’augmentation des publications, on constate que les modalités d’utilisation demeurent peu uniformisées et les résultats thérapeutiques sont par ailleurs variables. Cet article a pour but d’apporter des précisions et des recommandations quant à l’utilisation du PRP dans les différentes tendinopathies étudiées, car cette méthode peut être envisageable dans bon nombre de cas malgré les variables encore présentes lors de la phase d’injection et de rééducation. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86096
in Journal de traumatologie du sport > Vol.37, n°1 (Mars 2020) . - p. 42-57[article] Usage du plasma riche en plaquettes (PRP) pour traiter les tendinopathies [texte imprimé] / P.-Y. Guillaume ; Jean-François Kaux . - 2020 . - p. 42-57.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol.37, n°1 (Mars 2020) . - p. 42-57
Mots-clés : Tendinopathie Plasma sanguin Plaquettes Épicondylite Coiffe des rotateurs Fasciite plantaire ischio-jambier Patella Résumé : Le plasma riche en plaquettes (PRP) est une alternative de plus en plus employée dans le traitement de certaines tendinopathies. Malgré l’augmentation des publications, on constate que les modalités d’utilisation demeurent peu uniformisées et les résultats thérapeutiques sont par ailleurs variables. Cet article a pour but d’apporter des précisions et des recommandations quant à l’utilisation du PRP dans les différentes tendinopathies étudiées, car cette méthode peut être envisageable dans bon nombre de cas malgré les variables encore présentes lors de la phase d’injection et de rééducation. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86096 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtUtilisation des PRP en traumatologie sportive en 2019. Recommandations professionnelles de la Société française de traumatologie du sport / M. Bouvard in Journal de traumatologie du sport, Vol.37, n°1 (Mars 2020)
[article]
Titre : Utilisation des PRP en traumatologie sportive en 2019. Recommandations professionnelles de la Société française de traumatologie du sport Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Bouvard Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 26-35 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cartilage MUSCLE Tendons Traumatismes sportifs Guide de bonnes pratiques Résumé : L’apparition des plasmas riches en plaquettes dans l’arsenal thérapeutique au début des années 2000 a été suivie par un développement exponentiel de son usage, notamment en pathologie sportive. La Société française de traumatologie du sport a souhaité faire une mise au point des connaissances sur ce sujet et des recommandations pour un bon usage. La composition des PRP utilisés en traumatologie sportive est très hétérogène et trop souvent opaque. La conséquence est l’entretien d’une confusion et un manque de clarté dans le débat scientifique quant à l’intérêt de cette technique chez les sportifs. La définition des PRP est rappelée : couche profonde du plasma riche en plaquettes (entre 6 et 9×105 PQ/mL) après centrifugation qui ne doit contenir aucune autre cellule dans toute la mesure du possible (facteurs de la coagulation non activés, leucocytes<1 %, érythrocytes<1 %). À ce jour, l’injection de PRP dans les douleurs des lésions cartilagineuses apporte une amélioration égale ou supérieure à l’acide hyaluronique sur un grand nombre d’études de haut niveau de preuve. Le PRP est une option thérapeutique intéressante pour les tendinopathies patellaires et, dans une moindre mesure, pour les tendinopathies des épicondyliens latéraux, de l’aponévrose plantaire, les enthésopathies proximales des ischiojambiers, les tendinopathies du moyen glutéal ou de la coiffe des rotateurs. Concernant toutes les autres localisations, il n’existe pas ou peu de données. L’utilisation de PRP en pathologie du sport doit suivre une démarche diagnostique exhaustive et rigoureuse, la plupart du temps multidisciplinaire et appliquer des règles d’asepsie strictes. Dans la grande majorité des cas, l’injection doit bénéficier d’un guidage par échographie. De futures études de haut niveau de preuve sont encore nécessaires afin de mieux définir les bonnes indications et les meilleures modalités d’injection. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86097
in Journal de traumatologie du sport > Vol.37, n°1 (Mars 2020) . - p. 26-35[article] Utilisation des PRP en traumatologie sportive en 2019. Recommandations professionnelles de la Société française de traumatologie du sport [texte imprimé] / M. Bouvard . - 2020 . - p. 26-35.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol.37, n°1 (Mars 2020) . - p. 26-35
Mots-clés : Cartilage MUSCLE Tendons Traumatismes sportifs Guide de bonnes pratiques Résumé : L’apparition des plasmas riches en plaquettes dans l’arsenal thérapeutique au début des années 2000 a été suivie par un développement exponentiel de son usage, notamment en pathologie sportive. La Société française de traumatologie du sport a souhaité faire une mise au point des connaissances sur ce sujet et des recommandations pour un bon usage. La composition des PRP utilisés en traumatologie sportive est très hétérogène et trop souvent opaque. La conséquence est l’entretien d’une confusion et un manque de clarté dans le débat scientifique quant à l’intérêt de cette technique chez les sportifs. La définition des PRP est rappelée : couche profonde du plasma riche en plaquettes (entre 6 et 9×105 PQ/mL) après centrifugation qui ne doit contenir aucune autre cellule dans toute la mesure du possible (facteurs de la coagulation non activés, leucocytes<1 %, érythrocytes<1 %). À ce jour, l’injection de PRP dans les douleurs des lésions cartilagineuses apporte une amélioration égale ou supérieure à l’acide hyaluronique sur un grand nombre d’études de haut niveau de preuve. Le PRP est une option thérapeutique intéressante pour les tendinopathies patellaires et, dans une moindre mesure, pour les tendinopathies des épicondyliens latéraux, de l’aponévrose plantaire, les enthésopathies proximales des ischiojambiers, les tendinopathies du moyen glutéal ou de la coiffe des rotateurs. Concernant toutes les autres localisations, il n’existe pas ou peu de données. L’utilisation de PRP en pathologie du sport doit suivre une démarche diagnostique exhaustive et rigoureuse, la plupart du temps multidisciplinaire et appliquer des règles d’asepsie strictes. Dans la grande majorité des cas, l’injection doit bénéficier d’un guidage par échographie. De futures études de haut niveau de preuve sont encore nécessaires afin de mieux définir les bonnes indications et les meilleures modalités d’injection. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86097 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
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