Centre de Documentation Campus Montignies
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Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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EMC : Appareil locomoteur . Volume 12 numéro 1Paru le : 01/01/2017 |
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aucun exemplaire |
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Ajouter le résultat dans votre panierTraitement médical de l'arthrose / C.H. Roux in EMC : Appareil locomoteur, Volume 12 numéro 1 (Janvier 2017)
[article]
Titre : Traitement médical de l'arthrose Type de document : texte imprimé Auteurs : C.H. Roux Année de publication : 2017 Article en page(s) : 14-003-C-40 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Appareillage Éducation thérapeutique Antalgiques Topiques Anti-inflammatoires non stéroïdiens Injections intra-articulaires Anti-arthrosiques symptomatiques d'action lente Résumé : La prise en charge de la pathologie arthrosique est difficile compte tenu de l'absence de traitement de référence ayant fait le consensus à ce jour, ce qui a conduit dans cet article à s'appuyer sur les différentes recommandations visant à optimiser la prise en charge de l'arthrose. Elles ont été discutées pour de multiples raisons et sont d'une manière générale peu appliquées. L'arthrose est une maladie de l'articulation dans sa globalité impliquant cartilage, ménisques, ligaments, os, synoviale, muscles, vaisseaux et nerfs. Chacune de ces structures offre des possibilités thérapeutiques. Certains facteurs de risque sont accessibles à une prévention qu'elle soit primaire ou secondaire. L'arthrose est hétérogène avec de nombreux phénotypes dépendant de multiples facteurs, qui offrent des ouvertures pour des thérapeutiques ciblées. Toutes les recommandations préconisent d'associer des modalités non pharmacologiques, et des modalités pharmacologiques. Selon un algorithme général commode, un noyau thérapeutique de base est à mettre en pratique le plus tôt possible pour toutes les localisations : information et éducation, autoprise en charge, réduction d'un surpoids, exercice sous toutes ses formes. Des mesures facilitant l'adhésion du patient sont essentielles. Si les préconisations du noyau ne suffisent pas, on peut recourir à des médicaments placés dans un premier anneau, relativement sûrs, ayant les meilleures preuves d'efficacité : paracétamol en tenant compte des nouvelles données quant à son efficacité en fait modeste, anti-inflammatoires non stéroïdiens topiques chaque fois que l'articulation concernée s'y prête. Si ces mesures ne suffisent pas, on peut recourir à des mesures d'un second anneau extérieur : modalités d'appoint, d'efficacité moins prouvée ou moindre, ou comportant plus de risques, distinguées en quatre groupes : options pharmacologiques, techniques d'autogestion, chirurgie, autres modalités non pharmacologiques dont font partie les anti-arthrosiques d'action lente et les viscosuppléments non mentionnés dans l'algorithme initial. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=54315
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 12 numéro 1 (Janvier 2017) . - 14-003-C-40 [Tome 1][article] Traitement médical de l'arthrose [texte imprimé] / C.H. Roux . - 2017 . - 14-003-C-40 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 12 numéro 1 (Janvier 2017) . - 14-003-C-40 [Tome 1]
Mots-clés : Appareillage Éducation thérapeutique Antalgiques Topiques Anti-inflammatoires non stéroïdiens Injections intra-articulaires Anti-arthrosiques symptomatiques d'action lente Résumé : La prise en charge de la pathologie arthrosique est difficile compte tenu de l'absence de traitement de référence ayant fait le consensus à ce jour, ce qui a conduit dans cet article à s'appuyer sur les différentes recommandations visant à optimiser la prise en charge de l'arthrose. Elles ont été discutées pour de multiples raisons et sont d'une manière générale peu appliquées. L'arthrose est une maladie de l'articulation dans sa globalité impliquant cartilage, ménisques, ligaments, os, synoviale, muscles, vaisseaux et nerfs. Chacune de ces structures offre des possibilités thérapeutiques. Certains facteurs de risque sont accessibles à une prévention qu'elle soit primaire ou secondaire. L'arthrose est hétérogène avec de nombreux phénotypes dépendant de multiples facteurs, qui offrent des ouvertures pour des thérapeutiques ciblées. Toutes les recommandations préconisent d'associer des modalités non pharmacologiques, et des modalités pharmacologiques. Selon un algorithme général commode, un noyau thérapeutique de base est à mettre en pratique le plus tôt possible pour toutes les localisations : information et éducation, autoprise en charge, réduction d'un surpoids, exercice sous toutes ses formes. Des mesures facilitant l'adhésion du patient sont essentielles. Si les préconisations du noyau ne suffisent pas, on peut recourir à des médicaments placés dans un premier anneau, relativement sûrs, ayant les meilleures preuves d'efficacité : paracétamol en tenant compte des nouvelles données quant à son efficacité en fait modeste, anti-inflammatoires non stéroïdiens topiques chaque fois que l'articulation concernée s'y prête. Si ces mesures ne suffisent pas, on peut recourir à des mesures d'un second anneau extérieur : modalités d'appoint, d'efficacité moins prouvée ou moindre, ou comportant plus de risques, distinguées en quatre groupes : options pharmacologiques, techniques d'autogestion, chirurgie, autres modalités non pharmacologiques dont font partie les anti-arthrosiques d'action lente et les viscosuppléments non mentionnés dans l'algorithme initial. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=54315 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Synovites à piquants / E. Palazzo in EMC : Appareil locomoteur, Volume 12 numéro 1 (Janvier 2017)
[article]
Titre : Synovites à piquants Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Palazzo Année de publication : 2017 Article en page(s) : 14-208-A-10 [Tome 4] Langues : Français (fre) Mots-clés : Ténosynovite Monoarthrite Oursin Piquant végétal Corps étranger Synovite granulomateuse Résumé : Les synovites à piquants, que ceux-ci soient d'origine végétale ou animale, sont une cause rare de ténosynovite ou de monoarthrite. Le diagnostic doit être évoqué en cas d'atteinte isolée des extrémités (mains, pieds) et des membres inférieurs en premier lieu du genou et de la cheville, notamment chez l'enfant ou en cas d'activité professionnelle ou de loisirs exposée (jardinier, plongeur sous-marin en eau de mer). Le diagnostic peut être difficile ou retardé principalement si la piqûre est passée inaperçue ou a été oubliée. Le diagnostic de certitude repose sur l'anatomopathologie qui met en évidence une synovite granulomateuse et la présence des piquants. La radiographie standard peut montrer le piquant essentiellement quand il est d'origine animale en raison de sa composition calcique ; l'échographie est utile car elle peut révéler la présence d'un corps étranger sous la forme d'une image linéaire hyperéchogène et orienter le diagnostic. L'imagerie par résonance magnétique (IRM) peut non seulement montrer le corps étranger, mais également évaluer l'étendue de la synovite et guider la thérapeutique. Le traitement repose sur l'ablation du corps étranger et une synovectomie, parfois localisée, mais le plus souvent complète, pour éviter la récidive. L'existence d'une surinfection bactérienne est très rare. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=54316
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 12 numéro 1 (Janvier 2017) . - 14-208-A-10 [Tome 4][article] Synovites à piquants [texte imprimé] / E. Palazzo . - 2017 . - 14-208-A-10 [Tome 4].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 12 numéro 1 (Janvier 2017) . - 14-208-A-10 [Tome 4]
Mots-clés : Ténosynovite Monoarthrite Oursin Piquant végétal Corps étranger Synovite granulomateuse Résumé : Les synovites à piquants, que ceux-ci soient d'origine végétale ou animale, sont une cause rare de ténosynovite ou de monoarthrite. Le diagnostic doit être évoqué en cas d'atteinte isolée des extrémités (mains, pieds) et des membres inférieurs en premier lieu du genou et de la cheville, notamment chez l'enfant ou en cas d'activité professionnelle ou de loisirs exposée (jardinier, plongeur sous-marin en eau de mer). Le diagnostic peut être difficile ou retardé principalement si la piqûre est passée inaperçue ou a été oubliée. Le diagnostic de certitude repose sur l'anatomopathologie qui met en évidence une synovite granulomateuse et la présence des piquants. La radiographie standard peut montrer le piquant essentiellement quand il est d'origine animale en raison de sa composition calcique ; l'échographie est utile car elle peut révéler la présence d'un corps étranger sous la forme d'une image linéaire hyperéchogène et orienter le diagnostic. L'imagerie par résonance magnétique (IRM) peut non seulement montrer le corps étranger, mais également évaluer l'étendue de la synovite et guider la thérapeutique. Le traitement repose sur l'ablation du corps étranger et une synovectomie, parfois localisée, mais le plus souvent complète, pour éviter la récidive. L'existence d'une surinfection bactérienne est très rare. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=54316 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Inégalités de longueur des membres inférieurs : cause, diagnostic, prévision et traitement / J. Griffet in EMC : Appareil locomoteur, Volume 12 numéro 1 (Janvier 2017)
[article]
Titre : Inégalités de longueur des membres inférieurs : cause, diagnostic, prévision et traitement Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Griffet ; A. Fassier Année de publication : 2017 Article en page(s) : 15-330-A-10 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Inégalité longueur Membre inférieur Épiphysiodèse Allongement Fixateur externe Clou centromédullaire Résumé : Le diagnostic d'une inégalité de longueur des membres inférieurs, différence de longueur réelle des segments osseux, est aisé. La description est indissociable de celle des axes et de l'appréciation de la mobilité et de la stabilité articulaires des articulations voisines. L'étiologie est un élément essentiel pour établir le pronostic, choisir le traitement. Il existe des anomalies congénitales ou constitutionnelles, des anomalies acquises (traumatiques, infectieuses, vasculaires, neurologiques et séquellaires des maladies de la hanche). Le diagnostic clinique, avec un examen debout, puis couché, précise les anomalies des axes et les mobilités et stabilité articulaires. Les mesures radiologiques par une radiographie des membres inférieurs en entier de face permettent la mesure, en tenant compte de l'agrandissement, si le patient ne présente pas d'attitude vicieuse en flessum et est capable de positionner ses rotules bien de face. La mesure radiologique des axes affine la description. L'inégalité est évolutive et prévisible dans les malformations congénitales au pourcentage constant. En cas d'accélérations temporaires de croissance post-traumatiques ou postinfections, l'inégalité ne sera pas évolutive. En cas de destruction complète du cartilage de conjugaison, l'augmentation de l'anisomélie correspond à la croissance résiduelle de la physe controlatérale. La détermination de l'âge osseux est un critère important pour replacer cette inégalité dans la croissance. Plusieurs méthodes et logiciels existent. Le traitement est au début orthopédique avec des compensations. Puis il faudra choisir entre une orthèse ou une prothèse dans les inégalités congénitales sévères, un raccourcissement progressif (épiphysiodèse) ou exceptionnellement extemporané ou, le plus souvent, un allongement progressif par fixateur externe ou mieux par clou centromédullaire motorisé. Les complications sont fréquentes, parfois sans conséquence, mais aussi redoutables entraînant des séquelles, en fonction de l'étiologie, de la technique et de l'expérience de l'équipe. Les allongements de membre représentent une prise en charge difficile, mûrement réfléchie et réalisée avec une équipe entraînée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=54317
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 12 numéro 1 (Janvier 2017) . - 15-330-A-10 [Tome 6][article] Inégalités de longueur des membres inférieurs : cause, diagnostic, prévision et traitement [texte imprimé] / J. Griffet ; A. Fassier . - 2017 . - 15-330-A-10 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 12 numéro 1 (Janvier 2017) . - 15-330-A-10 [Tome 6]
Mots-clés : Inégalité longueur Membre inférieur Épiphysiodèse Allongement Fixateur externe Clou centromédullaire Résumé : Le diagnostic d'une inégalité de longueur des membres inférieurs, différence de longueur réelle des segments osseux, est aisé. La description est indissociable de celle des axes et de l'appréciation de la mobilité et de la stabilité articulaires des articulations voisines. L'étiologie est un élément essentiel pour établir le pronostic, choisir le traitement. Il existe des anomalies congénitales ou constitutionnelles, des anomalies acquises (traumatiques, infectieuses, vasculaires, neurologiques et séquellaires des maladies de la hanche). Le diagnostic clinique, avec un examen debout, puis couché, précise les anomalies des axes et les mobilités et stabilité articulaires. Les mesures radiologiques par une radiographie des membres inférieurs en entier de face permettent la mesure, en tenant compte de l'agrandissement, si le patient ne présente pas d'attitude vicieuse en flessum et est capable de positionner ses rotules bien de face. La mesure radiologique des axes affine la description. L'inégalité est évolutive et prévisible dans les malformations congénitales au pourcentage constant. En cas d'accélérations temporaires de croissance post-traumatiques ou postinfections, l'inégalité ne sera pas évolutive. En cas de destruction complète du cartilage de conjugaison, l'augmentation de l'anisomélie correspond à la croissance résiduelle de la physe controlatérale. La détermination de l'âge osseux est un critère important pour replacer cette inégalité dans la croissance. Plusieurs méthodes et logiciels existent. Le traitement est au début orthopédique avec des compensations. Puis il faudra choisir entre une orthèse ou une prothèse dans les inégalités congénitales sévères, un raccourcissement progressif (épiphysiodèse) ou exceptionnellement extemporané ou, le plus souvent, un allongement progressif par fixateur externe ou mieux par clou centromédullaire motorisé. Les complications sont fréquentes, parfois sans conséquence, mais aussi redoutables entraînant des séquelles, en fonction de l'étiologie, de la technique et de l'expérience de l'équipe. Les allongements de membre représentent une prise en charge difficile, mûrement réfléchie et réalisée avec une équipe entraînée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=54317 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Traitement chirurgical du spondylolisthésis par lyse isthmique. Enfant et adulte / J. Rigal in EMC : Appareil locomoteur, Volume 12 numéro 1 (Janvier 2017)
[article]
Titre : Traitement chirurgical du spondylolisthésis par lyse isthmique. Enfant et adulte Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Rigal ; N. Plais ; A. Cogniet ; [et al...] Année de publication : 2017 Article en page(s) : 15-835-A-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Spondylolisthésis Lyse isthmique Équilibre sagittal Réduction Arthrodèse Résumé : Le spondylolisthésis par lyse isthmique est une pathologie qui doit être différenciée de l'étiologie dégénérative. Le spondylolisthésis par lyse isthmique apparaît lors de la verticalisation, de la marche, et est présent chez l'enfant et l'adulte. Sa prise en charge est complexe et nécessite un bilan complet pour identifier les différents types d'équilibre sagittaux. La stratégie thérapeutique doit intégrer plusieurs facteurs cliniques mais aussi radiologiques. Les solutions thérapeutiques sont multiples, conservatrices ou chirurgicales. La réduction du spondylolisthésis n'est pas toujours nécessaire et le respect d'un équilibre sagittal économique est l'élément essentiel. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=54318
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 12 numéro 1 (Janvier 2017) . - 15-835-A-10 [Tome 7][article] Traitement chirurgical du spondylolisthésis par lyse isthmique. Enfant et adulte [texte imprimé] / J. Rigal ; N. Plais ; A. Cogniet ; [et al...] . - 2017 . - 15-835-A-10 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 12 numéro 1 (Janvier 2017) . - 15-835-A-10 [Tome 7]
Mots-clés : Spondylolisthésis Lyse isthmique Équilibre sagittal Réduction Arthrodèse Résumé : Le spondylolisthésis par lyse isthmique est une pathologie qui doit être différenciée de l'étiologie dégénérative. Le spondylolisthésis par lyse isthmique apparaît lors de la verticalisation, de la marche, et est présent chez l'enfant et l'adulte. Sa prise en charge est complexe et nécessite un bilan complet pour identifier les différents types d'équilibre sagittaux. La stratégie thérapeutique doit intégrer plusieurs facteurs cliniques mais aussi radiologiques. Les solutions thérapeutiques sont multiples, conservatrices ou chirurgicales. La réduction du spondylolisthésis n'est pas toujours nécessaire et le respect d'un équilibre sagittal économique est l'élément essentiel. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=54318 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Spondylolisthésis dégénératif lombaire / A.-A. Faundez in EMC : Appareil locomoteur, Volume 12 numéro 1 (Janvier 2017)
[article]
Titre : Spondylolisthésis dégénératif lombaire Type de document : texte imprimé Auteurs : A.-A. Faundez ; A. Cogniet ; G. Racloz ; [et al...] Année de publication : 2017 Article en page(s) : 15-835-B-10 [Tome7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Spondylolisthésis dégénératif Spondylolisthésis isthmique Réduction Lombalgie Résumé : Les formes de spondylolisthésis les plus couramment rencontrées chez l'adulte sont la forme dégénérative et la forme par lyse isthmique. Le spondylolisthésis dégénératif est dû à la dégénérescence discale qui s'accompagne d'une perte de hauteur du disque et qui va entraîner une cascade de conséquences. La première conséquence est une altération du jeu articulaire des facettes zygapophysaires postérieures qui va générer des lésions arthrosiques plus ou moins symétriques. L'hypertrophie articulaire va repousser les facettes entre elles et favoriser le glissement antérieur (listhésis) de la vertèbre supérieure. D'autres phénomènes peuvent modifier ce glissement. Il est donc primordial de comprendre que le spondylolisthésis est une pathologie cyphosante de la colonne vertébrale lombosacrée. La prise en charge chirurgicale, lorsqu'elle s'avère nécessaire, doit viser prioritairement à rétablir la lordose lombaire et lombosacrée, et non pas seulement à réduire le glissement lui-même. Afin d'atteindre ce but, il est indispensable d'analyser les paramètres spinopelviens qui régissent l'équilibre sagittal de la colonne vertébrale. L'éventail du traitement chirurgical ira de la fusion spinale in situ à des techniques de réduction de la lordose lombosacrée plus importantes. Chaque technique a des indications bien spécifiques, qui sont détaillées dans cet article. La plupart des techniques chirurgicales que nous préconisons s'exécutent par un abord postérieur qui permet de mieux contrôler la réduction de la lordose lombosacrée. Beaucoup plus rarement, une voie antérieure peut être choisie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=54319
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 12 numéro 1 (Janvier 2017) . - 15-835-B-10 [Tome7][article] Spondylolisthésis dégénératif lombaire [texte imprimé] / A.-A. Faundez ; A. Cogniet ; G. Racloz ; [et al...] . - 2017 . - 15-835-B-10 [Tome7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 12 numéro 1 (Janvier 2017) . - 15-835-B-10 [Tome7]
Mots-clés : Spondylolisthésis dégénératif Spondylolisthésis isthmique Réduction Lombalgie Résumé : Les formes de spondylolisthésis les plus couramment rencontrées chez l'adulte sont la forme dégénérative et la forme par lyse isthmique. Le spondylolisthésis dégénératif est dû à la dégénérescence discale qui s'accompagne d'une perte de hauteur du disque et qui va entraîner une cascade de conséquences. La première conséquence est une altération du jeu articulaire des facettes zygapophysaires postérieures qui va générer des lésions arthrosiques plus ou moins symétriques. L'hypertrophie articulaire va repousser les facettes entre elles et favoriser le glissement antérieur (listhésis) de la vertèbre supérieure. D'autres phénomènes peuvent modifier ce glissement. Il est donc primordial de comprendre que le spondylolisthésis est une pathologie cyphosante de la colonne vertébrale lombosacrée. La prise en charge chirurgicale, lorsqu'elle s'avère nécessaire, doit viser prioritairement à rétablir la lordose lombaire et lombosacrée, et non pas seulement à réduire le glissement lui-même. Afin d'atteindre ce but, il est indispensable d'analyser les paramètres spinopelviens qui régissent l'équilibre sagittal de la colonne vertébrale. L'éventail du traitement chirurgical ira de la fusion spinale in situ à des techniques de réduction de la lordose lombosacrée plus importantes. Chaque technique a des indications bien spécifiques, qui sont détaillées dans cet article. La plupart des techniques chirurgicales que nous préconisons s'exécutent par un abord postérieur qui permet de mieux contrôler la réduction de la lordose lombosacrée. Beaucoup plus rarement, une voie antérieure peut être choisie. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=54319 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Malformations congénitales du rachis / R. Dayer in EMC : Appareil locomoteur, Volume 12 numéro 1 (Janvier 2017)
[article]
Titre : Malformations congénitales du rachis Type de document : texte imprimé Auteurs : R. Dayer ; P. Journeau ; P. Lascombes Année de publication : 2017 Article en page(s) : 15-890-A-10 [Tome 7] Langues : Français (fre) Mots-clés : Malformation du rachis Scoliose Cyphose Spina bifida Embryologie Résumé : Les malformations du rachis regroupent des anomalies polymorphes depuis la lésion banale asymptomatique jusqu'aux désordres majeurs responsables de déformations vertébrales, de troubles neurologiques, voire d'insuffisance respiratoire. Elles sont liées à des troubles de l'embryogenèse dont certains ont un lien génétique reconnu. Cet article envisage la description de la plupart des malformations vertébrales en les regroupant selon leur mécanisme probable. La première partie est donc consacrée à l'embryologie du rachis et aux dysfonctionnements qui créent les principales anomalies. Au-delà des classifications proposées, les auteurs abordent les complications favorisées par la croissance : déformations évolutives du rachis, insuffisance de développement de la cage thoracique et restriction pulmonaire. Les dysraphismes comprennent les myéloméningocèles, les diastématomyélies et les autres anomalies de fermeture des neuropores. Leurs traitements chirurgicaux mixtes, orthopédique et neurochirurgical, dépendent de la gravité de l'atteinte clinique. Les anomalies de formation et/ou de segmentation des vertèbres sont responsables d'hémivertèbres plus ou moins complètes, de synostoses ou barres osseuses. Selon leur type, elles peuvent générer des scolioses et/ou cyphoses congénitales évolutives qui justifient un traitement chirurgical chez le jeune enfant. Par exemple, une hémivertébrectomie vers l'âge de 2 ans permet la croissance ultérieure d'un rachis qui se maintient équilibré. En revanche, des malformations graves du rachis thoracique associées à des malformations de la cage thoracique peuvent nécessiter des chirurgies dites « de croissance » de façon à permettre le développement de la cage thoracique et des capacités respiratoires tout en évitant l'aggravation de la scoliose. En conclusion, il est important pour le clinicien de faire le diagnostic d'une malformation vertébrale dès que possible, de déterminer son potentiel évolutif avec la croissance, et d'envisager un traitement précoce adapté, même s'il doit être chirurgical. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=54320
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 12 numéro 1 (Janvier 2017) . - 15-890-A-10 [Tome 7][article] Malformations congénitales du rachis [texte imprimé] / R. Dayer ; P. Journeau ; P. Lascombes . - 2017 . - 15-890-A-10 [Tome 7].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Volume 12 numéro 1 (Janvier 2017) . - 15-890-A-10 [Tome 7]
Mots-clés : Malformation du rachis Scoliose Cyphose Spina bifida Embryologie Résumé : Les malformations du rachis regroupent des anomalies polymorphes depuis la lésion banale asymptomatique jusqu'aux désordres majeurs responsables de déformations vertébrales, de troubles neurologiques, voire d'insuffisance respiratoire. Elles sont liées à des troubles de l'embryogenèse dont certains ont un lien génétique reconnu. Cet article envisage la description de la plupart des malformations vertébrales en les regroupant selon leur mécanisme probable. La première partie est donc consacrée à l'embryologie du rachis et aux dysfonctionnements qui créent les principales anomalies. Au-delà des classifications proposées, les auteurs abordent les complications favorisées par la croissance : déformations évolutives du rachis, insuffisance de développement de la cage thoracique et restriction pulmonaire. Les dysraphismes comprennent les myéloméningocèles, les diastématomyélies et les autres anomalies de fermeture des neuropores. Leurs traitements chirurgicaux mixtes, orthopédique et neurochirurgical, dépendent de la gravité de l'atteinte clinique. Les anomalies de formation et/ou de segmentation des vertèbres sont responsables d'hémivertèbres plus ou moins complètes, de synostoses ou barres osseuses. Selon leur type, elles peuvent générer des scolioses et/ou cyphoses congénitales évolutives qui justifient un traitement chirurgical chez le jeune enfant. Par exemple, une hémivertébrectomie vers l'âge de 2 ans permet la croissance ultérieure d'un rachis qui se maintient équilibré. En revanche, des malformations graves du rachis thoracique associées à des malformations de la cage thoracique peuvent nécessiter des chirurgies dites « de croissance » de façon à permettre le développement de la cage thoracique et des capacités respiratoires tout en évitant l'aggravation de la scoliose. En conclusion, il est important pour le clinicien de faire le diagnostic d'une malformation vertébrale dès que possible, de déterminer son potentiel évolutif avec la croissance, et d'envisager un traitement précoce adapté, même s'il doit être chirurgical. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=54320 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire