Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h30-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera exceptionnellement fermé de 12h30 à 13h ce lundi 18 novembre.
Egalement, il sera fermé de 12h30 à 13h30 ce mercredi 20 novembre.
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Mention de date : Juin 2013
Paru le : 14/06/2013 |
Exemplaires
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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aucun exemplaire |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierOstéomalacies / M.H. Lafage-Proust in EMC : Appareil locomoteur, (Juin 2013)
[article]
Titre : Ostéomalacies Type de document : texte imprimé Auteurs : M.H. Lafage-Proust Année de publication : 2013 Article en page(s) : 14-024-B-10 [Tome 1] Langues : Français (fre) Mots-clés : Minéralisation Fractures Fissures Hypophosphatémie Vitamine D FGF23 Histomorphométrie osseuse Résumé : L'ostéomalacie est caractérisée par un trouble de la minéralisation qui conduit à l'accumulation de matrice osseuse nouvellement formée non minéralisée. Elle affecte le squelette de façon diffuse et le fragilise, avec survenue de fractures ou de fissures spontanées localisées principalement aux côtes, au bassin et aux membres inférieurs. Malgré sa relative rareté, l'ostéomalacie doit faire partie des diagnostics à évoquer devant un syndrome douloureux diffus mal étiqueté. Les étiologies des ostéomalacies relèvent de trois grandes causes : un trouble du métabolisme de la vitamine D à quelque niveau que ce soit (hépatique, digestif, rénal) avec notamment la carence vitaminique qui représente la cause la plus fréquente d'ostéomalacie ; une fuite rénale de phosphates qui peut être acquise ou héréditaire, et qui dépend souvent d'une anomalie du métabolisme du fibroblast growth factor 23, une hormone d'origine osseuse qui contrôle l'excrétion urinaire du phosphate. Enfin, il existe des causes rares liées à une altération locale du processus de minéralisation osseuse. L'ostéomalacie carentielle répond favorablement au traitement. Note de contenu : Rappels physiologiques
Hormones impliquées dans la minéralisation osseuse
Rappels de biologie osseuse en référence à l'ostéomalacie
Signes cliniques
Douleurs osseuses et fractures
Déformations
Myopathie
Manifestations articulaires
Imagerie
Signes radiologiques
Scanner et imagerie par résonance magnétique
Scintigraphie osseuse
Densitométrie osseuse
Signes biologiques
Diagnostic
Diagnostic histologique
Diagnostic histomorphométrique
Étiologies
Ostéomalacies liées à un trouble du métabolisme de la vitamine D
Rachitismes ou ostéomalacies indépendants de la vitamine D
TraitementPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43697
in EMC : Appareil locomoteur > (Juin 2013) . - 14-024-B-10 [Tome 1][article] Ostéomalacies [texte imprimé] / M.H. Lafage-Proust . - 2013 . - 14-024-B-10 [Tome 1].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Juin 2013) . - 14-024-B-10 [Tome 1]
Mots-clés : Minéralisation Fractures Fissures Hypophosphatémie Vitamine D FGF23 Histomorphométrie osseuse Résumé : L'ostéomalacie est caractérisée par un trouble de la minéralisation qui conduit à l'accumulation de matrice osseuse nouvellement formée non minéralisée. Elle affecte le squelette de façon diffuse et le fragilise, avec survenue de fractures ou de fissures spontanées localisées principalement aux côtes, au bassin et aux membres inférieurs. Malgré sa relative rareté, l'ostéomalacie doit faire partie des diagnostics à évoquer devant un syndrome douloureux diffus mal étiqueté. Les étiologies des ostéomalacies relèvent de trois grandes causes : un trouble du métabolisme de la vitamine D à quelque niveau que ce soit (hépatique, digestif, rénal) avec notamment la carence vitaminique qui représente la cause la plus fréquente d'ostéomalacie ; une fuite rénale de phosphates qui peut être acquise ou héréditaire, et qui dépend souvent d'une anomalie du métabolisme du fibroblast growth factor 23, une hormone d'origine osseuse qui contrôle l'excrétion urinaire du phosphate. Enfin, il existe des causes rares liées à une altération locale du processus de minéralisation osseuse. L'ostéomalacie carentielle répond favorablement au traitement. Note de contenu : Rappels physiologiques
Hormones impliquées dans la minéralisation osseuse
Rappels de biologie osseuse en référence à l'ostéomalacie
Signes cliniques
Douleurs osseuses et fractures
Déformations
Myopathie
Manifestations articulaires
Imagerie
Signes radiologiques
Scanner et imagerie par résonance magnétique
Scintigraphie osseuse
Densitométrie osseuse
Signes biologiques
Diagnostic
Diagnostic histologique
Diagnostic histomorphométrique
Étiologies
Ostéomalacies liées à un trouble du métabolisme de la vitamine D
Rachitismes ou ostéomalacies indépendants de la vitamine D
TraitementPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43697 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Fractures des os du carpe (sauf scaphoïde) / C. Dumontier in EMC : Appareil locomoteur, (Juin 2013)
[article]
Titre : Fractures des os du carpe (sauf scaphoïde) Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Dumontier ; M. Soubeyrand ; S. Carmès Année de publication : 2013 Article en page(s) : 14-046-F-10 [Tome 3] Langues : Français (fre) Mots-clés : Fracture des os du carpe Imagerie scanner Triquetrum Hamatum Hamulus ossi hamatum Résumé : Les fractures isolées des os du carpe sont rares et de diagnostic difficile. Le scanner et/ou l'imagerie par résonance magnétique sont les examens complémentaires indispensables pour les dépister. Il faut se méfier des associations lésionnelles, et rechercher tout particulièrement les lésions carpométacarpiennes souvent méconnues lors des fractures des os de la deuxième rangée et les luxations intracarpiennes spontanément réduites. Le triquetrum est l'os du carpe le plus souvent fracturé (après le scaphoïde). Il s'agit en général d'une lésion par compression détachant un fragment postérieur. La fracture de l'hamulus est souvent méconnue, elle fait suite à un traumatisme souvent peu spectaculaire (traumatisme sportif avec un manche d'objet) et elle est souvent découverte au stade de pseudarthrose par des complications. Isolées, les fractures des os du carpe sont souvent non déplacées et leur traitement est volontiers orthopédique. Associées à d'autres lésions, le traitement est alors plus volontiers chirurgical. Note de contenu : Introduction
Fracture du lunatum
Fracture du triquetrum
Fracture du pisiforme
Fracture du trapèze
Fracture du trapézoïde
Fracture du capitatum
Fracture de l'hamatumPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43922
in EMC : Appareil locomoteur > (Juin 2013) . - 14-046-F-10 [Tome 3][article] Fractures des os du carpe (sauf scaphoïde) [texte imprimé] / C. Dumontier ; M. Soubeyrand ; S. Carmès . - 2013 . - 14-046-F-10 [Tome 3].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Juin 2013) . - 14-046-F-10 [Tome 3]
Mots-clés : Fracture des os du carpe Imagerie scanner Triquetrum Hamatum Hamulus ossi hamatum Résumé : Les fractures isolées des os du carpe sont rares et de diagnostic difficile. Le scanner et/ou l'imagerie par résonance magnétique sont les examens complémentaires indispensables pour les dépister. Il faut se méfier des associations lésionnelles, et rechercher tout particulièrement les lésions carpométacarpiennes souvent méconnues lors des fractures des os de la deuxième rangée et les luxations intracarpiennes spontanément réduites. Le triquetrum est l'os du carpe le plus souvent fracturé (après le scaphoïde). Il s'agit en général d'une lésion par compression détachant un fragment postérieur. La fracture de l'hamulus est souvent méconnue, elle fait suite à un traumatisme souvent peu spectaculaire (traumatisme sportif avec un manche d'objet) et elle est souvent découverte au stade de pseudarthrose par des complications. Isolées, les fractures des os du carpe sont souvent non déplacées et leur traitement est volontiers orthopédique. Associées à d'autres lésions, le traitement est alors plus volontiers chirurgical. Note de contenu : Introduction
Fracture du lunatum
Fracture du triquetrum
Fracture du pisiforme
Fracture du trapèze
Fracture du trapézoïde
Fracture du capitatum
Fracture de l'hamatumPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43922 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Manifestations rhumatologiques de l'infection par les virus de l'immunodéficience humaine / D. Alcaix in EMC : Appareil locomoteur, (Juin 2013)
[article]
Titre : Manifestations rhumatologiques de l'infection par les virus de l'immunodéficience humaine Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Alcaix Année de publication : 2013 Article en page(s) : 14-207-B-10][Tome 4] Langues : Français (fre) Mots-clés : Virus de l'immunodéficience humaine VIH Manifestations rhumatologiques Ostéoporose Ostéonécrose Syndrome de restauration immunitaire Traitements antirétroviraux Résumé : Les manifestations rhumatologiques de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) ont évolué en même temps que la maladie s'améliorait sous l'effet des traitements antirétroviraux. Les atteintes ostéoarticulaires classiques (articulaires, musculaires, neurologiques, les spondyloarthrites, infections, tumeurs, l'infiltration lymphocytaire diffuse) se sont raréfiées depuis l'administration de molécules efficaces sur le VIH alors que de nouvelles complications sont venues s'ajouter, liées au traitement comme les ostéonécroses, le syndrome de restauration immunitaire, et/ou à la prolongation de la vie comme l'ostéoporose, la goutte ou l'arthrose qu'un vieillissement accéléré tend à majorer. Les traitements anti-VIH et antirhumatismaux ont connu des progrès spectaculaires. Leur utilisation pose le problème de leur impact sur l'autre maladie ou de leur éventuelle interaction réciproque. C'est ainsi que le rhumatologue doit savoir reconnaître les manifestations spécifiques de la maladie, secondaires au traitement, ou faire face à des situations cliniques non apparentées au VIH, survenant chez le patient infecté comme dans le reste de la population générale. Malgré l'absence de vaccination efficace, les conséquences de la pandémie VIH s'infléchiront dans les années à venir grâce à un meilleur dépistage et à une utilisation plus large des molécules antirétrovirales. Note de contenu : Introduction
Données épidémiologiques actuelles
VIH : réplication, destruction immunitaire et ses conséquences
VIH
Réplication
Conséquences immunitaires
Manifestations cliniques du sida
Traitements antirétroviraux
Aspect actuel de la maladie associée au VIH
Manifestations rhumatologiques de l'infection par le VIH
Données épidémiologiques
Manifestations articulaires et abarticulaires
Syndrome douloureux diffus et fibromyalgie
Manifestations osseuses
Manifestations systémiques et générales de l'infection par le VIH
Syndrome de restauration immunitaire
Syndrome d'infiltration lymphocytaire diffus
Vascularites
Anomalies biologiques inflammatoires
VIH et maladies rhumatismales préexistantes
Manifestations musculaires
Myopathies liées au VIH
Myopathies iatrogènes
Rhabdomyolyse
Pyomyosite
Manifestations neurologiques
Neuropathies périphériques
Atteintes méningoradiculaires
Syndrome du canal carpien
Complications rhumatismales des antirétroviraux
Impact des traitements des rhumatismes sur l'infection au VIH
Interaction des antirétroviraux avec les traitements rhumatologiques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43968
in EMC : Appareil locomoteur > (Juin 2013) . - 14-207-B-10][Tome 4][article] Manifestations rhumatologiques de l'infection par les virus de l'immunodéficience humaine [texte imprimé] / D. Alcaix . - 2013 . - 14-207-B-10][Tome 4].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Juin 2013) . - 14-207-B-10][Tome 4]
Mots-clés : Virus de l'immunodéficience humaine VIH Manifestations rhumatologiques Ostéoporose Ostéonécrose Syndrome de restauration immunitaire Traitements antirétroviraux Résumé : Les manifestations rhumatologiques de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) ont évolué en même temps que la maladie s'améliorait sous l'effet des traitements antirétroviraux. Les atteintes ostéoarticulaires classiques (articulaires, musculaires, neurologiques, les spondyloarthrites, infections, tumeurs, l'infiltration lymphocytaire diffuse) se sont raréfiées depuis l'administration de molécules efficaces sur le VIH alors que de nouvelles complications sont venues s'ajouter, liées au traitement comme les ostéonécroses, le syndrome de restauration immunitaire, et/ou à la prolongation de la vie comme l'ostéoporose, la goutte ou l'arthrose qu'un vieillissement accéléré tend à majorer. Les traitements anti-VIH et antirhumatismaux ont connu des progrès spectaculaires. Leur utilisation pose le problème de leur impact sur l'autre maladie ou de leur éventuelle interaction réciproque. C'est ainsi que le rhumatologue doit savoir reconnaître les manifestations spécifiques de la maladie, secondaires au traitement, ou faire face à des situations cliniques non apparentées au VIH, survenant chez le patient infecté comme dans le reste de la population générale. Malgré l'absence de vaccination efficace, les conséquences de la pandémie VIH s'infléchiront dans les années à venir grâce à un meilleur dépistage et à une utilisation plus large des molécules antirétrovirales. Note de contenu : Introduction
Données épidémiologiques actuelles
VIH : réplication, destruction immunitaire et ses conséquences
VIH
Réplication
Conséquences immunitaires
Manifestations cliniques du sida
Traitements antirétroviraux
Aspect actuel de la maladie associée au VIH
Manifestations rhumatologiques de l'infection par le VIH
Données épidémiologiques
Manifestations articulaires et abarticulaires
Syndrome douloureux diffus et fibromyalgie
Manifestations osseuses
Manifestations systémiques et générales de l'infection par le VIH
Syndrome de restauration immunitaire
Syndrome d'infiltration lymphocytaire diffus
Vascularites
Anomalies biologiques inflammatoires
VIH et maladies rhumatismales préexistantes
Manifestations musculaires
Myopathies liées au VIH
Myopathies iatrogènes
Rhabdomyolyse
Pyomyosite
Manifestations neurologiques
Neuropathies périphériques
Atteintes méningoradiculaires
Syndrome du canal carpien
Complications rhumatismales des antirétroviraux
Impact des traitements des rhumatismes sur l'infection au VIH
Interaction des antirétroviraux avec les traitements rhumatologiques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43968 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Pathologie chronique acromioclaviculaire / G Nourissat in EMC : Appareil locomoteur, (Juin 2013)
[article]
Titre : Pathologie chronique acromioclaviculaire Type de document : texte imprimé Auteurs : G Nourissat, Auteur ; Jacques Parier, Auteur ; C. Radier, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : 14-346-A-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Acromioclaviculaire Résection clavicule Infiltration Résumé : L'arthrose acromioclaviculaire est une affection extrêmement fréquente qui se manifeste par des douleurs de l'épaule. Son diagnostic est avant tout clinique, avec la production de douleurs induites par la mise en charge de l'articulation, mais il est confirmé par l'efficacité de l'infiltration intra-articulaire radioguidée. L'imagerie retrouve des signes classiques d'arthrose, avec un pincement et une reconstruction importante. Le traitement est avant tout médical, et les infiltrations permettent d'obtenir l'indolence de manière reproductible et durable. Cette arthrose est fréquente chez le jeune sportif sollicitant beaucoup ses épaules, et le traitement médical ainsi qu'une modification des pratiques pourra permettre une guérison. En cas d'échec de traitement médical, la résection chirurgicale se justifie. Un geste arthroscopique permet de réséquer la zone arthrosique en respectant les ligaments acromioclaviculaires supérieurs, plus puissants stabilisateurs de cette articulation. Lorsque cette arthrose entre dans le cadre d'une épaule douloureuse dégénérative globale, il n'existe pas de consensus clair et, en cas de chirurgie, il est possible d'associer plusieurs gestes à la résection du quart externe de clavicule. Note de contenu : Introduction
Anatomie de l'articulation acromioclaviculaire
Anatomie descriptive
Croissance
Innervation
Anatomie fonctionnelle
Examen de l'articulation acromioclaviculaire
Examen clinique
Examen radiologique de l'articulation acromioclaviculaire
Place de la rééducation dans l'arthrose acromioclaviculaire isolée
Pathologie dégénérative de l'articulation acromioclaviculaire
Arthrose acromioclaviculaire
Arthrose acromioclaviculaire et conflit sous-acromial
Ostéolyse distale de la clavicule
Divers
Synthèse de la prise en charge médicochirurgicale
Prise en charge médicale
Indications de résection acromioclaviculaire après échec médicalPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44031
in EMC : Appareil locomoteur > (Juin 2013) . - 14-346-A-10 [Tome 5][article] Pathologie chronique acromioclaviculaire [texte imprimé] / G Nourissat, Auteur ; Jacques Parier, Auteur ; C. Radier, Auteur . - 2013 . - 14-346-A-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Juin 2013) . - 14-346-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Acromioclaviculaire Résection clavicule Infiltration Résumé : L'arthrose acromioclaviculaire est une affection extrêmement fréquente qui se manifeste par des douleurs de l'épaule. Son diagnostic est avant tout clinique, avec la production de douleurs induites par la mise en charge de l'articulation, mais il est confirmé par l'efficacité de l'infiltration intra-articulaire radioguidée. L'imagerie retrouve des signes classiques d'arthrose, avec un pincement et une reconstruction importante. Le traitement est avant tout médical, et les infiltrations permettent d'obtenir l'indolence de manière reproductible et durable. Cette arthrose est fréquente chez le jeune sportif sollicitant beaucoup ses épaules, et le traitement médical ainsi qu'une modification des pratiques pourra permettre une guérison. En cas d'échec de traitement médical, la résection chirurgicale se justifie. Un geste arthroscopique permet de réséquer la zone arthrosique en respectant les ligaments acromioclaviculaires supérieurs, plus puissants stabilisateurs de cette articulation. Lorsque cette arthrose entre dans le cadre d'une épaule douloureuse dégénérative globale, il n'existe pas de consensus clair et, en cas de chirurgie, il est possible d'associer plusieurs gestes à la résection du quart externe de clavicule. Note de contenu : Introduction
Anatomie de l'articulation acromioclaviculaire
Anatomie descriptive
Croissance
Innervation
Anatomie fonctionnelle
Examen de l'articulation acromioclaviculaire
Examen clinique
Examen radiologique de l'articulation acromioclaviculaire
Place de la rééducation dans l'arthrose acromioclaviculaire isolée
Pathologie dégénérative de l'articulation acromioclaviculaire
Arthrose acromioclaviculaire
Arthrose acromioclaviculaire et conflit sous-acromial
Ostéolyse distale de la clavicule
Divers
Synthèse de la prise en charge médicochirurgicale
Prise en charge médicale
Indications de résection acromioclaviculaire après échec médicalPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44031 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Chondroblastome osseux / Frédéric Sailhan in EMC : Appareil locomoteur, (Juin 2013)
[article]
Titre : Chondroblastome osseux Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric Sailhan, Auteur ; Manon Bachy, Auteur ; B. Tomeno, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : 14-751 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Chondroblastome Tumeur bénigne Tumeur osseuse Tumeur épiphysaire Récidive Résumé : Le chondroblastome est une tumeur osseuse bénigne de l'enfant, de l'adolescent ou du jeune adulte qui représente 1 % de l'ensemble des tumeurs osseuses. De localisation épiphysaire ou épiphysométaphysaire, cette lésion se développe habituellement à partir de centres secondaires d'ossification proches du genou, de l'épaule et de la hanche. La radiographie montre habituellement une lésion ostéolytique épiphysaire au contact du cartilage de croissance et contenant des calcifications intralésionnelles. Le diagnostic de certitude est apporté par l'analyse anatomopathologique après une biospie ou un curetage-biopsie. Le traitement du chondroblastome est chirurgical et repose sur le curetage-comblement. La récidive est fréquente (jusqu'à 35 % dans certaines séries) et nécessite un nouveau curetage ou parfois une résection complète de la lésion. Note de contenu : Introduction
Anatomopathologie
Aspect microscopique
Épidémiologie et localisations
Sexe
Âge
Localisation
Manifestations cliniques
Aspects en imagerie
Radiographie standard
Scanner
Imagerie par résonance magnétique
Scintigraphie osseuse
Diagnostic différentiel
Prise en charge thérapeutique
Récidive locale
Nature et fréquence
Facteurs prédictifs
Évolution, formes agressives et métastases
Suivi
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44048
in EMC : Appareil locomoteur > (Juin 2013) . - 14-751 [Tome 6][article] Chondroblastome osseux [texte imprimé] / Frédéric Sailhan, Auteur ; Manon Bachy, Auteur ; B. Tomeno, Auteur . - 2013 . - 14-751 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Juin 2013) . - 14-751 [Tome 6]
Mots-clés : Chondroblastome Tumeur bénigne Tumeur osseuse Tumeur épiphysaire Récidive Résumé : Le chondroblastome est une tumeur osseuse bénigne de l'enfant, de l'adolescent ou du jeune adulte qui représente 1 % de l'ensemble des tumeurs osseuses. De localisation épiphysaire ou épiphysométaphysaire, cette lésion se développe habituellement à partir de centres secondaires d'ossification proches du genou, de l'épaule et de la hanche. La radiographie montre habituellement une lésion ostéolytique épiphysaire au contact du cartilage de croissance et contenant des calcifications intralésionnelles. Le diagnostic de certitude est apporté par l'analyse anatomopathologique après une biospie ou un curetage-biopsie. Le traitement du chondroblastome est chirurgical et repose sur le curetage-comblement. La récidive est fréquente (jusqu'à 35 % dans certaines séries) et nécessite un nouveau curetage ou parfois une résection complète de la lésion. Note de contenu : Introduction
Anatomopathologie
Aspect microscopique
Épidémiologie et localisations
Sexe
Âge
Localisation
Manifestations cliniques
Aspects en imagerie
Radiographie standard
Scanner
Imagerie par résonance magnétique
Scintigraphie osseuse
Diagnostic différentiel
Prise en charge thérapeutique
Récidive locale
Nature et fréquence
Facteurs prédictifs
Évolution, formes agressives et métastases
Suivi
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44048 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Histiocytose langerhansienne / C. Thomas in EMC : Appareil locomoteur, (Juin 2013)
[article]
Titre : Histiocytose langerhansienne Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Thomas, Auteur ; J. Donadieu, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : 14-762 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Histiocytose langerhansienne Histiocytose X Granulome éosinophile Maladie de Letterer-Siwe Maladie de Hand-Schüller-Christian Résumé : L'histiocytose X, ou histiocytose langerhansienne, est une affection caractérisée par une prolifération dans différents tissus de cellules dendritiques appartenant à la lignée des cellules de Langerhans, et exprimant le marqueur antigénique CD1a et la protéine S100. Son mécanisme physiopathologique est encore inconnu mais on considère actuellement qu'il s'agit d'un processus réactionnel plutôt que d'un processus néoplasique. Les présentations cliniques sont très diverses, allant de la lésion osseuse unique spontanément résolutive jusqu'à une forme grave multiviscérale mettant en jeu le pronostic vital. Par ordre de fréquence, les organes le plus souvent touchés sont l'os, la peau, les ganglions, les conduits auditifs externes et les mastoïdes, la moelle osseuse, le foie et la rate, le poumon, la posthypophyse (diabète insipide) et le tube digestif. L'évolution de la maladie est très variable et souvent imprévisible au moment du diagnostic initial. La prise en charge thérapeutique dépend de l'extension des lésions. Les formes localisées, de pronostic habituellement excellent, requièrent un traitement minimal (abstention thérapeutique ou traitement local le plus souvent). Dans les formes étendues multiviscérales, le traitement repose sur la chimiothérapie. L'association de vinblastine et de corticoïdes est celle le plus couramment utilisée. Note de contenu : Introduction
Physiopathologie
Diagnostic
Clinique
Épidémiologie
Différentes localisations
Principaux tableaux cliniques
Dysfonctionnement d'organes
Évolution et séquelles
Facteurs de pronostic
Prise en charge
Bilan d'extension
Évaluation de l'activité de la maladie
Traitement
Critères de réponse aux traitements
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44051
in EMC : Appareil locomoteur > (Juin 2013) . - 14-762 [Tome 6][article] Histiocytose langerhansienne [texte imprimé] / C. Thomas, Auteur ; J. Donadieu, Auteur . - 2013 . - 14-762 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Juin 2013) . - 14-762 [Tome 6]
Mots-clés : Histiocytose langerhansienne Histiocytose X Granulome éosinophile Maladie de Letterer-Siwe Maladie de Hand-Schüller-Christian Résumé : L'histiocytose X, ou histiocytose langerhansienne, est une affection caractérisée par une prolifération dans différents tissus de cellules dendritiques appartenant à la lignée des cellules de Langerhans, et exprimant le marqueur antigénique CD1a et la protéine S100. Son mécanisme physiopathologique est encore inconnu mais on considère actuellement qu'il s'agit d'un processus réactionnel plutôt que d'un processus néoplasique. Les présentations cliniques sont très diverses, allant de la lésion osseuse unique spontanément résolutive jusqu'à une forme grave multiviscérale mettant en jeu le pronostic vital. Par ordre de fréquence, les organes le plus souvent touchés sont l'os, la peau, les ganglions, les conduits auditifs externes et les mastoïdes, la moelle osseuse, le foie et la rate, le poumon, la posthypophyse (diabète insipide) et le tube digestif. L'évolution de la maladie est très variable et souvent imprévisible au moment du diagnostic initial. La prise en charge thérapeutique dépend de l'extension des lésions. Les formes localisées, de pronostic habituellement excellent, requièrent un traitement minimal (abstention thérapeutique ou traitement local le plus souvent). Dans les formes étendues multiviscérales, le traitement repose sur la chimiothérapie. L'association de vinblastine et de corticoïdes est celle le plus couramment utilisée. Note de contenu : Introduction
Physiopathologie
Diagnostic
Clinique
Épidémiologie
Différentes localisations
Principaux tableaux cliniques
Dysfonctionnement d'organes
Évolution et séquelles
Facteurs de pronostic
Prise en charge
Bilan d'extension
Évaluation de l'activité de la maladie
Traitement
Critères de réponse aux traitements
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44051 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire