Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Votre centre de documentation fermera de 12h30 à 13h ce vendredi 28 juin et fermera à 14h30.
Dès ce lundi 1er juillet jusqu'au mercredi 10 juillet l'horaire du centre de documentation sera adapté :
Lundi 1er juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 2 juillet : de 8h à 12h15
Mercredi 3 juillet : de 9h à 12h et de 12h30 à 15h15
Jeudi 4 juillet : de 8h à 12h30 et de 13h à 18h30
Lundi 8 juillet : de 8h à 12h et de 12h30 à 16h
Mardi 9 juillet : de 8h à 12h15
Réouverture dès ce lundi 19 août.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
[article]
Titre : |
Les enfants absents dans le contexte de l'exil |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
DUTERTE P. |
Année de publication : |
2011 |
Article en page(s) : |
pp. 161-176 |
Note générale : |
biblio. |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
MIGRATION TRAUMATISME PSYCHOLOGIQUE IMPACT PSYCHOLOGIQUE ENFANT DEUIL FAMILLE ECLATEE PRISE EN CHARGE FAMILLE THERAPIE FAMILIALE SOCIOLOGIE DES ORGANISATIONS DEVIANCE ROLE DE L'ETAT GESTION CONTROLE SOCIAL ETHNOGRAPHIE RELATION ADMINISTRATION-USAGER INSTITUTION REPRESSION ADOLESCENT EN DIFFICULTE ENFANT DES RUES ALLEMAGNE ERRANCE EXPULSION TRANSPORT CONTROLE CONDITION DE TRAVAIL FRANCE PERSONNE PROSTITUEE ROLE DE L'INSTITUTION EMOTION POLICE DISCRIMINATION MIGRANT STIGMATISATION GHANA |
Résumé : |
"Les réfugiés ont un point commun dans leur histoire : leur départ n’a pas été préparé, a eu lieu dans l’urgence de la survie, Le trajet migratoire s’est fait le plus souvent dans des conditions épouvantables d’insécurité, de mise en danger. Très souvent, les familles sont arrivées incomplètes du fait d’enfants laissés au pays, disparus en route, morts. L’absence de l’enfant est une douleur indescriptible et souvent indicible. Il s’instaure donc une nouvelle règle qui est le silence. Cette règle familiale s’applique aux parents, aux enfants arrivés dans le pays d’asile mais aussi aux enfants nés en exil. Parler des enfants absents met en danger.|Le thérapeute se retrouve souvent dans une position délicate devant ""l’insupportabilité"" de la situation. Parfois, le traumatisme de la disparition accolée à la violence et aux traumatismes vécus par les membres de la famille font que le thérapeute pourrait être tenté, lui aussi, d’appliquer la nouvelle règle, celle du silence." |
Note de contenu : |
INTERVENANT, SCIENTIFIQUE |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=103296 |
in Cahiers critiques de thérapie familiale et de pratiques de réseaux > 47 [15/12/2011] . - pp. 161-176
[article] Les enfants absents dans le contexte de l'exil [texte imprimé] / DUTERTE P. . - 2011 . - pp. 161-176. biblio. Langues : Français ( fre) in Cahiers critiques de thérapie familiale et de pratiques de réseaux > 47 [15/12/2011] . - pp. 161-176
Mots-clés : |
MIGRATION TRAUMATISME PSYCHOLOGIQUE IMPACT PSYCHOLOGIQUE ENFANT DEUIL FAMILLE ECLATEE PRISE EN CHARGE FAMILLE THERAPIE FAMILIALE SOCIOLOGIE DES ORGANISATIONS DEVIANCE ROLE DE L'ETAT GESTION CONTROLE SOCIAL ETHNOGRAPHIE RELATION ADMINISTRATION-USAGER INSTITUTION REPRESSION ADOLESCENT EN DIFFICULTE ENFANT DES RUES ALLEMAGNE ERRANCE EXPULSION TRANSPORT CONTROLE CONDITION DE TRAVAIL FRANCE PERSONNE PROSTITUEE ROLE DE L'INSTITUTION EMOTION POLICE DISCRIMINATION MIGRANT STIGMATISATION GHANA |
Résumé : |
"Les réfugiés ont un point commun dans leur histoire : leur départ n’a pas été préparé, a eu lieu dans l’urgence de la survie, Le trajet migratoire s’est fait le plus souvent dans des conditions épouvantables d’insécurité, de mise en danger. Très souvent, les familles sont arrivées incomplètes du fait d’enfants laissés au pays, disparus en route, morts. L’absence de l’enfant est une douleur indescriptible et souvent indicible. Il s’instaure donc une nouvelle règle qui est le silence. Cette règle familiale s’applique aux parents, aux enfants arrivés dans le pays d’asile mais aussi aux enfants nés en exil. Parler des enfants absents met en danger.|Le thérapeute se retrouve souvent dans une position délicate devant ""l’insupportabilité"" de la situation. Parfois, le traumatisme de la disparition accolée à la violence et aux traumatismes vécus par les membres de la famille font que le thérapeute pourrait être tenté, lui aussi, d’appliquer la nouvelle règle, celle du silence." |
Note de contenu : |
INTERVENANT, SCIENTIFIQUE |
Permalink : |
./index.php?lvl=notice_display&id=103296 |
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