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Médecine palliative . vol. 19, 05infirmiers libéraux : premiers acteurs des soins palliatifs en phase avancée et terminale à domicileMention de date : Octobre 2020 Paru le : 01/10/2020 |
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Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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T008809 | MED | Revue | Tournai | Soins infirmiers (T) | Disponible |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierInfirmiers libéraux : premiers acteurs des soins palliatifs en phase avancée et terminale à domicile / Maxime Adloff in Médecine palliative, vol. 19, 05 (Octobre 2020)
[article]
Titre : Infirmiers libéraux : premiers acteurs des soins palliatifs en phase avancée et terminale à domicile Type de document : texte imprimé Auteurs : Maxime Adloff ; Sylvie Maurice ; Bernard Paternostre ; Thierry Vimard Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 239-245 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
I:Infirmière libérale ; M:Médecine générale ; P:Phase terminale ; S:Soins infirmiers à domicile ; S:Soins palliatifs à domicileRésumé : But de l’étude
La possibilité de passer sa fin de vie chez soi est un enjeu de santé publique qui répond à la demande de la population et aux contraintes du système de santé. L’organisation de l’offre de soins et des acteurs infirmiers est donc centrale dans le développement des soins palliatifs à domicile. L’objectif de cette étude était de décrire la place des différents acteurs de soins infirmiers dans la prise en charge des situations palliatives avancées et terminales à domicile.
Matériel et méthodes
Une enquête de pratique a été réalisée au moyen d’un questionnaire en ligne auprès des médecins généralistes installés en Gironde. Le repérage des situations palliatives était réalisé avec le « Supportive & Palliative Care Indicators Tool » en version française (SPICT-FR™).
Résultats
En tout 89 médecins ont décrit la prise en charge de 607 patients en situations palliatives avancées et terminales en cours de suivi, et celle de 260 patients décédés à domicile au cours des 12 derniers mois à l’issue d’une pathologie en situation palliative. Les infirmiers libéraux assuraient, seuls, 64 % de l’ensemble des prises en charge en cours, et 56 % de celles le mois précédant le décès. Ils intervenaient également dans la majorité des situations où les infirmiers des services d’hospitalisation à domicile et des services de soins infirmiers à domicile étaient présents.
Conclusion
Alors que la représentation commune tend à considérer l’infirmier du service d’hospitalisation à domicile comme l’acteur majoritaire des situations palliatives avancées et terminales à domicile, cette enquête montre que les infirmiers libéraux ont une place prépondérante dans ces situations. Le développement des soins palliatifs à domicile et de la culture palliative passera par une meilleure reconnaissance et le soutien de ces acteurs.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44902
in Médecine palliative > vol. 19, 05 (Octobre 2020) . - p. 239-245[article] Infirmiers libéraux : premiers acteurs des soins palliatifs en phase avancée et terminale à domicile [texte imprimé] / Maxime Adloff ; Sylvie Maurice ; Bernard Paternostre ; Thierry Vimard . - 2020 . - p. 239-245.
Langues : Français (fre)
in Médecine palliative > vol. 19, 05 (Octobre 2020) . - p. 239-245
Catégories : Alpha
I:Infirmière libérale ; M:Médecine générale ; P:Phase terminale ; S:Soins infirmiers à domicile ; S:Soins palliatifs à domicileRésumé : But de l’étude
La possibilité de passer sa fin de vie chez soi est un enjeu de santé publique qui répond à la demande de la population et aux contraintes du système de santé. L’organisation de l’offre de soins et des acteurs infirmiers est donc centrale dans le développement des soins palliatifs à domicile. L’objectif de cette étude était de décrire la place des différents acteurs de soins infirmiers dans la prise en charge des situations palliatives avancées et terminales à domicile.
Matériel et méthodes
Une enquête de pratique a été réalisée au moyen d’un questionnaire en ligne auprès des médecins généralistes installés en Gironde. Le repérage des situations palliatives était réalisé avec le « Supportive & Palliative Care Indicators Tool » en version française (SPICT-FR™).
Résultats
En tout 89 médecins ont décrit la prise en charge de 607 patients en situations palliatives avancées et terminales en cours de suivi, et celle de 260 patients décédés à domicile au cours des 12 derniers mois à l’issue d’une pathologie en situation palliative. Les infirmiers libéraux assuraient, seuls, 64 % de l’ensemble des prises en charge en cours, et 56 % de celles le mois précédant le décès. Ils intervenaient également dans la majorité des situations où les infirmiers des services d’hospitalisation à domicile et des services de soins infirmiers à domicile étaient présents.
Conclusion
Alors que la représentation commune tend à considérer l’infirmier du service d’hospitalisation à domicile comme l’acteur majoritaire des situations palliatives avancées et terminales à domicile, cette enquête montre que les infirmiers libéraux ont une place prépondérante dans ces situations. Le développement des soins palliatifs à domicile et de la culture palliative passera par une meilleure reconnaissance et le soutien de ces acteurs.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44902 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008809 MED Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Prise en charge de l’anémie en situation palliative : résultats de l’étude Hb-PAL, enquête menée auprès des praticiens d’équipe mobile et d’unité de soins palliatifs, en France métropolitaine, en 2017 / Vincent Stargala in Médecine palliative, vol. 19, 05 (Octobre 2020)
[article]
Titre : Prise en charge de l’anémie en situation palliative : résultats de l’étude Hb-PAL, enquête menée auprès des praticiens d’équipe mobile et d’unité de soins palliatifs, en France métropolitaine, en 2017 Type de document : texte imprimé Auteurs : Vincent Stargala ; Raphaël Alluin ; Christophe Goetz Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 246-254 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Anémie ; E:Erythropoïétine ; M:Médecine palliative ; T:TransfusionRésumé : Introduction
L’anémie est un problème fréquemment rencontré chez les patients relevant des soins palliatifs. Elle peut être responsable de nombreux symptômes inconfortables comme l’asthénie, la dyspnée ou des douleurs. L’objectif de cette étude était d’analyser la prise en charge de l’anémie par les praticiens d’équipe mobile de soins palliatifs et d’unité de soins palliatifs.
Méthode
Une étude observationnelle, déclarative et descriptive, a été menée de septembre à décembre 2017, sur la base d’un questionnaire électronique, adressé aux médecins d’équipe mobile de soins palliatifs et d’unité de soins palliatifs en France métropolitaine. Le recueil concernait l’indication, le choix du traitement, la méthode de surveillance et le recours à des référentiels.
Résultats
Nous avons recueilli les réponses de 140 médecins. Parmi ces praticiens, 87 % traitaient l’anémie des patients relevant de soins palliatifs uniquement en cas de symptômes et 95 % n’avaient recours à aucun référentiel. Les symptômes amenant le plus à traiter l’anémie étaient la dyspnée et l’asthénie. Le traitement utilisé en première intention par 95 % des répondeurs était la transfusion de concentré de globules rouges, essentiellement pour le besoin d’une efficacité plus rapide.
Conclusion
Les praticiens ayant répondu à notre questionnaire ont déclaré en majorité ne pas avoir recours à des référentiels concernant la prise en charge de l’anémie, mais leurs pratiques se rapprochaient des rares recommandations et données disponibles sur le sujet. De nouvelles études sont nécessaires sur ce sujet et plus précisément sur l’utilisation des agents stimulants l’érythropoïèse et sur la correction des carences vitaminiques et martiales.Note de contenu : Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44903
in Médecine palliative > vol. 19, 05 (Octobre 2020) . - p. 246-254[article] Prise en charge de l’anémie en situation palliative : résultats de l’étude Hb-PAL, enquête menée auprès des praticiens d’équipe mobile et d’unité de soins palliatifs, en France métropolitaine, en 2017 [texte imprimé] / Vincent Stargala ; Raphaël Alluin ; Christophe Goetz . - 2020 . - p. 246-254.
Langues : Français (fre)
in Médecine palliative > vol. 19, 05 (Octobre 2020) . - p. 246-254
Catégories : Alpha
A:Anémie ; E:Erythropoïétine ; M:Médecine palliative ; T:TransfusionRésumé : Introduction
L’anémie est un problème fréquemment rencontré chez les patients relevant des soins palliatifs. Elle peut être responsable de nombreux symptômes inconfortables comme l’asthénie, la dyspnée ou des douleurs. L’objectif de cette étude était d’analyser la prise en charge de l’anémie par les praticiens d’équipe mobile de soins palliatifs et d’unité de soins palliatifs.
Méthode
Une étude observationnelle, déclarative et descriptive, a été menée de septembre à décembre 2017, sur la base d’un questionnaire électronique, adressé aux médecins d’équipe mobile de soins palliatifs et d’unité de soins palliatifs en France métropolitaine. Le recueil concernait l’indication, le choix du traitement, la méthode de surveillance et le recours à des référentiels.
Résultats
Nous avons recueilli les réponses de 140 médecins. Parmi ces praticiens, 87 % traitaient l’anémie des patients relevant de soins palliatifs uniquement en cas de symptômes et 95 % n’avaient recours à aucun référentiel. Les symptômes amenant le plus à traiter l’anémie étaient la dyspnée et l’asthénie. Le traitement utilisé en première intention par 95 % des répondeurs était la transfusion de concentré de globules rouges, essentiellement pour le besoin d’une efficacité plus rapide.
Conclusion
Les praticiens ayant répondu à notre questionnaire ont déclaré en majorité ne pas avoir recours à des référentiels concernant la prise en charge de l’anémie, mais leurs pratiques se rapprochaient des rares recommandations et données disponibles sur le sujet. De nouvelles études sont nécessaires sur ce sujet et plus précisément sur l’utilisation des agents stimulants l’érythropoïèse et sur la correction des carences vitaminiques et martiales.Note de contenu : Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44903 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008809 MED Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Souhaits de la personne malade en situation palliative à domicile concernant les discussions anticipées sur le lieu de son décès / Amaia Bidart in Médecine palliative, vol. 19, 05 (Octobre 2020)
[article]
Titre : Souhaits de la personne malade en situation palliative à domicile concernant les discussions anticipées sur le lieu de son décès Type de document : texte imprimé Auteurs : Amaia Bidart ; Bernard Paternostre Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 255-263 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Accompagnement du patient ; D:Décès ; D:Directive anticipée ; D:Domicile ; F:Fin de vie ; M:Médecine générale ; R:Relation médecin-patientRésumé : Introduction
La plupart des Français souhaitent mourir à domicile mais peu d’entre eux y décèdent réellement. L’expression par le patient de son souhait sur le lieu de son décès en favorise le respect, mais les médecins connaissent peu ces souhaits. L’objectif de l’étude est de recueillir la façon dont les personnes en situation palliative à domicile envisagent d’aborder le lieu de décès avec leur médecin généraliste.
Méthode
Une étude qualitative a été réalisée par entretiens individuels semi-dirigés au domicile des personnes atteintes d’une pathologie incurable avec un pronostic vital entre 4 semaines et 2 ans.
Résultats
15 entretiens ont été menés. La plupart des personnes interrogées souhaitent mourir à la maison, proche des leurs, mais le besoin d’être accompagné et de préserver leur entourage semble être plus important pour elles. Elles attendent que le médecin traitant aborde la fin de vie et le lieu de décès avec disponibilité, écoute et bienveillance, et qu’il y montre de l’intérêt. L’émergence de trois profils (paternaliste, autonomiste et intermédiaire) illustre la façon dont elles envisagent ces discussions avec leur médecin traitant.
Discussion
Les personnes en situation palliative à domicile attendent que le médecin traitant aborde la fin de vie avec une attitude adaptée au profil de chacun. Une consultation dédiée permettrait au médecin généraliste de créer des conditions favorables afin de donner au malade une opportunité d’aborder ce sujet sensible et de respecter ses souhaits.
Conclusion
Les malades souhaitent une implication du médecin généraliste dans les discussions anticipées.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44904
in Médecine palliative > vol. 19, 05 (Octobre 2020) . - p. 255-263[article] Souhaits de la personne malade en situation palliative à domicile concernant les discussions anticipées sur le lieu de son décès [texte imprimé] / Amaia Bidart ; Bernard Paternostre . - 2020 . - p. 255-263.
Langues : Français (fre)
in Médecine palliative > vol. 19, 05 (Octobre 2020) . - p. 255-263
Catégories : Alpha
A:Accompagnement du patient ; D:Décès ; D:Directive anticipée ; D:Domicile ; F:Fin de vie ; M:Médecine générale ; R:Relation médecin-patientRésumé : Introduction
La plupart des Français souhaitent mourir à domicile mais peu d’entre eux y décèdent réellement. L’expression par le patient de son souhait sur le lieu de son décès en favorise le respect, mais les médecins connaissent peu ces souhaits. L’objectif de l’étude est de recueillir la façon dont les personnes en situation palliative à domicile envisagent d’aborder le lieu de décès avec leur médecin généraliste.
Méthode
Une étude qualitative a été réalisée par entretiens individuels semi-dirigés au domicile des personnes atteintes d’une pathologie incurable avec un pronostic vital entre 4 semaines et 2 ans.
Résultats
15 entretiens ont été menés. La plupart des personnes interrogées souhaitent mourir à la maison, proche des leurs, mais le besoin d’être accompagné et de préserver leur entourage semble être plus important pour elles. Elles attendent que le médecin traitant aborde la fin de vie et le lieu de décès avec disponibilité, écoute et bienveillance, et qu’il y montre de l’intérêt. L’émergence de trois profils (paternaliste, autonomiste et intermédiaire) illustre la façon dont elles envisagent ces discussions avec leur médecin traitant.
Discussion
Les personnes en situation palliative à domicile attendent que le médecin traitant aborde la fin de vie avec une attitude adaptée au profil de chacun. Une consultation dédiée permettrait au médecin généraliste de créer des conditions favorables afin de donner au malade une opportunité d’aborder ce sujet sensible et de respecter ses souhaits.
Conclusion
Les malades souhaitent une implication du médecin généraliste dans les discussions anticipées.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44904 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008809 MED Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Formation des internes dans les équipes de soins palliatifs : étude qualitative / Donatien Mallet in Médecine palliative, vol. 19, 05 (Octobre 2020)
[article]
Titre : Formation des internes dans les équipes de soins palliatifs : étude qualitative Type de document : texte imprimé Auteurs : Donatien Mallet ; Caroline Gallé-Gaudin ; Godefroy Hirsch ; Nathalie Denis-Delpierre Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 264-272 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
F:Formation ; M:Médecin ; R:Réflexivité ; S:Soins palliatifs ; S:StageRésumé : Depuis plusieurs décennies, de nombreux rapports insistent sur la nécessité de diffuser les soins palliatifs en formant les étudiants en médecine à cette pratique. Dans ce contexte, l’évaluation des dispositifs pédagogiques est un impératif. Une recherche qualitative est réalisée auprès de 18 internes en médecine ayant effectué un stage de 6 mois dans une équipe de soins palliatifs, fixe ou mobile. Cette étude exploratoire vise à recueillir le retour qu’ils font sur leurs vécus lors du stage, les compétences qu’ils ont acquises, leurs appréciations sur les modalités pédagogiques. Après analyse des entretiens, cinq thématiques sont identifiées. Les internes décrivent une déstabilisation initiale en début de stage. Ils relatent un renforcement de leurs compétences professionnelles avec l’apprentissage d’un meilleur rapport à leurs émotions. Ils font le constat que de nombreuses compétences sont transférables dans leur spécialité, mais que, bien souvent, la compétence délibérative ne peut être vécue qu’individuellement. Ils mentionnent une expérience de questionnement et de réflexivité sur leur parcours professionnel et personnel. Ils soulignent le rôle favorable de l’accompagnement pédagogique. Si l’apport d’un stage en équipe de soins palliatifs apparaît manifeste, il importe que les référents pédagogiques mènent une réflexion éthique afin de bien comprendre les fondements de la clinique palliative mais aussi les décalages, les tensions, voire les paradoxes vis-à-vis du référentiel médical actuel. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44905
in Médecine palliative > vol. 19, 05 (Octobre 2020) . - p. 264-272[article] Formation des internes dans les équipes de soins palliatifs : étude qualitative [texte imprimé] / Donatien Mallet ; Caroline Gallé-Gaudin ; Godefroy Hirsch ; Nathalie Denis-Delpierre . - 2020 . - p. 264-272.
Langues : Français (fre)
in Médecine palliative > vol. 19, 05 (Octobre 2020) . - p. 264-272
Catégories : Alpha
F:Formation ; M:Médecin ; R:Réflexivité ; S:Soins palliatifs ; S:StageRésumé : Depuis plusieurs décennies, de nombreux rapports insistent sur la nécessité de diffuser les soins palliatifs en formant les étudiants en médecine à cette pratique. Dans ce contexte, l’évaluation des dispositifs pédagogiques est un impératif. Une recherche qualitative est réalisée auprès de 18 internes en médecine ayant effectué un stage de 6 mois dans une équipe de soins palliatifs, fixe ou mobile. Cette étude exploratoire vise à recueillir le retour qu’ils font sur leurs vécus lors du stage, les compétences qu’ils ont acquises, leurs appréciations sur les modalités pédagogiques. Après analyse des entretiens, cinq thématiques sont identifiées. Les internes décrivent une déstabilisation initiale en début de stage. Ils relatent un renforcement de leurs compétences professionnelles avec l’apprentissage d’un meilleur rapport à leurs émotions. Ils font le constat que de nombreuses compétences sont transférables dans leur spécialité, mais que, bien souvent, la compétence délibérative ne peut être vécue qu’individuellement. Ils mentionnent une expérience de questionnement et de réflexivité sur leur parcours professionnel et personnel. Ils soulignent le rôle favorable de l’accompagnement pédagogique. Si l’apport d’un stage en équipe de soins palliatifs apparaît manifeste, il importe que les référents pédagogiques mènent une réflexion éthique afin de bien comprendre les fondements de la clinique palliative mais aussi les décalages, les tensions, voire les paradoxes vis-à-vis du référentiel médical actuel. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44905 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008809 MED Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Les médecins généralistes face au décès de leurs patients / Paul-Antoine Quesnel in Médecine palliative, vol. 19, 05 (Octobre 2020)
[article]
Titre : Les médecins généralistes face au décès de leurs patients Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul-Antoine Quesnel ; Karen Rudelle Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 273-281 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
D:Deuil ; M:Médecin généraliste ; M:Mort ; P:Patient ; V:Vécu du soignantRésumé : Introduction
Il n’existe que peu de données dans la littérature actuelle sur la manière dont les médecins généralistes vivent le décès de leurs patients. Les principales études sur le sujet sont des travaux qualitatifs. Il manque de travaux quantitatifs pour en dresser un état des lieux exhaustif. L’objectif de cette étude est d’analyser les décès des patients vécus comme difficiles par leur médecin généraliste.
Matériel et méthode
Il s’agissait d’une étude épidémiologique descriptive quantitative transversale. La population étudiée était celle de l’ensemble des médecins généralistes libéraux de la région Nouvelle-Aquitaine. Le critère de jugement principal était le pourcentage de médecins généralistes vivant difficilement le décès de leurs patients.
Résultats
Dans cette étude, 76 % des médecins généralistes vivaient comme difficile le décès de leurs patients. Ils étaient 29 % à ressentir le besoin d’être aidés dans cette situation. Le retentissement professionnel et personnel était présent chez respectivement 37 % et 31 % des médecins. La consommation de médicaments survenait dans 4,8 % de ces situations, celle d’alcool dans 4 % des cas. Les structures d’aides aux généralistes étaient insuffisantes pour 57 % d’entre eux.
Discussion et perspectives
Cette étude a mis en évidence que les médecins généralistes sont très affectés par les décès de leurs patients. Le retentissement émotionnel est intense et pourrait influer sur les soins apportés aux patients. Ces situations sont source de difficultés au cours de l’exercice professionnel comme dans la vie personnelle. Les structures d’aide existantes sont très insuffisantes et méconnues.
Conclusion
Cette étude a permis de dresser un état des lieux de la souffrance des médecins généralistes lors du décès de leurs patients. Il est nécessaire de mieux accompagner les médecins dans cette situation.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44906
in Médecine palliative > vol. 19, 05 (Octobre 2020) . - p. 273-281[article] Les médecins généralistes face au décès de leurs patients [texte imprimé] / Paul-Antoine Quesnel ; Karen Rudelle . - 2020 . - p. 273-281.
Langues : Français (fre)
in Médecine palliative > vol. 19, 05 (Octobre 2020) . - p. 273-281
Catégories : Alpha
D:Deuil ; M:Médecin généraliste ; M:Mort ; P:Patient ; V:Vécu du soignantRésumé : Introduction
Il n’existe que peu de données dans la littérature actuelle sur la manière dont les médecins généralistes vivent le décès de leurs patients. Les principales études sur le sujet sont des travaux qualitatifs. Il manque de travaux quantitatifs pour en dresser un état des lieux exhaustif. L’objectif de cette étude est d’analyser les décès des patients vécus comme difficiles par leur médecin généraliste.
Matériel et méthode
Il s’agissait d’une étude épidémiologique descriptive quantitative transversale. La population étudiée était celle de l’ensemble des médecins généralistes libéraux de la région Nouvelle-Aquitaine. Le critère de jugement principal était le pourcentage de médecins généralistes vivant difficilement le décès de leurs patients.
Résultats
Dans cette étude, 76 % des médecins généralistes vivaient comme difficile le décès de leurs patients. Ils étaient 29 % à ressentir le besoin d’être aidés dans cette situation. Le retentissement professionnel et personnel était présent chez respectivement 37 % et 31 % des médecins. La consommation de médicaments survenait dans 4,8 % de ces situations, celle d’alcool dans 4 % des cas. Les structures d’aides aux généralistes étaient insuffisantes pour 57 % d’entre eux.
Discussion et perspectives
Cette étude a mis en évidence que les médecins généralistes sont très affectés par les décès de leurs patients. Le retentissement émotionnel est intense et pourrait influer sur les soins apportés aux patients. Ces situations sont source de difficultés au cours de l’exercice professionnel comme dans la vie personnelle. Les structures d’aide existantes sont très insuffisantes et méconnues.
Conclusion
Cette étude a permis de dresser un état des lieux de la souffrance des médecins généralistes lors du décès de leurs patients. Il est nécessaire de mieux accompagner les médecins dans cette situation.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44906 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008809 MED Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Que font les médecins en unité de soins palliatifs; étude descriptive de la pratique médicale dans une unité de soins palliatifs en France / Sandra Frache in Médecine palliative, vol. 19, 05 (Octobre 2020)
[article]
Titre : Que font les médecins en unité de soins palliatifs; étude descriptive de la pratique médicale dans une unité de soins palliatifs en France Type de document : texte imprimé Auteurs : Sandra Frache ; Delphine Balizet ; Christine Simonin ; Elisabeth Batit ; Régis Aubry Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 282-287 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
F:France ; M:Médecin ; P:Pratique professionnelle ; R:Rôle ; S:Soins palliatifs ; U:Unité de soins palliatifsRésumé : Les unités de soins palliatifs françaises peuvent accueillir des patients en phase terminale de leur maladie, mais aussi des patients qui bénéficient encore de traitement spécifique pouvant stabiliser la maladie à long terme. Or, nous ignorons comment ces soins palliatifs, qui cohabitent avec des traitements spécifiques de la pathologie et pouvant stabiliser la maladie à plus ou moins long terme, se pratiquent par les médecins qui travaillent dans ces unités d’hospitalisation. Nous avons mené une étude qualitative avec des professionnels médicaux et paramédicaux d’une USP française afin de décrire la pratique médicale en unité de soins palliatifs. Quatre « focus-groups » ont été menés avec 3 professionnels médicaux et 4 avec 11 professionnels paramédicaux. Les compétences réflexive et analytique étaient prépondérantes dans le discours des interviewés. Si l’incertitude n’était pas expressément nommée dans notre étude, elle était présente dans chaque geste ou comportement visant à comprendre la singularité du patient. Cette étude originale contribue à comprendre comment sont mis en œuvre les soins palliatifs en situation d’incertitude médicale. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44907
in Médecine palliative > vol. 19, 05 (Octobre 2020) . - p. 282-287[article] Que font les médecins en unité de soins palliatifs; étude descriptive de la pratique médicale dans une unité de soins palliatifs en France [texte imprimé] / Sandra Frache ; Delphine Balizet ; Christine Simonin ; Elisabeth Batit ; Régis Aubry . - 2020 . - p. 282-287.
Langues : Français (fre)
in Médecine palliative > vol. 19, 05 (Octobre 2020) . - p. 282-287
Catégories : Alpha
F:France ; M:Médecin ; P:Pratique professionnelle ; R:Rôle ; S:Soins palliatifs ; U:Unité de soins palliatifsRésumé : Les unités de soins palliatifs françaises peuvent accueillir des patients en phase terminale de leur maladie, mais aussi des patients qui bénéficient encore de traitement spécifique pouvant stabiliser la maladie à long terme. Or, nous ignorons comment ces soins palliatifs, qui cohabitent avec des traitements spécifiques de la pathologie et pouvant stabiliser la maladie à plus ou moins long terme, se pratiquent par les médecins qui travaillent dans ces unités d’hospitalisation. Nous avons mené une étude qualitative avec des professionnels médicaux et paramédicaux d’une USP française afin de décrire la pratique médicale en unité de soins palliatifs. Quatre « focus-groups » ont été menés avec 3 professionnels médicaux et 4 avec 11 professionnels paramédicaux. Les compétences réflexive et analytique étaient prépondérantes dans le discours des interviewés. Si l’incertitude n’était pas expressément nommée dans notre étude, elle était présente dans chaque geste ou comportement visant à comprendre la singularité du patient. Cette étude originale contribue à comprendre comment sont mis en œuvre les soins palliatifs en situation d’incertitude médicale. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44907 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008809 MED Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Sédations à visées palliatives en fin de vie : état des lieux et réflexion sur l’utilisation de l’outil SEDAPALL dans trois Unités de soins palliatifs normandes de mars à mai 2018 / Pauline Dumont in Médecine palliative, vol. 19, 05 (Octobre 2020)
[article]
Titre : Sédations à visées palliatives en fin de vie : état des lieux et réflexion sur l’utilisation de l’outil SEDAPALL dans trois Unités de soins palliatifs normandes de mars à mai 2018 Type de document : texte imprimé Auteurs : Pauline Dumont ; Laeticia Melet Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 288-294 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
F:Fin de vie ; F:France ; S:Sédation ; S:Sédation profonde et continue jusqu'au décès ; U:Unité de soins palliatifsRésumé : Introduction
Depuis la loi de 2016, des travaux ont porté sur la sédation dont la création de l’outil SEDAPALL. L’objectif de l’étude était de réaliser un état des lieux des pratiques sédatives en unités de soins palliatifs (USP). Une réflexion sur SEDAPALL comme une aide dans la pratique quotidienne a été proposée.
Matériel/Méthode
Il s’agissait d’une étude rétrospective, multicentrique. Était inclus tout patient ayant reçu une sédation à visée palliative en fin de vie entre le 1er mars et le 31 mai 2018 dans les USP de Rouen, Caen et Le Havre. Le recueil des données s’établissait après la lecture des dossiers des patients hospitalisés sur cette période et décédés.
Résultats
Nous avons recensé 34 sédations dont 56 % à l’USP de Rouen. Douze pour cent des patients avaient rédigés leurs directives anticipées (DA). Il existait une procédure collégiale avec l’induction d’une sédation dans 65 % des cas. La technique sédative la plus utilisée était l’introduction et majoration progressive d’une dose de fond de midazolam. Les sédations étaient, pour la majorité, induites dans les situations d’urgences palliatives, profonde d’emblée et en l’absence de consentement possible. L’intentionnalité des sédations pour les hémorragies, dyspnée et agitation appartenait à l’axe D2 (sédation de durée indéterminée) ; les souffrances existentielles, douleur et morales à l’axe D3 (sédation maintenue jusqu’au décès).
Conclusion
SEDAPALL serait une aide au cours des procédures collégiales indispensable avant toute sédation. Il préciserait l’intentionnalité de la sédation et favoriserait la compréhension de ce traitement par les professionnels intervenants auprès de ces patients.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44908
in Médecine palliative > vol. 19, 05 (Octobre 2020) . - p. 288-294[article] Sédations à visées palliatives en fin de vie : état des lieux et réflexion sur l’utilisation de l’outil SEDAPALL dans trois Unités de soins palliatifs normandes de mars à mai 2018 [texte imprimé] / Pauline Dumont ; Laeticia Melet . - 2020 . - p. 288-294.
Langues : Français (fre)
in Médecine palliative > vol. 19, 05 (Octobre 2020) . - p. 288-294
Catégories : Alpha
F:Fin de vie ; F:France ; S:Sédation ; S:Sédation profonde et continue jusqu'au décès ; U:Unité de soins palliatifsRésumé : Introduction
Depuis la loi de 2016, des travaux ont porté sur la sédation dont la création de l’outil SEDAPALL. L’objectif de l’étude était de réaliser un état des lieux des pratiques sédatives en unités de soins palliatifs (USP). Une réflexion sur SEDAPALL comme une aide dans la pratique quotidienne a été proposée.
Matériel/Méthode
Il s’agissait d’une étude rétrospective, multicentrique. Était inclus tout patient ayant reçu une sédation à visée palliative en fin de vie entre le 1er mars et le 31 mai 2018 dans les USP de Rouen, Caen et Le Havre. Le recueil des données s’établissait après la lecture des dossiers des patients hospitalisés sur cette période et décédés.
Résultats
Nous avons recensé 34 sédations dont 56 % à l’USP de Rouen. Douze pour cent des patients avaient rédigés leurs directives anticipées (DA). Il existait une procédure collégiale avec l’induction d’une sédation dans 65 % des cas. La technique sédative la plus utilisée était l’introduction et majoration progressive d’une dose de fond de midazolam. Les sédations étaient, pour la majorité, induites dans les situations d’urgences palliatives, profonde d’emblée et en l’absence de consentement possible. L’intentionnalité des sédations pour les hémorragies, dyspnée et agitation appartenait à l’axe D2 (sédation de durée indéterminée) ; les souffrances existentielles, douleur et morales à l’axe D3 (sédation maintenue jusqu’au décès).
Conclusion
SEDAPALL serait une aide au cours des procédures collégiales indispensable avant toute sédation. Il préciserait l’intentionnalité de la sédation et favoriserait la compréhension de ce traitement par les professionnels intervenants auprès de ces patients.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44908 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008809 MED Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible