[article]
| Titre : |
La gouvernance d’entreprise 2.0 |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Guhan Subramanian |
| Année de publication : |
2017 |
| Article en page(s) : |
p.81-90 |
| Langues : |
Français (fre) |
| Catégories : |
Alpha
E:Entreprise ; G:Gestion ; G:Gestion d'entreprise
|
| Résumé : |
Si de nos jours, dans les conseils d’administration, il est beaucoup fait référence à la gouvernance d’entreprise, cette notion en tant que sujet d’étude est relativement récente. On peut en faire remonter les origines au travail fondateur d’Adolf Berle et Gardiner Means, dans les années 1930, mais, tel qu’il est défini actuellement, le concept n’a fait son apparition que dans les années 1970. Le recours aux bonnes pratiques a été freiné par tout un ensemble disparate de régulations résultant de décisions tant publiques que privées, et par l’absence d’indicateurs reconnus permettant de définir ce que serait une bonne gouvernance d’entreprise. Aucune aide à attendre non plus des formes du débat : interventions véhémentes, fossé apparemment infranchissable entre actionnaires contestataires et administrateurs, conflits d’intérêts incontrôlés et postures figées empêchent toute discussion sérieuse. Il en résulte un système que jamais personne n’aurait imaginé et des effets pervers qui défient, à l’occasion, tout à la fois le bon sens et les politiques publiques. |
| Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=33668 |
in Harvard business review > 19 (Février-Mars 2017) . - p.81-90
[article] La gouvernance d’entreprise 2.0 [texte imprimé] / Guhan Subramanian . - 2017 . - p.81-90. Langues : Français ( fre) in Harvard business review > 19 (Février-Mars 2017) . - p.81-90
| Catégories : |
Alpha
E:Entreprise ; G:Gestion ; G:Gestion d'entreprise
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| Résumé : |
Si de nos jours, dans les conseils d’administration, il est beaucoup fait référence à la gouvernance d’entreprise, cette notion en tant que sujet d’étude est relativement récente. On peut en faire remonter les origines au travail fondateur d’Adolf Berle et Gardiner Means, dans les années 1930, mais, tel qu’il est défini actuellement, le concept n’a fait son apparition que dans les années 1970. Le recours aux bonnes pratiques a été freiné par tout un ensemble disparate de régulations résultant de décisions tant publiques que privées, et par l’absence d’indicateurs reconnus permettant de définir ce que serait une bonne gouvernance d’entreprise. Aucune aide à attendre non plus des formes du débat : interventions véhémentes, fossé apparemment infranchissable entre actionnaires contestataires et administrateurs, conflits d’intérêts incontrôlés et postures figées empêchent toute discussion sérieuse. Il en résulte un système que jamais personne n’aurait imaginé et des effets pervers qui défient, à l’occasion, tout à la fois le bon sens et les politiques publiques. |
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