Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
Heures d'ouverture (période scolaire)
Tournai | Mouscron |
- lundi : 9h30-12h30 et 13h00-17h00 - mardi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - mercredi: 9h00-12h30 et 13h00-17h30 - jeudi: 9h00-12h30 et 13h00-17h00 - vendredi: 09h00-17h00 | - lundi: 9h00 à 12h30 et 13h00 à 17h15 - mardi: 13h00 à 17h15 - mercredi: 13h00 à 17h15 - jeudi : 13h00 à 17h15 - vendredi: 13h00 à 17h00 |
HORAIRE
Semaine du 03/06 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 10/06 à Tournai : Horaire habituel.
Semaine du 27/05 à Tournai : mardi : ouvert à 10h00.
Semaine du 13/05 à Mouscron : Fermé le lundi toute la journée (maladie).
Semaine du 20/05 à Mouscron : Fermé lundi 20 mai (Jour férié).
Semaine du 27/05 à Mouscron : Fermé lundi jusque 10h30. Fermé mercredi et vendredi.
Catégories
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche
Coopération et jeu pendant les soins, un signe de la qualité de la relation entre adulte et enfant / Miriam Rasse in Spirale : La grande aventure de Monsieur bébé, n° 99 (Décembre 2021)
[article]
Titre : Coopération et jeu pendant les soins, un signe de la qualité de la relation entre adulte et enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : Miriam Rasse, Auteur ; Pikler Lòczy-France, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p.181-183 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Assistante maternelle ; C:Confiance ; J:Jeu ; M:Méthode Pikler-Lóczy ; N:Nouveau-né ; S:Soins ; T:TémoignageRésumé : Nouvelle nurse à Lóczy, dans les premiers temps, je n’avais que du travail « auxiliaire » auprès des nurses. J’observais, un peu envieuse, leurs relations avec les enfants… Puis, je fus introduite dans le groupe des nouveau-nés. Au début, j’ai dû me concentrer pour qu’ils soient à l’aise, qu’ils ne pleurent pas pendant le bain. Mais peu de temps après, je me suis aperçue qu’ils commençaient, eux aussi, à coopérer et à m’aider pendant les soins.
Gabi a vite fait de prendre goût au bain. Pendant que je le nettoie, il se crispe de moins en moins, je peux facilement essuyer ses plis avec du coton huilé. Zoltan est, à 3 mois, très content quand on le prend pour le baigner. En voyant le gant de toilette, il cligne de l’œil, il reste détendu pendant l’essuyage et, au moment de l’habillage, il touche la manche de la chemise avec des gestes incertains.
Des gestes de coopération deviennent ensuite de plus en plus nets : Gabor, dès 5 mois, tend sa main d’un geste sûr, et est le premier à commencer un jeu: il fait un mouvement vers la chemise mais, souvent, après l’avoir touchée, porte sa main derrière sa tête, en riant aux éclats et en plissant les yeux. Il s’amuse bien en tendant son pied au lieu de sa main. Alors, nous rions ensemble et sommes joyeux tous les deux.
Alors que je baigne Ferko, je savonne le gant de toilette et lui demande de me donner la main. Il la tend vers le gant. « Maintenant, je savonne l’autre ? » Ferko admire la mousse et me donne en riant, à plusieurs reprises, sa main déjà savonnée.
Les enfants faisant de grands progrès dans leur développement moteur se mettaient déjà facilement sur le ventre et se retournaient, vers 6 mois, ce qui donnait également lieu à un jeu. Par exemple, pendant le change, je veux juste attacher sa couche quand Attila, tout d’un coup, se met sur le ventre, et celle-ci se déplace : je dois recommencer l’opération, à la grande joie d’Attila. Dans l’eau, il frétille comme un poisson, tourné sur le ventre, sur le dos, barbotant : toute la salle est inondée !
Je ne peux pas peser Zoltan qui donne des coups de pied, empêchant ainsi la balance de se stabiliser. Quand je lui demande de s’arrêter un moment, il m’adresse un sourire, donne encore quelques coups de pied, et ce n’est qu’après que je peux le peser.
Vers 8 à 9 mois, les enfants rampent et marchent à quatre pattes avec adresse. Quand je les invite à manger ou bien à se baigner, ils se précipitent vers moi, puis se retournent à mi-chemin et, de là, rient de mon visage « déçu ».
Plus tard, lorsque les enfants se sont mis debout, la grenouillère a cédé la place à des pantalons, chaussettes et chaussons, ce qui est devenu source de nouvelles malices, de nouveaux talents : alors que, à ma demande, chacun ôte ses chaussons et ses chaussettes et me les dépose dans la main, Ferko fait semblant de les y mettre puis, brusquement, il les jette à côté.
Les enfants s’exercent à ôter leurs chaussons et leurs chaussettes, non seulement sur la table à langer mais aussi dans le parc. Ildiko ramasse les chaussons perdus en disant: « Tiens », et les pose dans ma main pour que je puisse les lui remettre. Elle est très contente d’être encouragée. Faisant du zèle, elle ramasse tous les chaussons, dit : « Tiens » et me les met dans la main. Quand elle n’en trouve plus dans le parc, elle s’assied, ôte les siens, me les apporte et s’attend à être félicitée.
Les enfants cherchent ensuite à imiter nos paroles. « Viens déjeuner », dis-je à Gabika. « Viens, viens » dit-elle, et elle oublie de venir. J’habille Ferko en lui disant le nom de ce que je lui mets : le maillot, la culotte... Alors il dit « pa-pa » en montrant les chaussons. « Je vais te les mettre, lui dis-je, et maintenant, mets ta main dans la chemise. » « Go-go », dit-il en me montrant les boutons sur sa poitrine, puis il constate, après avoir examiné ceux de ma tunique, que ce sont également des « go-go ».
À un an, ils se mettent debout sur la table de change, s’assoient, tendent leur main, leur pied, enlèvent celui-ci du pantalon... Ou bien ils font le contraire de ce qu’on leur demande et on ne manque pas d’en rire !
En grandissant, les enfants inventent toujours de nouvelles facéties : Zoltan a déjà 13 mois lorsque les après-midi, il vient avec moi dans le couloir. Il fait connaissance de l’environnement, il veut toucher à tout, essaie de monter ou de descendre l’escalier, entre dans le bureau des infirmières, il veut téléphoner. Quand je l’invite à regagner la pièce du groupe, il me suit jusqu’à la porte puis, pendant que je lui ouvre, fait demi-tour, et me regarde, du bout du couloir, en gloussant.
Les jeux de « coucou » les intéressent particulièrement en ce moment : Zoltan, sur la table de change, se cache les yeux de ses deux poings. Je l’entends rire et puis, brusquement, il me montre ses yeux. « Je t’ai retrouvé » dis-je, mais, une seconde plus tard, il « disparaît » à nouveau. Gabor et Gabika se mettent à quatre pattes et, en posant leur tête sur la table de change, me regardent entre leurs jambes. Maintenant, c’est à leur tour de me chercher. Quand ils m’aperçoivent, ils s’asseyent en disant : « je suis là », puis, quelques secondes plus tard, ils me regardent de nouveau entre leurs jambes. Ildeko met sur sa tête sa serviette de bain, Gabor la couverture, Gabika un foulard à pois, Attila son maillot. Ils jouent aussi, ainsi, entre eux. Gabika et Zoltan s’accroupissent, puis se redressent brusquement et rient aux éclats. Gabor et Ferko se poursuivent en marchant à quatre pattes, autour du banc. Celui qui aperçoit l’autre est le vainqueur.
Je prends soin de ces enfants depuis presque un an et demi. Nous, les nurses, nous cherchons à les baigner, les habiller, les nourrir, de telle sorte qu’ils puissent participer à ces opérations; nous cherchons à ce que leur coopération atteigne un niveau de plus en plus élevé. Ce sont toujours les enfants qui commencent à jouer, à nous taquiner et nous, simplement, nous nous amusons avec eux.
Pourquoi est-il bon de jouer pendant les soins, alors que cela prolonge le bain, l’habillage ? Quand l’enfant est taquin, cela veut dire qu’il veut prolonger la durée des soins parce qu’il s’y plaît. La journée devient ainsi plus variée, plus haute en couleur, et des rapports agréables se créent entre la nurse et l’enfant. Pour aucun d’entre eux, le bain, l’habillement, le repas ne sont une corvée, puisqu’ils rient et jouent.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49125
in Spirale : La grande aventure de Monsieur bébé > n° 99 (Décembre 2021) . - p.181-183[article] Coopération et jeu pendant les soins, un signe de la qualité de la relation entre adulte et enfant [texte imprimé] / Miriam Rasse, Auteur ; Pikler Lòczy-France, Auteur . - 2021 . - p.181-183.
Langues : Français (fre)
in Spirale : La grande aventure de Monsieur bébé > n° 99 (Décembre 2021) . - p.181-183
Catégories : Alpha
A:Assistante maternelle ; C:Confiance ; J:Jeu ; M:Méthode Pikler-Lóczy ; N:Nouveau-né ; S:Soins ; T:TémoignageRésumé : Nouvelle nurse à Lóczy, dans les premiers temps, je n’avais que du travail « auxiliaire » auprès des nurses. J’observais, un peu envieuse, leurs relations avec les enfants… Puis, je fus introduite dans le groupe des nouveau-nés. Au début, j’ai dû me concentrer pour qu’ils soient à l’aise, qu’ils ne pleurent pas pendant le bain. Mais peu de temps après, je me suis aperçue qu’ils commençaient, eux aussi, à coopérer et à m’aider pendant les soins.
Gabi a vite fait de prendre goût au bain. Pendant que je le nettoie, il se crispe de moins en moins, je peux facilement essuyer ses plis avec du coton huilé. Zoltan est, à 3 mois, très content quand on le prend pour le baigner. En voyant le gant de toilette, il cligne de l’œil, il reste détendu pendant l’essuyage et, au moment de l’habillage, il touche la manche de la chemise avec des gestes incertains.
Des gestes de coopération deviennent ensuite de plus en plus nets : Gabor, dès 5 mois, tend sa main d’un geste sûr, et est le premier à commencer un jeu: il fait un mouvement vers la chemise mais, souvent, après l’avoir touchée, porte sa main derrière sa tête, en riant aux éclats et en plissant les yeux. Il s’amuse bien en tendant son pied au lieu de sa main. Alors, nous rions ensemble et sommes joyeux tous les deux.
Alors que je baigne Ferko, je savonne le gant de toilette et lui demande de me donner la main. Il la tend vers le gant. « Maintenant, je savonne l’autre ? » Ferko admire la mousse et me donne en riant, à plusieurs reprises, sa main déjà savonnée.
Les enfants faisant de grands progrès dans leur développement moteur se mettaient déjà facilement sur le ventre et se retournaient, vers 6 mois, ce qui donnait également lieu à un jeu. Par exemple, pendant le change, je veux juste attacher sa couche quand Attila, tout d’un coup, se met sur le ventre, et celle-ci se déplace : je dois recommencer l’opération, à la grande joie d’Attila. Dans l’eau, il frétille comme un poisson, tourné sur le ventre, sur le dos, barbotant : toute la salle est inondée !
Je ne peux pas peser Zoltan qui donne des coups de pied, empêchant ainsi la balance de se stabiliser. Quand je lui demande de s’arrêter un moment, il m’adresse un sourire, donne encore quelques coups de pied, et ce n’est qu’après que je peux le peser.
Vers 8 à 9 mois, les enfants rampent et marchent à quatre pattes avec adresse. Quand je les invite à manger ou bien à se baigner, ils se précipitent vers moi, puis se retournent à mi-chemin et, de là, rient de mon visage « déçu ».
Plus tard, lorsque les enfants se sont mis debout, la grenouillère a cédé la place à des pantalons, chaussettes et chaussons, ce qui est devenu source de nouvelles malices, de nouveaux talents : alors que, à ma demande, chacun ôte ses chaussons et ses chaussettes et me les dépose dans la main, Ferko fait semblant de les y mettre puis, brusquement, il les jette à côté.
Les enfants s’exercent à ôter leurs chaussons et leurs chaussettes, non seulement sur la table à langer mais aussi dans le parc. Ildiko ramasse les chaussons perdus en disant: « Tiens », et les pose dans ma main pour que je puisse les lui remettre. Elle est très contente d’être encouragée. Faisant du zèle, elle ramasse tous les chaussons, dit : « Tiens » et me les met dans la main. Quand elle n’en trouve plus dans le parc, elle s’assied, ôte les siens, me les apporte et s’attend à être félicitée.
Les enfants cherchent ensuite à imiter nos paroles. « Viens déjeuner », dis-je à Gabika. « Viens, viens » dit-elle, et elle oublie de venir. J’habille Ferko en lui disant le nom de ce que je lui mets : le maillot, la culotte... Alors il dit « pa-pa » en montrant les chaussons. « Je vais te les mettre, lui dis-je, et maintenant, mets ta main dans la chemise. » « Go-go », dit-il en me montrant les boutons sur sa poitrine, puis il constate, après avoir examiné ceux de ma tunique, que ce sont également des « go-go ».
À un an, ils se mettent debout sur la table de change, s’assoient, tendent leur main, leur pied, enlèvent celui-ci du pantalon... Ou bien ils font le contraire de ce qu’on leur demande et on ne manque pas d’en rire !
En grandissant, les enfants inventent toujours de nouvelles facéties : Zoltan a déjà 13 mois lorsque les après-midi, il vient avec moi dans le couloir. Il fait connaissance de l’environnement, il veut toucher à tout, essaie de monter ou de descendre l’escalier, entre dans le bureau des infirmières, il veut téléphoner. Quand je l’invite à regagner la pièce du groupe, il me suit jusqu’à la porte puis, pendant que je lui ouvre, fait demi-tour, et me regarde, du bout du couloir, en gloussant.
Les jeux de « coucou » les intéressent particulièrement en ce moment : Zoltan, sur la table de change, se cache les yeux de ses deux poings. Je l’entends rire et puis, brusquement, il me montre ses yeux. « Je t’ai retrouvé » dis-je, mais, une seconde plus tard, il « disparaît » à nouveau. Gabor et Gabika se mettent à quatre pattes et, en posant leur tête sur la table de change, me regardent entre leurs jambes. Maintenant, c’est à leur tour de me chercher. Quand ils m’aperçoivent, ils s’asseyent en disant : « je suis là », puis, quelques secondes plus tard, ils me regardent de nouveau entre leurs jambes. Ildeko met sur sa tête sa serviette de bain, Gabor la couverture, Gabika un foulard à pois, Attila son maillot. Ils jouent aussi, ainsi, entre eux. Gabika et Zoltan s’accroupissent, puis se redressent brusquement et rient aux éclats. Gabor et Ferko se poursuivent en marchant à quatre pattes, autour du banc. Celui qui aperçoit l’autre est le vainqueur.
Je prends soin de ces enfants depuis presque un an et demi. Nous, les nurses, nous cherchons à les baigner, les habiller, les nourrir, de telle sorte qu’ils puissent participer à ces opérations; nous cherchons à ce que leur coopération atteigne un niveau de plus en plus élevé. Ce sont toujours les enfants qui commencent à jouer, à nous taquiner et nous, simplement, nous nous amusons avec eux.
Pourquoi est-il bon de jouer pendant les soins, alors que cela prolonge le bain, l’habillage ? Quand l’enfant est taquin, cela veut dire qu’il veut prolonger la durée des soins parce qu’il s’y plaît. La journée devient ainsi plus variée, plus haute en couleur, et des rapports agréables se créent entre la nurse et l’enfant. Pour aucun d’entre eux, le bain, l’habillement, le repas ne sont une corvée, puisqu’ils rient et jouent.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49125 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T009429 SPI Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Le cordon numérique / C Lecomte in Objectif Soins & Management, 263 (Juin - Juillet 2018)
[article]
Titre : Le cordon numérique Type de document : texte imprimé Auteurs : C Lecomte, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 36-38 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Application numérique ; A:Attachement ; C:Confiance ; I:Innovation ; L:Lien mère-enfant ; M:ManagementRésumé : Inauguré l’an dernier au CHU de Bordeaux, un dispositif appelé “cordon numérique” permet d’enregistrer des vidéos des nouveau-nés hospitalisés et de les envoyer à leurs parents, les aidant ainsi à garder le lien avec leur bébé : l’histoire d’un management de projet technologique qui réunit toute une équipe.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=38336
in Objectif Soins & Management > 263 (Juin - Juillet 2018) . - p. 36-38[article] Le cordon numérique [texte imprimé] / C Lecomte, Auteur . - 2018 . - p. 36-38.
Langues : Français (fre)
in Objectif Soins & Management > 263 (Juin - Juillet 2018) . - p. 36-38
Catégories : Alpha
A:Application numérique ; A:Attachement ; C:Confiance ; I:Innovation ; L:Lien mère-enfant ; M:ManagementRésumé : Inauguré l’an dernier au CHU de Bordeaux, un dispositif appelé “cordon numérique” permet d’enregistrer des vidéos des nouveau-nés hospitalisés et de les envoyer à leurs parents, les aidant ainsi à garder le lien avec leur bébé : l’histoire d’un management de projet technologique qui réunit toute une équipe.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=38336 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T007844 OBJ Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible T007940 OBJ Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Le corps de l’enfant, un langage en soi / Franck Dugravier in Enfances & Psy, N°97 (Octobre 2023)
[article]
Titre : Le corps de l’enfant, un langage en soi Type de document : texte imprimé Auteurs : Franck Dugravier, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 121-132 Note générale : https://doi.org/10.3917/ep.097.0121 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Confiance ; C:Corps ; E:Enfant ; E:Examen clinique ; I:Identification ; J:Jeune enfant ; L:Langage ; P:Pudeur ; T:ToucherRésumé : Le corps est l’instrument obligatoire et riche de la communication entre un jeune enfant et sa mère. Il l’est aussi lors de la consultation de pédiatrie. Bébé, parents, pédiatres inventent alors un langage hors des normes, qui, passant par des identifications croisées, ouvre à une communication spécifique. Ce corps à corps, physique et interactif, donne à l’examen clinique un sens particulier. Il permet aux mères, aux parents, d’oser utiliser en confiance les ressources dont ils disposent pour répondre à leur enfant. Le rôle des pédiatres est de les aider à aborder cette découverte.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53289
in Enfances & Psy > N°97 (Octobre 2023) . - p. 121-132[article] Le corps de l’enfant, un langage en soi [texte imprimé] / Franck Dugravier, Auteur . - 2023 . - p. 121-132.
https://doi.org/10.3917/ep.097.0121
Langues : Français (fre)
in Enfances & Psy > N°97 (Octobre 2023) . - p. 121-132
Catégories : Alpha
C:Confiance ; C:Corps ; E:Enfant ; E:Examen clinique ; I:Identification ; J:Jeune enfant ; L:Langage ; P:Pudeur ; T:ToucherRésumé : Le corps est l’instrument obligatoire et riche de la communication entre un jeune enfant et sa mère. Il l’est aussi lors de la consultation de pédiatrie. Bébé, parents, pédiatres inventent alors un langage hors des normes, qui, passant par des identifications croisées, ouvre à une communication spécifique. Ce corps à corps, physique et interactif, donne à l’examen clinique un sens particulier. Il permet aux mères, aux parents, d’oser utiliser en confiance les ressources dont ils disposent pour répondre à leur enfant. Le rôle des pédiatres est de les aider à aborder cette découverte.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53289 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T010061 ENF Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Cultiver la confiance : une piste face aux impasses thérapeutiques / Brigitte Ouhayoun in Soins psychiatrie, 305 (Juillet 2016)
[article]
Titre : Cultiver la confiance : une piste face aux impasses thérapeutiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Brigitte Ouhayoun ; Françoise Coussegal ; Lisa Bouvier Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 31-35 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Accompagnement thérapeutique ; C:Confiance ; I:Impasse thérapeutique ; P:Psychiatrie ; R:Relation interpersonnelle ; R:Relation soignant-soigné ; R:Relation thérapeutiqueRésumé : Le foyer de postcure est un outil thérapeutique qui permet, parfois, de dépasser les situations d’impasse thérapeutique.
En travaillant sur le temps long, il permet au patient de transformer durablement sa relation à soi et aux autres.
Toutefois, ce travail exigeant ne peut se réaliser sans un socle d’estime des équipes soignantes en leur capacité thérapeutique ainsi qu’une confiance en leurs partenaires.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=32271
in Soins psychiatrie > 305 (Juillet 2016) . - p. 31-35[article] Cultiver la confiance : une piste face aux impasses thérapeutiques [texte imprimé] / Brigitte Ouhayoun ; Françoise Coussegal ; Lisa Bouvier . - 2016 . - p. 31-35.
Langues : Français (fre)
in Soins psychiatrie > 305 (Juillet 2016) . - p. 31-35
Catégories : Alpha
A:Accompagnement thérapeutique ; C:Confiance ; I:Impasse thérapeutique ; P:Psychiatrie ; R:Relation interpersonnelle ; R:Relation soignant-soigné ; R:Relation thérapeutiqueRésumé : Le foyer de postcure est un outil thérapeutique qui permet, parfois, de dépasser les situations d’impasse thérapeutique.
En travaillant sur le temps long, il permet au patient de transformer durablement sa relation à soi et aux autres.
Toutefois, ce travail exigeant ne peut se réaliser sans un socle d’estime des équipes soignantes en leur capacité thérapeutique ainsi qu’une confiance en leurs partenaires.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=32271 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T006738 SOI Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Culture palliative et médecine générale / Rolland Fardel in Médecine palliative, vol. 16, 1 (février 2017)
[article]
Titre : Culture palliative et médecine générale Type de document : texte imprimé Auteurs : Rolland Fardel Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 1-6 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
C:Confiance ; C:Continuité des soins ; H:Hospitalisation à domicile ; M:Médecine générale ; M:Médecine palliativeRésumé : Par ce texte je voudrais exprimer un sentiment, une opinion, un non dit dont la prise en compte, la reconnaissance me semble un préalable à toute velléité de développement de la culture palliative. Il est exclu que l’accompagnement de l’ensemble des personnes en fin de vie relève des « spécialistes en soins palliatifs » et encore moins des unités de soins palliatifs. Or, à la référence du droit aux soins palliatifs (pour tous évidemment), correspond le devoir des médecins d’assurer ce droit. Malheureusement force est de constater que l’adéquation entre droit et devoir n’existe pas et que cette inadéquation ne s’améliore que très partiellement malgré le développement immense des soins palliatifs dans la pratique, la réflexion, la recherche depuis les années 1990. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=33831
in Médecine palliative > vol. 16, 1 (février 2017) . - p. 1-6[article] Culture palliative et médecine générale [texte imprimé] / Rolland Fardel . - 2017 . - p. 1-6.
Langues : Français (fre)
in Médecine palliative > vol. 16, 1 (février 2017) . - p. 1-6
Catégories : Alpha
C:Confiance ; C:Continuité des soins ; H:Hospitalisation à domicile ; M:Médecine générale ; M:Médecine palliativeRésumé : Par ce texte je voudrais exprimer un sentiment, une opinion, un non dit dont la prise en compte, la reconnaissance me semble un préalable à toute velléité de développement de la culture palliative. Il est exclu que l’accompagnement de l’ensemble des personnes en fin de vie relève des « spécialistes en soins palliatifs » et encore moins des unités de soins palliatifs. Or, à la référence du droit aux soins palliatifs (pour tous évidemment), correspond le devoir des médecins d’assurer ce droit. Malheureusement force est de constater que l’adéquation entre droit et devoir n’existe pas et que cette inadéquation ne s’améliore que très partiellement malgré le développement immense des soins palliatifs dans la pratique, la réflexion, la recherche depuis les années 1990. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=33831 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T006978 MED Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Dédramatisons la fin de vie Une charte pour harmoniser les pratiques en EHPAD / Françoise Poyet Bony in La revue de gériatrie, Tome 42, 9 (Novembre 2017)
PermalinkLa défiance en institut de formation en soins infirmiers / Nadine Faure in Objectif Soins & Management, n°285 (Février 2022)
PermalinkDéléguer efficacement / Monique Huard in Soins cadres, 89, suppl. (Février 2014)
PermalinkDévelopper la confiance au sein d'un institut de formation / Catherine Mercadier in Soins cadres, 96 (Novembre 2015)
PermalinkLe dévoilement de soi du clinicien / Jérôme Favrod in Santé Mentale, 249 (Juin 2020)
PermalinkLe diabète à l’épreuve de l’adolescence / Nadine Hoffmeister in La revue de Santé Scolaire et Universitaire, 72 (Novembre-décembre 2021)
PermalinkLa difficile interaction entre les physiothérapeutes et les agents payeurs québécois : une analyse éthique médiatique / M. Laliberte in Ethique & Santé, Vol. 11, 2 (Juin 2014)
PermalinkDe la difficulté de faire équipe / Alain Depaulis in L'observatoire, 109 (2021)
PermalinkLes dimensions de la loyauté dans la relation managériale / Nadia PEOCH in Soins cadres, 108 (Novembre 2018)
PermalinkLes dimensions psychologiques de la chute / Vincianne Pardessus in Soins gérontologie, 112 (Mars/avril 2015)
PermalinkLe directeur des soins et l'innovation managériale / Ludovic Mura in Soins cadres, 91 (Août 2014)
PermalinkLes directives anticipées en Ehpad, accompagner la parole / Céline MARIGARD GUYADER in Soins gérontologie, 130 (Mars 2018)
PermalinkDirectives anticipées incitatives en psychiatrie, quels impacts ? / Frédéric Mougeot in Santé Mentale, 245 (Février 2020)
Permalink« Donc, si je comprends bien… » / Philippe Aïm in Santé Mentale, 284 (Janvier 2024)
PermalinkDonner la vie, écouter toujours, soulager souvent, guérir quelques fois / Jean-Michel Debry in Ethica Clinica, 96 (Octobre 2019)
PermalinkDossier 2 - Comment développer le management à distance? / Christophe Lo Giudice in HR.Square, 41 (Juillet-août 2021)
PermalinkDossier 2 : RH & communication interne: comment avancer main dans la main? / Christophe Lo Giudice in HR.Square, 39 (Mars-avril 2021)
PermalinkDossier : La confiance, un lien essentiel / Christophe Rymarski in Sciences Humaines, 271 (Juin 2015)
PermalinkDossier : Le management durable / Nicole Pierre-poulet in Soins cadres, 85 (février 2013)
PermalinkDossier : relation de confiance dans les soins / F. Hamon in Soins, 779 (Octobre 2013)
Permalink